Parution du livre « Vieille Angleterre de ma jeunesse » par Ghislain de Diesbach.
A l’été 1955, Ghislain de Diesbach de Belleroche (1931) découvre l’Angleterre. Un réel coup de foudre qui ne le quittera plus, revenant assidument chaque année jusqu’en 1965, puis assistant à la métamorphose de ce pays qu’il avait tant sublimé, enivré par le récit « Le Journal » de Denton Welch.
Auteur de plusieurs biographies sur la comtesse de Ségur, Madame de Staël mais surtout Proust, Ghislain de Diesbach vous plonge avec son récit dans l’Angleterre post guerre, au charme suranné, découvrant avec émerveillement Brighton et sa promenade maritime, châteaux, la campagne anglaise et les us et coutumes de nos voisins outre-Manche.
Avec des extraits de son journal intime où il annotait jour après jour toutes ses impressions, l’auteur rencontre au gré de ses séjours des personnalités comme Diana Mitford, mariée à lord Oswald Mosley, chef du parti nazi anglais. Une femme qui en dehors de ses convictions politiques, était l’une des références en matière d’art de vivre, d’élégance et de savoir-vivre.
D’année en année, Ghislain de Diesbach cherche à retrouver avec nostalgie ses premières impressions d’étudiant. Le récit s’achève lors d’une visite à Chelsea en 1985. Il a déambulé dans les rues de la capitale qu’il trouve encore plus changée (en mal).
« Malgré les déceptions causées par Londres, je suis resté fidèle à cette Angleterre idéale, entrevue pour la première fois il y aura bientôt un demi-siècle et plus proche aujourd’hui de celle du XVIII ème que de l’actuelle. Il me suffit d’ouvrir le journal de Boswell, de William Beckford ou de Denton Welch, de relire un roman d’Evelyn Waugh pour le croire à nouveau jeune et retrouver ma ferveur d’anatn, l’enthousiasme avec lequel je parlais de ce pays, le plus beau du monde à mes yeux ( …) »
« Vieille Angleterre de ma jeunesse », Ghislain de Diesbach, Lacurne, 2020, 176 p.
Régine ⋅ Actualité 2020, Angleterre, France, Livres 55 Comments
Pascal🍄
16 novembre 2020 @ 06:27
Cette Angleterre était elle réelle ou fantasmée je ne saurais le dire .
Mais pour nous Francais elle avait beaucoup de charme et tout pour aviver ma nostalgie d’un monde plus rural, plus bucolique.
L’ Angleterre des cottages et des fenêtres à meneaux, des manoirs et des châteaux, des églises normandes ,des rivières à truite , des vieilles filles style Miss Marple ou Miss Silver, des pasteurs anglicans férus de Nature , de littérature ou de jardinage etc.
L’Angleterre que l’on voit filmée dans les premiers films de la série Barnaby…
Karabakh
16 novembre 2020 @ 14:00
La campagne anglaise a ce charme : demeures anglo-normandes, rivières poissonneuses, de grandes prairies en open-field, un temps mesuré… mais les vieilles filles ont trouvé un mari depuis longtemps. 🙃
Cosmo
16 novembre 2020 @ 18:02
Elle existe encore mais en décor pour une société qui n’est plus celle d’antan qui fleurait bon la violette. Aujourd’hui ce serait plutôt le cannabis.
Bambou
16 novembre 2020 @ 06:41
Le charme suranné, tout ce que j’aime. Pour notre beau pays…! Mais qui engendre tant de nostalgie, surtout quant je vois ma France d’aujourd’hui !!!
Muscate-Valeska de Lisabé
16 novembre 2020 @ 15:57
Comme vous Bambou.
J’adore ce passé qui nous a si tristement échappé,bradé pour rien aux noms des autres « cultures » .On n’avait rien demandé.
