C’est le livre dont toute la presse parle aujourd’hui en Espagne. « Urdangarin, un conseguidor en la Corte del Rey Juan Carlos » par Inda Eduardo et Urreitzticta Esteban. L’ouvrage de 400 pages dresse le fil conducteur de la place qu’Inaki Urdangarin a prise depuis son mariage en 1997 avec l’Infante Cristina au sein de la famille royale. Le train de vie décrit comme royal du duc et de la duchesse de Palma de Majorque est abondamment évoqué et analysé.
Pour les auteurs, Inaki Urdangarin aurait décidé d’acquérir leur vaste demeure du quartier résidentiel chic de Pedralbès à Barcelone après une rélexion du roi d’Espagne qui déplorait que sa fille vive dans un appartement de 300 m² (sur l’une des plus belles avenues de barcelone) alors qu’elle avait été habituée à la vie dans un palais. Fort de cette déclaration, Inaki Urdangarin se serait alors mis en quête de trouver une résidence de standing pour la famille. Toujours selon les auteurs, le duc de Palma de Majorque comptait sur une intervention financière de la famille royale, étant donné que le roi Juan Carlos venait régulièrement passer quelques jours à Barcelone (notamment pour des examens médicaux) et qu’il avait à sa disposition un étage de la villa de Pedralbes.
Lors d’une fête d’anniversaire surprise organisée dans ladite demeure par son épouse pour ses 40 ans, le duc de Palma aurait eu une franche discussion avec le prince des Asturies. Ce dernier aurait remis à sa place son beau-frère, refusant une quelconque intervention de la famille royale dans le paiement mesnuel du remboursement de l’emprunt pour la maison (20.000 euros par mois).
Les auteurs reviennent aussi sur la nébuleuse des affaires d’Inaki Urdangarin depuis son retrait de la vie sportive mais aussi les liens entre les différents membres de la famille royale espagnole jusqu’à ce qu’éclate la présumée corruption de l’Institut Noos dont l’époux de l’infante Cristina avait la présidence.
Un livre fortement médiatisée qui ne fera donc pas diminuer la pression sur Inaki Urdangarin et les siens depuis leur retour de Washington après la décision du duc de Palma de démissionner de ses fonctions dirigeantes auprès de la compagnie Telefonica, dans l’optique de préparer pleinement sa défence devant les tribunaux.
« Urdangarin, un conseguidor en la Corte del Rey Juan Carlos », Inda Eduardo, Urreitzticta Esteban, Esfera de los Libros, 2012, 400 p.
Zeugma
23 octobre 2012 @ 12:41
Comment traduire le mot « conseguidor » ?
J’aime bien l’Infante et j’aime bien Inaki également, un homme très séduisant et charmant.
Régine
23 octobre 2012 @ 12:43
le verbe conseguir veut dire obtenir, donc celui qui obtient quelque chose mais je pense que cela peut aussi être interprété de manière péjorative
Zeugma
24 octobre 2012 @ 10:24
Régine,
Votre sentiment me confirme dans l’idée qu’il s’agit – a priori – d’un livre à charge.
Je ne sais pas si le mot « conseguidor » a une connotation aussi péjorative en espagnol qu’en français. Je vais demander à ma professeure de castillan.
En français, le mot « parvenu » est très méprisant et vulgaire, en plus de n’être pas « politiquement correct ». Les gens du monde, comme on dit, préfèrent utiliser l’expression « personne de grand mérite », manière codée de parler de quelqu’un qui s’introduit dans l’élite grace à un argent récemment gagné.
Un dernier mot sur la photo de couverture. Inaki n’y est pas à son avantage alors, qu’en réalité, c’est un homme très séduisant.
Marina 2
24 octobre 2012 @ 16:59
Bonjour à tous,
Merci tout d’abord pour m’avoir répondu et donc permi de revoir le mariage des Grands-Ducs héritiers.
Je pense que « conseguidor » est ici un jeu de mot, puisque « conseguir » peut vouloir aussi bien dire réussir qu’obtenir, cela dépend du contexte et donc de l’interprétation.
Bien sûr, quand il est utilisé dans le deuxième sens, il est péjoratif comme en français. C’était du moins l’usage quand j’ai quitté l’Espagne et cela ne fait pas si longtemps !
Bien à vous.
Denis
23 octobre 2012 @ 12:53
»Conseguidor » en espagnol peut se traduire par »arriviste » voire » parvenu »…ce qui, dans les deux acceptions, n’est guère valorisant…
qiou
23 octobre 2012 @ 15:01
Mais amplement mérité!
Mélusine
23 octobre 2012 @ 13:01
Dès l’instant où le roi avait fait clairement comprendre à son gendre que sa fille méritait de vivre ailleurs que dans un (grand) appartement, mais plutôt dans un palais, le gendre était tout à fait en droit de faire comprendre à son cher beau-père « que ses moyens financiers ne le lui permettaient pas…à moins d’un soutien financier ».
