En mars 2014, sortie d’un livre en anglais consacré aux quatre filles du tsar Nicolas II et de la tsarine Alexandra de Russie. Les grandes-duchesses Olga, Tatiana, Maria et Anastasia furent assassinées avec leurs parents et leur frère en juin 1918 à Ekaterinbourg. Jusqu’alors elles avaient vécu très protégées dans les palais de Livadia ou de Tsarskoïe Selo, ayant peu de contacts avec le monde extérieur et peu d’amis. Olga, Tatiana, Maria et Anastasia de Russie avaient respectivement 22 ans, 20 ans, 19 ans et 17 ans lorsqu’elles furent assassinées. Helen Rappaport nous fait découvrir la vie de ces quatre princesses au destin tragique en s’appuyant sur leurs journaux et leur correspondance. (merci à Michèle)
« The lost lives of the daughters of Nicolas and Alexandra », Helen Rappaport, Editions Macmillan, mars 2014, 465 p.
Alberto
28 novembre 2013 @ 08:41
J´ai apporté ma petite collaboration à ce livre en transmissant à Helen la parution d´un ouvrage en français écrit par l´amônier du dernier Czar sur le front.
L´auteur de ce livre parle peu sur les filles du Czar mais c´est très intéressant.
Philippe gain d'enquin
28 novembre 2013 @ 11:59
Enfin, un « rappaport » d’enquête promettant d’être passionnant!
Alberto
28 novembre 2013 @ 17:01
LOL!!!! J´ai tardé à comprendre le jeux de mots!!!
Il y a plusieurs Rappaport en Europe de l´est, dont un célèbre communiste mais Helen dit qu´ils ne sont pas ses parents…bien qu´elle soit d´origine russe.
Je commande ce livre justement parce que Helen lit le russe si facilement et a eu accès à des sources inédits.
Alberto
29 novembre 2013 @ 02:49
« Je commande ce livre justement parce que Helen lit le russe’
je voulais dire que je RECOMMANDE CE LIVRE!!!
Francine du Canada
28 novembre 2013 @ 21:43
Et j’espère que vous nous rap(pa)porterez vos impressions suite à cette lecture PGE. Amitiés, FdC
Camille
28 novembre 2013 @ 13:18
L’auteur a déjà écrit un livre consacré aux derniers jours de la famille impériale (non traduit en français). Je ne sais pas ce qu’il vaut, mais plusieurs critiques lui reprochent un style d’écriture déplorable et surtout une prise de position très subjective contre les Bolcheviks (alors qu’un livre d’Histoire devrait rester neutre, pas vrai ?). Un auteur intéressant à suivre, mais visiblement très controversé aux Etats-Unis…
Suzanne
28 novembre 2013 @ 13:38
Ce livre sera sans aucun doute intéressant en ce qui concerne la jeunesse des quatre sœurs. En revanche, il faut savoir que les derniers travaux de divers historiens ont démontré que la tsarine et ses filles furent épargnées. La reine Marie de Roumanie contribua à les sauver, la tsarine mourut en Italie vers 1950. Ces recherches sont récentes et suscitent autant de commentaires que de doutes. Lire à ce sujet l’ouvrage de Marc Ferro.
Camille
28 novembre 2013 @ 18:50
Et Napoléon n’est pas mort à Sainte-Hélène… Je ne pensais pas que 20 ans après que les corps aient été retrouvés, le débat ne serait pas encore clos. Je veux bien croire que certains détails restent flous au niveau des témoignages et de quelques éléments, mais la science a tranché : tout le monde est mort le 16 juillet. Pour preuve, le type d’hémophilie d’Alexis a été finalement identifié en 2008 grâce aux dernières découvertes.
L’ouvrage de Marc Ferro reprend en grande partie des thèses déjà proposées en 1974, rien de nouveau sous le soleil ! Après si certains veulent toujours rêver, je leur en laisse la liberté par politesse.
Suzanne
29 novembre 2013 @ 21:42
Camille, je ne parlais pas d’Alexis, mais de la tsarine et de ses quatre filles. Et puis, on peut éventuellement parler d’histoire et des innombrables découvertes ultérieures qui en changent parfois le cours sans prendre un ton agressif. Je regrette infiniment que certains internautes ne restent pas absolument courtois. Ceci dit, si, si, Napoléon est mort à Sainte-Hélène. Je crois pouvoir vous l’assurer. Bonne soirée
Philippe gain d'enquin
2 décembre 2013 @ 19:19
Nous ne vous pensions si vénérable en âge pour avoir assisté en « live » au trépas de l’Empereur… Que de richesses dans ce blog !!! Bien à vous, PGE
Mary
6 décembre 2013 @ 05:25
Si ces femmes avaient survécu,elles l’auraient révélé,ne serait-ce que pour humilier les bolcheviks.Hélas pour elles,elles sont mortes.
On trouve ce désir d’inventer un sauvetage pour les victimes même dans la mythologie où il ya souvent deux versions dans les destins des uns et des autres,l’une « hard » et l’autre »soft ».
Jean Pierre
28 novembre 2013 @ 19:45
Ben dis donc !
Maguelone
28 novembre 2013 @ 22:04
Qu’est-ce que c’est que cette théorie ??!!
Gustave de Montréal
28 novembre 2013 @ 22:51
Seriez-vous avoir été arnaquée par cette canaille d’Alexis Brimeyer, alias Alexis de Bourbon-Condé prince d’Anjou, duc de Durazzo, arrière petit-fils du tsar, qui prétendait être le petit-fils d’une des grandes-duchesses?
Alberto
29 novembre 2013 @ 02:53
…………….
Holen mor
29 novembre 2013 @ 03:20
Il serait intéressant de disposer de liens vers des articles parlant de ces travaux. Cordialement.
Palatine
29 novembre 2013 @ 09:42
j’ai entendu parler de la théorie de la survie des filles, mais je n’y crois pas. On a bien parlé de la survie de Louis XVII…
val
28 novembre 2013 @ 17:50
Elles étaient bien jolies ces jeunes filles ,
Gustave de Montréal
28 novembre 2013 @ 18:05
OTMA n’étaient pas princesses, allons, mais grandes-duchesses.
Maguelone
28 novembre 2013 @ 22:27
Des 4 « OTMA », Tatiana et Olga étaient les plus jolies mais d’après toutes les biographies que j’ai lues, elles étaient très naïves, pour ne pas dire autre chose, coupées du monde comme elles étaient et subissant la névrose de leur mère, ceci explique cela.
Marcel
28 novembre 2013 @ 19:58
J’espère que ce livre sera publié en français, cela me permettra de l’acheter.
Denis
28 novembre 2013 @ 20:03
Que peut-il y a voir de bien nouveau à narrer à propos de ces quatre malheureuses Grandes-Duchesses qui n’ait pas déjà été copieusement conté?
Anne-Cécile
29 novembre 2013 @ 18:21
Non seulement on les a assassinées mais en plus on leur porte injure post mortem!!!! Elles étaient Grandes Princesses (velikyie kniaguiny) filles d’Empereur, (tsarevnies), point princesses filles de Roi.
Quant le destin s’acharne………..
Delaby
9 décembre 2013 @ 00:07
Bonsoir à tous,
J’ai bien envie de lire cet ouvrage, mais savez-vous si il a été traduit en français et, si c’est le cas, où je pourrais me le procurer ?
Merci d’avance. :)