En 1995 dans un ouvrage intitulé « Mon bonheur de grand-mère« , la défunte Comtesse de Paris évoquait ses petits-enfants en ces termes : « Mes petits-enfants, ils sont si nombreux ! J’en ai trente-neuf. Je pourrais en avoir quarante, mais un petit ange est très vite parti au Paradis. Il s’appelait Louis-Philippe, il avait de beaux yeux bleus« .
La Princesse évoquait le décès brutal du second fils du Prince Thibault, mais aujourd’hui avec le départ du Prince François c’est un autre petit-fils qui s’en est allé.
La Comtesse de Paris avait même consacré un chapitre particulier à ce petit-fils bien aimé intitulé : « François de France, mon petit-fils« .
La Princesse écrit notamment : « Le caractère de François est extrêmement intéressant. Il aime qu’on ait une bonne image de lui. Lorsqu’il était petit, il n’aimait pas se voir et déchirait les photographies qui le représentaient. Tandis qu’aujourd’hui il aime se faire photographier dans les groupes de famille. Mais ce qui est merveilleux chez François, c’est son attitude de recueillement à l’église, durant les offices. Il aime assister à la Sainte messe, qu’il suit très bien. Il communie avec recueillement. Oui, mon François est heureux près de Dieu, en son église. Qu’y a-t-il dans cette âme si pure ? Il y a tant de choses à dire dans le sourire de mon petit-fils »
La Princesse ajoute « François et moi, nous nous sommes toujours compris, même sans paroles. Quand il était petit, il venait souvent passer des vacances chez nous à Eu ou à La Quinta. Pauvre petit bonhomme ! Vers quatre ou cinq ans, à La Quinta, les premières années il rampait vaguement sur le tapis. J’ai décidé de lui apprendre à marcher. Nous étions déjà de très bons amis tous les deux. Et il ne voulait jamais me quitter. »
Plus loin la Comtesse de Paris ajoute « Lorsqu’il vient chez moi, je l’emmène souvent visiter des musées. Il aime regarder les peintures. Les personnages l’intéressent plus que les paysages ».
Sur ce document, le Prince François pose à l’occasion de la premiere Communion de sa soeur la Princesse Marie avec ses grands-parents les défunts Comte et Comtesse de Paris au Manoir de Coeur-Volant. (Merci à Charles – Photo DR)
3 janvier 2018 @ 06:49
je connaissais ce texte mais retrospectivement il est déchirant.
3 janvier 2018 @ 08:26
Tout l’amour d’une grand-mère dans ces mots…la Comtesse de Paris savait aller, précisément au delà des mots et toute sa tendresse a fait grandir cet enfant différent qu’elle savait si bien comprendre.
4 janvier 2018 @ 12:07
DUCHESSE
Pourquoi parler d’enfants différents ? Les handicapés sont des personnes comme vous et moi, avec leur caractère, leur gentillesse, leurs défauts ! je suis allée de nombreuses années à l’APF comme bénévole, alors je connais le monde du handicap ! quand on ne sait pas, on s’abstient d’écrire n’importe quoi
4 janvier 2018 @ 15:52
« différent » n’est pas une insulte!c’est pourtant vrai que les personnes handicapées sont différentes, sans que cela n’ôte l’affection qu’on a pour elles.
Prétendre le contraire, c’est être dans le déni!
mon troisième enfant, 16 ans depuis peu, est multidys et va être « enfin » reconnu à la MDPH.Je le considère comme différent de ses deux ainés, sans que cela n’entame l’immense amour que j’ai pour lui (et pour les deux autres évidemment :)
Simplement, « scolairement » parlant par exemple, mon mari et moi savons qu’on ne peut attendre de lui les mêmes études que son frère ou sa sœur, justement parce qu’il est « différent »
4 janvier 2018 @ 20:28
Vous avez tout à fait raison, Trianon.
4 janvier 2018 @ 23:03
Je respecte votre commentaire d’une mère aimante, même si je ne suis pas de votre avis. Pour moi toutes les personnes sont égales sur terre. Bonne soirée.
5 janvier 2018 @ 12:23
merci Duchesse, disons que la différence ( selon moi) ne hiérarchise pas les personnes pour autant…
3 janvier 2018 @ 08:30
que j aime cette photo et ce texte
3 janvier 2018 @ 08:38
Cela fend le cœur… Puissent cette photo et ces paroles apporter une lumière à la famille d’Orléans dans le deuil et, à tous ceux qui sentent parfois perdus dans le festival des idées contemporaines, rappeler qu’il demeure des choses qui nourrissent nos âmes : la vie d’un enfant, les surprises qu’il réserve et l’exemple qu’il donne, la Sainte Cène ou la Communion, l’Art…
Bonne et heureuse année Régine et à tous les lecteurs de Noblesse et Royautés.
3 janvier 2018 @ 08:42
Un bien beau et tendre regard de la part de la Comtesse de Paris sur cette photo et une magnifique compréhension de cette grand-mère face à ce petit-fils « différent ».
ml
3 janvier 2018 @ 10:02
Merci Charles pour ce très beau témoignage de la Comtesse de Paris. En effet, comme je le disais dans un autre commentaire, François faisait partie de ces « tout petits » que JC aimait tant … Sans le comprendre, il avait déjà en lui une prescience du « divin ». Il en était sans doute beaucoup plus proche que nous qui n’avons pas cette simplicité du coeur….
3 janvier 2018 @ 19:01
Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux.
Matthieu, 5.
4 janvier 2018 @ 22:10
Je ne comprends pas ce verset comme vous, mais pour ce qui est de l´idée, je vous rejoins.
