En la cathédrale de Reims, le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, a assisté à une cérémonie d’hommage aux rois qui s’y sont fait sacrer. (merci à Quentin – Source : Vexilla Galliae)
Dans la mesure où il s’agit d’un hommage aux rois de France qui se sont fait sacrés à Reims, il est tout à fait normal que cela se passe dans la cathédrale de Reims !
Mayg, encore eut-il fallu que son ascendance se soit pliée à la règle des mariages dynastes, qui à l’époque de ses grands parents et de ses parents etait encore de rigueur…. Il n’est donc l’aîné de rien du tout….
Naucratis
13 octobre 2016 @
17:02
Pascalv inventé de nouvelles règles ! Pas question de mariage dynaste ou non dynaste dans la monarchie française.
Les orléanistes ne sont pas à un mensonge près.
Mayg
13 octobre 2016 @
19:01
La règle du mariage dynaste n’a jamais existé appliquée en France.
C’est surtout une coutume des Maison allemandes.
Mayg
13 octobre 2016 @
19:01
n’a jamais « existé »
Ascain2
12 octobre 2016 @
18:42
Hélène, vous avez parfaitement raison de soulever ce point qui est pourtant crucial. Luis de Borbon etant issu de mariages qui ne repondaient pas aux règles dynastiques alors en vigueur (mariage inégal de ses grands parents, encore plus inégal fut celui de ses parents), il ne peut prétendre, en plus des raisons historiques connues de tous et négligées par ses quelques partisans, à être le chef de la Maison de Bourbon.
Vous avez parfaitement raison Ascain 2. La règle des mariages dynastes a toujours été implicite en France, n’en déplaise à Naucratis et a Mayg.
A-t-on déjà vu un prince, chef de Maison, garder son rang en contractant d’aussi mauvaises alliances que celles réalisées depuis 80 ans dans la famille de Luis de Borbon?
Un des seuls de nos Rois qui se soit marié avec une personne d’une naissance plus modeste fut Louis XIV, en secondes noces. Noces gardées secretes, célébrées à un age ou aucune naissance n’était plus possible… Ca en dit long sur cette prétendue absence de mariage non dynaste défendue par certains ici!
jul
10 octobre 2016 @
16:59
Hugues, ce sont des Français qui l’invitent. Allez demander aux Français pourquoi ils ont besoin de renouer avec leurs racines?
On a hate de le voir visiter nos banlieues, nos belles campagnes, nos régions, nos villes, nos hôpitaux, bref la ou les Francais vivent, car Grande Nouvelle, il n’y a pas que dans des Eglises que les Français se trouvent… Quant à dire qu’ils l’attendent, on en est loin!
Ah si au contraire, je le souhaite. Je suis certain que sorti de sa zone de confort habituelle, luis de Borbon ferait encore plus pâle figure…. Quant aux courtisans d’un autre temps qui l’accompagnent de messes en messes, ils seraient certainement moins empressés à faire le tour des banlieues que celui des églises. J’ai hâte!
Quant à la Bretagne j’avoue que sa visite n’ayant certainement pas eu l’écho qu’elle méritait, je ne saurais me prononcer…. A-t-il visité une crêperie?
jul
13 octobre 2016 @
20:54
Oh Thibault, à votre place, je serai plus circonspect.
Jean-François
11 octobre 2016 @
14:50
Ce n’est pas le tout de se dire l’aîné des capétiens pour faire de vous un roi. Initialement d’obédience légitimiste, je suis comme vous désappointé. Il est un fait que nos compatriotes ont oublié leurs racines et il est bon de leur rappeler, mais on aimerait que le duc d’Anjou aille à la rencontre des français, de leurs besoins de tous les jours.
Ah Jean-François, les Français ont assez de personnes qui ne cessent de leur parler de leurs besoins dits « de tous les jours ».
Il semblerait que les besoins matériels ne soient pas les seuls que cherchent à satisfaire légitimement les Français.
Les Français ont besoin de plus que cela. Et il convient au successeur des rois d’être au-dessus, d’évoquer les besoins immatériels dont les Français ont grand’ faim depuis quelques années.
Hélène
12 octobre 2016 @
09:25
On n’est pas prêt de voir Luis Alfonso dans les régions de France puisqu’il refuse de vivre en France et même d’y venir pour ses vacances.
Il vient simplement en avion pour assister à une messe et repartir vivre librement sa vie en Espagne loin des légitimistes obsessionnels qui lui donnent des ordres.
Louis 20 vient repérer les lieux.
C’est simple, il suffit de reprendre le cérémonial du sacre de son lointain cousin – Charles X – le dimanche 29 mai 1825 et le matériel qui fut commandé à l’occasion.
Quelques regalia manquent : la couronne qui fut malheureusement détruite en 1887 et l’épée en diamants mystérieusement volée en 1976 dans la galerie d’Apollon du Louvre.
Il suffit d’en commander des neuves.
Les Bourbon de l’ancien régime se faisaient faire deux couronnes pour leur sacre. Celle de Louis XV fut la première à être incrustée de pierres précieuses. Elle est aujourd’hui au Louvre (avec des pierres fausses).
Les couronnes étaient confiées à l’abbaye de Saint Denis après la cérémonie.
Vous savez Zeugma, Reims n’est pas un lieu désuet, seulement réservé aux sacres de nos Rois.
Le Général de Gaulle choisit la cathédrale de Reims pour une messe à laquelle il convia le Chancelier Adenauer le 8 Juillet 1962.
Notre Président y a prié officiellement. Dans une République laïque, c’est une preuve qu’on peut affirmer les racines chrétiennes de la France. Je suis admiratif.
J’imagine les cris d’orfraie des laïcards si le président, quel qu’il soit, avait été surpris à « prier » dans une église! Actuellement, il se contente de « présider » une commémoration, mais surtout pas assister à une Messe.
Mais la France évolue vers le « bien-être de ces citoyens » paraît-il, comme je viens de le lire ici.
Le prince Louis de Bourbon duc d’Anjou était ce samedi 8 octobre 2016 (c’est pour cela qu’il s’est excusé de ne pouvoir être présent au mariage royal d’Albanie) à la cathédrale de Reims pour commémorer les rois qui s’y ont fait sacrer.
Des «Vive le roi!» résonnent dans la cathédrale de Reims
Une plaque avec les noms des 31 rois sacrés, depuis l’an 816, à la cathédrale de Reims, a été dévoilée, samedi, en présence du prétendant à la couronne de France. Parmi les nombreuses personnes présentes hier à la cathédrale de Reims, beaucoup n’ont pas caché leur admiration pour le prince Louis de Bourbon et, plus largement, leur attachement à la royauté.