Inaki Urdangarin a-t-il eu tort de croire que « cela allait de soi ? »
Anne-Cécile
23 octobre 2012 @ 22:04
Si cela est vrai, il était en effet logique pour lui que le Roi, au courant de ses revenus, mettrait la main à la poche.
Mais je pense plutôt qu’au regard des moeurs de la famille, la pièce rapportée a compris qu’elle jouait petit jeu, et se devait de profiter de toutes les opportunités offertes aux Bourbons, leurs amis etc…….. Qu’il n’y avait aucune raison qu’il ne puisse augmenter ses revenus comme tant d’autres!
Mayg
23 octobre 2012 @ 13:26
Voilà un livre qui va faire beaucoup de bruit…
jocelynede
23 octobre 2012 @ 13:39
j’avoue que si il existait en français je pense que je l’achèterais
Framboise
23 octobre 2012 @ 14:11
Je me souviens qu’on avait accusé Letizia à une époque de ne pas faire assez d’effort pour avoir de bonnes relations avec ses belles-soeurs, et d’être responsable d’une certaine distance familiale avec elles..Ceci expliquerait cela peut-être: je pense les princes des Asturies très loyaux à l’Espagne et à leur rôle, Letizia a donc eu raison d’être ferme et de mettre des limites, ça n’a pas dû être facile pour son époux de remettre son beau-frère et sa soeur à leur place! Parfois ça monte à la tête de certains d’être propulsés dans les hauteurs sociales..
Patricia C
24 octobre 2012 @ 09:30
Je ne pense pas que ce soit le rôle de la princesse des Asturies de conseiller son mari sur ce sujet. Le prince des Asturies a ses responsabilités au sein de la faimille royale, certes, mais le roi est toujours là pour décider aussi. N’a-t-il pas un part de responsabilité pour s’être plaint que sa fille avait un trop petit appartement pour elle (300 m2 à Barcelonne, voyons !Les Espagnols apprécieront…)Quant à à la princesse des Asturies, j’ai entendu, de la part de certains Espagnols, qu’elle est parfois aussi considérée comme une « conseguidora ». Il est difficile de juger des affaires de famille.
guizmo
23 octobre 2012 @ 14:20
A partir du moment où une princesse épouse un roturier soit elle accepte de vivre comme Madame « tout le monde » -ce qui est rarement le cas, soit forcément son époux doit lui procurer le mode de vie qu’elle avait « avant » et c’est lui qui doit changer. C’est facile alors de le traiter d’arriviste.
Numérobis.
24 octobre 2012 @ 13:21
Totalement d’accord avec vous, Guizmo.
Inaki était pris lorsque Christina a jeté son dévolu sur lui.
JAY
23 octobre 2012 @ 14:53
Inaki a tout obtenu grace a lui meme mais la jalousie est le pire defaut de notre société.
Heureusement qu’il y a des ambitieux !
Je prefere etre un parvenu que celui qui n’arrive a rien.
Il est beau, il a conquit le coeur de la fille du roi, a gagné bcp d argent alors evidement ca enerve.
soit il a du aussi se sentir mal a l aise au milieu de la riche famille royale qui lui a peut etre meme fait ressentir .. d ou l envi de prouver qu il etait capable ausis de reussir. A ce que je sache etre riche n est pas un tare !
Mieux vaut etre nouveau riche que pas riche du tout !
Pour le moment il est innocent.. alors attendons que la justice fasse son travail …
Pinto
24 octobre 2012 @ 00:40
Tout à fait d’accord!
J’aime bien ce couple, qui semble toujours amoureux et bien ensemble…
Et il ne faut pas oublier que tant qu’il ne soit consideré coupable par la Justice et les Tribunaux il est innocent!
mia
24 octobre 2012 @ 08:25
ce n’est pas être riche , jay, qui est une tare, bien au contraire celui qui gagne son argent honnêtement et qui réussit dans la vie , mérite bien au contraire toutes les félicitations et c’est super, mais il faut le faire avec grande honnêteté et respect de l’autre …si on gagne de l’argent en vendant de la drogue ou autres ou en détournant des fonds …là s’est grave ..et plus on se rapproche » des grands de ce nom » plus on doit être vigileants …mais je crois que son beau père a des comportements lui et autres fresques!! lui on doit lui pardonner parce qu’il est roi?? avoir regardé le mariage de stéphanie et guillaume nous a permis de respirer de l’air pur!!!
marie17
23 octobre 2012 @ 14:56
J’aime beaucoup ce couple et je pense que Juan Carlos a eu un rôle néfaste auprès d’eux ; s’ils étaient heureux dans 300m2 en quoi ça le concernait !
Je pense que si l’on passait la comptabilité des deux (Juan Carlos et Inaki) au peigne fin le plus malhonnête des deux ne serait peur être pas celui qu’on pense ….
Peut être bon Roi à ses débuts cet homme ne m’a inspiré que du mépris par la suite et ce n’est pas fini
Numérobis.
24 octobre 2012 @ 13:17
Dans les romans policiers, le coupable n’est pas toujours celui dont on parle le plus.