3 janvier 2018 @ 10:03
Merci Charles , je n’ai pas osé faire paraitre ces phrases de Madame, issues de son livre. Dans l’intimité de la rue de Miromesnil, la Comtesse de Paris parlait facilement et avec amour de François et de Blanche. Si toutefois, Isabelle d’Orléans n’avait pas été une Mère parfaite, prise par ses obligations mondaines et ses maternités, Elle était une Grand-Mère aimante et présente. Tous ses petits-enfants l’adoraient . Mais le Prince François et la Princesse Blanche avaient une place privilégiée dans son cœur. Nul doute que le Prince a retrouvé sa Royale Grand-Mére dans la joie et la lumière.
3 janvier 2018 @ 10:12
C’est un article particulièrement profond,vibrant, humain, vivant…plein de coeur,au coeur des sentiments dénués de fausse pudeur…je ressens vraiment cet hommage à François et je l’aime.
La Comtesse de Paris ici me semble très belle,attentive, féminine, d’une noblesse indiscutable propre à son esprit et à son rang. ..le Comte a une belle expression aussi,attendrie et douce,chez un homme que je considère comme très dur habituellement.
Merci,Charles…vous êtes un lien réel et efficace entre nous et cette famille. ♡
3 janvier 2018 @ 10:18
Je pense que François a reçu plus d’attention de la part de sa grand-mère, que de son grand-père. J’aurais aimé lire ces mots de la part de feu le comte de Paris.
3 janvier 2018 @ 17:38
Regardez la manière dont le petit-fils tient la mien de son grand-père, Margaux: c’est très exactement la manière dont mon fils tient la mien de son grand-père, dont il est pour ainsi dire inséparable.
Cette photo ne ment pas sur le lien entre grand-père et petit-fils.
3 janvier 2018 @ 19:50
Oui.
4 janvier 2018 @ 11:03
Vous avez certainement raison mais admettez qu’il a toujours été difficile de saisir vraiment le fond de la pensée de cet homme. Il avait ses raisons mais pour ceux qui l’on fréquenté, au quotidien ou plus occasionnellement, il était un mystère sur bien des points.
4 janvier 2018 @ 23:38
Je ne sais que vous répondre, Christian. Mon sentiment personnel est que le comte de Paris était un homme extrêmement intelligent, qui a hélas été déçu par ses enfants et qui a vu ses ambitions politiques réduites à néant, et qui a peut-être été amer. Mais je ne parviens pas à croire les tombereaux d »injures qui ont été déversées sur lui depuis son décès, y compris, hélas, par certains de ses enfants!
5 janvier 2018 @ 01:26
Je n’avais pas porté attention à cela, merci de ces remarques.
3 janvier 2018 @ 10:21
Quelle belle femme sur cette photo avec ce regard attendri….
qu’il est loin le temps ou la famille de France rayonnait !
3 janvier 2018 @ 10:36
C’est assez dur de lire le témoignage de feue la comtesse de Paris sur son petit-fils différent.
3 janvier 2018 @ 10:46
La Comtesse de Paris et son petit-fils François avaient créé une belle et tendre complicité.
3 janvier 2018 @ 11:07
François a déjà retrouvé sa grand mère adorée au paradis.
3 janvier 2018 @ 17:36
Oui Danielle, maintenant ils sont réunis. Et d’y penser peut atténuer le chagrin de la famille.
3 janvier 2018 @ 11:08
Ce récit montre un être sensible à l’art pictural ; merci Charles.
3 janvier 2018 @ 11:14
Merci Charles , c’est très émouvant , très Beau !
3 janvier 2018 @ 11:21
Ce sont des drames. Des bonheurs peut-être, car ces êtres sont innocents et parfois lumineux. Mais des drames quand même.
Au risque de me faire incendier, j’ajoute ce que personne n’ose dire , ici :
je comprends moins bien comment il a pu être possible que naisse , après François, un autre enfant pareillement affecté , la princesse Blanche.
D’accord, les connaissances n’en étaient peut-être pas encore au même point qu’aujourd’hui, mais enfin, ça ne se passait pas non plus au XVIIIe siècle.
Qu’on me comprenne correctement : je ne parle pas d’avortement ( quoique …). je parle de précautions préalables, d’investigations, de questionnements . C’est une chose que d’avoir confiance en la vie, c’en est une autre que de faire l’autruche.
Mais bien sûr, non plus que d’autres, je ne sais rien de ce qui s’est passé réellement, et loin de moi l’idée de condamner. Juste un questionnement.
3 janvier 2018 @ 13:59
La science n’en était pas au même point.
Une chose est sure la toxoplasmose ne s’attrape qu’une fois .
Le reste appartient à la famille .
4 janvier 2018 @ 08:06
C’est très vrai Laure2…
On a souvent évoqué un lien de parenté trop proche entre les parents?
ml
3 janvier 2018 @ 14:15
Non je ne fais pas partie des personnes qui n’osent dire ce qu’elle pense .eux
Nous ne sommes pas égaux devant ce genre de drames .
Il se trouve que l’un de mes petits neveux, jumeau dizygotes, avec un poids de naissance faible a été placé en couveuse et je faisais le lien entre lui et sa jeune maman à l’autre bout de Paris dans une clinique ouest alors que les urgences l’avaient amené dans l’est de Paris , ma nièce étant près de la jumelle née à poids a peu près normal pour ne pas être placée en couveuse .
Pendant ce temps son voisin de couveuse luttait contre la mort , tout petit paquet de vie tout de même . Ses parents lui manifestaient beaucoup d’amour et de présence , remplacés parfois par sa grand-mère , charmante dame avec laquelle j’échangeais parfois sur nos deux prématurés.
Je l’ai surprise une fois en larmes et je tentais de la consoler en lui disant (et c’était vrai pour beaucoup d’entre eux) qu’il y irait vers un poids normal dans quelque temps .
Mais je ne le souhaite vraiment pas me répondit elle – je prie pour qu’il n’en aille pas ainsi .