Le prince était accompagné de Mgr Jordan, Archevêque de Reims et du député-maire Arnaud Robinet (maire de Reims).
Discours de Louis de Bourbon à Reims et reportage photo
Excellence,
Monsieur le Député-Maire,
Monsieur le Sénateur,
Cher Professeur,
Messieurs les Présidents,
Mesdames et Messieurs les Professeurs,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis
Certes le lieu n’est pas propice à un long discours, mais il m’appartient, comme Chef de la Maison de Bourbon, à ce titre héritier et successeur des Rois de France, de m’exprimer au moment où un acte important vient d’avoir lieu dans la Cathédrale de Reims avec la pose de la plaque des 31 sacres.
Mes premiers mots vont au Professeur Patrick Demouy puisque, si nous avons été réunis aujourd’hui, avec M. le Député-Maire, avec son Excellence l’Archevêque de Reims, c’est grâce à son heureuse initiative. Ainsi, je lui adresse tous mes remerciements. Il est devenu, au fil du temps un des spécialistes des sacres, et par son énergie et sa force de conviction, il a groupé autour de lui à la fois les autorités religieuses et civiles, les chercheurs universitaires et les associations fidèles à défendre la mémoire de la Cathédrale et plus largement celle de notre histoire commune.
Mes remerciements s’adressent aussi à l’Association des Amis de la Cathédrale et à son Président Monsieur Bernard Poret. Ils ont été pour beaucoup dans la réalisation de cette plaque, soutenue par le mécénat, que je salue, de l’Institut de la Maison de Bourbon. Les uns et les autres ont concilié les intérêts des diverses autorités, l’Archevêché, le clergé de la Cathédrale, les Monuments historiques.
Ainsi une plaque est installée dans la cathédrale pour commémorer les 31 sacres qui, depuis celui de Louis le Pieux, il y a 1200 ans, y ont été célébrés et notamment ceux des capétiens. Plusieurs fois par siècle cette cathédrale retrouvait la solennité des sacres, véritable colonne vertébrale de la royauté.
En effet si le règne du roi commençait à la mort de son prédécesseur, seul, le sacre lui conférait cette dimension supérieure qui faisait de la royauté française un pouvoir différent des autres.
Par le sacre, le divin et l’humain, se conjuguaient pour permettre au roi d’exercer sa mission au service du bien commun. La dureté du pouvoir des hommes se trouvait compensée par la charité du prince chrétien. Les promesses du sacre obligeaient le roi à tendre aussi vers la sainteté. Si Saint Louis en fut le modèle, tous les rois savaient qu’ils devaient se rapprocher de cet exemple.
La ville de Reims demeure profondément marquée par ce rôle unique qu’elle eut dans l’histoire de notre pays. Et si quelques sacres eurent lieu ailleurs, c’est bien ici que la symbolique demeure la plus forte. Bien évidemment la ville le doit au baptême de Clovis qui en fut le théâtre à l’aube de la royauté franque puis aux sacres et notamment au premier. Le colloque qui se tiendra cet après-midi aidera à le comprendre et je remercie vivement ceux qui présenteront leurs recherches.
Je me souviens de ma venue ici en 1996 et du privilège qui m’avait été donné de pouvoir tenir dans mes mains les restes de la Sainte Ampoule, conservant le Saint Chrême, miraculeusement conservée à l’Archevêché après qu’elle ait été profanée lors des journées révolutionnaires qui ensanglantèrent la ville.
Oui, Reims s’inscrit dans une lignée de l’histoire de France qui peut paraître parfois si inactuelle, où se côtoient Clovis, Louis-le-Pieux, Saint-Louis, Jeanne d’Arc, où le toucher des malades le jour des sacres avait tant d’importance pour les présents, en un mot la lignée de tout ce qui a permis à la France de mériter le nom de fille aînée de l’Eglise.
Mais au-delà, il y a le message si actuel de l’appel à la transcendance. A force de privilégier le matériel, le présent, une certaine facilité nimbée dans le cynisme et le scepticisme, nos sociétés ont perdu beaucoup. Perte de repères, de sens, jeunes plus ou moins déboussolés prêts à se jeter dans les mirages et craignant l’avenir. Le sacre nous rappelle l’autre versant du pouvoir, celui du bien commun et du don, celui de quelque chose qui nous dépasse et nous force à nous élever. Tel est bien le message d’espoir que nous retenons car il ouvre sur demain.
Puissent Notre Dame, Saint-Louis et tous les saints, à travers toutes les prières qui durant des siècles et des siècles, ont accompagné les sacres, protéger la France et la maintenir dans sa tradition.
Merci de m’avoir écouté.
Louis, duc d’Anjou
Moi , l’accent espagnol ne me gène nullement puisque le senor Luis-Alfonso Borbon , Martinez- Bordiu y Franco , Est Espagnol , et de grande maison encore! ça personne ne peut le nier: Borbon est un grand nom , même si « duc d’Anjou » n’existe pas et est usurpé!
On va encore me dire qu’il est aussi Français…oui , il a obtenu la double nationalité , mais il est né Espagnol , ses parents l’étaient , il a fait son service dans l’armée espagnole et a juré fidélité au drapeau espagnol. Punto !
Bien dit! Meme si de sa naissance on aurait pas mal de choses a redire si l’on s’en tient aux règles dynastiques qui a l’époque de ses parents et encore plus de ses grands parents réglaient comme papier à musique la succession dynastique….
Le service militaire du Prince Louis dans l’armée espagnole ne pose aucun problème.
Ne fantasmez pas sur une guerre entre France et Espagne (à moins que vous soyez du genre pessimiste) mais voyez la réalité :
L’Espagne n’est pas une Nation ennemie de la France, bien au contraire. L’Espagne est une Nation amie de la France.
Cela fait des siècles que la France et l’Espagne sont en PAIX, depuis que la Maison de France (dite de Bourbon) règne à Madrid. La même famille a longtemps régné sur les deux Etats.
Cette amitié s’est accrue avec le Général de Gaulle et le Général Franco puis avec la Communauté (depuis Union) européenne. Et même si l’on souhaite une Europe des Nations, cela ne change pas.
Les deux Etats collaborent même étroitement face à certaines menaces (voir Nicolas Sarkozy recevant la Toison d’Or du Roi).
