Prochaine parution mi-février de ce livre « Victor Emmanuel III. Un roi face à Mussolini » par Frédéric Le Moal. Victor Emmanuel III d’Italie (1869-1947) est le fils du roi Umberto I, assassiné en 1900 à Monza et de la reine Margherita.
Marié en 1896 avec la princesse Elena de Montenegro, il abdiqua en faveur de son fils Umberto (marié à la princesse Marie José de Belgique) le 9 mai 1946 mais il était déjà trop tard pour sauver la monarchie italienne. Le souverain est mort en exil à Alexandrie en Egupte en décembre 1947.
« Victor Emmanuel III. Un roi face à Mussolini », Frédéric Le Moal, Editions Perrin, 2015, 400 p.
Kalistéa
18 janvier 2015 @ 11:38
Ces deux profils sont étrangement semblables Deux italiens! (ceci malgré la différence de milieu social)
Esquiline
19 janvier 2015 @ 17:41
Ce petit roi n’a pas une goutte de sang italien dans les veines!
Ce n’est pas Napoléon.
Ceci dit j’aimerais bien avoir plus d’informations sur le contenu de ce livre.
Période extrêmement complexe à laquelle La grande storia, émission très documentée de RAI TRE, a connsacré plusieurs plusieurs épisodes.
Luise
20 janvier 2015 @ 09:02
Le Roi a de sang italien
Voici deus exemple:
1) La comtesse Adelaide de Suze ou de Turin princesse italienne, fille du marqui Oldéric-Manfred II d’Oriate marquis de Suze et de Berthe de Toscane de la Maison d’Ivrée. Le mariage de la princesse avec Othon I a apporté à la Maison de Savoie la marque de Turin.
2) Emmanuel Philibert de Savoie -Carignan ancetre de Victor Emmanuel III épousa Angelique Catharine d’Este petite fille de Cesare d’Este et de Virginia de’Médicis (fille de Cosimo de’ Médicis grand-duc de Toscane)
Lorenz
20 janvier 2015 @ 10:15
Tout à fait exact, Luise! Le roi descend aussi des Montferrat, des Spinola, des Farnese, des Saluces, des Visconti, des Sforza, des Orsini et beaucoup d’autres familles italiennes.
Et enfin, être originaire de Maurienne ne signifie pas venir de loin!
Luise
20 janvier 2015 @ 11:40
Oui, en effet les Montferrat (Jolanda et Bianca ) ont été très importants, sans oublier les autres. Et St Jean de Maurienne est trois voisin
Luise
20 janvier 2015 @ 12:26
Pardon lire très voisin
Esquiline
21 janvier 2015 @ 14:04
Je pensais à l’Italie telle que l’on entend aujourd’hui et non pas à ces petits montagnards qui ont glorieusement régné pendant quelques siècles en tant que comtes, princes et finalement rois de Sardaigne sur un territoire alpin de quelques hectares!
Leur, disons connaissance, de l’histoire millénaire du pays, n’a jamais dépassé les rives du Po.
L’unité de l’Italie sous leur égide reste un ratage gigantesque!
Lorenz
23 janvier 2015 @ 14:47
Luise vous a déjà répondu plus bas sur la descendence non seulement alpine des Savoie.
Quant aux «montagnards» et à leur «connaissance» du pays outre le Po (mais je dirai outre l’Arno), vous avez en partie raison: si nous avions réalisé l’état irréversible de corruption morale et matérielle qui y régnait, on aurait soigneusement évité d’assumer ce fardeau!!
Vincent
18 janvier 2015 @ 12:10
J’ai toujours été convaincu que l’Italie n’aurait jamais du participer à la guerre, militairement elle n’était tout simplement pas prête et les preuves étaient flagrantes. Le fait que l’armée Italienne n’a pas pu faire face aux Britanniques en Égypte et qu’Hitler fut forcé d’envoyer des renforts pour maintenir le front de l’Afrique du Nord intact.