Je demeurais interloquée , elle me précisât , il est trisomique .
Mes enfants ne veulent rien entendre , ils désirent cet enfant .
Personne ne pouvait se mettre à la place de ces parents et de cette grand mère .
Je ne peux pas répondre à ce genre de questionnement .
3 janvier 2018 @ 15:10
à l’époque l’amio synthèse n’existait pas. Donc, impossible de déceler quoi que ce soit sur le fœtus.
De plus, la toxiplasmose de la princesse n’avait pas été diagnostiquée.après la naissance de François
Selon la comtesse de Paris, la famille a même pensé à un problème de consanganité
J’ajoute qu’à notre époque moderne, il existe encore des naissances d’enfants handicapés , malgré tous les moyens de détection
3 janvier 2018 @ 23:49
« la toxiplasmose »
Et ça aussi, c’est quoi ?
4 janvier 2018 @ 10:47
ToxOplasmose.
cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Toxoplasmose
Descendre au chapitre 3 » Toxoplasmose et grossesse ».
5 janvier 2018 @ 01:04
Je pense qu’il connait la toxoplasmose, mais pas la « toxiplasmose ». ?
7 janvier 2018 @ 13:47
C’est ça. Ma remarque sur « amio synthèse » a été censurée, preuve qu’il n’y a pas que Ellen qui bute sur ce mot, pourtant courant.
5 janvier 2018 @ 01:01
Amniocentèse
Toxoplasmose
Consanguinité
?
3 janvier 2018 @ 15:23
Je pensais que d’avoir été en contact avec ce parasite aurait immunisé la princesse pour toutes ses grossesses .Coucou Corsica ,j’espère que rien d’ennuyeux vous retient loin du site.
3 janvier 2018 @ 15:41
Je partage votre douloureux questionnement, Leonor.
3 janvier 2018 @ 15:41
Vous posez la question de l’amniocentèse, nul ne pourra y répondre sauf les intéressés.
3 janvier 2018 @ 21:34
Je partage votre sentiment Jean Pierre. Pour avoir exercé dans un service de Génétique Médicale et pour avoir été confrontée à des situations dramatiques (trisomie ou autres…), les parents sont SEULS et la décision leur appartient devant les résultats de l’amniocentèse ou de biologie moléculaire. Personne ne peut se mettre à leur place et, croyez moi, cette situation est fort douloureuse pour tout le monde….Certains commentaires sont superflus.
4 janvier 2018 @ 10:41
Si c’est moi que vous visez, vous m’avez mal lue.
J’ai clairement dit que c’est AVANT une grossesse suivante qu’il aurait été utile de procéder à des investigations. Pour détecter si possible els raisons du handicap et tenter de traiter la mère avant toute nouvelle grossesse.
C’est quand même intéressant, de tenter d’éviter à un enfant de naître handicapé, de tout faire pour qu’il naisse sain, non ?
Et il apparaît, selon les informations qu’apporte ici Marianne, que la duchesse ( la maman) a dit la même chose, ultérieurement.
3 janvier 2018 @ 17:44
Oui, ce sont des drames, car, et je peux en témoigner, pendant des siècles ils étaient tués, tout simplement. Mais après la guerre et l’horreur des camps, il fut décidé qu’ils auraient une place à part dans la société. Qu’ils vivraient et bénéficieraient même d’une pension. Soit on naît handicapé, comme ma demi-soeur née trop tôt, ou mon grand-oncle qui a fait une méningite à deux ans, soit comme moi diverses choses qui se sont « installées avec le temps ». Mais il a des parents qui ne souhaitent pas avorter par conviction parentale ou chrétienne ou qui ne veulent pas abandonner leur enfant en asile. Ce n’est pas facile. Oui l’avortement existe et qu’il vaut mieux vivre en bonne santé que pas du tout, mais je crois qu’il existe quelque chose de très fort l’amour de son prochain et du dévouement envers les personnes nées différentes.
Cela a crée des filières professionnelles et je peux témoigner que je survie grâce aux progrès incessants de la médecine et que mon coeur est acquis à tous ceux qui donnent pour nous et notre allocation. Bénie soit la France et les français au coeur généreux,
Mais je vous ai comprise, ma chère amie. Je ne vous jugerai pas. Car quand je vois ma petite soeur, je me dis que ce n’est pas juste pour elle, et qu’elle est consciente d’être différente. Ils sont très intelligents, capables, si on les éduque ce qui est un sacerdoce. Je jugerai plutôt l’acharnement thérapeutique. Là c’est un vrai débat.
3 janvier 2018 @ 18:42
Vous avez bien fait de poser la question , c’ est naturel .
Mais ne sachant pas, vous auriez dû éviter de parler d’ avortement ou de « faire l’ autruche » !
Voici : -dans une revue, la maman -M.T. de Wurtemberg- en a parlé avec colère et amertume : elle avait attrapé la toxoplasmose avant la naissance de Blanche mais la cause du handicap de cette dernière n’ a pas été recherchée , à ce sujet la Duchesse a parlé de « médecins incapables » …
Ce n’ est qu’ après la naissance de Jean que les recherches ont été faites, et la Duchesse soignée efficacement . Les enfants suivants sont donc nés exempts des conséquences de cette maladie terrible pour les foetus .
Je vous invite à vous documenter sur cette maladie, la maman porteuse est souvent sans symptômes . Maintenant on recherche systématiquement si la femme enceinte a été immunisée .
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/15472-toxoplasmose-symptomes-et-traitement
3 janvier 2018 @ 18:45
Ma réponse est pour Leonor , évidemment .
4 janvier 2018 @ 11:05
Après la naissance de Jean ? Devons-nous déduire que le duc de Vendôme est également né avec des stigmates de la toxoplasmose ?