Et même si les choses changeaient éventuellement, le Duc d’Anjou a fait son service militaire à une époque de très bonne entente (vous pourrez difficilement dire le contraire).
C’est vrai que le service militaire au sein de l’armée française aurait été tout de meme la moindre des choses quand on y pense… Quel mépris pour la France….
Kalistéa
13 octobre 2016 @
15:31
Mais je n’ai jamais dit que la France et l’Espagne ne sont pas des pays amis! Je m’en suis personnellement toujours réjouie d’ailleurs.
J,
e dis que si le prince Luis Alfonso a l’accent Espagnol et s’il se plait tellement plus dans son pays, l’Espagne , c’est tout-à-fait normal! Il n’y avait que sa grand-mère née de Dampierre , divorcée du duc de Ségovie,( mme Sozzani ) qui était Française.
jul
13 octobre 2016 @
20:52
Pascalv
Le Prince Louis est officier de réserve de la Marine française.
Mary
12 octobre 2016 @
20:20
Je m’amusais Kallistea, juste pour taquiner Quentin :-))
Cosmo va nous dire que voici encore une action de communication – de l’intox – des amis du Prince… ;-)
Il s’agit bien d’une action de communication, si l’on veut, mais de l’Institut de la Maison de Bourbon, qui remplit ici son mandat historique et culturel.
Cela s’est passé encore une fois dans un lieu de culte ? Eh bien oui. On ne sacrait pas les Rois en plein air. Un sacre et un couronnement, ce n’est pas un concert à Woodstock ni même des Journées mondiales de la jeunesse. ;-)
Et oui, cher Actarus, c’est encore une action de communication organisée par les amis de Louis de Bourbon. Qu’est-ce qui justifie cet hommage, si ce n’est de voir le prince le présider ? Mais on ne peut être qu’admiratif devant le zèle déployé par eux. La courtisanerie est loin d’être morte en France. Cela dit l’Institut de la Maison de Bourbon n’a d’autre mandat que celui qu’il s’est donné. Et il peut multiplier à l’envie les occasions d’inviter le prince à présider. L’essentiel, à leurs yeux, n’est-il pas qu’on en parle ?
La courtisanerie dans tous les domaines est la règle en France. Que l’on s’adresse à un parti politique, au Président, ou à un virtuel Roi. Le style des « Orléanistes » et des « Bourbonistes » débordent de flagorneries.
On adresse des centaines de milliers de lettres chaque année au Chef de l’état, quel qu’il soit, de supplique comme si un claquement de doigt suffisait et comme si un individu savait trancher justement. Le fait du prince a fait beaucoup de dégât.
C’est certain. Appeler VGE « Monsieur le président », 35 ans après son départ à la retraite, me semble procéder du même principe.
Un peu hors sujet, je me suis demandé ce qui arriverait si Nicolas Sarkozy, candidat à la primaire, était réélu président en mai prochain, sachant, à titre liminaire, qu’il est de plein droit membre du Conseil d’État en qualité d’ancien président, et qu’il touche une retraite.
En cas de réélection, cumulerait-il les trois revenus ?
Conseil d’Etat, conseil constitutionnel…est-ce une actaruse ?
Actarus
14 octobre 2016 @
13:36
Oups… oui Aubert, à l’insu de mon plein gré !
J’espère que vous me pardonnerez de mélanger les institutions républicaines sur un site consacré aux monarchies. Il convient bien évidemment de lire « Conseil constitutionnel ». Bien vu ! ;-)
Kalistéa
11 octobre 2016 @
10:25
Je me demande qui a pondu ce discours dithyrambique et alambiqué, à l’intention des lombrics!
Il est très bien ce discours. Sur la transcendance, il n’est pas sans rappeler celui du Pape au parlement européen de Strasbourg.
Pourriez-vous argumenter en quoi il est mauvais ?
Un chrétien vit dans le monde, mais il n’est pas du monde.
C’est ce que rappelle ce discours, celui d’un « roi » chrétien et c’est sans doute ce qui vous gène.
Le prince attend probablement que Versailles soit enfin rendu habitable pour lui et sa famille, qu’un pied-à-terre en ville soit aussi préparé, peut-être dans les murs du Palais-Royal, histoire de chasser définitivement les Orléans de l’inconscient collectif français, et qu’une ligne TGV directe soit établie entre Paris et Madrid. Une fois ces conditions remplies, Son Altesse Royale devenue Majesté, par la grâce du duc de Bauffremont, daignera sans doute rentrer en ses Etats après 300 ans d’absence.
C’est triste en effet de voir que le prince Luis ne soit autorisé à venir en France que quelques heures par an.
A moins que cela lui permette de vivre sa vie à Madrid dans son lotissement de la banlieue loin des excités légitimistes qui lui empoisonnent la vie et qui le rendent ridicule en lui faisant lire de tels discours
Je vais certainement encore m’attirer des foudres mais cette plaque me rappelle le poème de Prévert dans « Les belles familles » Louis I, Louis II……Louis XVIII qu’est ce que c’est que ces gens là qui ne sont pas foutus de compter jusqu’à XX?
Il y a mille deux cents ans, Louis Ier était le premier roi sacré à Reims
Le 5 octobre 816, Louis Ier était le premier roi sacré à Reims
Quatrième fils de Charlemagne, Louis, né en 778, fut le seul roi des Francs que l’on couronna trois fois et le premier que l’on sacra à Reims. En 781, son père en fit, à Rome, le roi des Aquitains, sacré par le pape Hadrien. En 813, devenu l’aîné des Carolingiens par la mort de ses trois frères, il fut proclamé par avance empereur à Aix-la-Chapelle, encore par son père, qui disparut l’année suivante. Enfin, le 5 octobre 816, le pape Etienne IV le sacra à Reims.
suite de l’article sur : http://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2185-il-y-a-mille-deux-cents-ans-louis-ier-etait-le-premier-roi-sacre-a-reims
Discours du prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou à Reims
Excellence,
Monsieur le Député-Maire,
Monsieur le Sénateur,
Cher Professeur,
Messieurs les Présidents,
Mesdames et Messieurs les Professeurs,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis
Certes le lieu n’est pas propice à un long discours, mais il m’appartient, comme Chef de la Maison de Bourbon, à ce titre héritier et successeur des Rois de France, de m’exprimer au moment où un acte important vient d’avoir lieu dans la Cathédrale de Reims avec la pose de la plaque des 31 sacres.