Dans cette affaire, il me semble bien qu’Inakï sert de bouc émissaire…
Mr Urdangarin père sentait-il que son fils allait au devant de bien des problèmes en entrant dans la famille royale? Sans doute…
Je plains les 4 enfants d’Inaki, et toute sa famille (parents frères et soeurs)
Moi aussi, 300 m2 me conviendraient bien !!! Mais bonjour le ménage !!!! Alors plus petit, c’est bien aussi!!!
Bon après-midi à tous.
Leonor
25 octobre 2012 @ 13:57
Numérobis, je vois que nous partageons une commune passion pour le ménage ! Quelle corvée…
Mais quel diable a donc eu l’idée de créer la poussière ?
Alexandra
23 octobre 2012 @ 15:05
C’est le « parvenu »
Jean Pierre
23 octobre 2012 @ 15:41
Difficile, difficile…….
Si le roi a bien tenu les propos que lui prête le livre; il semble oublié que lui même est né en exil….et que la « fortune » tourne dans les deux sens.
Annick
23 octobre 2012 @ 16:21
Si je comprends bien, ce serait Juan Carlos qui l’aurait poussé au vice ! sa fille n’était pas digne de demeurer dans un simple 300 m² !!! mais seulement dans un palais.
Bizarre cette histoire !
ROSE2
23 octobre 2012 @ 16:28
Aurons-nous droit à un article sur le livre de Frédéric Deborsu !!!???
C’est cela la démocratie et la liberté de pensée.
*gustave
23 octobre 2012 @ 22:27
Ça s’impose sur N&R, je viens de voir la conférence de presse sur RTB. Égrillard cette histoire on souhaiterait en savoir plus.
ROSE2
24 octobre 2012 @ 08:53
Gustave,
Tout à fait d’accord avec vous.
Leonor
24 octobre 2012 @ 10:26
Rose2,
Oui, en démocratie, on peut publier ce qu’on veut ou à peu près. Pour le meilleur comme pour le pire.
Mais en démocratie aussi, on est toujours en principe innocent, tant qu’on n’est pas jugé coupable par la justice. ( et encore, la justice peut se tromper et se trompe souvent allègrement, cf. condamnations à mort aux USA).
Ce n’est pas à l’opinion publique de déclarer coupable, ni à des journaleux de caniveau.
Après…. rien n’interdit de réfléchir, bien sûr, et de se faire sa propre opinion. A voir sur la base de quels éléments.
Bien cordialement
Hubert
24 octobre 2012 @ 21:04
léonor sans jeu de mot s vous parlez d’or car il faut toujours se mé fier des livres « vérité » et celui qui vient de sortir sur la monar chie belge n’échappe pas à la règl e…
agnes
23 octobre 2012 @ 16:41
« Le roi qui déplore que sa fille ne vive que dans 300m2 »: quel triste milieu!
Marina 2
24 octobre 2012 @ 17:02
Bien d’accord avec vous Agnès, quand on sait comment vivent aujourd’hui la plupart des espagnols…
Cosmo
23 octobre 2012 @ 16:42
Cette affaire est bien triste car si elle est vraie, elle porte le discrédit sur un allié majeur de la famille royale et si elle n’est pas vraie, elle montre la fragilité des familles royales face à la presse.
Espérons que Inaki Urdangarin saura convaincre le juge de la fausseté des accusations portées contre lui, et ce non par complaisance.
S’il s’avérait qu’il était coupable, gendre du roi ou pas, il devra répondre de ces malversations et, j’ai bien peur, l’Infante Cristina avec lui.
Dans tous les cas de figure, comment peut-on être si naïf ( et le mot est faible) de croire que tout peut se passer comme cela!
jul
23 octobre 2012 @ 16:57
Je n’aime pas tous ces livres de journalistes dit « d’investigation »
ces livres accusateurs avec la photo de l’intéressé en couverture.
C’est dégradant pour la dignité de la personne et je l’interdirais bien volontiers pour toutes les citoyens, à égalité, Nobles, Hommes politiques, chefs d’entreprises ou simple délinquants.
Cela fait « chasse à l’homme ». La liberté des journalistes devrait s’arrêter à la dignité de l’Homme.
marielouise
23 octobre 2012 @ 22:29
Comme vous jul,je n’aime pas ces livres »voyeurs »à mon avis!
romano
23 octobre 2012 @ 17:12
les auteurs du livre font beaucoup d’approximations, beaucoup trop. comment le Roi aurait-il pu regretter que sa fille ne soit pas mieux logée, puisque autant la famille Royale n’a jamais habité et n’habite toujours pas un palais, et que son autre fille depuis son mariage habitait un logement en location au centre de Madrid! de plus le Roi lorsqu’il se déplace à Barcelone occupe un palais( restitué comme tous les autres au patrimoine national) que le Comte de Barcelone,son père, habitait.prêter tel ou tel propos au Prince des Asturies, au Roi voire à d’autres membres de la famille Royale me paraît très présomptueux,pour qui connaît le fonctionnement de la « Casa de su Majestad »! quant à la forte médiatisation du livre en question , seul le journal, ElMundo, (qui a mis à jour le scandale) en a révélé la parution: faut dire qu’un des auteurs du livre est le « procureur » (au sens figuré)de l’affaire Noos,pour le compte dudit journal.
ceci étant posé, dans le suivi judiciaire de l’affaire il semble que son travail ait été très pertinent.
merci Régine de me permettre ces précisions
Anne-Cécile
23 octobre 2012 @ 22:12
Je ne pense pas que les membres de la famille royale espagnole veulent vivre dans un Palais grand siècle.
