Parution en italien de ce livre de Maria Enrica Monaco Gorni consacré à la princesse Marie de Piémont (princesse héritière Marie José d’Italie, née princesse de Belgique) et ses 5 années passées comme infirmière volontaire pendant la Seconde Guerre Mondiale au 8ème centre de mobilisation.
DEB
26 novembre 2020 @ 06:34
Elle suivait l’exemple de sa mère, la reine Elisabeth, qui avait été infirmière volontaire pendant la première guerre mondiale, sur le front de l’Yser.
Benoite
26 novembre 2020 @ 06:48
De la même graine que sa mère, la reine Elisabeth… La fibre « sociale » et médicale des filles , princesses se transmet inévitablement, en temps de conflits. Il est vrai qu’à l’époque, les conflits se succédaient en Europe, et le personnel médical ‘souvent religieux » ne pouvait suffire à soigner les blessés. Les familles nobles et royales déléguaient les mères, et filles, belles-filles à l’occasion, dans les hopitaux, les centres d’Accueil, et il y avait de quoi faire. et de forger les tempéraments.
Victoria et ses filles étaient de celles-ci (pas tout à fait la reine) mais ses filles tenaient du père Albert prince de Saxe-Cobourg. Alice, notamment.
Dans la famille d’Elisabeth de Belgique, son arrière petite fille Marie-Astrid était partie en Afrique au dispensaire de Lambaréné, du bon docteur Schweitzer Albert, 1875-1965 médecin, Pasteur, Alsacien, inhumé au Gabon, près de son hôpital. Prix Nobel de la Paix à Oslo, en 1952.
Queen Mumm, également fit au sein de sa famille Bowes-Lyon , au château de Glamis, partie d’une équipe d’infirmières, pendant le conflit de 1914-1918. Sans avoir plus de renseignements, sur cette période, je pense que les fils de famille étant au front, la mère de la future Queen Mumm,, à l’époque , était je pense assez volontaire pour engager ses filles, sur d’autres fronts « médicaux » et plus sociaux, et participer ainsi à ce conflit.
Benoite
26 novembre 2020 @ 06:50
les fils de la famille Bowes-Lyon étaient enrôlés dans le conflit. Le plus jeune mourut au front.
Marlene64
26 novembre 2020 @ 08:01
Une grande reine, hélas, pour trop peu de temps. Son intelligence, sa personnalité auraient mérité un bien meilleur destin, lié, malheureusement, à celui de la Maison Savoie qui n’a pas brillé dans ses choix politiques et l’a payé chèrement. Si seulement son beau-père et son mari, trop effacé et discret face à son auguste paternel, l’avaient écouté….
Alix-Emérente
27 novembre 2020 @ 10:10
Marlene64, commentaire partagé …
Mary
26 novembre 2020 @ 08:49
Elle s’est bien comportée, mais cela n’a pas suffi à gagner le référendum … Il est vrai qu’il a été truqué, paraît-il et le roi Umberto n’a pas protesté, contrairement à Trump !
Jean Pierre
26 novembre 2020 @ 10:02
Cet ouvrage, s’il est sérieusement documenté, me semble important. Tant de choses ont été dites sur cette période.
Cinq années de guerre ? En septembre 1943, Marie José est arrivée en Suisse selon son biographe Luciano Regolo.
Actarus Maximus
26 novembre 2020 @ 12:51
LOL
« Princesse héritière » Marie-Josée d’Italie… Elle n’a jamais, jamais, JAMAIS porté ce titre. L’auteur, ou l’auteure, ou l’autrice du livre a raison : entre son mariage et son accession au trône, elle était S.A.R. la Princesse de Piémont. Point.
Get over it. ;-)
Européen
26 novembre 2020 @ 13:15
Le « Maria » est intéressant. Marie-Beatrice de Savoie a raconté que sa mère Marie-José grinçait des dents chaque fois que son mari l’appelait « Maria ». Apparemment, il ne l’a jamais appelée Marie José.
Maria
27 novembre 2020 @ 00:29
A sì non lo sapevo! Non aveva voglia di tradurre il suo nome nella lingua del suo nuovo paese 😔.Sapevo che non voleva accontentare i fascisti che volevano solo la lingua italiana e tutto ciò he era italiano,forse era questo? È la mia speranza🙂
Européen
27 novembre 2020 @ 12:31
suppongo che era troppo complicato dire « José » . Il « J » alla francese forse è difficile da pronunciare.
Con « Maria » un Italiano si ritrova « à casa ».
Mary
27 novembre 2020 @ 20:34
Les italiens que je connais ( et ils sont nombreux) parlent d’elle comme de » la regina Maria-José ». J’ai entendu la même chose sur la télé italienne. J’ai même vu un documentaire, une longue interview de la reine ( déjà âgée) et qui était annoncée sur le programme comme un document d’exception sur la reine Maria-José.
Luise
29 novembre 2020 @ 06:17
Oui, pour nous italiens Elle est la Reine Maria Josè.
Teresa2424
26 novembre 2020 @ 19:24
Es querida y respetada por los italianos y fue la única a la que se le permitió entrar en Italia (muchas veces antes de obtener el permiso entró clandestina)
Severina
26 novembre 2020 @ 22:02
Dans l’Italie fasciste les mots et les noms étrangers étaient bannis, c’est pour ça que la princesse Marie José est devenue Maria. Elle avait bien raison de grincer les dents!
Jean Pierre
27 novembre 2020 @ 13:55
Son beau père l’appelait « la belge » un peu comme Joséphine Charlotte appelait Maria Tersa « la cubaine ».
Maria
27 novembre 2020 @ 00:32
Ho dimenticato di tradurre con Google🤯😱🤗 J’ai oublié de traduire avec Google: oui je ne savais pas! Il ne voulait pas traduire son nom dans la langue de son nouveau pays 😔 Je savais qu’il ne voulait pas plaire aux fascistes qui ne voulaient que la langue italienne et tout était italien, peut-être que c’était ça? C’est mon espoir🙂