Mes premiers mots vont au Professeur Patrick Demouy puisque, si nous avons été réunis aujourd’hui, avec M. le Député-Maire, avec son Excellence l’Archevêque de Reims, c’est grâce à son heureuse initiative. Ainsi, je lui adresse tous mes remerciements. Il est devenu, au fil du temps un des spécialistes des sacres, et par son énergie et sa force de conviction, il a groupé autour de lui à la fois les autorités religieuses et civiles, les chercheurs universitaires et les associations fidèles à défendre la mémoire de la Cathédrale et plus largement celle de notre histoire commune.
Mes remerciements s’adressent aussi à l’Association des Amis de la Cathédrale et à son Président Monsieur Bernard Poret. Ils ont été pour beaucoup dans la réalisation de cette plaque, soutenue par le mécénat, que je salue, de l’Institut de la Maison de Bourbon. Les uns et les autres ont concilié les intérêts des diverses autorités, l’Archevêché, le clergé de la Cathédrale, les Monuments historiques.
Ainsi une plaque est installée dans la cathédrale pour commémorer les 31 sacres qui, depuis celui de Louis le Pieux, il y a 1200 ans, y ont été célébrés et notamment ceux des capétiens. Plusieurs fois par siècle cette cathédrale retrouvait la solennité des sacres, véritable colonne vertébrale de la royauté.
En effet si le règne du roi commençait à la mort de son prédécesseur, seul, le sacre lui conférait cette dimension supérieure qui faisait de la royauté française un pouvoir différent des autres.
Par le sacre, le divin et l’humain, se conjuguaient pour permettre au roi d’exercer sa mission au service du bien commun. La dureté du pouvoir des hommes se trouvait compensée par la charité du prince chrétien. Les promesses du sacre obligeaient le roi à tendre aussi vers la sainteté. Si Saint Louis en fut le modèle, tous les rois savaient qu’ils devaient se rapprocher de cet exemple.
La ville de Reims demeure profondément marquée par ce rôle unique qu’elle eut dans l’histoire de notre pays. Et si quelques sacres eurent lieu ailleurs, c’est bien ici que la symbolique demeure la plus forte. Bien évidemment la ville le doit au baptême de Clovis qui en fut le théâtre à l’aube de la royauté franque puis aux sacres et notamment au premier. Le colloque qui se tiendra cet après-midi aidera à le comprendre et je remercie vivement ceux qui présenteront leurs recherches.
Je me souviens de ma venue ici en 1996 et du privilège qui m’avait été donné de pouvoir tenir dans mes mains les restes de la Sainte Ampoule, conservant le Saint Chrême, miraculeusement conservée à l’Archevêché après qu’elle ait été profanée lors des journées révolutionnaires qui ensanglantèrent la ville.
Oui, Reims s’inscrit dans une lignée de l’histoire de France qui peut paraître parfois si inactuelle, où se côtoient Clovis, Louis-le-Pieux, Saint-Louis, Jeanne d’Arc, où le toucher des malades le jour des sacres avait tant d’importance pour les présents, en un mot la lignée de tout ce qui a permis à la France de mériter le nom de fille aînée de l’Eglise.
Mais au-delà, il y a le message si actuel de l’appel à la transcendance. A force de privilégier le matériel, le présent, une certaine facilité nimbée dans le cynisme et le scepticisme, nos sociétés ont perdu beaucoup. Perte de repères, de sens, jeunes plus ou moins déboussolés prêts à se jeter dans les mirages et craignant l’avenir. Le sacre nous rappelle l’autre versant du pouvoir, celui du bien commun et du don, celui de quelque chose qui nous dépasse et nous force à nous élever. Tel est bien le message d’espoir que nous retenons car il ouvre sur demain.
Puissent Notre Dame, Saint-Louis et tous les saints, à travers toutes les prières qui durant des siècles et des siècles, ont accompagné les sacres, protéger la France et la maintenir dans sa tradition.
Comme quoi les plus longs discours ne sont pas les plus convaincants… C’est à ce demander s’il sait lire ou s’il comprend ce qu’il lit pour debiter des propos aussi niais.
A 11h30, Son Excellence Monseigneur Thierry Jordan, archevêque de Reims, suivi de Monseigneur le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, de Monsieur Arnaud Robinet, député-maire de Reims, du prince de Bauffremont, Président de l’Institut de la Maison de Bourbon et de Monsieur Bernard Poret, Président de la Société des Amis de la Cathédrale, entre et traverse aisément le chemin qui s’ouvre instantanément au milieu des 400 personnes entourant déjà la plaque commémorative. Monseigneur Jordan et le duc d’Anjou se positionnent de chaque côté de la plaque et tirent ensemble les cordons qui retiennent le drap fleurdelisé. Apparaît alors une grande plaque de marbre de comblanchien au teint légèrement rosé, gravée des noms et dates des sacres des trente-et-un rois (un empereur carolingien et trente rois capétiens) sacrés en cette cathédrale depuis 1200 ans !
suite sur http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/communication-des-princes/2195-8-10-2016-louis-xx-a-la-cathedrale-des-sacres-a-reims
« C’est à ce moment que Monseigneur le duc d’Anjou reçoit, avec une inaltérable bienveillance, les hommages protéiformes, parfois surprenants, mais toujours sincères, de ceux qui le reconnaissent pour le Roi de France…»
Magnifique péroraison de Franz de Burgos dans ce texte dédié à Louis de Madrid.
Disons plus prosaïquement qu’il y a de quoi se taper le cul par terre !
Certains commentaires laissent pantois dans la France d’aujourd’hui à moins de croire que Dieu qui est uniquement catholique et aime notre pays plus que tous les autres est impatient de faire des miracles pour elle.
Le problème, Cher Aubert, est qu’on les attend les miracles et qu’ils ne viennent pas. Serait-ce la punition pour avoir troublé l’ordre divin en 1793 ?
Alors restons réalistes ! Dieu a sans doute d’autres préoccupations.