3 janvier 2018 @ 19:24
Merci, les uns et les autres, d’avoir réagi à mon questionnement, voire d’avoir apporté vos témoignages.
Je tiens à préciser, pour l’un ou l’autre qui ne m’a pas tout à fait comprise.
+ Non, je ne fais pas l’apologie de l’avortement, du tout. Mais il est vain de penser qu’en pareil cas, personne ne se la poserait. J’aime bien regarder les réalités en face.
+ Mon propos , Claude-Patricia, qui me traitez en amie – merci – mon propos ne portait pas à proprement parler sur le sort à réserver aux handicapés.
LA question que je me posais, c’est pourquoi , comment a-t-il pu se faire qu’après la naissance de François, personne ne se soit apparemment posé de question ou n’ait fait mener des investigations et examens médicaux, » permettant » ainsi la naissance d’un second enfant pareillement handicapé. ( C’est ce que j’appelais » faire l’autruche » ) .
A cette question, Jean Pierre et Marianne ont apporté des éléments de réponse.
D’après Wikipédia, l’amniocentèse ( pour mon précédent message, je ne trouvais plus le nom de cet examen) existe depuis 1950, même si elle n’était pas couramment pratiquée.
On est donc fondé à penser qu’après la naissance d’un enfant handicapé, et avant toute autre nouvelle grossesse, il aurait été judicieux d’y recourir.
Non pour éliminer un enfant en gestation. Mais AVANT la gestation, pour tenter de comprendre, et de traiter la mère, préventivement, si possible.
C’est là que Marianne apporte la réponse : » la Duchesse – la maman – a, donc, parlé de » médecins incapables ».
Voilà. Je ne savais pas.
C’est là qu’était mon questionnement.
Merci, Marianne, pour votre contribution.
Et que cet homme, François, repose maintenant en paix, ange parmi les anges, pareil aux autres anges.
Et que la paix soit avec sa mère, la duchesse de Montpensier, pour tout l’amour qu’elle a donné à ces deux enfants, et tout le soin qu’elle a pris d’eux.
4 janvier 2018 @ 08:46
Leonor je me pose les m^m questions que vous , et les réponses données ne me satisfont pas ou peu .
4 janvier 2018 @ 11:10
il y a des médecins effectivement complètement fous qui ne répondent pas aux interrogations de leurs patients. Par mépris. Ils savent tout et ne comprennent pas que l’on n’en sache pas autant qu’eux…Et parfois il est même recommandé de ne pas poser de questions…
3 janvier 2018 @ 20:10
Léonor, moi non plus je ne comprends pas.
Pour ma 1ère grossesse, je n’étais pas immunisé donc une prise de sang tous
les mois. Pour le 2ème je l’étais je ne me suis même pas rendu compte que je l’avais attrapée, étant immunisé le suivi fut normal et les 3ème et 4ème , aucun problème !
Je croyais que la toxoplasmose se portait sur les yeux .
3 janvier 2018 @ 20:33
Je lis avec effroi votre commentaire.
Ne peut on pas aimer avec le même amour un enfant différent, blessé dans son intelligence.???
Qu est ce que cette politique eugéniste que vous semblez préconiser à mots couverts???
Cela me rappelle douloureusement et honteusement les propos qui étaient tenus pendant le 3e Reich sur la sélection des races. …
Cela me fait froid dans le dos.
4 janvier 2018 @ 10:45
Vous m’avez mal lue.
Relisez, je vous prie.
Au cas où ce ne serait toujours pas clair, je veux bien, Néoclassique – car j’apprécie toujours vos articles et commentaires – réexpliquer ma question.
Et, Néoclassique, si VOUS me lisez parfois, vous aurez peut-être compris, du coup, que je ne parle JAMAIS à mots couverts. Les insinuations et compagnie, ce n’est pas mon genre.
Cordialement, mais s’il vous plaît, relisez. Sans grille erronée.
4 janvier 2018 @ 02:12
Dans son livre,la comtesse de Paris raconte que la comtesse de Clermont ignorait qu’elle avait contractée la toxoplasmose . Le prince Francois est donc né handicapé. C’est pendant qu’elle attendait la princesse Blanche qu’un médecin a fait le bon diagnostic. La comtesse de Paris précise que l’on a administré à sa belle-fille » des remèdes de cheval » et que » Blanche est née moins handicapée que François « .
Une de mes amies mère de trois enfants ,n’étant pas immunisée contre la toxoplasmose a passé ses trois grossesses a mangé de la viande archi-cuite pour éviter de la contracter,entre autres précautions bien sûr, et tout s’est bien passé,heureusement .
4 janvier 2018 @ 02:13
Sorry : » à manger « .
4 janvier 2018 @ 08:03
J’ai fait pareil Mary…c’est très dangereux pour le foetus si la mère attrape ce virus…pourtant anodin pour elle!
ml
4 janvier 2018 @ 19:33
Contente que tout se soit bien passé pour vous , Milou !
4 janvier 2018 @ 11:16
La toxoplasmose ne se contracte qu’une seule fois, par contre elle peut impacter plusieurs enfants du sujet infecté, surtout si elle est mal traitée, quoique le meilleur des suivis n’empêchera jamais rien. Il faut aussi retenir que la consanguinité est un facteur favorisant l’immunodépression, tout autant que l’apparition de malformations. Un fœtus de parents génétiquement proches est alors plus exposé, même s’il n’y a de stricte vérité nulle part et que tout est possible, observable.
Il n’en demeure qu’à l’échelle de l’homme c’est une triste nouvelle.
3 janvier 2018 @ 11:32
Très émouvant, le prince François devait être très attachant avec les siens.
3 janvier 2018 @ 11:35
Belle image avec ce sourire complice et bienveillant de la comtesse de Paris pour son petit-fils François.
