Livre en allemand sur la chute du royaume de Bavière en 1918 sur base des archives de la famille royale de Bavière et des journaux intimes des princesses. (Merci à Alberto)
Livre en allemand sur la chute du royaume de Bavière en 1918 sur base des archives de la famille royale de Bavière et des journaux intimes des princesses. (Merci à Alberto)
Leonor
18 novembre 2018 @ 08:41
Titre exact :
» Toujours encore sous les lumières (*) …
La révolution de 1918/19 vue par la fille du roi de Bavière »
(*) littéralement : la lumière des chandeliers
septentrion
18 novembre 2018 @ 10:10
J’espère qu’un jour il sera traduit en français j’aimerais bien le lire.
COLETTE C.
18 novembre 2018 @ 14:31
Non écrit en français, dommage, ce doit être intéressant .
beji
18 novembre 2018 @ 16:23
Ce livre doit être intéressant mais encore faut-il comprendre l’allemand !
Zeugma
18 novembre 2018 @ 20:10
La Bavière s’est trouvée dans une situation extrêmement confuse à la fin de la première guerre mondiale d’après ce que je lis – très superficiellement – sur toute cette internet que nous avons maintenant.
Un chose est certaine : il y a une forte identité Bavaroise.
Dans une récente – et passionnante – biographie d’Elisabeth Badinter consacrée à Marie-Thérèse (1717-1780) (« Le pouvoir au féminin ») les relations difficiles à la fin du XVIIIe siècle entre La Bavière et l’Autriche – pourtant si proches à bien des égards – sont plusieurs fois évoquées.
Karabakh
23 novembre 2018 @ 21:04
La Bavière est, d’un point-de-vue des particularismes locaux, l’équivalent de l’Alsace en territoire allemand. Les deux terres sont d’ailleurs liées dans et par leurs Histoires. Dans le paysage européen, il existe peu de régions naturelles et historiques, marquées d’une identité locale aussi forte. Une quinzaine. C’est ce qui fait leurs beautés.
La Bavière a beaucoup souffert du premier conflit mondial et de ses conséquences. Sa situation géographique, aussi particulière que son identité, n’y est sans doute pas étrangère. La proximité de l’Autriche, en effet.
Caroline
19 novembre 2018 @ 00:05
Dommage que ce livre historique ne soit pas traduit en français ! Plus tard en anglais?
Vieillebranche
19 novembre 2018 @ 01:17
Ah j’aimerais tellement retrouver mon allemand pour lire cette histoire-là – pourquoi si peu de traductions de cette langue ? En tout cas en histoire.
Leonor
19 novembre 2018 @ 21:09
Parce que l’histoire des pays germaniques n’intéresse pas les Français en général. Les éditeurs ne s’y retrouveraient donc pas.
Karabakh
23 novembre 2018 @ 21:06
La plupart des Français trouvent cette langue moche, hargneuse… Le spectre brun est là. C’est dommage mais, comme les particularismes régionaux, les vrais amis de cette langue et des cultures qu’elle renferme, se comptent vite. 😉