Gérard
14 octobre 2016 @
15:28
Franz de Burgos est l’animateur de Vexilla Galliae. Je ne sais pas à quoi il ressemble et ne connaît rien de sa biographie ni peut-être de son état civil mais outre qu’il parait obsédé par les Orléans, il a un style inimitable dont voici un extrait pour la visite à Lorient de Louis de Bourbon l’année dernière :
« L’on entendra sans doute des « Monseigneur le duc d’Anjou, Madame la duchesse d’Anjou », seules titulatures que la censure républicaine permette à ses agents, mais il faudra entendre la mémoire des cœurs murmurer « Votre Majesté, Sire, Notre bon Roi, Madame, Notre Reine, merci d’être venus honorer de votre présence votre ville de Lorient qui est votre fille à jamais reconnaissante de lui avoir donné le jour ! » Car l’on se grandit toujours d’un élan de gratitude à l’égard de son bienfaiteur ! »
Ce qui laisse supposer que la ville de Lorient n’est pas si ancienne qu’on le disait mais l’histoire de Lorient est bien obscure apparemment car Louis de Bourbon devait ensuite y déclarer : « Je suis heureux de pouvoir le rappeler en évoquant ici, Louis XIV, mon grand-père. Cette année du tricentenaire de la mort du monarque préfigure l’anniversaire de la Ville de Lorient l’an prochain, qui sera, Monsieur le Maire, j’en suis sûr, un grand succès. »
On en perd le Nord.
Kalistéa
13 octobre 2016 @
15:35
En plus Pierre nous l’inflige plusieurs fois : c’est dur! c’est du sadisme!
Vous avez dit « Cruella » ?
C’est risible cette citation de Burgos!On en perd le Nord effectivement! Ce style grandiloquent est ridicule! Aussi ridicule que ce « prince » espagnol
Oui dommage qu’il n’y vive pas alors que rien ne l en empêche.
Mais si vous avez une bonne raison pour justifier cet éloignement, je suis preneur, j’avoue que je n ai jamais compris… Merci
Une bonne raison : La légitimité ne vient pas de la résidence mais de la position dynastique.
Jamais autant de Français n’ont connu la position des aînés des Bourbons malgré leur domicile en Espagne. Il serait difficile d’écrire le contraire. Alors pourquoi changer ce qui fonctionne ?
Les Orléans ont aussi prouvé qu’on pouvait beaucoup prétendre que n résidant en France et perdre en audience.
Jul, je comprends ce que vous dites, néanmoins, comment être crédible aux yeux des français et prétendre les représenter depuis le sommet de la pyramide nationale en vivant à des centaines et des centaines de km de la frontières quand rien ne l’empêche de venir parmi nous.
C’est regrettable pour lui et peut être pour nous, mais ca nous ne le saurons jamais.
Merci néanmoins de votre réponse.
Thibault, mais où se cachent-ils les français de Jul qui attendent le Bourbon ,de plus en plus nombreux, avec ferveur et impatience ?
Je confesse qu’en ville comme à la campagne dans les salons comme dans les usines je n’en rencontre pas. Idem pour l’Orléans d’ailleurs.
Je ne dois avoir que de mauvaises fréquentations.
jul
13 octobre 2016 @
20:51
Ah Aubert, je ne parle pas de foule, cela est évident, à moins d’être de mauvaise foi et de vouloir tourner mes propos en ridicule.
Luc
11 octobre 2016 @
13:38
Profitez en car il ne reste que quelques heures à chaque voyage comme si il n’aimait pas la France
Ce que j’aimerais savoir c’est si, des robinets du maire de Reims coule du champagne: si c’est le cas , cela inciterait peut-être Louis XX à revenir plus souvent!
Pas besoin de venir à Reims pour le champagne… Son mariage avec une parvenue d’amerique du Sud doit lui permettre d’en boire aussi souvent qu’il le souhaite… a défaut de grandeur cette curieuse alliance lui aura au moins rempli les poches!
Les alliances des Orléans tout de même sont généralement brillantes…
Quant à la famille de Marie-Marguerite de Bourbon il semblerait qu’elle soit parvenue à la fortune.
Karl
14 octobre 2016 @
08:53
Avant de s appelle bourbon elle s appelait Vargas, une famille de parvenus d Amérique du Sud en effet.
Mayg
14 octobre 2016 @
15:06
En matière de parvenus, les Orléans en savent quelque chose. Eux qui ont tout fait pour casser le testament de Louis XIV et assurer la régence, eux qui ont usurper la fortune duc dernier duc d’Enghein mort dans des circonstances douteuses, eux qui ont voté la mort de Louis XVI… et j’en passe.
Concernant les alliances, la famille de Philoména de Tornos, est loin de faire partie de la haute noblesse !
Cosmo
15 octobre 2016 @
11:16
Mayg,
Le dernier duc d’Enghien n’est pas mort dans des circonstances douteuses. Il a été assassiné par Napoléon. Son père, le prince de Condé, lui, est mort dans des circonstances espagnolettes…
Vos propos vous révèlent. Car rien de ce que vous dites ne fait des Orléans des parvenus. Mais votre mauvaise foi et votre haine des Orléans s’affichent encore.
Oui, la princesse Louis de Bourbon est une parvenue dont la fortune paternelle est d’origine douteuse, aux accointances avec Hugo Chavez et aux manipulations financières.
Aucun des Orléans, s’il ne se sont pas tous mariés dans le Gotha, n’a épousé de parvenu.
Embrassez un crapaud et peut- être verrez-vous apparaître un prince,mais embrassez Luis-Alfonso…et voulez-vous savoir ce qui apparaîtra ?
« – Côa-Côa » me direz-vous ?
Bravo,vous avez deviné,un crapaud de bénitier !!!
Pourquoi ? qu’on le considère ou nom comme LE prétendant, le sang des capétiens coule dans ses veines malgré les « pas sur le côté » de deux reines espagnoles au sang chaud.
Du sang capétien des centaines de milliers de Français en ont…
Karl
14 octobre 2016 @
08:53
Et alors?????? Quelle question stupide…
Mayg
14 octobre 2016 @
15:09
Gérard,
Oui mais un seul des français est chef de la Maison de Bourbon et ainé des Capétien: Louis de Bourbon.
Karl,
En matière de stupidité je suis loin d’arriver à vous égaler…
Gérard
11 octobre 2016 @
15:02
Les rois de France à partir de Louis XIV savaient qu’il y avait une famille royale en France représentée par leur branche, et par les Orléans et les Condé et que les branches qui étaient sorties de cette maison de France n’étaient plus la maison de France.
Oui et les pas sur le coté de son grand père et de son père aussi mal mariés l’un que l’autre et produisant, l’un comme l’autre une descendance non dynaste…. Alors en effet, Louis le Grand doit se retourner dans sa tombe en voyant un lointain, abâtardi et etranger descendant se réclamant être l’héritier de la couronne qu’il a portée pendant le plus long et le plus brillant règne de notre Histoire.
Louis le Grand s’est marié en secondes noces avec une femme de toute petite noblesse. Il n’aurait pas à rougir de son descendant et successeur, le duc d’Anjou .
Vous écrivez encore n’importe quoi, Val.
