Nouveau livre de Marlena de Blasi à présent traduit en français. Après « Mille jours à Venise » où cette critique gastronomique américaine nous raconte son coup de foudre pour un Vénitien et son installation dans la Sérénissime, ponctuée de recettes, de découvertes et de ses difficultés d’adaptation initiales puis « Mille jours en Toscane » où avec son époux, elle entame une nouvelle vie loin de Venise, dans un petit village, voici à présent « Un palais à Orviento ».
Marlena de Blasi et son époux ont acheté un ancien palais qu’ils souhaitent rénover en un minimum de temps. Au final, près de deux ans de travaux et à nouveau des rencontres humaines attachantes, des bonnes adresses de restaurants locaux en Ombrie,…
« Un palais à Orvieto », Marlena de Blasi, Editions Mercure de France, 2013, 304 p.
G de G
3 avril 2014 @ 07:49
J’ai eu la chance de séjourner à Orvieto…. magnifique!
Sophie
3 avril 2014 @ 09:32
J’ai lu les deux premiers livres de Marina de Blasi. Le style est agréable et permet de découvrir Venise et la Toscane même si le fait que l’(auteure est parfois un peu agaçante à mon goût. Du genre :; avec deux fois rien elle concocte un festin, avec deux bouts de tissu elle redécore une pièce,… Mais j’achèterai avec plaisir ce 3ème volet
Mary
3 avril 2014 @ 10:21
Elle doit espérer suivre les traces de Peter Mayle in « A year in Provence ».
Esquiline
4 avril 2014 @ 18:29
Ou plutôt de Frances Mayes, auteur du récit, Sous le soleil de Toscane, dont on a tiré un film avec Diane Lane.
Frances Mayes avait fait un voyage en Italie suite à une rupture.
A Cortona elle tombe sous le charme d’une maison, Bramasol et l’achète.
Elle raconte avec verve son installation, les travaux de rénovation, la beauté des lieux, la sympathie des gens et donne … des recettes de cuisine.
Comme Orvieto, Cortona est une cité étrusque.
Deux petites villes, l’une en Ombrie, l’autre en Toscane, d’une beauté émouvante.
Palatine
5 avril 2014 @ 11:06
oui, moi aussi j’ai pensé à Frances Mayes. Elle a fait un bien fou à la région, car après son livre on a vu défiler des Américains dans mon patelin. Avant, il n’y en avait jamais.
Corsica
3 avril 2014 @ 13:05
En amoureuse de Venise, j’avais lu son premier livre qui raconte son départ -par amour – des États Unis pour la Sérénissime . Sa narration par le menu, et de son adaptation à sa nouvelle vie, et de la transformation du petit appartement du Lido n’était pas inintéressante mais de là à lire son installation dans la campagne toscane puis sa rénovation d’un palais, il y a un immense pas que je ne franchirai pas . Il y a tellement de livres à lire et la vie est si courte .
Severina
3 avril 2014 @ 18:02
Orvieto a une de cathédrale plus belle d’Italie, a voir absolument si l’on fait un voyage vers Rome ou le sud de l’Italie en voiture.
Palatine
4 avril 2014 @ 17:57
Je crois que c’est à Orvieto (le vin blanc est bon là-bas) que la mère supérieure d’un couvent est tombée amoureuse du supérieur d’un d’un couvent de religieux de je ne sais plus quel ordre (bénédictin, dominicain ?). Comme c’était réciproque, ils se sont enfuis. AU moins ils ont fait un mariage égal : supérieure avec supérieur. Les puristes de N&R seront contents. C’est bien de respecter les règles sociales. J’ignore ce qu’ils sont devenus mais j’espère qu’ils ont été heureux, pcq on ne peut leur dénier un certain courage et un manque complet d’hypocrisie. Comme ils étaient d’âge mûr tous les deux, je doute qu’il y ait eu des enfants. Tout cela continue une tradition. Filippo Lippi séduisit à Prato une belle religieuse, en allant faire des fresques dans le couvent et l’épousa, car elle attendait déja le futur Filippino Lippi.
Corsica
5 avril 2014 @ 12:50
Merci Palatine de m’avoir fait rire, j’ai adoré votre commentaire ironique sur le mariage égal …
Livia
6 avril 2014 @ 10:28
moi aussi… :)
Caroline
3 avril 2014 @ 20:36
Ce livre me rappelle plusieurs films romantiques sur les coups de foudre entre les américains[es] et les italiens [es] dans le magnifique cadre pastoral en Toscane ou à Venise!loool!