Parution de cet ouvrage retraçant 400 ans de relations et échanges entre la Couronne britannique et la famille impériale de Russie. L’ouvrage très bien documenté pèse presque 3 kilos. Depuis ce vendredi, la Queen’s Gallery de Buckingham Palace accueille l’exposition « Royalty and the Romanovs » (merci à Alberto)
bételgeuse70
9 novembre 2018 @ 07:59
Merci pour l’info mais où peut–on se le procurer ?
Dagobert 1er
9 novembre 2018 @ 15:07
En vente sur le site de la fnac
clementine1
9 novembre 2018 @ 16:30
même question de ma part. Merci d’avance pour la réponse.
Gérard
9 novembre 2018 @ 20:53
Sur Amazon 68 €.
Baboula
10 novembre 2018 @ 18:24
Chez tous les libraires qui se feront un plaisir de vous le commander . Faites vivre les librairies.
Laurent
9 novembre 2018 @ 09:23
Il est facile de faire une exposition un livre
Cela ne changera rien à l’attitude des Windsor vis à vis des Romanov
Il devrait exposer les bijoux volés ou achetés à vil prix
Delphine
9 novembre 2018 @ 13:01
D’accord avec vous Laurent.
Montferrat
12 novembre 2018 @ 01:51
Jewels were not stolen, and recently looked at receipts of Queen Mary’s show she paid market value, and even a bit above, for Romanov jewels purchased from Grand Duchesses.
Zorro
9 novembre 2018 @ 12:25
Nul doute que cet ouvrage destinés aux amateurs de royautés se concentrera sur des aspects périphériques (art, culture, commerce, etc.) et n’abordera pas le cœur des relations (en fait une lutte à mort) entre les deux grands empires concurrents depuis le XVIIIe siècle. Le « grand jeu » qui n’est autre que la tentative de la Grande-Bretagne (et/ou de la City de Londres) de dépecer la Russie dans le but de s’accaparer ses ressources illimitée, est toujours (et plus que jamais) d’actualité.
Marie de Cessy
9 novembre 2018 @ 12:41
En tout cas la couverture du livre est magnifique.
Cela donne envie de le lire.
Francois
9 novembre 2018 @ 13:32
Il n’y a hélas pas de descendants directs des victimes
de la barbarie bolchevique pour s’insurger
En effet assez curieux que de faire une exposition
quand on sait …..
Car si les bolcheviques furent des bourreaux terribles
le refus d’aller extraire la famille impériale au moment où cela était possible
demeure un acte pour le moins étrange
Ou serait ce une sorte de tentative de rachat
Car parler des relations de ces deux familles durant tant de temps n’en rend
que plus cruel encore l’oubli dans la tourmente
Mais l’histoire est ainsi faite
Avec le temps on s’arrange et ce quelque soit le bord
Gérard
10 novembre 2018 @ 01:53
Les auteurs sont Caroline de Guitaut responsable des collections royales britanniques et son collègue Stefen Pattersen, au Royal Collection Trust qui est l’éditeur et l’ouvrage compte 496 pages.