3 janvier 2018 @ 11:38
De manière générale la comtesse de Paris donnait l’impression d’être très épanouie dans son rôle de grand-mère.
Le livre évoqué ici par notre ami Charles constitue un témoignage personnel qui met en lumière l’intérêt de la narratrice pour les générations suivantes.
Elle me fait penser à la reine Marie-Amélie au soir de sa vie, laquelle exilée en Angleterre s’intéressait sincèrement au sort de ses nombreux petits-enfants établis à Bruxelles, à Vienne, à Cobourg ou à Séville.
3 janvier 2018 @ 12:39
Encore plus émouvant de revoir le prince François petit garçon.
Je ne peux m’empêcher de remarquer l’élégance de la comtesse de Paris.
3 janvier 2018 @ 12:48
très touchante pensée d’une grand-mère.
Je suis néanmoins surprise que le prince François ne marchait toujours pas à quatre-cinq an et que ce soit la comtesse qui ait dû lui apprendre à marcher.
3 janvier 2018 @ 20:26
Idem, J Austen , ça m’a frappée , j’aimerais rappeler le rôle de Lino Ventura , qui a mis le problèmes des enfants handicapés » sur le tapis » et a réussi à les faire considérer, idem pour Michel Creton ,qui a fait évoluer la loi .
Il est regrettable, que les princes -ou leur famille – ayant eu deux enfants handicapés , des moyens, des relations , n’aient pas créé une association à ce sujet ou sur la toxoplasmose : C’était leur tâche ,il me semble …
Le texte de la Comtesse est émouvant , elle devait être une femme de décisions , elle aurait pu dire, « cet enfant doit marcher « , elle n’a rien dit et s’est attelé au problème , ce qui montre son caractère déterminé ! Et l’enfant a marché …
A ce type de détails, on voit le changement de considération , envers les enfants handicapés, depuis lors , même s’il reste à faire …
4 janvier 2018 @ 09:12
Framboiz 07 vous citez L.Ventura et M.Creton c’est parfait et permet de constater que » chez ces gens là » ceux , qui ne pensent pas mais pensent tout de même – avec grande lucidité – , on est bien plus évolué que ds certaines couches dites supérieures de notre société .L’arrivée d’un enfant handicapé pose problème certes mais se doit d’être résolue normalement ss dissimulation voire fausse honte et ds bien des familles hélas! ce n’est pas encore le cas.
4 janvier 2018 @ 11:24
Il existe déjà un grand nombre d’associations et fonds dédiés à la toxoplasmose, alors les princes ont donc sûrement jugé préférable d’accorder leur soutien à l’une d’elle, d’abonder l’un d’eux, plutôt que créer. C’est tout aussi louable.
Une de mes proches est sourde, là aussi il existe une foultitude d’associations qui, au surplus, couvrent le large champ des causes de la surdité congénitale. J’aurais donc moi aussi pu « créer quelque chose » mais j’ai préféré apporter un soutien à une entité déjà existante, tournée vers l’insertion de ces personnes finalement « normales » en dehors du fait qu’elle n’entendent pas, et j’y suis toujours engagé malgré les années qui passent.
Bien à vous.
4 janvier 2018 @ 17:15
Certes, Christian , mais jamais on ne voit de messages sur les risques de la toxoplasmose , je suis un peu plus âgée que François et je me dis que ma mère, quand mes frère et sœur , après moi ,sont nés ne devait pas savoir qu’il faut manger bien cuit …
En Afrique, le savent-elles , les futures mères ?
Ceci dit, la princesse a eu une vie , avec beaucoup de malheurs …et aussi de courage , mais je pense que le papa doit aussi se poser des questions , surtout maintenant …Triste .
5 janvier 2018 @ 01:11
En effet, ils n’ont pas « creusé » la question.
3 janvier 2018 @ 13:29
Madame la Comtesse de Paris avait un cœur aimant de grand-mère….
3 janvier 2018 @ 14:17
La Comtesse de Paris a été une grand-mère exceptionnelle pour ses 39 petits-enfants qu’elle adorait.
Après une série d’épreuves, la Princesse s’est révélée dans son rôle de grand-mere auprès de sa « tribu ». Les pèlerinages en famille restent les meilleurs souvenirs des « 39 » qui aiment s’en souvenir aujourd’hui encore avec nostalgie.
3 janvier 2018 @ 19:29
Oui, quand elle dévalait un escalier de basilique quelque part, au volant d’un autobus, dans lequel elle avait embarqué sa tribu ! Ca, il est certain qu’ils s’en souviennent, les ptits-enfants ! ;-)
Je ne sais plus si c’est elle qui le raconte dans ses Mémoires, ou l’un de ses petits-enfants. En tout cas, je ne l’ai pas inventé.
J’adore la fantaisie et le côté déjanté de cette dame.
3 janvier 2018 @ 14:17
Il est beau cet enfant sur cette photo
3 janvier 2018 @ 15:06
Bel article et photo très touchante . Savez vous quand ont lieu les obsèques du Prince ? Peut-être ai-je raté l information , A moins que la famille ne souhaite que la cérémonie reste intime ?
4 janvier 2018 @ 00:33
Les obsèques du Prince François seront célébrées samedi à Dreux.
3 janvier 2018 @ 15:18
Je ne comprends pas. Les mots de la Comtesse de Paris sont très émouvants. Mais il suffit de regarder les actualités pour assister à des scènes tout aussi déchirantes. Les ruisseaux de guimauve (comme dans ce cas) ou de fiel (la maigreur de la reine d’Espagne par exemple) n’apportent rien à ce site qui pourrait être un peu plus digne.
Lisez un peu plus de livres d’histoire par pitié !
Un ami me disait; Noblesse est Royauté, le meilleur ce sont les commentaires, vraiment trop drôles.
3 janvier 2018 @ 18:49
Quelle justesse dans ce commentaire, quelle vérité !