Si les propos du Roi sont exacts, je pense plutôt qu’il pensait pour sa fille un cadre de vie plus épanoui, et des facilités plus grandes. Un appartement dans une copropriété , fut-il grand, ne permet pas sans doute à une « Princesse » de s’épanouir!
Le pauvre Roi! Il ignore sans doute que nos princes français vivent en appartement à Paris!
Annick
24 octobre 2012 @ 12:02
Il m’avait semblé avoir lu que Christina s’était vu offrir une villa de 300 m² et non un appartement. Chaque enfants (les quatre) avaient leurs chambres et leurs salle de bain perso, une suite parentale, deux bureaux et 2 chambres d’amis, belle cuisine, terrasse et piscine à débordement je suppose qu’il y avait du personnel, mais peut-être en nombre insuffisant !
Je dois être « modeste », cela m’aurait tout à fait convenu. 400 m²…!!! cela devient trop grand !!!
marie.françois
24 octobre 2012 @ 09:26
Vous avez raison Romano.
Le pavillon central du palais de la Zarzuela ressemble plutot à une grande maison qu’à un palais. Meme pas un » palacete ».
Cependant c’est là que les souverains ont choisi de continuer à vivre une fois la monarchie restaurée.
Ceci donne est une indication de leur desir de luxe!
silvia.2
24 octobre 2012 @ 15:05
Sans lire ce livre, mais sachant qui l’écrit, et que El mundo est derrière, il faut attendre ce que dit la Justice Espagnole. Je suis désolée,la maison de Cristina n’est pas un palais à Barcelone! d’autes maisons sont beaucoup plus belles..La maison neuve ou Palais (plus de 1000m2 + piscine ++jardins…) du prince felipe a ete paye par l’etat espagnol du temps de sa splendeur, alors que d’autres maisons historiques pouvaient être réabilitées à moindre coût, dans le domaine « del Pardo ».
Anne-Cécile
24 octobre 2012 @ 20:33
Cela avait aussi fait scandale à l’époque! malgré la période soi-disant faste!
Il me semble que la raison officieuse de cette construction était de garder l »héritier » sur le domaine royal! à porter de mains quoi!
Monsieur Navaron
23 octobre 2012 @ 17:24
Et oui, la réalité n’a rien à voir des belles photographies d’une famille idéalisée, quand au prince des Asturies son caractère prétentieux et la très haute idée qu’il a de lui même lui vaudra bien des déboires …
Anne-Cécile
24 octobre 2012 @ 20:46
Comme tout homme à qui sa mère répête depuis l’enfance qu’il est le plus parfait, « le prince d’Europe le mieux préparé », et, parvenu à l’âge adulte, dont la femme demeure en pamoison devant lui.
val
23 octobre 2012 @ 17:24
Encore un livre qui va faire couler beaucoup d’encre, et j’imagine que les Espagnols doivent êtres ravis d’apprendre que leur pauvre princesse Christina a besoin de plus de 300m2 pour vivre , je crois que ce couple devrait se faire discret , et essayer de regagner la confiance des espagnols , mais c’est bien là leur moindre envie. Il n’on que faire des petites gens et de leurs problèmes financiers !!! Ca merite des claques tout ça Madame.
Leonor
23 octobre 2012 @ 18:19
Ces livres à scandales…
Des on-dit, des bruits, des rumeurs, des suppositions.
De la sous-édition.
Beurk.
J’ignore tout de ce qu’a fait ou pas fait Inaki U.
Mais personne jusqu’ici n’en sait davantage.
Gaston
24 octobre 2012 @ 02:24
Enfin une personne qui tient des propos sensés. Il est bien triste cependant de voir qu’au XXIeme siècle il existe encore des gens suffisamment naïf pour prendre pour argent content un « livre » sans fondements et sans preuves, un recueil d’insanités et de colportages mesquins, écrit par des journalistes dont les intentions ne sont pas des plus honnêtes: Vendre,faire parler d’eux, et cela à n’importe quelle prix.Comme quoi la jalousie et la haine ont plus que jamais leur place dans notre siècle. De la même manière je suis attristé de constater que certaines personnes voient dans ce genre de document une manifestation de Démocratie, là où un bon juge n’y verrait que de l’arrivisme, de la calomnie et de la diffamation. Cela démontre hélas au combien nos sociétés sont malades et déboussolées. Je suis sure que si un journaliste, animé des « meilleurs intentions », écrivait un torchon pareil sur un des visiteurs de ce site, il ne faudrait pas 5 minutes pour qu’une plainte soit déposée et cela serait plus que normal.De plus je suis espagnol, j’ai confiance dans la justice de mon pays, ainsi que dans son impartialité, donc j’attends avec impatience le jugement, que chaque partie est exposée ses arguments avant de porter un jugement attife sur qui que ce soit. Et oui nous sommes encore dans un État de Droit et la présomption d’innocence existe encore, fort heureusement. Pour finir, je rappellerais que c’est le Duc de Palma que l’on juge et non pas Sa Majesté, ni le reste de la famille royale et que jusqu’à présent être un monarque ou un noble n’est pas un crime, sauf peut-être dans les heures les plus sombres de l’Histoire de notre grande sœur la France.
