Parution aux éditions France-Empire du livre « Trahir Napoléon » par Robert Colonna d’Istia. En voici le descriptif : « Trahir est un art. Napoléon a été entouré de traîtres dont les machinations ont quelquefois été des chefs d’œuvres : Talleyrand, Fouché, mais aussi Marmont, Murat, Bernadotte pour ne citer qu’eux. L’empereur des Français a su prévenir certains de ces agissements. Il a su en déjouer d’autres.
Mais les traîtres finalement l’ont vaincu. Car si l’Empire a fini, si l’œuvre de Napoléon est restée inachevée, c’est que ses serviteurs, dignitaires, ministres, maréchaux, partisans, membres de sa famille ont, par leurs attitudes et leurs courtes vues, par paresse ou par vice, contribué à en provoquer la chute. Si le Premier Empire s’est éteint, c’est que Napoléon a été trahi.
Ce livre invite à réfléchir sur la trahison politique et dresse une série de portraits de traîtres – aussi admirables que méprisables, parfois hauts en en couleur, truculents, fascinants – qui ont fait trébucher Napoléon et précipité sa fin. »
« Trahir Napoléon », Robert Colonna d’Istria, Editions France-Empire, 2014, 158 p.
Corsica
17 novembre 2014 @ 07:20
Je vois avec plaisir que de nombreux livres paraissent sur l’empereur , on va pouvoir glisser une jolie pile sous le sapin de Zeugma :):) …
flabemont8
17 novembre 2014 @ 15:15
Je veux même bien lui faire la lecture ! :-)
Corsica
17 novembre 2014 @ 20:00
Coquine…
flabemont8
17 novembre 2014 @ 20:39
:-))
DEB
17 novembre 2014 @ 07:41
Napoléon avait une ambition démesurée et, qui se ressemble s’assemble, il était fatalement entouré d’arrivistes , qui ne poursuivaient que leur propre cupidité .
Alors trahir pour se maintenir et gravir les échelons de la réussite, un détail pour eux.
Il faut être juste, tous n’ont pas été infidèles.
Il reste une vie politique dure, où les « amis » desservent, mentent et trompent, ce qui empoisonne notre quotidien et nous détourne de la politique et de son triste spectacle!
Pierre-Yves
17 novembre 2014 @ 09:33
Encore Napoléon !!! C’est un véritable déferlement …
D’après le résumé de l’éditeur, Napoléon a été la victime d’un entourage cupide, borné, ambitieux.
On pourrait presque croire que lui n’a aucune responsablité dans sa propre chute, ce qui est tout de même, même si on n’est pas, comme c’est mon cas, farouchement hostile à Napoléon, un peu difficile à avaler.
flabemont8
17 novembre 2014 @ 15:26
Pas besoin d’être Napoléon pour constater, dans la vie de tous les jours , que les amis s’envolent dès que la santé ou la fortune s’enfuient ……..
Danielle
17 novembre 2014 @ 12:52
Les trahisons faites à Napoléon ont déjà été démontrées dans une récente émission TV.
Jean Pierre
17 novembre 2014 @ 12:58
Il n’y aurait donc que Wellington qui ne l’aurait pas trahi.
aubert
17 novembre 2014 @ 15:52
Les aventuriers prêtent plus que les autres le flanc à la trahison.
« Si l’œuvre est restée inachevée »…qu’aurait-elle été dans le cas contraire ?
kalistéa
18 novembre 2014 @ 10:44
Eh, bien Aubert, le neveu Napoléon III aurait eu moins de travail pour la complêter et on aurait évité trois guerres fort meurtrières et désastreuses avec l’Allemagne.
Gwendy
17 novembre 2014 @ 15:56
Pourquoi « encore Napoléon », quand ce sont des livres, expo, vente de je ne sais tout quoi des princesses Grace et Diana, des états d’âmes des Grimaldi là cela semble normal, il n’a pas fait que des bonnes choses c’est un fait mais lui c’est tout de même toute une époque de la France.
COLETTE C.
17 novembre 2014 @ 19:08
Trahisons, certes, mais son ambition jamais satisfaite, a aussi précipité sa chute !
Cosmo
17 novembre 2014 @ 22:19
On ne trahit que ceux que l’on aime !
Francine du Canada
18 novembre 2014 @ 15:22
Alors là vous me faites peur cher Cosmo ;-)) FdC
Cosmo
19 novembre 2014 @ 00:00
Chère Francine,
Cela ne concerne que les hautes sphères du pouvoir…
Amicalement
Cosmo
kalistéa
18 novembre 2014 @ 10:59
çà Cosmo ,c’est à démontrer! Murat a sans doute aimé son beau frère à un moment -donné ,mais pas Bernadotte ,qui se croyait aussi capable que lui, et lui en a toujours voulu d’occuper la place qui, croyait-il était la sienne, réservée par le Destin.
Il n’y a pas un maréchal de Napoléon qui n’ait pensé qu’à la place de Napoléon ,il eut fait mieux ou au moins autant et leur jalousie et leur désobéissance aux ordres ont parfois posé bien des problèmes à l’Empereur.Même Lannes qu’il aimait tant était un traitre en puissance et après sa mort , par l’intermédiaire de sa veuve que Napoléon avait placée par faveur toute spéciale auprès de l’impératrice Marie-Louise ,il trouva moyen de trahir.Parce que Napoléon sans s’en douter avait mis un serpent dans son foyer.La duchesse de Montebello après s’être assurée de l’amitié et de la confiance de la naive archiduchesse, s’employa en sous-main à la détacher de son mari y compris par le mensonge et la calomnie.