3 janvier 2018 @ 19:35
Oui, d’accord, mais bon.
Dites, Nozzari, un peu de rose dans la vie, on en a besoin aussi.
Les machins terribles dont nous abreuvent les » actualités » comme vous dites, ça, on en a à satiété.
Et ça n’est pas en jouant les grands moralistes et donneurs de leçon comme vous le faites que ça va y changer quelque chose. Au contraire, vous en rajoutez dans le morose, et ça, ce n’est pas … moral !
Rire et sourire, ça, ça l’est, moral.
Et puis, en fait de livres d’histoire, si vous y contribuiez un peu, à nous raconter des trucs intéressants, coté Grrrrrande Hhhhhistoire ? Parce que, à part votre grandiose critique, là, on ne vous a encore guère entendu.
Mais gaffe, l’ami, vous n’êtes pas le seul, ici, à avoir ( prétendre avoir ? ) des lumières en la matière.
Même si tout le monde n’a pas votre prétention.
4 janvier 2018 @ 16:21
Ne me dites pas Leonor que propos acerbes et joutes oratoires entre intervenants (proches parfois des égouts ) est , ce que vous appelez « du rose ds la vie » ?
5 janvier 2018 @ 11:14
décidément, Limaya, vous avez une vue parcellaire des choses.
S’il y a des échanges acides sur N&R, il y a aussi et surtout des échanges intéressants même si parfois musclés quand ils sont bien argumentés et de bonne foi. Il y a des échanges d’informations, de savoirs, d’expériences, de voyages.
Il y a des échanges amicaux , et de soutien personnel.
Entre autres.
Lisez-les, Limaya ! Et changez votre grille de lecture !
5 janvier 2018 @ 18:42
Oui,Léo…on y débat des sujets de société,de qualité et d’actualité, aussi…pas seulement de royautés…le racisme récemment,la condition féminine,la considération pour les animaux, la famille,et aujourd’hui,le handicap. …c’est très riche.On est bien,ici.♡♡♡.
7 janvier 2018 @ 00:00
Le fiel puisque l’expression a été employée ne nous sert pas beaucoup et il y a d’autres manières de s’exprimer à mon sens.
4 janvier 2018 @ 17:10
Très bien dit, Leonor ! d’accord avec vous !
7 janvier 2018 @ 19:00
Bien évidemment cher Gérard !
5 janvier 2018 @ 07:18
Nous sommes, enfin pour ma part, sur ce site, pour justement oublier, un instant, la-les réalités du monde,nozzari…
ml
3 janvier 2018 @ 15:41
Très émouvant.
3 janvier 2018 @ 15:49
Jolie photo familiale. Madame a toujours aimé son rôle de grand mère. Je crois que pour bien des femmes, c’est le plus beau des plaisirs. La reine Victoria l’a dit, et toutes les grands-mères du Gotha actuel, le disent elles aussi.
Pour les petits enfants, c’est réconfortant, et plus d’amour aussi. Tous les petits enfants des Comtes de Paris, peuvent l’assurer.
3 janvier 2018 @ 16:07
sait-on de quoi est décédé le Prince François ? et quand auront lieu ses obséques? merci
pour votre reponse
3 janvier 2018 @ 16:10
Une émouvante photo.
3 janvier 2018 @ 16:11
J’ai connu plusieurs personnes qui manifestaient envers leurs petits-enfants une douceur, une patience et une attention qu’ils n’avaient pas, ou pas autant, pour leurs enfants. J’imagine que la Comtesse de Paris était dans ce cas. C’est en tout cas ce que suggèrent ces lignes où elle évoque le prince François.
Il est vrai que le rôle de grand-parent plus facile à tenir que celui de parent.
3 janvier 2018 @ 16:53
Merci beaucoup Charles de nous avoir rappelé ces beaux écrits de la Comtesse de Paris sur François. Ces sentiment bien sûr étaient les mêmes que ceux de son époux mais les hommes et surtout ceux de son temps se livraient rarement sur les questions privées.
Les mains entrecroisées de l’enfant et de son grand-père suffisaient.
3 janvier 2018 @ 17:28
bonjour à tous
merci à Charles de nous remettre en mémoire ce texte si émouvant de Madame . Elle avait bien perçu avec son cœur L’âme du prince François et c’est bien le portrait que Charles nous a fait de ce prince attachant.
Comment sa sœur la princesse Blanche va-t-elle accueillir cette triste nouvelle ?
amitiés du sud ouest sous la pluie
3 janvier 2018 @ 17:33
Quels écrits émouvants de la part de cette royale Grand Mère , tout vient du cœur. Cette lecture donne les larmes aux yeux. Mais je rejoins un peu Leonor, est ce la consanguinité qui a joué (mais d’ou viendrait elle) ou alors la simple malchance ? Quant au Comte de Paris je l’écris comme je le pense nul comme époux et comme père, style courage fuyons . Pour la duchesse de Montpensier double peine. Tellement peu juste les enfants qui partent avant leurs parents.
4 janvier 2018 @ 11:01
Michèle Lobre, on sait , maintenant, que c’était la toxoplasmose. Cela a été communiqué depuis. La duchesse ( la maman) – ainsi nous l’apprend Marianne -, a par la suite amèrement regretté qu’aucune investigation n’ait été faite après la naissance du prince François, et qu’une recherche n’ait été faite , lors de la grossesse suivante , que très tard. Faite plus tôt, en début de grossesse, et en cas de résultat indiquant la présence d’une toxoplasmose, il y a moyen de suivre de près mère et foetus, et de mettre en place les soins recommandés, qyu peuvent permettre d’éviter le handicap, totalement, ou partiellement.
Et, bis repetita repetita repetita : ce n’est pas d’avortement que je parle. C’est de précaution préalable, ou de soins etc en début de grossesse.