Bien à vous!
Clémentine1
24 octobre 2012 @ 08:59
D’accord avec vous Gaston. C’est du lynchage médiatique. Malheureusement ce ne sera ni le premier ni le dernier.
philippe gain d'enquin
24 octobre 2012 @ 09:44
Quel plaisir de lire une analyse aussi concise et judicieuse que la vôtre, toute de bon sens et de pertinence. Merci à vous de relever le débat. Cordialement vôtre, PGE
Leonor
24 octobre 2012 @ 10:34
Eh bien, voilà qui est dit, Gaston.
Jul et Marie-Louise, et Pinto et Jay – pardonnez-moi si j’oublie certains d’entre vous ici – ont également défendu la présomption d’innocence sur ce site.
Sinon, on remet la Bastille en place, et les lettres de cachet, et exit la démocratie.
Et vous avez bien raison d’évoquer, serait-ce discrètement, que la Révolution française que nous vendent si bien nos manuels d’histoire ne fut pas une belle heure pour la démocratie, même si on veut bien, ensuite, juger l’arbre à ses fruits.
Cordialement, et bon courage à l’Espagne, Gaston
Gérard
24 octobre 2012 @ 14:42
Qu’il est doux et réconfortant de vous lire Gaston et en plus vous êtes espagnol. Merci.
Gaston
25 octobre 2012 @ 00:17
Non, merci à vous quatre.
Bien à vous.
Marina 2
25 octobre 2012 @ 17:21
Merci à vous aussi Gaston, parce que vous avez pu exprimer avec les mots justes des pensées qui nous son communes. Je suis aussi espagnole et j’espère de tout coeur que notre pays s’en sortira que ce soit du cas urdangarin que de la crise. Au plaisir de vous lire et à bientôt
Gaston
27 octobre 2012 @ 00:52
J’espère comme vous Marine2, non plutôt, je sais que nous nous en sortirons, ce sera dur mais nous y arriverons.
Bien à vous.
Kalistéa
23 octobre 2012 @ 18:36
c’est un mot « inventé » mais il n’a pas vraiment un sens péjoratif.Il qualifie celui qui « négocie » quelque chose pour un industriel ou une entreprise.
veronique
23 octobre 2012 @ 18:43
une nièce espagnole m’a dit : même s’il est innocent dans cette histoire pour toujours il sera mémorer comme celui qui… mais même s’il n’apris ne fût ce qu’un euro c’est inacceptable !
Cerise
23 octobre 2012 @ 18:47
Quelle arrogance!Mon Dieu! Et de la part du roi et de celle de son gendre…Quelle mentalite, a vomir!!
Hubert
23 octobre 2012 @ 19:38
le roi aurait pu pourvoi r ses enfants plus large ment pour éviter ce genre de dérapage si sa fortu ne est aussi considérabl e que le dit la presse.
Cosmo
24 octobre 2012 @ 12:13
Très Cher Hubert,
Votre commentaire est fait de bon sens. Sait-on si les Infantes ont été correctement dotées? En acceptant des mariages avec des gendres sans fortune et sans grande situation, le problème du rapport entre ressources et dépenses devait rapidement se poser. Car même si les infantes n’ont pas été habituées au luxe bling bling des stars, elles ont vécu dans un standing bien au-dessus de la moyenne des cadres supérieurs.
Très cordialement
Cosmo
marie.françois
24 octobre 2012 @ 19:47
Hubert comme Cosmo
Cela prouve une chose : que la fortune du Roi n’est celle que certains veulent indiquer.
Les comtes de Barcelone n’avaient pas de fortune. Ce n’est pas avec sa liste civile que le roi d’Espagne en a pu constituer une.
Anne-Cécile
24 octobre 2012 @ 21:06
La fois prochaine, les petites infantes seront sommées de trouver des multi millionnaires! titrés ou non!
Non mais!
Je serais les Espagnols en connaissant les critères royaux d’une vie décente et très chrétienne soi disant hautement considérée par les très catholiques rois espagnols, en bons chrétiens, j’exigerai ce minimum vital à mon tour!
Les Bourbon espagnols doivent considérer comme dignes de la camisole les centaines de membres du Gotha se contentant d’une vie « ordinaire », choisissant la cellule d’un monastère, et s’apitoyer grandement des familles royales tombées de leur trône!