Il s’est surtout marié pour recevoir les sacrements et en s’inquiétant pour son salut.
Karl
15 octobre 2016 @
15:51
Naucratis, il me semble, comme a tous les historiens, que cette union a été cachée, nous ne connaissons meme pas sa date exacte…; Si pour vous cette union a rendu fier Louis XIV, il a eu une drôle façon de le monter…. Jamais aucun fils de roi ou aucun chef de Maison n a pu contracter d unions aussi minables que celles qui ont précédé Luis de Borbon. Vous le savez…. Nos rois doivent se retourner dans leurs tombes en voyant cet espagnol non dynaste prétendre a gouverner leur Maison.
Mayg
14 octobre 2016 @
15:12
Dois-je vous rappeler que les Orléans actuels sont issues des batards de Louis XIV, ce qui à l’époque n’était pas très glorieux…
Comme beaucoup de princes sur des trônes aujourd’hui !
Vous allez faire plaisir aux familles royale de Belgique, d’Espagne et de Luxembourg, aux Würtemberg, aux Bourbons de Parme ou de Sicile, aux Habsbourg-Lorraine etc…
Encore un peu de fiel, Mayg, et vous allez vous surpasser.
Cosmo
Karl
15 octobre 2016 @
15:41
Pauvre Mayg, cessez donc de vous ridiculiser avec des propos aussi stupides si vs en etes encore capable…. Il n est un secret pour personne que Louis XIV a impose ses batards aux Orléans…. Lisez donc une bonne biographie de la princesse palatine par exemple, cela vous donnera les circonstances précises de cette union….
En ce qui concerne les unions peu glorieuses, vous savez de quoi vous parlez avec un prince espagnol qui a pour grand mere une gourgandine arriviste et pour mere une coucheuse professionnelle.
PierreO
15 octobre 2016 @
15:53
Ah oui, rappelez nous les circonstances de cette union qu on rigole… Avant d écrire des âneries comme celle ci cultivez vous un peu Mayg…
Naucratis
16 octobre 2016 @
10:56
Eh bien les trois derniers messages sont d’une violence difficilement admissible sur un site qui se veut courtois.
L’éducation n’a visiblement pas touché Cosmo, Charles/Karl et PierreO.
Mayg, ces trois rustres se ridiculisent par leur violence à votre égard et n’inspirent que le mépris.
Bien à vous.
Cosmo
17 octobre 2016 @
09:15
Naucratis,
En quoi rappeler que la plupart des princes actuels descendent des bâtards de Louis XIV est-il un manque d’éducation ?
Vous êtes trop drôle dans votre rôle de chevalier servant.
Cosmo
Karl
18 octobre 2016 @
11:11
Trop drôle ou trop pathétique ! Mais pas assez malins pour s’en rendre compte… Le duo Mayg/ Naucratis, tout en aigreur et en ignorance n’a pas fini de nous divertir!
Naucratis
19 octobre 2016 @
15:44
Karl/Charles, vos commentaires truffés de fautes sont consternants.
Karl
20 octobre 2016 @
10:23
Ah oui j’avais constaté qu’ en plus de prendre les gens pour des idiots vous vous improvisiez parfois prof de Français faute d’arguments sérieux à déployer. Etonnant pour quelqu’un qui ne sait pas lire car mon nom est Karl et non Charles mais ca semble vous échapper, comme le reste!
Naucratis
22 octobre 2016 @
09:00
Karl/Charles, quand on s’obstine à donner du Luis à quelqu’un qui s’appelle Louis, on évite de faire des remarques aux autres sur son propre prénom.
Une bonne fois pour toutes : Karl et Charles sont 2 intervenants distincts
Naucratis
22 octobre 2016 @
20:02
À Régine, personne n’a dit le contraire.
Toutefois, Karl a pris la fâcheuse habitude d’hispaniser le prénom du duc d’Anjou, il peut donc supporter qu’on francise le sien.
Gérard
22 octobre 2016 @
22:17
Oui Louis de Bourbon je crois est comme le pape, son prénom est traduit dès qu’il passe la frontière. Mais je ne sais pas s’il devient Luigi en Italie et Ludwig en Allemagne.
PVL
10 octobre 2016 @
17:13
Encore une Eglise???? Que ne va-t-il pas concretement à la rencontre des Français, lui qui prédend, depuis l’Espagne les représenter!
Décidement, il n’y a bien que dans les eglises qu’il est reçu… C’est bien peu pour qui prétend représenter l’Héritage dynastique…. Il n’est plus suité de son épouse. Elle a du se lasser de ce rôle d’opérette qu’endosse son (Cf la dernière photo qui est ridiculissime!)
J’ai lu dans le Figaro que ce monsieur n’avait pas de « programme » pour la France, qu’il attendait juste que les français viennent à lui…
Il va falloir qu’il se reveille d’urgence car ce n’est pas en collectionnant les visites d’églises qu’il va les croiser et les séduire!
Wake up, on est en 2016, plus en 1720!
Oui vous avez raison, de bons principes comme vivre en France quand on pretend être roi de France! Avec des réponses comme celles que vous venez de faire, on se rend compte du ridicule de ce pauvre Luis de Borbon….
Quelle vacuité!
Le pauvre, ca devient tragique ces gesticulations d’églises en chapelles…. Il doit être bien mal conseillé pour
réserver aux seules églises ses brefs passages en France…
Alors depuis une certaine loi datant du siècle dernier, la religion et l’état son séparés. Malheureusement à mon avis! Voila qui vous rassurera sur mon rapport à la Religion!
En revanche il faut être sacrément méconnaissant des Français ou ignorant leurs vies pour imaginer ne les trouver et les convaincre que par et dans les eglises!
Des engagements concrets sont attendus et toujours en vain!
Ce pauvre Luis est totalement à côté de la plaque
Jul, si jean d’Orléans, son poulain était allé à la messe, Thibault se serait pâmé !
Mais il s’agit là du duc d’Anjou, prince d’une dynastie qu’il exercre, les Bourbons, et Thibault ne peut que déplorer, critiquer et jalouser.
Thibault
14 octobre 2016 @
08:55
Je ne suis pas monarchiste car quand on voit le chef d orchestre potentiel ça fait pitie
Thibault
15 octobre 2016 @
15:57
Pour répondre à Naucratis, jalouser Luis de Borbon me ferait tomber bien bas, car il n est rien ou pas grand chose… Jean d’Orléans peut aller a toutes les messes qu il veut, s’il ne fait rien de plus, j en aurait autant a son service que son vague cousin abatardi….