Ca serait bien si on me lisait correctement, sans grille de lecture préfabriquée. Grrrr.. ( Ce n’est pas à vous que s’adresse mon grognement, Michèle Lobre, c’est à certains lecteurs qui lisent en surface, et enclins à me prêter des propos et pensées qui ne sont pas les miens).
Quant au 2e § de votre message, Michèle : entièrement d’accord aussi Cordialement à vous.
4 janvier 2018 @ 18:03
Léonor, allo, comment voudriez-vous toujours éviter le handicap??
5 janvier 2018 @ 11:12
Je n’ai jamais écrit » toujours », Claude-Patricia.
Je parle, ici, de la toxoplasmose et de ses effets.
Et, oui, on peut en limiter els effets ( cf. Margaux ci-dessous), voire les prévenir.
5 janvier 2018 @ 16:46
Leonor s’accroche à ses » grilles de lecture » 3 ou 4 fois citées en peu d’interventions…il va falloir si faire
7 janvier 2018 @ 23:51
S’ Y faire, Limaya, S’ Y faire . Eh oui.
5 janvier 2018 @ 01:13
Il est quand même très dur d’éviter les séquelles de la toxoplasmose. Par contre, en limiter les conséquences, oui ça c’est faisable.
7 janvier 2018 @ 00:04
La consanguinité n’avait vraiment rien à voir avec le handicap. Éloignons-nous des blagues sordides à cet égard et qu’on a pu entendre à la télévision et qui sont une honte pour les personnes handicapées. Évidemment la honte n’est que pour ceux qui trouvent à plaisanter sur ce sujet.
8 janvier 2018 @ 00:01
Consaguinité et handicap :
Non, dans le cas du prince François, le handicap n’avait rien à voir avec la consanguinité.
Mais en général, bien sûr, si , la consanguinité présente des risques majeurs .
Je ne vois pas comment on pourrait le nier .
Ici, entre moult autres lectures plus scientifiques, cet article du Monde :
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/05/01/au-maroc-ces-enfants-malades-des-unions-consanguines_5120559_3212.html
Ceci dit, Gérard, bien sûr aussi que ce ne sont pas des situations qui permettent la plaisanterie.
Sauf à penser qu’on peut rire de tout : problème philosophique et éthique. Problème éternel et d’actualité d’ailleurs, puisque » anniversaire » ces jours-ci de l’attentat Charlie Hebdo.
3 janvier 2018 @ 17:33
un bel hommage très émouvant et tout l’amour d’une grand-mère pour ses petits-enfants ! je crois que la petite Marie était elle aussi handicapée !
4 janvier 2018 @ 02:50
Non Marie n’a jamais été handicapée. Elle a toutes les qualités de l’intelligence et du cœur. Elle a été comme ses frères un grand secours pour sa mère, c’est une princesse formidable.
3 janvier 2018 @ 17:41
un bel hommage très émouvant et tout l’amour d’une grand-mère pour ses petits-enfants ! je crois que la petite Marie était elle aussi handicapée !
vérification faite il s’agit de Blanche une autre petite-fille de Madame la Comtesse de Paris et non de Marie la soeur de françois !
3 janvier 2018 @ 19:10
Marie, Blanche et François sont les frère et soeurs de Jean !
3 janvier 2018 @ 22:00
Blanche est AUSSI la sœur de François
4 janvier 2018 @ 00:49
La Princesse Blanche est la sœur du Prince François.
Honte à « Point de vue »… Cette semaine, couverture: Madame Brigitte Macron!
4 janvier 2018 @ 11:02
Ca fait longtemps que Pdv a perdu tout sens des valeurs.
4 janvier 2018 @ 11:15
Ils l’évoqueront peut-être. Affaire à suivre en effet. Mais la famille ne souhaitera peut-être pas plus de publicité, allez savoir.
4 janvier 2018 @ 19:30
Bah, avec les fêtes, le numéro devait déjà être bouclé… Et puis, cela fait bien 15 ans que PdV n’est plus ce qu’il était.
5 janvier 2018 @ 07:21
Mais Blanche est la soeur de François…et de Marie aussi, Marie-Françoise…
ml
5 janvier 2018 @ 19:07
encore un nouveau pseudo ml, je me demandais aussi … point de commentaire de notre marie louise mdr
3 janvier 2018 @ 19:00
Sur les questionnements,la comtesse de Paris a écrit dans son livre avec l’autorisation de la duchesse de Montpensier précise-t-elle : »ma belle-fille a subi des traitements de cheval ».
3 janvier 2018 @ 21:32
quel probleme pour la famille de france : où inhumer le prince françois ? A dreux sans doute mais loin de sa maman qui elle n’y reposera pas !
4 janvier 2018 @ 09:26
Et pourquoi la duchesse de Montpensier, la maman de François, ne reposerait-elle pas à Dreux ?
4 janvier 2018 @ 10:07
Mais pourquoi voulez-vous que, le plus tard possible, la duchesse de Montpensier ne repose pas à Dreux ?
4 janvier 2018 @ 12:29
Terry, quel que soit le lieu où reposera un jour Madame la Duchesse de Montpensier, son fils sera avec elle, puisque dans son cœur, ce cœur qui l’a tant aimé, et qui est sa seule demeure dans le Christ.
4 janvier 2018 @ 17:08
Qu’en savez-vous?
5 janvier 2018 @ 01:23
Vous ne savez strictement rien de ce que vous alléguez.
5 janvier 2018 @ 20:34
et vous Margaux ;?
6 janvier 2018 @ 19:19
J’avoue que j’aimerais le savoir.
7 janvier 2018 @ 13:52
Personne ne sait, ni le Comte de Paris, ni ses fils n’ont communiqué à ce propos. Il semble quand même que la mère des héritiers ne soit pas bannie comme d’autant semblent vouloir le croire. Il est loisible de penser ce que l’on veut de cette famille – je n’en pense pas moi-même que du bien, mais ses membres restent des humains.