Kalistéa
19 janvier 2015 @ 18:27
Je crois que vous avez raison Vincent. je crois aussi que Mussolini qui était un élu socialiste et 1e ministre ,ne voulait pas la guerre.
Luise
22 janvier 2015 @ 07:06
Esquiline,
la famille de’ Medicis et les autres vivaient bien au- dessous du Po.
Le Piémont , la Savoie , les Alpes Maritimes (jusqu’à Nice) et la Sardaigne ne sont pas un territoir alpin de quelques hectaires. Ma famille a ses racines dans un autre pays d’Europe mais, je tiens quelques ancetres maternelles « montagnards » ( Vallée de Susa, et Distrect d’Annecy)) et je suis fier d’avoir le sang de ces « montagnards », et grace à eux j’ai du sang italien.
JACQUES
18 janvier 2015 @ 12:24
Un livre dont j’attends la parution depuis longtemps, car il est difficile de trouver des informations sur le sujet.
COLETTE C.
18 janvier 2015 @ 12:47
Les Editions Perrin ont toujours des livres historiques intéressants.
HélèneA
18 janvier 2015 @ 17:34
Mon père venant de Calabre, à 18 ans, est entré à la caserne d’élèves à Rome directement destinée au Palais Royal, au service du roi Victor-Emmanuel III. J’ai toujours la carte postale représentant la famille royale et la devise inscrite sur celle-ci. « Apprends à obéir en te taisant et en te taisant mourir ». Après l ‘arrestation de Mussolini le 25 juillet 1943 par les officiers carabiniers, sa fuite et sa libération par les allemands, la dissolution le 9 octobre de l’armée des carabiniers, mon père a été constitué prisonnier et est arrivé au stalag de Moosburg le 16 octobre 1943, avec ses camarades.
Mon père avant de mourir a écrit ses mémoires pour ses enfants.
Albane
18 janvier 2015 @ 21:04
Merci Régine pour cette idée de livre. Votre résumé clair nous cultive déjà un peu plus.
Albane
18 janvier 2015 @ 21:05
ps : je ne connaissais pas l’existence de ce roi. Très intéressant.
marie.françois
18 janvier 2015 @ 21:46
Il est rare de voir un livre sur les Savoie.
En voila un un qui a régné pres de 50 ans sans avoir su inflechir la politique italienne !
Curieux personnage ! Comme son fils d’ailleurs !
Lorenz
20 janvier 2015 @ 10:35
« Sans avoir su inflechir la politique italienne »: connaisez-vous la signification de « monarchie constitutionnelle »? On accorde de nombreux pouvoirs au parlement et au gouvernement et des pouvoirs limités au roi. La loyauté du souverain à la Constitution et à la volonté populaire sont généralement perçues de façon positive. Mais vous n’aimez peut-être pas la démocracie.
D’autre part, que ce roi n’a jamais inflechi n’est pas completement vrai. Les historiens et les experts constitutionnels ont écrit de nombreuses pages sur le sujet.
Jean Pierre
19 janvier 2015 @ 12:56
On comprend plutôt que compte tenu de la taille de ce roitelet, il ne pouvait pas regarder le dictateur en face.
Lorenz
20 janvier 2015 @ 10:40
Cela vous honore de faire de l’humour sur les défauts physiques des gens?
En lisant sur la vie privée du roi Victor Emmanuel III on ne peut qu’être ému par les souffrances causées par des commentaires comme le vôtre!
Severina
19 janvier 2015 @ 15:03
Le roi qui a signé les lois « en défence de la race » et envoie en guerre un pays qui n’était pas prêt et qui s’est enfui laissant l’armée sans ordres et sans chef après l’armistice, croyant sauver son trône et la monarchie!
Lorenz
20 janvier 2015 @ 10:49
En monarchie constitutionnelle la responsabilité pour les lois (lois raciales, guerre, ..) est chez le gouvernement et chez le parlement, pas chez le roi.
Fuir Rome était nécessaire exactement pour donner à l’armée et à la Nation un chef en territoire libre de l’occupation allemande.
