Merci, Alberto, pour le suivi de ces parutions.
En ce moment, quasiment impossible d’aller dans ma librairie habituelle de l’autre côté du Rhin ( mesures Covid), et je n’utilise les librairies Internet que s’il y a urgence ou obligation.
Titre exact ( trad° bibi) :
Der Kaiser und das « Dritte Reich »: Die Hohenzollern zwischen Restauration und Nationalsozialismus
= L’Empereur et le » Troisième Empire » : Les Hohenzollern entre Restauration et National-socialisme.
Notez les guillemets à » Troisième Reich » .
Sur les auteurs :
+ Jacco Bekelder est professeur associé au département d’Histoire de l’Université d’Utrecht ( Pays-Bas) , et professeur hobnoraire d’Histoire contemporaine d’Europe de l’Ouest à l’Université de Saarbrücken ( Allemagne)
+ Joep Schenk, post-doctorant d’histoire à Utrecht aussi.
+ Cornelis van der Bas est le conservateur du musée Huis Doorn , la demeure du Kaiser en exil aux Pays-Bas .
Texte de présentation trouvé sur plusieurs sites Internet , probablement la 4e de couverture,
en traduction rapide comme d’habitude ( = quasi littérale, sans recherche littéraire en français) :
« Jusqu’où les Hohenzollern se rapprochèrent-ils de la mouvance nazie ?
Faits nouveaux à apporter au débat actuel .
» Les Hohenzollern ont-ils fourni au national-socialisme » une aide dans sa progression, en quantité considérable » ?
Cette question est actuellement fort discutée en Allemagne . A la suite de la publication des demandes d’indemnisation de l’ancienne famille impériale, s’y est déclenchée une controverse sur l’attitude des Hohenzollern envers le mouvement nazi.
» Guillaume II, sa seconde épouse la princesse Hermine, le prince » Auwi », le prince héritier Guillaume et son épouse Cecilie, Louis-Ferdinand : eux tous s’engagèrent à des niveaux d’intensité divers sur la scène de la droite de la République de Weimar et dans le pouvoir nazi à ses débuts. S’agisssait-il seulement de revenir au pouvoir , ou y avait-il des points idéologiques communs ?
» Dans le cadre de l’expostion du Musée de la Maison Doorn, sur le lieu de l’exil du dernier emprereur allemand, les trois historiens ont soigneusement exploré cette question complexe et els débats qui s’ensuivent dans l’Allemagne actuelle .
» Ils exposent aussi que dès 1945 aux Pays-Bas , il fut beaucoup discuté de l’image historique des Hohenzollern. »
Fin de citation-traduction.
Je n’ai pas d’oînion faite sur le sujet, j’attends de pouvoir lire ce livre, probablement bien documenté et sérieux, vu les auteurs.
Par contre, je sais que Hitler détestait les Hohenzollern et la noblesse d’une façon générale, et a tâché de les écarter le plus possible des cercles du pouvoir, et de l’armée .
Pour le détail, il me faut lire.
Il s’agit d’une traduction du livre paru en Néerlandais en 2020 avec le titre: « De Keizer en het Derde Rijk. De familie Hohenzollern en het nationaalsocialisme », basé sur une recherche d’une équipe de l’université d’Utrecht.
On connaît bien le visage de Guillaume II . Mais , bien qu’on le voie moins souvent , le visage du » Kronprinz » ( prince héritier ) m’est aussi connu .
C’est à lui qu’en 1945 , de Lattre dira : » vous êtes lamentable , Monsieur , lamentable ! » car le prince demandait des exemptions et des privilèges .
En 14/ 18 , c’est contre lui et contre le prince Ruprecht de Bavière que mon grand-père eut à combattre ( contre leurs troupes )
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Kronprinz (*) n’était pas une lumière .
(*) Kronprinz: textuellement » prince de la couronne » = prince héritier comme l’indique Ciboulette. Prononcer [ krôôhn – pri-nnts ].
Dur, peut-être. Mais surtout, pas très solide, peu équilibré de caractère, et nettement complexé , du fait de son bras atrophié . Ceci expliquant peut-être cela.
» Porteur d’une paralysie du plexus brachial, son bras gauche était un peu atrophié, infirmité de naissance,due à une erreur du médecin-accoucheur,qu’il chercha toujours à dissimuler et notamment qui l’empêchait de monter seul à cheval.
Certains historiens pensent qu’il aurait aussi pu subir un traumatisme crânien, susceptible d’expliquer certains de ses traits de caractère (cyclothymie, agressivité, entêtement, impulsivité et manque de tact). »
Source : https://www.histoiredumonde.net/Le-Kaiser-Guillaume-II-d-Allemagne.html
Leonor
8 mai 2021 @ 11:14
Merci, Alberto, pour le suivi de ces parutions.
En ce moment, quasiment impossible d’aller dans ma librairie habituelle de l’autre côté du Rhin ( mesures Covid), et je n’utilise les librairies Internet que s’il y a urgence ou obligation.
