La journaliste danoise Elisabeth Saugmann consacre un livre au prince Henrik de Danemark. Un livre qui pour cette journaliste qui ne couvre d’habitude pas les activités de la famille royale, se veut un travail de réhabilitation de l’image du prince ou comment mieux comprendre a posteriori la sensibilité du prince, son amour pour les arts, son profond attachement au Danemark malgré ses prises de position parfois tonitruantes. On découvre notamment que le prince aimait jouer au piano avec son beau-père le roi Frederik ou qu’il entretenait une amitié avec l’acteur Omar Sharif. (Merci à Michèle)
clementine1
8 octobre 2018 @ 06:20
enfin ! merci à l’auteur.
bételgeuse70
8 octobre 2018 @ 06:55
Mieux vaut tard que jamais ?
Baboula
8 octobre 2018 @ 07:26
Le choix de la photo du prince … aurait pu mieux se faire .
Jean Pierre
8 octobre 2018 @ 14:29
Oui Baboula, c’est mal parti pour la réhabilitation.
LOLA
9 octobre 2018 @ 12:05
Pourquoi ? c’est tout à fait lui, lorsqu’il était en joie.
Elyse 17
8 octobre 2018 @ 09:11
ça part d’une bonne intention, mais cela paraît si tôt …Le livre sera-t-il en français ? (en raison des origines du Prince) Quel est l’impact du livre au Danemark ? A savoir, chiffres de publication, critiques professionnelles, opinions du public. Merci pour toutes informations complémentaires.
Jane
8 octobre 2018 @ 09:11
Il aurait peut-être fallu que les danois l’apprécient lorsqu’il était vivant. Bien sûr qu’il avait des qualités malgré sa folie des grandeurs. Ne pas avoir été roi lui aura tout de même gâché la vie ! Mais la reine ne l’a pas jugé utile, pourquoi, mystère.
Leonor
8 octobre 2018 @ 17:49
Oui, bon…
C’est lui qui s’est lui-même gâché la vie . Genre petit garçon qui a une chambre pleine de jouets, et qui fait une crise parce qu’il n’a pas LE hochet convoité.
En novlangue, ça s’appelle » l’intolérance à la frustration ».
HRC
9 octobre 2018 @ 08:03
mystère ?
parce que le parlement ne voulait pas, tous partis confondus.
Isa C
8 octobre 2018 @ 09:49
Ce portrait en couverture n’est pas flatteur…
solenn
8 octobre 2018 @ 10:10
Bien sûr que le prince jouait du piano . Il avait d’ailleurs joué avec l’orchestre de Copenhague dans un concerto de Beethoven avec son beau-père le roi Frédérik IX chef d’orchestre pour l’occasion . Lui aussi musicien et mélomane .
C’était un érudit Henrik de Danemark .
GUY
8 octobre 2018 @ 15:08
Il y a quelques années, Lors d’un magnifique concert de la garde royale Danoise au château de Cayx, au final, il avait pris la baguette pour diriger les musiciens avec maestria.
Son plus jeune frére aussi est musicien
Mary
8 octobre 2018 @ 10:21
Il est bien temps !
Il aurait aimé ce type d’ouvrage de son vivant , mais peut -être y en a-t- il eu ?
Gibbs
8 octobre 2018 @ 10:38
J’ai toujours pensé qu’il était une personne très bien.
Merci à cette journaliste si elle peut nous apprendre qui était vraiment le prince Henrik.
La princesse héritière Margarethe ne pouvait pas choisir un idiot pour époux et père de ses enfants !
LOLA
8 octobre 2018 @ 13:51
Oui moi aussi Gibbs : quel dommage que ce ne soit pas fait de son vivant..ou bien…!
Latina
8 octobre 2018 @ 11:03
Une opportunité, que ce livre, de mieux connaitre un prince tantôt aimé, tantôt critiqué, mais incontestablement une personnalité passionnée.
L’émotion des danois a l’occasion de ses obsèques, en dit long sur les liens avec son Pays d’adoption. Il n’est pas toujours facile de partager la culture et la vie du pays où l’on vit et rester fidèle à celui de naissance. Il me semble que Henry de Montpezat a réussi, à sa manière, la synergie des différences.
Pascal
8 octobre 2018 @ 17:26
J’aime beaucoup votre expression: » synergie des différences » .
Vous écrivez aussi : « une personnalité passionnée » , je dirais même » une personnalité chanceuse et passionnée » , il n’en fallait sans doute pas davantage pour provoquer tant de critiques , ici ou ailleurs .
Nos contemporains se flattent d’intelligence et de raison , sans parler d’être « bien informés » et pourtant combien sont capables de voir plus loin que les apparences ?
Leonor
8 octobre 2018 @ 17:50
L’émotion des Danois ?
L’émotion des Danois qui étaient sur les photos.
Pierre-Yves
8 octobre 2018 @ 12:36
Comme je ne sais pas où poser une question sans rapport avec le sujet d’aucun article du jour (ni même d’hier), je la pose ici, en souhaitant que Michèle ne m’en tienne pas rigueur.
Quelqu’un a t-il regardé le documentaire diffusé hier sur Arte intitulé Farah Pahlavi, la dernière impératrice ? Personnellment, je l’ai trouvé intéressant, et très touchant aussi à certains moments. Au delà des interventions de Farah elle-même, qui ressemblaient évidemment à ce qu’elle a pu dire dans d’autre films, notamment face à Frédéric Miterrand, J’ai aimé les interventions de son fils ainé, le prince Reza, qui me semble être un homme intelligent et bienveillant.
Mary
9 octobre 2018 @ 12:32
Pierre – Yves,
Je me suis endormie avant la fin, il était tard. ! Quelles étaient les conclusions ? J’en suis restée à son fils qui disait qu’on lui parlait beaucoup plus de son père que de sa mère ,alors qu’ils étaient un couple…
Le documentaire a été décalé au profit de » Tirez sur le pianiste « de Truffaut,que j’ai regardé avec intérêt ,mais sans en être emballée.
Charlotte AL
9 octobre 2018 @ 12:41
Pierre-Yves, je l’ai regardé en replay hier soir, je partage votre point de vue.
Tout n’était pas idyllique pendant le règne du Shah, loin de là, mais il a du vouloir aller trop vite, la scolarisation des filles notamment était une marche vers leur émancipation.
J’ai entendu ce matin, que les Iraniennes, privées de retransmission de leurs matchs, la raison étant que le corps des femmes doit rester un secret bien gardé, filment avec leurs portables « sous la burqua » et retransmettent sur un réseau qui je l’espère ne sera pas saisi.
Baboula
11 octobre 2018 @ 21:59
La shabanouh a dit du bien de son mari et de son travail à Elle et je la crois. Mais comme elle le dit aussi ce n’était pas en accord avec le peuple. On a toujours
tort d’avoir raison trop tôt. Mais cela ne les empêche pas d’avoir raison.
Il faut d’abord éduquer puis moderniser.
marianne
8 octobre 2018 @ 14:24
Si ce livre « réhabilite » le Prince, c’ est une excellente chose !
Car j’ ai toujours trouvé injustes les critiques dont il était l’ objet et qui l’ ont blessé .
Mélusine
9 octobre 2018 @ 23:27
En fait, le prince Henrik était un artiste refoulé. Musique, poésie, dessin, sculpture, peinture, etc…
Leonor
13 octobre 2018 @ 22:02
C’est lui faire beaucoup d’honneur, Mélusine. Un amateur, tout au plus. Ses productions sont du niveau d’un centre de loisirs de quartier. On a le droit, ce n’est pas condamnable, c’est même tout à fait sain. Mais artiste ? Non.