Certainement une erreur a été commise: le prince Umberto aurait dû être autorisé à combattre dans la résistance…
Luise
21 janvier 2015 @ 06:55
D’accord Lorenz. Le roi est allé à Brindisi, ville italienne . Brindisi était une ville libre et à Rome il y a avait son beau fils le comte Calvi. Oui, bonne chose autoriser le prince Umberto à combattre dans la résistence,(selon Son désire) mais il était l’héritier
Claude-Patricia
19 janvier 2015 @ 15:59
Bonjour à tous,
Voici le mariage de la princesse Mafalda (10 octobre 1925)
Ce n’est pas sans quelque surprise que l’on a appris que la seconde fille du roi d’Italie épousait un prince allemand, neveu de Guillaume II. De tout temps, il est vrai que les familles royales ont donné l’exemple de ces alliances, qui ont souvent contribué à faire oublier les anciennes querelles et, au lendemain même de guerres sanglantes, à rapprocher les peuples. On doit aussi tenir compte du fait que le prince Philippe de
Hesse, mari de la princesse Mafalda n’est plus, désormais qu’un simple particulier, que l’archéologie et l’art occupent plus que la politique. Quoi qu’il en soit, ce mariage a été célébré en Italie avec un grand enthousiasme, dont la lettre suivante, de notre correspondant particulier, porte témoignage.
Rome, le 25 septembre 1925
Il y a deux ans et demi, la princesse Yolande, fille aînée des souverains d’Italie épousait le comte Calvi di Bergolo, officier instructeur de cavalerie. En juin dernier le roi accordait la main de sa seconde fille, la princesse Mafalda au prince allemand Philippe de Hesse. Alors que les fiançailles avaient eu lieu au palais du Quirinal dans la plus stricte intimité, ce second mariage a été célébré aujourd’hui avec beaucoup de solennité dans le pittoresque château de de Racconigri, la résidence d’été préférée . des souverains, en présence de plus de deux ans invités et au milieu d’un grand enthousiasme. La princesse Mafalda, en effet, est très populaire parmi les italiens qui retrouvent chez elle les traits, les caractères essentiels de son auguste famille. Par sa tournure d’esprit et toute son attitude, mafalda est véritablement « princesse de Savoie »
Quand au prince Philippe, âgé de vingt-huit ans-soit cinq de plus que Mafalda-il est le fils du prince Frédéric-Charles ex général d’infanterie allemande et de Marguerite de Prusse, sœur de l’ex-empereur Guillaume II. Il descend de la famille plus ancienne des landgraves et c’est à lui qu’il y a quelques années, certains Finlandais voulaient offrir la couronne de leur pays. Les journaux italiens n’ont pas craint de rappeller qu’il fut un soldat valeureux pendant la dernière guerre, où il combattit sur les divers fronts avec le grade de lieutenant de cavalerie. le prince Philippe de Hesse est loin cependant de posséder le tempérament et l’esprit militaire : il aime par dessus tout l’étude de l’histoire et les beaux-arts et c’est par les innombrables trésors artistiques d’Italie qu’il fut attiré à Venise d’abord, puis à Rome.
Les cadeaux reçus au cours de ces derniers jours par la princesse Mafalda sont innombrables et beaucoup d’une richesse extraordinaire, d’autres, plus modestes n’en sont pas moins appréciés, tel le beau vas d’argent envoyé par la commune de Veroli qui dans une dédicace proclame la fierté de la petite ville dans la Ciociara(région voisine de Rome, dont les femmes sont réputées pour leur beauté classique)
d’avoir donné le jour à la nourrice de la princesse. Et c’est par centaines qu’arrivent du monde entier des télégrammes auxquels viennent s’ajouter des lettres touchantes adressées par d’humbles paysannes à la princesse Mafalda, qui les avaient souvent visitées et secourues.