Kalistéa
16 octobre 2016 @
15:29
Mon cher Thibaut , ce doit être qu’il va prétendre guérir les écrouelles , c’est pour bientôt peut-être , qu’en savons-nous ?
Pour cela ne faut-il pas être fils de l’église ?
A l’heure ou les Français ont des problèmes sérieux à tous points de vue, à quand la parole de ce Monsieur sur des sujets de fond?
Ressasser l’histoire sans rien proposer, voila toute son ambition… Affligeant.
Probablement que tout ceci fut à l’initiative de l’Institut de la Maison de Bourbon qui soutient le prince Louis et dont le comte de Paris est la bête noire !
Il en est de ce Monsieur comme des Orléans: ils croient ce qu’ils désirent. La réalité c’est une autre affaire.
Ceci dit la cathédrale de Reims est magnifique .
Sont ce les élections prochaines qui feraient prendre
au Prince des initiatives médiatisées ?
En effet cette photo devant tous ces rois inscrits
montre une certaine continuité
On verra cela
Encore une fois, il coiffe les Orléans sur le poteau. Et à Reims !
Il faut dire que le comte de Paris livre de nouvelles elucubrations dans son ouvrage dont les extraits donnés sur son blog sont pathétiques, comme d’habitude.
Mais sans doute le ciel, si soucieux des droits légitimes, enverra t il une nouvelle Jeanne d’Arc pour rasseoir dans les esprits le bien fondé des droits des Orléans… sinon ….
Pas certain que l’on puisse se vanter de ne visiter que des Eglises sans jamais rien proposer de concret…
Si c est une victoire pour vous, ca en dit long sur la mentalité de la minorité à laquelle vous semblez appartenir.
Avec ca les Orléans, naturellement placés au dessus d’un » prince » abâtardi par la succession d’unions qui l’ont précédé, ont encore de bons jours devant eux.
Karl, je suis fiché orléaniste par les partisans de Luis Alfonso.
Mais cela n’empêche pas de constater que c’est ce dernier que l’archevêque de Rouen accueille dans sa cathédrale pour cet anniversaire et que c’est ce dernier que le gouverneur des Invalides accueillait aussi avec pompe il y a quelques jours.
Ni de constater que ces autorités religieuses et militaires n’ont pas refusé cet honneur et n’ont pas invité les Orléans à sa place ou à ses côtés.
On les comprend d’ailleurs …. ils préfèrent un Luis Alfonso à un comte de Paris qui leur tiendrait des propos ésotériques et viendrait vêtu de costumes fanfreluchés.
Donc on peut, tout en étant fiché « O », constater objectivement la déroute des Orléans puisque la seule activité qu’on propose aux prétendants est d’assister à des messes commémoratives et de lire ou écrire de temps à autre un discours ou un livre sur le respect des traditions et le grand malheur qui va fondre sur la France si on les oublie, et qu’ils sont exclus ( ou oubliés)de ces cérémonies.
Que l’institut de Bourbon soit plus malin que les organismes soutenant les Orléans, peu importe , le fait est là, peu importe la cause …
Jamais un Tel affront ne leur aurait été fait il y a disons 40 ou 50 ans….
Je crois Aramis, que Bourbon ou Orléans finalement peut importe… Les deux ne comptant pour rien ou presque. La disparition du comte de Paris et de son épouse ont finalement mis un point final à la grande Histoire royale de notre pays. Les Orléans gardant pour eux et tant que cela durera la reconnaissance de toutes les Maisons d’Europe, à la différence du prince espagnol…
En France, je ne crois pas que l’un devance l’autre, en tt cas ce ne sont certainement pas des messes des uns ou des autres qui vont réconcilier les Français avec leur Histoire….
Rappelons toutefois que le défunt comte de Paris était un chrétien pratiquant et convaincu mais qu’il ne voulait pas être catalogué alors qu’il aspirait à représenter l’ensemble des citoyens français.
Cosmo
11 octobre 2016 @
07:50
« Par le sacre, le divin et l’humain, se conjuguaient pour permettre au roi d’exercer sa mission au service du bien commun. La dureté du pouvoir des hommes se trouvait compensée par la charité du prince chrétien. Les promesses du sacre obligeaient le roi à tendre aussi vers la sainteté. Si Saint Louis en fut le modèle, tous les rois savaient qu’ils devaient se rapprocher de cet exemple. »
Voilà un texte qui oublie bien des choses. Mis à part Saint Louis, quel roi tendit vers la sainteté ?
Les Valois qui firent un faux pour s’assurer le trône ? François Ier, Henri II, Henri IV et sa descendance qui firent de la Cour un bordel sur lequel ils régnaient. Louis XIV et ses guerres interminables, meurtrières et inutiles ? Louis XV et son je m’enfoutisme ? Louis XVI qui eut sa part de responsabilité dans la Révolution ? Louis XVIII et Charles X ? Un impie et un inconséquent ? Tous imbus d’un orgueil de race, fort peu compatible avec l’idée même de la sainteté !
Cosmo nous donne là un trait éclatant de son orgueil ! Il se croit assez intelligent pour faire l’accusation des rois de France. Mais cela revient à des réductions dignes de calomniateurs (quelques mots injurieux).
Je vais essayer de faire la traduction de certains points langage réducto-cynique dans un langage plus raisonnable.
« cour un bordel » –> certes des excès mais avant tout un lieu de la grandeur de la culture, du rayonnement de la France par les arts, qui suscite l’admiration de millions de touristes, beaucoup de recettes et d’emplois.
« guerres intermiables, meurtrières et inutiles » –> des guerres certes malheureuses mais qui permirent la grandeur et l’indépendance, la liberté de la France face à la Maison d’Autriche, l’Angleterre etc…, d’obtenir la sucession et donc une paix durable avec l’Espagne, qui permirent à des centaines d’officiers de se distinguer et d’avoir une promotion sociale. Un mal nécessaire, des milliers d’hommes dont il faut honorer la mémoire au lieu de les insulter en écrivant que leur mort était inutile !
Nos rois n’avaient pas à rougir de leurs ancêtres bien au contraire : ils pouvaient en être orgueilleux ! Ils ont tous assumé la lourde responsabilité de toujours se déclarer pour le bien et contre le mal (L’idéal) tout en ne perdant pas de vue qu’il s’agit d’un savant dosage vis à vis de leur propre nature, de la nature de la France et de la nature des Français et de tous les hommes, nature qu’on ne peut pas changer, qui impose des limites à l’idéal. Ils ont essayé de faire au mieux des possibilités.