Cosmo
25 octobre 2012 @ 10:28
Anne-Cécile,
Plus simplement, les infantes devront assumer les conséquences de leur mariage, comme tout le monde. Cela dit l’Infante Elena n’est pas en cause car il semble qu’elle ait vécu ne fonction des moyens de son mari.
Il est possible aussi que l’auteur du livre ait fantasmé sur les soi-disant exigences du roi.
Une chose est certaine, à un moment donné le couple Palma a changé de train de vie, pourquoi, comment?
Bien à Vous
Cosmo
Danielle
23 octobre 2012 @ 19:56
Je suis certaine que même les espagnols peu argentés achèteront ce livre pour ensuite tirer sur l’ambulance.
J’approuve la décision du prince Felipe.
l'Alsacienne
23 octobre 2012 @ 19:56
Quel toupet !
Beau-papa reproche au gendre que sa fille vive dans un « modeste » appartement de luxe.
Mais il n’avait qu’à mettre la main au chéquier ! non ?
Claudia
23 octobre 2012 @ 20:14
il y a sûrement « à boire et à manger » dans ce bouquin, après tout Urdangarin a épousé la fille du roi, et de ce fait a vu son train de vie monter en flèche, ce qui me parait normal ; cela n’a rien à voir avec ses « indélicatesses » qui devront être jugées par les tribunaux.
je suis allée voir sur le site de « Hola », je n’ai rien trouvé sur le livre en question.
Caroline
23 octobre 2012 @ 20:20
C’est déjà pas mal,un bel appartement de 300 mètres carrés dans un quartier huppé à Barcelone! Juan-Carlos a joué au ‘mauvais beau-père’ en expliquant à son gendre qu’il doit s’acheter un palais digne de sa femme!Ce n’était pas du tout son affaire ou qu’il offre lui-meme un palais à sa fille chérie,sachant que son gendre ne vient pas d’une riche famille!
Lors de leur séjour aux Etats-Unis,habitaient-ils dans une grande villa?
Que justice soit faite!Mais,cette affaire judiciaire risque de trainer longtemps!
Agnès de SM
23 octobre 2012 @ 21:19
Oui Caroline, un appartement de 300 mètres carré à Barcelone, je m’en contenterais, moi.
james waldorf
23 octobre 2012 @ 20:32
Depuis quand fait on payé les membres de sa famille pour leur séjour ??
cisca
23 octobre 2012 @ 21:42
Inaki Urdangarin a commis bien des indélicatesses avec la fondation Noos et son procès sera une épreuve terrible pour la Couronne.
J’ai toujours des doutes sur ce genre de livres, il suffit de se rappler des dérives « Diana ».
De fait, il existait une distance avec son beau-frere et il semble bien que le départ pour les Etats-Unis était du à l’affaire Noos.
Quant à la maison de Barcelone, je me souviens avoir pensé qu’il s’agissait là d’une sottise et j’étais en dessous de la vérté.
Cixi-Hélène
23 octobre 2012 @ 21:48
Un « parvenu » bientôt devant ses juges. Espérons que la justice espagnole juge Inaki comme n’importe quel espagnol et ça, c’est une autre histoire…
Marie Christine
23 octobre 2012 @ 21:58
Ils l’ont poussé a faire des « bétises » (pour être polie)parce que l’infante Cristina « se devait de vivre comme une princesse », il en a été de même pour Carlos Morales l’époux de la princesse Alexia.
Quand on épouse un roturier, Mesdames les princesses, on épouse la vie qui va avec, comme le souligne également Guizmo mais ça, c’est pas évident!
Annick
24 octobre 2012 @ 12:11
Absolument Marie Christine et Guizmo. Je me souviens que Carlos Morales aurait commis des indélicatesses, afin de faire vivre « comme il se doit », son épouse Alexia (fille du roi Constantin) et ses 3/4 enfants.
Il est certes plus facile d’épouser un prince lorsque l’on est roturière que l’inverse…l’amour oui ! mais pas à n’importe quel prix ! Margareth (en son temps) n’avait pas voulu renoncer à ses prérogatives, malgré son amour…limité tout de même !!
Anne-Cécile
23 octobre 2012 @ 21:58
Il est peut-être temps de remettre les points sur les « i » et d’arrêter de trouver des excuses à M. Urdangarin, à l’Infante et au couple royal, ou de minimiser les scandales de ces derniers mois.
Pour le Roi, le scandale premier n’est pas la chasse exotique et la mort d’une espèce protégée par le Président d’honneur de WWF Espagne c’est-à-dire le Roi. Le scandale premier est que le Roi n’a pas prévenu qu’il se trouvait hors du royaume, le gouvernement, sa Maison et son Héritier. Aucune mesure de sécurité, aucune « régence »,n’ont pu être mises en place le temps de cette absence, aucun numéro pour le joindre en cas d’urgence, aucune délégation etc…
Le Roi a manqué à son devoir constitutionnel. A cette occasion, comme à beaucoup d’autres, car il semble que ce type d’escapades, nature ou friponne etc….soit habituel chez le Roi.
