Parution en anglais aux éditions Skira du livre « The Empress and I. How an ancien Empire collected, rejected and rediscovered Modern Art » par Donna Stein.
MoreParution en anglais aux éditions Skira du livre « The Empress and I. How an ancien Empire collected, rejected and rediscovered Modern Art » par Donna Stein.
More
Katellen
3 mars 2021 @ 09:34
Quand on voit ces deux femmes d’allure si moderne en couverture et que l’on compare avec le statut des femmes aujourd’hui en Iran, on a vraiment l’impression qu’il ne s’agit pas du même pays… je me souviens avoir vu des photos de l’impératrice Soraya fumant en robe du soir. Une autre époque !
Baboula
3 mars 2021 @ 15:44
Des sportives de niveau olympique n’ont pas reçu l’autorisation de leur mari pour aller à l’étranger pour des compétitions . Il y a quelques cas où le gouvernement dans un mouvement de grand libéralisme les a autorisées ,contre l’avis des chers époux.
Caroline
3 mars 2021 @ 10:49
On se rappelle que Farah d’ Iran avait fait des études d’ art à Paris avant son mariage avec le Shah d’ Iran. Donc, assez expérimentée dans ce domaine !
stigerss1144
3 mars 2021 @ 20:06
farah n’a pas fait d’études d’art mais études d’architecture !
giseleT
3 mars 2021 @ 12:05
Aurons-nous une parution en Français
Albane
3 mars 2021 @ 13:57
C’est intéressant de publier un livre sur une personnalité en prenant un domaine particulier de sa vie.
Dagobert 1er
3 mars 2021 @ 14:07
un documentaire vu à la télévision il y a quelques années présentait cette collection enfermée dans un musée vide avec un seul gardien abritant des oeuvres majeures. Lunaire!!!
A voir s’il est encore accessible.
Aper
3 mars 2021 @ 14:14
Une grande souveraine mais accompagnée d’un époux par trop autoritaire et d’une Cour trop large et bien trop avide… quel dommage pour ce grand pays qu’est l’Iran
Fabrice Noël
3 mars 2021 @ 14:32
Encore un autre exemple de ce que l’impératrice Farah a fait de bien pour son pays ; quand on voit qui gouverne aujourd’hui ce merveilleux pays, cela donne envie de pleurer pour ces pauvres gens ; un ami iranien me dit souvent que si les Iraniens avaient su ce qui les attendait après la chute du Shah (ignoble dictature moyenâgeuse et atroce guerre contre l’Irak qui a saigné le pays), jamais ils ne seraient descendus dans la rue. Comme quoi, on sait ce qu’on perd, mais on ne sait jamais ce qu’on gagne…
Benoite
3 mars 2021 @ 16:24
Une exposition des oeuvres d’Art, devait se tenir dans un grand musée Européen, il y a quelque temps. Et puis ce fut reporté, et annulé. L’Impératrice qui se réjouissait de voir les oeuvres exposées, fut sûrement désapointée. Mais cette exposition se tiendra, quand ?? maintenant avec toutes ces contraintes… je le crois, quand même.
Le gout de la Culture, des Arts, des festivals et des concerts a toujours été un « moteur » chez l’impératrice, elle était portée par ces moments d’échange, je n’oublie pas la musique.. Farah avait trouvé avec cette dame, de quoi partager encore mieux, cette passion commune.
Veronique y
6 mars 2021 @ 10:20
Farah a toujours été moderne et cultivée , .