Aramis
16 novembre 2020 @ 16:20
En même temps si on compare le cœur des villages par rapport à il y a seulement 30 ou 20 ans, on voit l’immense effort de mise en valeur du patrimoine : plaques, parcours historiques commentés, restaurations …. y compris dans des petits villages dans lesquels on passait sans s’arrêter autrefois …les affreuses zones commerciales aux abords des villes, c’est autre chose , mais on n’est pas obligé d’y aller autrement que pour certains « trucs » qu’on ne trouve pas en centre ville.
Aramis
16 novembre 2020 @ 16:21
Pensons aussi à tous les panneaux publicitaires qui enlaidissaient la France y compris les campagnes dans les années 70 voire encore 80 … le bon vieux temps n’était pas forcément meilleur …
PaulineD
16 novembre 2020 @ 06:57
Bonjour, l’épouse de Lord Mosley n’était pas Nancy, mais sa soeur Diana, sauf erreur de ma part.
Val
16 novembre 2020 @ 07:28
Comme j’ai aimé vivre en Angleterre, ses petits villages que l’on a plus envie de quitter .
bételgeuse70
16 novembre 2020 @ 08:32
Sûr qu’il a dû voir du changement. J’en connais certains qui y sont allés à la même période et qui disent la même chose. Mais ça doit être vrai aussi pour la France.
Charlotte (de Brie)
16 novembre 2020 @ 09:04
Je « click and collect » immédiatement auprès de mon libraire !
Outre nombre de biographies comme citées ici, dont aussi Chateaubriand, Ferdinand de Lesseps ou encore l’Abbé Mugnier : confesseur du Tout Paris (savoureux !), Ghislain de Diesbach a lui aussi écrit un manuel de savoir vivre truffé d’anecdotes « Le Gentilhomme de notre Temps » et aussi » Les secrets du Gotha », le tout d’un style allègre, fluide, sans prétention. Enfin c’est mon avis.
Vitabel
16 novembre 2020 @ 15:26
Vous m’avez donné envie Charlotte de courir m’acheter un livre de cet auteur ! Merci.
Jean Pierre
16 novembre 2020 @ 09:11
On ne dira jamais assez le rôle joué par l’Angleterre dans l’éveil des émois chez les adolescents français.
Précision : l’épouse de Mosley était Diana Mitford et non Nancy. De plus toutes les deux résidaient en France quand Diesbach pérégrinait dans la campagne anglaise.
Charlotte (de Brie)
16 novembre 2020 @ 19:55
Ah bon ! » A nous les petites Anglaises » vous y étiez ?
Je plaisante Jean Pierre, j’espère que vous le comprendrez, mais aussi que peut-être… et ce serait sympathique.
Jean Pierre
17 novembre 2020 @ 13:25
Je n’ai jamais autant pleuré que sur le ferry de Douvres. A Calais, les larmes étaient bien sèches, jusqu’à l’année suivante.
Emilia Gavazzi
16 novembre 2020 @ 09:22
La femme d’Oswald Mosley était Diana Mitford, soeur de Nancy, la romancière.
Baboula
16 novembre 2020 @ 09:46
On s’attend à croiser miss Marple .
ciboulette
16 novembre 2020 @ 15:10
Ou Agatha Christie elle -même .. . .dans ses premiers romans si délicieux !
HRC
16 novembre 2020 @ 09:48
Pas Nancy.
barroux
16 novembre 2020 @ 09:58
Ce n’est pas Nancy Mitford mais sa soeur Diana qui a été mariée à sir Oswald Mosley, après avoir divorcé de Bryan Walter Guinness, lord Moyne.
Laure-Marie Sabre
16 novembre 2020 @ 10:11
Ce n’est pas Nancy Mitford mais sa soeur Diana qui était mariée a Oswald Mosley.
Gatienne
16 novembre 2020 @ 10:59
On comprend l’admiration de Ghislain de Diebash (que je ne connais pas) pour Denton Welch (dont j’ai lu « In Youth is pleasure ») car on devine le parallèle évident entre deux personnalités nostalgiques des paradis perdus de la jeunesse, passés au tamis des rêves et des fantasmes.