C’est à dix heures et demie que le cortège nuptial a quitté les appartements privés des souverains pour gagner la grande salle des réceptions où doit avoir lieu la cérémonie civile. A l’entrée de chaque salle, le préfet du palais annonçait le passage des souverains. Le roi Victor-Emmanuel III s’avançait en grand uniforme de maréchal avec le collier de l’Annonciade donnant le bras à la jeune princesse revêtue de la traditionnelle robe blanche, du voile et de la couronne de fleurs d’oranger. Deux pages soutenaient sa traîne. Puis apparut la reine Marguerite au bras du prince de Hesse. la reine Hélène était accompagnée par l’ex-roi Georges de Grèce. Lentement le cortège se déroula et toujours entre la double haie des invités qui s’inclinaient, passèrent les princes et princesses du sang et les hauts dignitaires. Le président Mussolini donnait le bras à la princesse Haage , tandis que M. Tittoni accompagnait la comtesse Calvi di Bergolo.
Au milieu de la grande salle des réceptions, une table était dressée, recouverte d’un tapis rouge, elle portait un encrier finement ciselé et une plume de rubis et diamants que M. Tittoni remit à l’épouse après la signature.
Le roi et les deux reines avaient pris place dans des fauteuils à droite, les témoins étaient à gauche. derrière la table se tenait debout le notaire de la Couronne, M. Mussolini et l’officier d’état civil, M. Tittoni. Les époux s’approchèrent alors et le mariage civil de la princesse Mafalda de Savoie et de Philippe de Hesse fut célébré selon la loi et la coutume.
Aussitôt après, le mariage religieux a eu lieu dans la chapelle du château, où les formalités d’usage terminées, Monseigneur Beccaria, aumônier de la Cour, souhaita une vie longue et heureuse aux jeunes époux et exalta la grandeur de la Maison de Savoie. L’important cortège se reforma alors et les invités défilèrent à leur tour dans la salle chinoise, devant le couple princier.
Zeugma
19 janvier 2015 @ 18:31
« Un roi aux côtés de Mussolini » aurait été un meilleur titre comme le suggère le médaillon présentant les deux hommes regardant dans la même direction.
Après la « marche sur Rome » d’octobre 1922, Victor Emmanuel III demanda à Mussolini de former un gouvernement qui devint une dictature fasciste pendant vingt ans.
Pendant cette période, le roi resta formellement chef de l’Etat et donna une apparence de légitimité à un pouvoir tyrannique.
Il fit arrêter le « Duce » en 1943 après le débarquement des alliés, essayant par la même de voler au secours de la victoire.
La manœuvre était quand même cousue de fil blanc.
Il abdiqua au profit de son fils mais les carottes étaient cuites : un référendum instaura la République en 1946.
Même si certains historiens estiment – à tort ou à raison – que les résultats de ce référendum furent « retravaillés », hormis les deux pelés et trois tondus habituels, personne ne veut aujourd’hui sérieusement restaurer la maison de Savoie, aussi prestigieuse a-t-elle pu être …. dans le passé.
Vincent
20 janvier 2015 @ 10:26
Le roi a commis trois erreurs :
– Soutenir Mussolini alors que celui-ci n’avait que peu d’estime pour celui-ci qu’il appelait en privé « le nabot » ou « le roitelet ».
– Ne pas avoir demandé de signer éminemment l’armistice ou la capitulation après l’arrestation de Mussolini le le 24 juillet 1943.
– Préférer incarcérer Mussolini dans un endroit où il risquait de s’évader plutôt que le livrer aux Alliés, voire de le faire juger et exécuter pour trahison.
Trois erreurs fatales pour la monarchie.
Robespierre
19 janvier 2015 @ 19:09
Les ravages de la consanguinité… Une chance que les Montenegrins soient intervenus.