Titre exact ( trad° bibi) :
Der Kaiser und das « Dritte Reich »: Die Hohenzollern zwischen Restauration und Nationalsozialismus
= L’Empereur et le » Troisième Empire » : Les Hohenzollern entre Restauration et National-socialisme.
Notez les guillemets à » Troisième Reich » .
Sur les auteurs :
+ Jacco Bekelder est professeur associé au département d’Histoire de l’Université d’Utrecht ( Pays-Bas) , et professeur hobnoraire d’Histoire contemporaine d’Europe de l’Ouest à l’Université de Saarbrücken ( Allemagne)
+ Joep Schenk, post-doctorant d’histoire à Utrecht aussi.
+ Cornelis van der Bas est le conservateur du musée Huis Doorn , la demeure du Kaiser en exil aux Pays-Bas .
Texte de présentation trouvé sur plusieurs sites Internet , probablement la 4e de couverture,
en traduction rapide comme d’habitude ( = quasi littérale, sans recherche littéraire en français) :
« Jusqu’où les Hohenzollern se rapprochèrent-ils de la mouvance nazie ?
Faits nouveaux à apporter au débat actuel .
» Les Hohenzollern ont-ils fourni au national-socialisme » une aide dans sa progression, en quantité considérable » ?
Cette question est actuellement fort discutée en Allemagne . A la suite de la publication des demandes d’indemnisation de l’ancienne famille impériale, s’y est déclenchée une controverse sur l’attitude des Hohenzollern envers le mouvement nazi.
» Guillaume II, sa seconde épouse la princesse Hermine, le prince » Auwi », le prince héritier Guillaume et son épouse Cecilie, Louis-Ferdinand : eux tous s’engagèrent à des niveaux d’intensité divers sur la scène de la droite de la République de Weimar et dans le pouvoir nazi à ses débuts. S’agisssait-il seulement de revenir au pouvoir , ou y avait-il des points idéologiques communs ?
» Dans le cadre de l’expostion du Musée de la Maison Doorn, sur le lieu de l’exil du dernier emprereur allemand, les trois historiens ont soigneusement exploré cette question complexe et els débats qui s’ensuivent dans l’Allemagne actuelle .
» Ils exposent aussi que dès 1945 aux Pays-Bas , il fut beaucoup discuté de l’image historique des Hohenzollern. »
Fin de citation-traduction.
Je n’ai pas d’oînion faite sur le sujet, j’attends de pouvoir lire ce livre, probablement bien documenté et sérieux, vu les auteurs.
Par contre, je sais que Hitler détestait les Hohenzollern et la noblesse d’une façon générale, et a tâché de les écarter le plus possible des cercles du pouvoir, et de l’armée .
Pour le détail, il me faut lire.
COLETTE C.
8 mai 2021 @ 15:50
Dommage qu’il soit écrit en allemand .
PB
9 mai 2021 @ 10:21
Il s’agit d’une traduction du livre paru en Néerlandais en 2020 avec le titre: « De Keizer en het Derde Rijk. De familie Hohenzollern en het nationaalsocialisme », basé sur une recherche d’une équipe de l’université d’Utrecht.
Ciboulette
9 mai 2021 @ 19:09
On connaît bien le visage de Guillaume II . Mais , bien qu’on le voie moins souvent , le visage du » Kronprinz » ( prince héritier ) m’est aussi connu .
C’est à lui qu’en 1945 , de Lattre dira : » vous êtes lamentable , Monsieur , lamentable ! » car le prince demandait des exemptions et des privilèges .
En 14/ 18 , c’est contre lui et contre le prince Ruprecht de Bavière que mon grand-père eut à combattre ( contre leurs troupes )
Leonor
10 mai 2021 @ 14:24
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Kronprinz (*) n’était pas une lumière .
(*) Kronprinz: textuellement » prince de la couronne » = prince héritier comme l’indique Ciboulette. Prononcer [ krôôhn – pri-nnts ].
Muscate-Valeska de Lisabé
9 mai 2021 @ 18:04
Aussi beau que dur,l’homme à la barbichette.
Leonor
10 mai 2021 @ 14:31
Dur, peut-être. Mais surtout, pas très solide, peu équilibré de caractère, et nettement complexé , du fait de son bras atrophié . Ceci expliquant peut-être cela.
» Porteur d’une paralysie du plexus brachial, son bras gauche était un peu atrophié, infirmité de naissance,due à une erreur du médecin-accoucheur,qu’il chercha toujours à dissimuler et notamment qui l’empêchait de monter seul à cheval.
Certains historiens pensent qu’il aurait aussi pu subir un traumatisme crânien, susceptible d’expliquer certains de ses traits de caractère (cyclothymie, agressivité, entêtement, impulsivité et manque de tact). »
Source : https://www.histoiredumonde.net/Le-Kaiser-Guillaume-II-d-Allemagne.html
Ciboulette
10 mai 2021 @ 18:49
C’est Guillaume II , Muscate !