L’hôtel George V à Paris vient d’ouvrir un troisième restaurant après le Cinq où officie le chef Christian Le Squer et le George avec le chef Marco Garfagnini, voici l’Orangerie qui est une extension de la galerie avec vue sur la cour de marbre. Aux manettes, le chef David Bizet. Comptez 95 € pour un lunch avec trois services.
framboiz 07
31 juillet 2016 @ 07:19
Joli décor, jolies fleurs & jolie addition , car à 2 ça va, à 4 , ça commence à faire cher …
Baboula
31 juillet 2016 @ 11:18
Ce n’est pas plus cher ,c’est proportionnel .On peut essayer 2 qui mangent ,2 qui regardent.
Zeugma
31 juillet 2016 @ 09:16
L’entrée va de 30 à 42 euros, le plat principal garni de 55 à 58 euros et les desserts sont à 22 euros.
Le verre de vin est à 23 euros.
Si on ne prend qu’un plat (pour moi la sole à 58 euros !) et un dessert cela fait 103 euros avec un verre de vin.
Il faut laisser un petit pourboire et on va donc vers les 110 euros.
Bon, on ne peut pas se permettre ça tous les jours mais c’est le prix à payer pour le George V – son très grand luxe (un peu bling bling) – et admirer les superbe bouquets de fleurs qui sont disposés dans l’entrée.
Il faut se la jouer un peu et se mettre sur son trente et un – même pour le déjeuner – mais le diadème n’est pas nécessaire.
Baia
1 août 2016 @ 13:58
Zeugma, vos petits comptes d’apothicaires m’amusent mais vous n’êtes pas très sympa pour les proprios des restaurants dont ce site nous donne les bonnes adresses.
Allez, je me fais fi de vos écrits et ce soir je vais inviter deux de mes enfants, et sans etre branchée sur ma calculatrice ?
Zeugma
1 août 2016 @ 18:44
Baia,
Ne vous faites pas trop de soucis pour les propriétaires du George V.
Vous écrivez que je ne suis « pas très sympa » mais je l’ai été en l’occurrence.
Ce genre de restaurant peut-il plaire à des enfants ou des adolescents ?
Je vous laisse juge.
De mon temps, on n’aurait pas tenté l’expérience.
(Je suis passé devant le restaurant « Le Grand Véfour » à Paris cet après-midi en traversant le Palais Royal. Le restaurant est fermé pour le mois d’août mais la carte est en place.
La sole est facturée 128 euros.
J’espère qu’elle est bonne.)
Leonor
31 juillet 2016 @ 11:11
Le snobisme de la cuisine, des chefs étoilés qui ne font plus la cuisine mais des affaires, des stars en tablier blanc amidonné etc etc qui viennent jacasser à la télé , ça commence à me gonfler sévèrement.
M’intéresse pas. Mais alors pas du tout.
En fait, il ne s’agit pas de se sustenter, ni même de convivialité. Il s’agit surtout de se faire voir.
Exactement le contraire de ce que j’aime.
Mais bon, s’il y a des gens qui veulent bien payer ces sommes aberrantes pour 3 trucs qu’il faut chercher au microscope dans l’assiette, assaisonnés avec des machins-chose improbables et introuvables, après tout, chacun son plaisir.
Robespierre
1 août 2016 @ 07:17
Je suis comme vous, et le mot « me gonfler » est adéquat.
Leonor
1 août 2016 @ 12:59
Oui oui oui, je sais, je sais, mes fils m’ont déjà dit que eux ont quelque chose à gonfler, et pas moi ! :-)) Bonne journée, et bonnes agapes, Robespierre.
Sarita
1 août 2016 @ 23:22
Allons Leonor, les plats ne sont pas « assaisonnés avec des machins-choses », ils sont… (roulement de tambour) … revisités …ça change tout non? ;-)
Danielle
31 juillet 2016 @ 12:01
Jolie décoration florale.
Caroline
31 juillet 2016 @ 22:16
J’ai cru au début à un restaurant dans le magnifique parc de l’Orangerie de Strasbourg!
On ne voit aucun oranger dans cet hotel parisien!
Jean Pierre
1 août 2016 @ 08:16
Chez Westerman au Buerehiesel, la verrière est à l’étage.
Leonor
1 août 2016 @ 13:13
Anecdote ( vécue) à propos de Werstermann au Büerehiesel, juste histoire de dire qu’on connaît et qu’il nous arriva de pratiquer , faut bien montrer qu’on n’est pas complètement plouc quand même :
Un jour de réception chez Westermann, le cocktail de départ était donné dans le jardin. Parmi les chouyaminis délicieux à déguster , de toutes petites pommes de terre , dans leur robe. Il se trouva des dames fort distinguées, mais fort perplexes , à échanger des regards effarés et incrédules. Comment, Westermann servait des patates même pas épluchées ? Comment cela se pouvait-il ?
On vit alors, à y bien regarder, ces dames fort élégantes éplucher discrètement d’un ongle aigu ces petites merveilles, et balancer ni vu ni connu, croyaient-elles, les épluchures dans les buissons !
Or, les délicats tubercules étaient peut-être des bonnottes de Noirmoutier, ou autre chose, mais tout aussi délicat, en grenaille . Lesquelles peuvent se négocier à prix d’or, selon les saisons.
http://www.ile-noirmoutier.com/ma-decouverte/6-bonnes-raisons-de-venir-sur-lile-de-noirmoutier/les-produits-du-terroir-sur-lile-d-0
Caroline
1 août 2016 @ 10:43
Si j’ écris ‘ pendant’ ou ‘hotel’, pourquoi les voit-on agrandis en bleu avec des majuscules et une sorte de flèche verte? Est-ce nouveau pour la publicité?
Merci d’avance pour vos explications!
Leonor
1 août 2016 @ 13:14
:-)) Les mystères de l’informatique ! Votre ordi a peut-être bu un cocktail au curaçao , Caroline !
Caroline
1 août 2016 @ 21:59
Leonor, mdrrr!
Bonne nuit!
JAusten
1 août 2016 @ 18:50
vous vous partagez le même ordi avec Jo de Vic ?