Vincent
20 janvier 2015 @ 11:02
Voici ce qu’on peut lire à la page 32 du livre « Le sceptre et le sang » de Jean des Cars :
« En octobre 1896, encore prince de Naples, Victor-Emmanuel, 27 ans, avait enfin consenti à se marier. Jusqu’à cette époque, ce projet ne semblait guère l’enthousiasmer, d’autant moins qu’on entendait décider pour lui qui serait son épouse. Sa mère, l’altière Marguerite de Savoie, avait des idées très arrêtées sur les dynasties étrangères : « Les Orléans portent malheur; la Belgique aussi. Je ne veux pas d’une Autrichienne et on ne peut pas avoir d’Anglaise ». En effet, la reine Marguerite imposait à sa belle-fille d’être catholique. Une candidate française avait été éliminée car, bien que royaliste, elle était chauvine. Finalement, ayant porté son regard vers la rive orientale de l’Adriatique, la mère de Victor-Emmanuel avait choisi pour son fils : la future reine d’Italie serait la princesse Hélène de Monténégro, quatrième fille « exportée » de ce pays superbe, mais pauvre et difficile d’accès. Orthodoxe prestement convertie à la religion romaine sur ordre de sa belle-mère, Hélène, âgée de 23 ans, est jolie, avenante, gaie, saine, très cultivée. Ses yeux sont superbes et sa peau a la fraicheur qu’inspire l’air montagnard. Elle parle plusieurs langues et a un don pour la peinture et le dessin qu’elle a étudiés à Dresde. Et elle est grande, beaucoup plus grande que le roi. Le mariage, célébré à Rome, à Sainte-Marie-des-Anges, avait fait sourire la Cour; quant à la mère d’Hélène, furieuse que sa fille eût abjuré la religion de Byzance, avait refusé d’assisté à la cérémonie. Le frère de la mariée et ses sœurs, sauf Anna, étaient également absents. Dans la maison de Savoie, certains commentaires n’épargnaient pas l’origine rustique de la mariée monténégrine afin de suggérer la mésalliance qu’elle incarnait. A la sortie de la messe nuptiale, la duchesses d’Aoste, née princesse d’Orléans et qui se jugeait supérieure à la désormais reine d’Italie, la présenta à une amie par une formule incisive : « Ma cousine, la bergère… » »
Cosmo
19 janvier 2015 @ 21:42
De bien tristes personnages ! Mais le livre gagne probablement à être lu.
Lorenz
20 janvier 2015 @ 11:02
Un roi appelé à régner dans des moments très très difficiles: « bien triste personnage » me semble hors de propos en ce cas!
Cosmo
23 janvier 2015 @ 07:39
Lorenz,
N’est-ce pas le rôle d’un souverain que d’empêcher que de telles choses se passent ?
La passivité, ou l’incapacité, du roi à maintenir un état démocratique a fait de lui un complice, peut-être involontaire, de Mussolini.
Cordialement
Cosmo
Luise
23 janvier 2015 @ 09:54
non , la Constitution donnais au Roi le seul pouvoir de retourner la loi au Parlament et le Roi l’a fait . Mussolini a pris le pouvoir avec le » placet démocratique » de la population d’Italie.
Lorenz
23 janvier 2015 @ 10:32
Mon idée est qu’il fut un temps où la démocratie n’était pas une option crédible: fascisme ou anarchie ou bolchevisme. Et puis vint le moment où combattre Mussolini aurait signifié une guerre civile sanglante.
Le roi n’a peut-être pas été un héros, mais son comportement me semble compréhensible et en ligne avec la pensée de la majorité de ses sujets et avec celle de nombreux observateurs internationaux de l’époque.
Lorenz
23 janvier 2015 @ 10:40
Et puis, quel comportement aurait été héroïque? Plonger le pays dans la guerre civile? Abandonner le pays à son sort pour ne pas coopérer avec la dictature?
Kalistéa
20 janvier 2015 @ 15:32
La reine Hélèna avait un nez fort.Il parait que le roi définit ainsi leur couple un jour: « un nano (un nain) ed un naso (un nez) ! »
Claude-Patricia
22 janvier 2015 @ 13:28
Bonjour à tous,
Dès que possible j’envoie mon dernier texte sur cette monarchie, car il y avait visiblement un refroidissement des relations entre ces souverains-là et le Vatican.
Bien à vous.