Mais si l’on s’en donne la peine, cette Angleterre-là n’a pas totalement disparu, du moins au niveau des paysages, puisqu’on trouve encore, dans la région des Cotswolds, des lieux qui ressemblent à l’image de couverture.
Pour l’esprit d’une époque révolue, c’est autre chose. De toute façon, à partir d’un certain âge, les souvenirs sont une jolie consolation, surtout quand on a le talent de les faire revivre et de les partager à travers l’écriture.
Antoine
16 novembre 2020 @ 14:03
Vous avez raison, Gatienne, cette Angleterre-là n’a pas totalement disparu. Dans le Yorkshire on trouve des paysages aussi pittoresques que dans les Cotswolds et de petites villes au charme suranné où il fait bon vivre (Pateley Bridge ou Ripon, par exemple). Bath est un joyau. Ely et son quartier épiscopal vaut le voyage. Comme chez nous, beaucoup de grandes villes ont perdu leur âme mais le milieu rural fait de la résistance avec succès. Surtout, les Anglais ont beaucoup moins la bougeotte que nous. Je séjourne parfois à Churchill, dans les Cotswolds justement, qui est un havre de paix. Et j’aime l’Angleterre où je me rends une année sur deux pour des séjours découvertes sans jamais m’en lasser. On critique beaucoup les Anglais et leur mode de vie. On a pourtant beaucoup à apprendre d’eux.
Baboula
19 novembre 2020 @ 18:25
Dans ma jeunesse l’exil n’était concevable qu’en Italie,aujourd’hui c’est la Grande Bretagne qui m’attire s’il fallait quitter la France .
Cosmo
16 novembre 2020 @ 18:05
Le seul problème, Gatienne, est que cette Angleterre est hors de prix. Elle n’a pas disparu mais est réservée à une élite friquée, tant la moindre maison y coûte une fortune.
Gatienne
17 novembre 2020 @ 12:44
Le plaisir des yeux ne coute pas grand-chose: de bonnes chaussures de marche et de quoi photographier ces paysages hors du temps…
Cosmo
18 novembre 2020 @ 13:50
Très vrai. Mais désormais ces villages manquent d’authenticité, les natifs ayant disparu. Un peu comme St Tropez qui était avant BB une bourgade délicieuse.
Menthe
16 novembre 2020 @ 11:11
Je comprend sa déception ! La photo de couverture représente pour moi aussi l’image type que je me suis toujours faite de l’Angleterre.
josaint vic
16 novembre 2020 @ 12:17
N exagerons pas j étais encore du côté de York il y a peu, les villages sont toujours aussi charmants et les secondes délicieux
Aramis
16 novembre 2020 @ 16:22
Et il y en a beaucoup en France comme ça !!
Charlotte (de Brie)
16 novembre 2020 @ 20:04
Oui ! il suffit parfois d’un rien pour faire renaître des villages devenus anonymes, sans intérêt, qui autrefois en avait, de part une histoire glorieuse effacée au cours des ans, surtout après la Révolution, mais aussi par une histoire « banale », un lavoir, un moulin, une ancienne carrière de pierres, une fabrique de briques,de tuiles, une ferme fortifiée, une près de chez nous abrita Jehan de Brie, humble berger considéré comme un peu simplet mais qui rédigea le premier traité de bergerie à la demande de Charles V en 1379 et que l’on a redécouvert près de Coulommiers il y a peu, à Aulnoy très exactement.
Il y a tout près de chez nous où que l’on soit, des trésors patrimoniaux humbles ou prestigieux, témoins de notre passé.
septentrion 🍀
16 novembre 2020 @ 12:01
Une partie de l’Angleterre…
Arte a diffusé dernièrement The Bookshop, une autre vision.
Je n’oserais pas faire la comparaison avec Barnaby quoique pour la musique et les paysages…
Baboula
16 novembre 2020 @ 12:35
Mitsomer est un repaire d’assassins ,heureusement fictif, mais Oxford est bien réel avec l’inspecteur Morse . Un délice ces séries criminelles !
