Charlotte 78, je ne vous contredirais pas. Chartraine de naissance, je ne me lasse jamais de retrouver ma cathédrale. Dernièrement j’y suis allée et elle est encore plus belle depuis sa restauration. Bonne journée.
C’est jouer sur les mots. Effectivement, c’est EN COURS de restauration. Les vitraux étaient remplacés par des « grisailles » le temps de la restauration. Il y a également tout l’intérieur de la cathédrale qui est « nettoyé ». Les murs ont repris leur teinte d’origine. Je suis née à Chartres et je n’ai jamais vu la cathédrale aussi belle. Et avec « Chartres en lumière », la cathédrale est encore plus majestueuse. A voirs absolument.
Je ne cherchais pas à invalider votre commentaire, Stef; juste à le préciser. Veuillez m’excuser si je me suis fait mal comprendre.
Ce que je tentais de souligner, c’était le grand soin mis à cette restauration, dponc la longueur de temps indispensable.
Cordialement.
Charlotte 78
15 février 2022 @
00:23
Oui c’est vrai on ne se lasse jamais: ayant travaillé dans la région pendant un an, j’y allais aussi souvent que possible et je crois qu’il faudrait plusieurs vies pour en connaître les moindres détails sur le plan architectural et artistique.
J’avais envie de m’allonger par terre pour tout regarder plus facilement :)
J’ai dit à mon fils » dommage que je ne sois pas une petite fille pour le faire ne serait ce qu’un instant…mais à mon âge impossible » On a en beaucoup ri.Je garde une grande nostalgie de ces visites fréquentes.
Chartres et le château de Vaux le Vicomte sont pour moi la quintessence de ce que fut l’art français, je pourrais y retourner sans cesse…
Merci pour votre salut de Chartraine et bonne journée à vous aussi.
Je ne vois pas très bien ce que ce Jacques Seray a à faire avec les vitraux. C’est un » historien du fait cycliste, de la presse sportive, du sport dans l’art » ( Wkpd).
Comme ça, sur le tard, il fait dans le vitrail ? Une illumination ?
Je veux bien. Mais dites, il existe quantité de livres sur les vitraux, écrit, eux, par de vrais connaisseurs , et très bien illustrés.
S’ intéresser à l’art est une chose, Gérard.
Aller jusqu’à écrire et faire éditer un livre sur un sujet qu’on ne maîtrise pas – je suppose en ce cas, vu la bibliographie de l’auteur -, c’en est une autre . Surtout quand d’éminents spécialistes en ont écrit des bibliothèques entières.
Je pense à des Louis Grodecki et , entre autres, aux membres du Le Corpus vitrearum, (Corpus vitrearum Medii Aevi) . Là, on est dans du sérieux.
Ce qui, j’en suis d’accord avec vous, n’empêche personne de savourer ces merveilles, à la hauteur de ses possibilités, et avec l’humilité qui s’impose.
tout à fait ! Je rentre toujours quand c’est ouvert, dans une établissement religieux, il y a toujours quelque chose à voir et admirer ; s’y concentrent l’art de la sculpture de la pierre, du bois, l’art du verre, la peinture …
Je me suis offert ce beau livre qui ne pourra que séduire ses lecteurs indépendamment du CV de l’auteur.
Richesse d’une somptueuse iconographie en couleurs, appuyée par un foisonnement de textes d’accompagnement qui mettent en valeur une érudition incontestable.
Promenade savante au fil des siècles,au travers d’un vaste panorama d’oeuvres sacrées et profanes que l’auteur nous fait découvrir tant en France qu’à l’étranger.
Charlotte 78
13 février 2022 @ 00:32
Un livre à avoir à mon goût : je n’ai jamais oublié l’émotion ressentie à Chartres !
Stef
13 février 2022 @ 10:30
Charlotte 78, je ne vous contredirais pas. Chartraine de naissance, je ne me lasse jamais de retrouver ma cathédrale. Dernièrement j’y suis allée et elle est encore plus belle depuis sa restauration. Bonne journée.
Leonor
14 février 2022 @ 17:43
Les vitraux sont EN COURS de restauration. Verrière par verrière.
Stef
16 février 2022 @ 08:44
C’est jouer sur les mots. Effectivement, c’est EN COURS de restauration. Les vitraux étaient remplacés par des « grisailles » le temps de la restauration. Il y a également tout l’intérieur de la cathédrale qui est « nettoyé ». Les murs ont repris leur teinte d’origine. Je suis née à Chartres et je n’ai jamais vu la cathédrale aussi belle. Et avec « Chartres en lumière », la cathédrale est encore plus majestueuse. A voirs absolument.