3 janvier 2018 @ 22:32
Dans cette photo tout l’amour des grands-parents pour leurs petits enfants. J’aime le regard tendre du Comte de Paris et ce geste rassurant de la main. Tout un symbole.
4 janvier 2018 @ 12:45
Je crois me souvenir que seul le comte de Paris a visité son fils Thibault lors de son incarcération.
Pour un homme de l’orgueil et de la trempe du prince cela vaut bien autant qu’un propos, écrit ou oral.
5 janvier 2018 @ 11:49
Le comte de Paris fit trois fois le long voyage pour se rendre à la prison de son fils et la première fois la presse l’avait su et l’a mitraillé ce qui a été très douloureux pour lui. Il n’est pas impossible que la comtesse de Paris soit également allée voir son fils. Plusieurs des frères et sœurs s’y sont rendus dont Diane et sans doute Henri.
Rappelons que le prince a été condamné à une peine inférieure à celle qu’il a subie puisqu’il a fait 14 mois de détention préventive et qu’il a été condamné à un an de prison avec sursis. Il a toujours protesté de son innocence mais n’a pas interjeté appel.
On sait que les appels en cette matière sont très rarement productifs.
C’était à peu près l’époque où le prince de Naples fut inquiété pour une mort suspecte et eut un sort plus favorable ce qu’en privé le comte et la comtesse de Paris trouvaient un peu curieux. Le cousinage germain avec deux souverains européens avait été mis en avant dit-on discrètement.
6 janvier 2018 @ 15:50
Je pense que le prince de Naples aurait dû écoper d’une plus lourde peine. En prison préventive, il aurait dit à un co-détenu qu’il s’en tirerait sans problème vu son rang, et admettait qu’il avait vraiment tiré sur ce yacht, blessant mortellement un jeune Allemand. J’ai toujours trouvé cet homme méprisable.
Pour le jeune Thibaut, je suis convaincu qu’il n’a pas sciemment servi d’indicateur. Il a pu commettre une indiscrétion, en parlant d’un endroit regorgeant d’objets de valeur, mais ce jeune homme n’aurait jamais trempé dans une histoire de vol. Cela ne lui ressemblait pas.
Son épouse, mise de côté par la famille, ne l’abandonna pas dans cette épreuve. Et son père le comte de Paris eut une attitude digne et ne condamna pas son fils. Paix à l’âme de Thibaut. Et sa veuve devait être une personne de qualité.
7 janvier 2018 @ 06:37
Qu’en savez – vous de la vie du prince de Naples ?
Pour votre information le Prince a toujours été acquitté par les juges
7 janvier 2018 @ 13:57
Vous dégoisez, le prince de Naples a toujours été acquitté (relaxé) par ses juges. Ceci ne présume de rien, c’est juste le résultat d’une action qui ne reposait sur aucune preuve solide. C’est justice.
Au-delà, aimer ou détester le prince ne change rien.
8 janvier 2018 @ 02:55
La princesse Marion n’a pas été mise de côté par la famille et en particulier par le comte et la comtesse de Paris et au contraire elle s’est toujours montrée pleine de gratitude pour ce qu’ils ont fait pour elle et son fils.
Comme la duchesse de Montpensier notamment Marion est restée très proche du comte de Paris jusqu’au bout.
8 janvier 2018 @ 03:02
Toujours en l’espèce n’est peut-être pas le mot car le prince de Naples n’est passé qu’une fois devant la Cour d’assises à l’issue d’une procédure interminable et effectivement il a été acquitté et condamné seulement pour port d’armes.
5 janvier 2018 @ 22:58
Gérard j’ai entendu madame dire qu’elle s »était » trottée » souventes fois à Pau pour visiter son fils , alors…A moins qu’elle n’ait menti , ce que je ne crois pas , elle y a bien été !
6 janvier 2018 @ 16:03
Je me souviens aussi de cette réflexion à l’époque de la comtesse de Paris…
6 janvier 2018 @ 19:03
Vous avez raison Kalistéa. Il me semblait bien. Elle a dû y aller aussi avec le prince.
7 janvier 2018 @ 00:09
Je voudrais compléter à l’issue de cette journée de deuil et d’espérance ce qu’a écrit notre ami Charles.
La Comtesse de Paris dans ses souvenirs de grand-mère évoqua l’Arche et son 30e anniversaire à la Mutualité à Paris : « J’étais assise sur un des bas-côtés à droite du maître-autel. Et au loin, sur l’estrade à gauche, j’ai aperçu François parmi des jeunes gens qu’il dépassait d’une bonne tête. À ce moment, il m’a vue également, au milieu de la foule. Nos regards se sont croisés, pour autant que j’aie pu voir avec mauvaise vue. Mais ce qui est extraordinaire, c’est que François ne savait pas que je devais venir à cette cérémonie. Après la grand-messe, toujours dans cette grande salle où nous étions plus d’un millier, je suis allée, suivant la foule, vers le hall où se trouvaient des stands d’exposition. Je cherchais les livres à un comptoir, et tout d’un coup, François est apparu devant moi, tout souriant. Il m’a tout de suite trouvée dans cette foule. Il m’a baisé la main, je lui ai demandé : « Ça va ? » Il m’a répondu : « Oui, ça va». » Nous nous nous sommes embrassés, il m’a souri et il est reparti. C’était très court, mais nous étions aussi heureux l’un que l’autre. Il sait que je l’aime, et je sais qu’il m’aime. Le silence en amour, comme je l’ai dit plus haut avec bon-papa.
Mon François a également de très belles mains, comme bon-papa. »
8 janvier 2018 @ 13:04
Terrifiants grands-parents.