Robespierre
16 novembre 2020 @ 13:43
J’ai deux coffrets de l’inspecteur Morse, un doublé et un en V.O. trouvé par la suite. J’adore. Et les lumières dorées d’Oxford, pareil. Je n’aime pas la serie Barnaby, la musique déjà me tape sur les nerfs. Par contre la belle musique nostalgique et mystérieuse de Morse c’est autre chose.
De toutes les séries anglaises que j’ai visionnées, c’est Morse qui vient en premier. C’était curieux l’acteur principal, il n’était pas vieux et faisait 15 ans de plus que son âge. Il est mort à 60 ans et on a dû enchainer avec l’Inspecteur Lewis, pas mal du tout. Ensuite on a fait de la rallonge avec « Le jeune inspecteur Morse ». C’est bien fait
Bonne semaine, Carissima.
Pascal
16 novembre 2020 @ 17:43
Je n’ai jamais qu’entrevu des téléfilms « Morse » mais je crois qu’ils n’ont rien à voir avec le véritable Morse de Colin Dexter qui est absolument remarquable.
Il faut dire que fumeur et alcoolique invétéré , cruciverbiste hors classe , féru de Wagner et de littérature anglaise et encore assez porté sur la bagatelle quoiqu’avec un certain romantisme il n’est pas vraiment « politically correct » .
Je recommande chaleureusement sa lecture .
Pour « Barnaby » je suis comme Menthe , c’est surtout pour les décors et aussi pour les « clichés » qu’en somme il récapitule , là aussi la lecture des originaux est intéressante qui n’ont pas grand chose à voir avec les téléfilms , je recommande en particulier celui paru en français sous le titre » machinations infernales » .
Enfin j’ai moi aussi par bonheur vu « The Bookshop » dernièrement et j’ai immédiatement commandé le livre , je l’ai lu d’une traite , il n’est pas très long , et légèrement différent du scénario , un vrai petit bijou qui nous parle non pas de la douceur des Costwolds mais du Suffolk .
Il y a je trouve dans la littérature anglaise cette veine terrienne , profonde , authentique ,que nous n’avons pas en France avec la même intensité.
Pascal
16 novembre 2020 @ 17:50
Comme chacun sait l’envoûtante et je le reconnais un peu lancinante musique de Barnaby est jouée par un instrument très particulier , un des premiers instruments de musique électronique baptisé Thérémine du nom de son inventeur le russe Lev Sergueïevitch Termen dit Léon Theremin . Je pense que beaucoup auront remarqué que dans de nombreux épisodes de la série on voit une scène de village ou passent deux cavalier(e)s .
Les reconstitutions d’intérieurs britanniques y sont fort intéressantes et on y voit souvent aussi des cuisinières A.G.A.
Baboula
17 novembre 2020 @ 11:57
J’étais extrêmement séduite par l’inspecteur Morse ,sa mélancolie, sa musique et surtout sa Jaguar . J’y aurais bien fait une balade . Sa mort m’a affectée. Bonne semaine,Dear .
Antoine
16 novembre 2020 @ 13:53
Il est certain que l’entrepreneur des pompes funèbres de Midsomer doit être imposé sur la fortune ! Mais l’environnement de ces séries a beaucoup de charme.
Menthe
16 novembre 2020 @ 14:41
J’ai adoré les Barnaby avec John Nettles juste pour les décors, les jardins, une certaine ambiance, parce que l’intrigue ! ça assassinat à tour de bras🙄je crois que je n’en ai loupé aucun, à l’incompréhension générale de mon époux et de mes enfants 😂
Après John Nettles, j’ai arrêté.
ciboulette
16 novembre 2020 @ 15:12
J’adore les premières séries de Barnaby , avec John Nettles .
Vitabel
16 novembre 2020 @ 15:30
Absolument Baboula, je suis moi aussi fan de Morse et de Barnaby pour les paysages..
Pascal
16 novembre 2020 @ 19:45
En fait , cette campagne anglaise là , celle des « open fields » évoqués par Karabakh et qui est souvent l’auxiliaire des films ou séries britanniques , cette campagne de Constable ou de Thomas Hardy , mériterait si ce n’est déjà fait d’être inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO .
Baboula
17 novembre 2020 @ 12:04
Septentrion,j’ai aimé ce film,d’une grande cruauté ,le mot est trop fort mais vous comprenez .
Robespierre
17 novembre 2020 @ 12:31
je n’avais pas regardé, mais je vais le faire, puisqu’il est sur ARte
Menthe
17 novembre 2020 @ 17:03
Je l’ai enregistré, pas encore visionné, donc si je vous écoute, bonne soirée en perspective🤩.
septentrion
19 novembre 2020 @ 12:28
Baboula,
Oui, une cruauté implacable.
Emily Mortimer est formidable dans le rôle de Florence Green.
Une pépite, ce film.
Pierre-Yves
16 novembre 2020 @ 12:04
Ben oui, mais voilà … on ne peut pas fixer pour l’éternité les paysages tels qu’ils étaient dans notre jeunesse. Les choses changent, parfois en mal, c’est vrai, mais parfois en bien aussi. Pour prendre un exemple parisien, je préfère la place Vendôme telle qu’elle est aujourd’hui au parking géant dont elle servait dans les années 60 et 70.
ciboulette
16 novembre 2020 @ 15:14
C’est la même chose en France , hélas . . .les abords autrefois verdoyants et charmants des villes transformés en hideuses zones commerciales , toutes semblables , béton et tôle . . .
Aramis
16 novembre 2020 @ 16:30
Oui exact Pierre Yves et on pourrait dire ça pour beaucoup de places et beaucoup de villes ! Nîmes s’est refait une vraie beauté … Le quartier Saint Leu a Amiens était une horreur vétuste aux pieds de la cathédrale dans les années 80 ; idem dans la vieille ville d’Avignon … où bcp de choses ont été rénovées et mises en valeur …
Les discours moroses et pessimistes m’horripilent (De Gaulle parlait du pessimisme morose de Petain) ; ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème maintenant , mais essayons de les régler et ne rêvons du monde d’hier tel qu’il n’était pas ….et ne cherchons surtout pas à y retourner ce qui est d’ailleurs impossible.
Le Marais dans Paris était dans un état lamentable dans les années 60 … merci à Malraux de l’avoir sauvé …
Et qd on croit que tout allait de soi sous de Gaulle : quand on voit la haine que lui ont portée tant de gens de sinsitre mémoire …et ce à quoi il a dû faire face , le c’était mieux avant prend un coup dans l’aile !
Teresa2424
16 novembre 2020 @ 23:54
Soy fan de Morse!!!Lewis!!!Oxford!!
Decidí no ir más a Inglaterra, desilusionada… hoy por covid2 imposible
Después de leer lo escrito por Antoine lo pensaré de nuevo …
Pascal
16 novembre 2020 @ 18:03
Il est vrai que je reconnais que dans bien des endroits les villages , réinvestis , aux maisons rénovées , se sont incontestablement embellis depuis les années 70 , notamment dans le centre de la France .
C’est même à mes yeux la preuve la plus irréfutable de l’amélioration du niveau de vie.
Ceux situés plus près des villes et en particulier des métropoles n’ont pas eu ce bonheur.
🍄🍁 MIKA 😷
16 novembre 2020 @ 12:52
La photo du livre montre un des beaux villages des Cotswolds… une région encore préservée et bucolique, tout comme le Lake District plus au nord.
aubepine
16 novembre 2020 @ 13:45
Quel charme ces petits villages anglais !
Ghislaine G-L-P-B
16 novembre 2020 @ 18:50
Mais qu’est-ce donc ! Il n’y aurait plus de beaux villages anciens en Angleterre ah ça alors allez donc faire un tour dans les Costwolds
Vassili
19 novembre 2020 @ 08:36
Le Bon Patriote (éditions Plon) et les Secrets du Gotha (éditions Perrin) par Ghislain de Diesbach sont très agréables à lire.