Il apparait également que le couple Juan Carlos et Sophie, joue souvent les piques assiettes, chacun de leurs côtés, en week-ends ou vacances luxueux, invités ici ou là par de riches amis, à titre privé se défendent-ils, ils seraient simplement le temps d’un séjour Monsieur de Bourbon et Madame de Bourbon Gluckbourg. Jamais à leurs frais et la bouche en coeur jurant que ces « cadeaux » sont sans arrières pensées!
Leur gendre, l’Infant Carlos (au passage lui aussi a des actions dans Telefonica…) etc….jouissent de positions officielles et de l’accès à la tête de l’Espagne comme savent qui est en cgarge de quoi. Et ils sont aussi dans les affaires.
Un grand mélange des genres. Le tout dans une Espagne folle, avec un système fragile mais qui engendrait de juteuses dividendes….
L’image d’Epinal d’une famille royale, bien née (à l’exception du mouton noire Letizia bien entendu) et naturellement très catholique est franchement risible.
Leurs priorités intimes et petites habitudes témoignent d’un clan habitué à la facilité et peu regardant lorsqu’il s’agit de prendre du bon temps.
Il n’est donc pas étonnant que le léger Inaki se soit senti obliger de « faire de l’argent », une fois endetter pour offrir un train de vie plus luxueux encore à son épouse, et cela n’importe comment, tant le sentiment d’imunité s’était généralisé.
Le Roi a cru qu’il pourrait capitaliser indéfiniment sur son rôle lors de la tentative de coup d’Etat, il s’est trompé.
La faute – la corruption – est d’autant plus lourde qu’elle est morale.
Cela ne doit pas être facile à vivre pour les enfants du couple Majorque. Ce sont les seuls à plaindre.
Cixi-Hélène
24 octobre 2012 @ 08:46
Anne-Cécile, BRAVO!
agnes
24 octobre 2012 @ 08:48
intéressant.
Pourquoi la presse espagnole n´aborde jamais la fortune colossale amassée par le roi au cours de son règne? Toujours cette immunité lié à son rôle pour déjouer le coup d’Etat?
Aristophane
25 octobre 2012 @ 02:17
Peut-être parce qu’il y a une levée de boucliers dès que l’on touche aux familles royales. Elles ne peuvent qu’être parfaites. Si les livres écrits sont à leur avantage, pas de problème, si un journaliste dénonce des faits, c’est de la presse de caniveau…Ou est l’impartialité ? Ces partis-pris font certainement bien plus de mal à la monarchie. Félipe d’Espagne a eu une attitude qui l’honore.
HRC
23 octobre 2012 @ 22:11
je ne suis pas surprise par le nom, enfin le pseudo, de ceux qui n’ont rien de plus pressé que de rendre le Roi responsable, ou son fils !
merci Romano
bouzon
23 octobre 2012 @ 22:58
les maraiages inégaux ne peuvent qu’aboutir à ce genre de fisco
Leonor
24 octobre 2012 @ 10:38
Là, je me marre franchement !
Les mariages « égaux » ont abouti à bien d’autres fiascos : en génétique … animale, on appelle cela « déperdition d’ancêtres » , c.à.d. consanguinité, avec son cortège de tares en tous genres.
Est-ce préférable, Bouzon ?
Aristophane
25 octobre 2012 @ 02:22
Qu’est ce qu’il ne faut pas lire comme annêries !
lorraine 1
23 octobre 2012 @ 23:04
Le rôle du journal « El Mundo » et sa collusion avec certains qui ont intérêt à isoler le roi et même à l’éliminer moralement, sera un jour connu.
Pierre-Yves
23 octobre 2012 @ 23:25
L’expérience nous enseigne quand même d’être prudent avec ces livres qui tiennent de l’enquête, sans qu’on sache exactement comment elle a été menée, et du pamphlet.
En dénonçant les éventuelles exactions des puissants, les journalistes osnt dans leur rôle. Mais il faut que leur travail soit fait avec rigueur.
Je ne sais pas, au moment où nous en sommes, comment il est possible de prendre un position définitive sur cette affaire. Qui, parmi les internautes, a vraiment lu ce livre ?
bernadette
24 octobre 2012 @ 09:06
C’est la sagesse même, Pierre Yves !
Personnellement, je trouve inélégant de frapper un homme à terre, à plus forte raison quand on ne connaît que la version des médias, souvent loin d’être objectifs.
Parler d’imprudences, pour le moment, me paraît plus équitable, en attendant de connaître la vérité.
Milena
23 octobre 2012 @ 23:31
Qu’il soit innocent ou pas,on a l’impression d’un véritable acharnement médiatique.Les auteurs de ce livre vont surement gagner bcp d’argent…et on oublie un peu vite les jeunes Urdangarin-Borbon qui doivent etre déjà bien traumatisés…
luc
24 octobre 2012 @ 09:02
Les monarchies ne font plus rêver maintenant que l’information divulgue tout.Des républiques seraient beaucoup plus avec leur temps.Pourtant j’étais monarchiste mais tout celà a beaucoup perdu de son intérêt chez moi.Trôp de fausseté.