Leonor
16 février 2022 @ 13:58
Je ne cherchais pas à invalider votre commentaire, Stef; juste à le préciser. Veuillez m’excuser si je me suis fait mal comprendre.
Ce que je tentais de souligner, c’était le grand soin mis à cette restauration, dponc la longueur de temps indispensable.
Cordialement.
Charlotte 78
15 février 2022 @ 00:23
Oui c’est vrai on ne se lasse jamais: ayant travaillé dans la région pendant un an, j’y allais aussi souvent que possible et je crois qu’il faudrait plusieurs vies pour en connaître les moindres détails sur le plan architectural et artistique.
J’avais envie de m’allonger par terre pour tout regarder plus facilement :)
J’ai dit à mon fils » dommage que je ne sois pas une petite fille pour le faire ne serait ce qu’un instant…mais à mon âge impossible » On a en beaucoup ri.Je garde une grande nostalgie de ces visites fréquentes.
Chartres et le château de Vaux le Vicomte sont pour moi la quintessence de ce que fut l’art français, je pourrais y retourner sans cesse…
Merci pour votre salut de Chartraine et bonne journée à vous aussi.
Roxane
13 février 2022 @ 08:53
Sûrement un magnifique livre !
Aldona
13 février 2022 @ 09:15
Rien que la couverture nous interpelle déjà, la beauté, la délicatesse de ces deux visages, c’est magnifique
Ciboulette
13 février 2022 @ 14:16
Ah ! Le bleu de Chartres ! Il faut voir à Epinal le grand vitrail de Gabriel Loire , maître verrier à Chartres , et consacré à Notre-Dame .
Aldona
14 février 2022 @ 14:08
Oui Ciboulette, ce bleu est extraordinaire, avec ce blanc argenté et légèrement doré
Ciboulette
14 février 2022 @ 22:28
Relire aussi le magnifique poème de Charles Péguy : présentation de la Beauce à Notre -Dame de Chartres .
Ghislaine
13 février 2022 @ 12:07
Un endroit exceptionnel :La sainte Chapelle
Danielle
13 février 2022 @ 12:10
Comme j’adore les vitraux, ce livre m’intéresse.
Charlotte 78, en effet que d’émotion dans la cathédrale de Chartres !
aubepine
13 février 2022 @ 16:14
oui Charlotte ,la rosace de chartres est magnifique , quand on l’a vue elle reste dans notre souvenir !
Leonor
13 février 2022 @ 19:12
Je ne vois pas très bien ce que ce Jacques Seray a à faire avec les vitraux. C’est un » historien du fait cycliste, de la presse sportive, du sport dans l’art » ( Wkpd).
Comme ça, sur le tard, il fait dans le vitrail ? Une illumination ?
Je veux bien. Mais dites, il existe quantité de livres sur les vitraux, écrit, eux, par de vrais connaisseurs , et très bien illustrés.
Gérard
14 février 2022 @ 17:25
L’amateur n’est-il pas celui qui aime, qui étudie ? Un spécialiste du sport ne peut-il pas à s’intéresser à l’art ?
Ghislaine
15 février 2022 @ 14:26
Bien Gérard.
Leonor
15 février 2022 @ 22:01
S’ intéresser à l’art est une chose, Gérard.
Aller jusqu’à écrire et faire éditer un livre sur un sujet qu’on ne maîtrise pas – je suppose en ce cas, vu la bibliographie de l’auteur -, c’en est une autre . Surtout quand d’éminents spécialistes en ont écrit des bibliothèques entières.
Je pense à des Louis Grodecki et , entre autres, aux membres du Le Corpus vitrearum, (Corpus vitrearum Medii Aevi) . Là, on est dans du sérieux.
Ce qui, j’en suis d’accord avec vous, n’empêche personne de savourer ces merveilles, à la hauteur de ses possibilités, et avec l’humilité qui s’impose.
Albane
13 février 2022 @ 19:57
C’est une invitation à (re)visiter nos cathédrales.
JAusten
14 février 2022 @ 13:19
tout à fait ! Je rentre toujours quand c’est ouvert, dans une établissement religieux, il y a toujours quelque chose à voir et admirer ; s’y concentrent l’art de la sculpture de la pierre, du bois, l’art du verre, la peinture …
Marina
21 février 2022 @ 19:53
Je me suis offert ce beau livre qui ne pourra que séduire ses lecteurs indépendamment du CV de l’auteur.
Richesse d’une somptueuse iconographie en couleurs, appuyée par un foisonnement de textes d’accompagnement qui mettent en valeur une érudition incontestable.
Promenade savante au fil des siècles,au travers d’un vaste panorama d’oeuvres sacrées et profanes que l’auteur nous fait découvrir tant en France qu’à l’étranger.