Luc
Kalistéa
24 octobre 2012 @ 13:27
Vous avez raison Luc : Trop d’hypocrisie ,de faux semblants ,de mensonges, de cràneries,de fausses repentances…à vomir!
Leonor
24 octobre 2012 @ 17:30
Persil lave plus blanc.
Leonor
24 octobre 2012 @ 17:30
Mais qu’est-ce que vous faites sur ce site, alors ?
Et puis, vous savez, les républiques…
Les humains y sont-ils différents et meilleurs ?
L’actualité hot des acteurs politiques de la république française ces dernières années me laisse dubitative sur la question.
Et encore, ce n’est que la partie émergée.
bernadette
24 octobre 2012 @ 19:47
Les républiques non plus, elles ne font pas du tout rêver !
Aristophane
25 octobre 2012 @ 02:26
Ce n’est pas leurs rôles.
Aristophane
25 octobre 2012 @ 02:25
à Luc
tout à fait d’accord avec vous. Les monarchies ont scié l’arbre sur lequel elles étaient assises.
Ghislaine
24 octobre 2012 @ 09:42
Pas un instant je ne crois à cette histoire . Ce n’est pas le style de Juan Carlos pas plus que celui de Sofia d’Espagne .
Inaki ne s’est pas jeté à la tête de la Princesse , il était déjà engagé par ailleurs et pour un basque c’est sacré . C’est la Princesse qui a fait un « forcing » à son encontre .
En quelque sorte elle l’a voulu et obtenu .Il lui a fallu du temps et de l’entêtement . Le père d’Inaki n’était pas franchement d’accord .
Je ne pense donc pas qu’Inaki soit un opportuniste de ce fait mais plus quelqu’un qui s’est trouvé en porte à faux dès le départ .
Tenu à un rang élevé par la force des choses , sans en avoir totalement les possibilités .
Dans ce naufrage le roi n’est pas blanc bleu et je pense que la reine Sofia , mère exemplaire le sait
agnes
24 octobre 2012 @ 10:11
Effet boomerang.
Il a utilisé son nom, celui de sa femme, pour ses malversations, maintenant il ne peut pas se plaindre d´être la cible des journalistes et autres écrivains.
A.Lin
24 octobre 2012 @ 10:29
Comment une conversation PRIVEE entre beaux frères, à l’occasion d’une fête familiale et PRIVEE dans un lieu PRIVE, est elle arrivée sous la plume d’écrivaillons ?
N’est ce pas une atteinte à la vie PRIVEE ?
Jean Pierre
24 octobre 2012 @ 12:55
Tout simplement parce que l’un des deux a raconté l’histoire….qui n eme semble pas uniquement privée quand une partie du train de vie est tiré des ressources de l’état ou tout au moins de la position au sein de la famille royale.
Parella
24 octobre 2012 @ 12:18
Il est clair que la venue au pouvoir de Juan-Carlos de Bourbon repose sur un certain nombre d’ambiguïtés, sinon d’équivoques. La durée de la réflexion et les hésitations du général Franco n’ont eu d’égal que l’ampleur des efforts de son entourage pour s’y opposer. Finalement les « cocus » sont nombreux dans cette affaire ! Cela n’échappe d’ailleurs pas à d’autres dynastes…
Cosmo
24 octobre 2012 @ 12:20
L’exemple de la princesse Sayako Kuroda devrait être médité.
Ayant souhaité épouser un roturier, elle a perdu son titre de princesse impériale et tous les avantages qui vont avec. Elle a du vivre quelques années années dans un minuscule appartement partagée avec sa belle-mère, avant de se voir attribuer une dot lui permettant d’avoir un appartement plus confortable, mais pas luxueux.
C’est dur, trop dur peut-être, mais c’est dans la logique de la famille impériale japonaise.
agnes
24 octobre 2012 @ 13:06
La justice le punira à hauteur de ce qu´il a fait, elle jugera en fonction des circonstances… mais brandir l’expression « présomption d´innocence » ne le rend pas moins coupable.
Il a amassé des millions d´euros en organisant des colloques confidentiels, c´est un fait.
A la Justice d´en mesurer la gravité.
Leonor
24 octobre 2012 @ 17:32
Il n’y a pas à brandir ou à ne pas brandir la présomption d’innocence.
C’est un principe de droit en démocratie, tout simplement.
limaya
24 octobre 2012 @ 17:15
Alors d’après vs Ghislaine, Inaki s’est laissé mettre les fers et entrainer vers le bucher…………………vraiment quel homme de caractère ! ! ! !
COLETTE C.
24 octobre 2012 @ 19:11
Ils sont bien avancés, maintenant, ayant dû abandonner leur somptueuse villa pour un appartement plus modeste !
A quand, le procès ?
HRC
24 octobre 2012 @ 22:00
l’équivalent ibérique du machin belge.
bon courage, Gaston.
et que le Roi ait sillonné les routes de Castille à moto, franchement il a eu raison, et je l’envie.