Il n’y aucun orgueil ni aucune calomnie à rappeler des faits connus de tous.
Je vous rétorquerai que de votre côté c’est de la flagornerie et de l’idolâtrie.
En tous cas vous avez le sens de la litote, en qualifiant d’excès ce qui fut un scandale permanent. Vous faites bien peu de cas de la dignité des reines de France offensées par leurs maris, entre autres.
Des « guerres certes malheureuses », en effet ! Comment qualifier la Guerre de Cent ans, la Guerre de Trente ans, la Guerre de Succession d’Espagne, qui mirent non seulement la France mais l’Europe à feu et à sang. Nous nous sommes battus pour le roi de Prusse. Mais votre notion de l’ascenseur social est intéressante.
Quant à la notion de bien et de mal, je ne vois pas ce qu’elle vient faire dans ce qui fut une lutte pour le pouvoir.
En clair vous vous refusez à juger les rois de France parce qu’ils sont les rois de France et que vous vous aplatissez devant le pouvoir.
Je ne conseille rien. Je ne fais que constater. La France n’a pas toujours été la victime des Habsbourg et de l’Angleterre. Elle a eu aussi sa part de responsabilité. Et il y eut aussi la guerre du Palatinat ou la révocation de l’Edit de Nantes pour lesquelles la seule responsabilité de Louis XIV est engagée. Il y eut aussi la Croisade des Albigeois…
Cosmo
jul
14 octobre 2016 @
16:53
Eh bien Cosmo
Si vous n’avez pas de meilleures solutions que celles des rois qui ont eu cette charge…c’est déjà un pas vers plus d’humilité.
Aramis
11 octobre 2016 @
18:42
Excellent cher Cosmo. Voilà qui remet un peu de réalisme dans cette vision irénique , idéaliste pour ne pas dire naive de la royauté. Ne pas confondre en effet ce que les souverains auraient dû être et ce qu’ils ont été.
Charles VII sacré grâce à Jeanne d’Arc et donc à l’intervention directe du Dieu tout puissant si attentif au royaume de France… et qui prend le premier maîtresse officielle ….
Louis Dieudonne XIV qui ne jugera pas utile de donner suite aux demandes pourtant formelles du Sacre Cœur apparu à sainte marguerite Marie Alacoque…
Ah ce doux mythe de la royauté parfaite à l’ombre tutélaire de saint Louis. J’admets qu’il a le charme et la puissance des contes, mais l’enfant à qui on raconte ces histoires sait qu’il s’agit de contes ! Les admirateurs transis de la royauté semblent parfois ne pas vouloir le savoir…
La position de certains, le refus de la réalité disqualifient la monarchie elle-même. Nous savons tous ce que la France doit à ses monarques mais nous connaissons leurs limites humaines, qui pour certaines les rendent sympathiques et pour d’autres les rendent odieux. En faire des saints, ou presque, est ridicule. A croire que pour certains, la France n’existe que grâce à eux, semblant faire peu de cas des millions qui au moins autant que les « 40 rois qui en mille ans firent la France » ont contribué à son développement et à son rayonnement. Sans le génie du peuple de France, la monarchie française n’était pas grand chose. Disons que certains monarques ont été de bons chefs d’orchestre, d’autres ont été médiocres et certains carrément mauvais.
Mais il semble qu’en portant de tels jugements, je fasse preuve d’orgueil…
Vos raccourcis à vous peuvent être qualifiée de servilité aveugle.
Cosmo
Gérard
13 octobre 2016 @
17:35
Je crois que Cosmo a raison, nos souverains ont été des chefs d’orchestre plus ou moins talentueux et inspirés, parfois certains étaient quand même des chefs d’orchestre qui composaient plutôt bien aussi. Sous la République il y a bien eu quelques chefs d’orchestre mais je crains qu’il n’y faille à cet égard un peu de génie alors que pour les rois le génie n’était peut-être pas nécessaire parce qu’une tradition s’était mise en place qui n’était pas remise en cause tous les cinq ans.
Gérard
13 octobre 2016 @
17:46
Pour ce qui est du Christianisme je crois que nos rois en étaient vraiment pénétrés même les plus pécheurs d’entre eux et c’est sans doute pourquoi ils ont en général fait une belle mort non pas tant parce que noblesse oblige que parce qu’ils avaient mis en ordre leurs affaires spirituelles, sauf coup de poignard intempestif.
Les papes non plus n’ont pas été parfaits mais même Alexandre VI a maintenu la doctrine.
Le sacre indépendamment de ce que les Chrétiens croient qu’il pouvait apporter comme grâce, dans une certaine mesure obligeait le roi, il le faisait pratiquement prêtre sans qu’il change de nature ou de tempérament mais avec toujours l’idée qu’il faudrait un jour s’améliorer.
Mais il est vrai aussi que les dirigeants sacrés ou pas ont toujours en tête que parfois la raison d’État impose ou permet…
jul
13 octobre 2016 @
20:49
Vous appelez mes commentaires, des raccourcis ?
Cosmo
14 octobre 2016 @
21:32
Cher Gérard,
Vos propos, comme toujours, sont empreints de sagesse. L’humanité des rois, leurs faiblesses peuvent les rendre attachants, leur orgueil qui les poussa parfois à la guerre beaucoup moins.
Je suis tout-à-fait d’accord avec vous sur l’absence de génie, contrebalancée par la tradition. Nous voyons bien ce qu’il en est au Royaume-Uni.
Le plus agaçant est de lire des commentaires qui considèrent comme un crime de lèse-majesté toute critique à l’encontre des personnes et des systèmes.
Il ne faut pas oublier que la noblesse a été la première à critiquer, et à se révolter, contre les rois et que souvent la bourgeoisie lui a emboité le pas.
La critique est salutaire et parfois amusante. La flagornerie est terne et ennuyeuse.
Amicalement
Cosmo
Cosmo
14 octobre 2016 @
21:33
Pas vos commentaires, Jul ! Votre vision des choses.
Cosmo
Kalistéa
12 octobre 2016 @
16:15
Ne nous parlez pas de tous ces Bourbons , cher Cosmo! qui , en France en voudrait encore , après le mal que notre pays s’est donné pour s’en débarrasser?
Seule cette poignée de rêveurs et de buveurs de coupes de champagne autour d’un faux duc , pas Français et nullement représentatif, peut nous faire régulièrement ce cinéma encore plus ridicule que celui qui se déroule en Roumanie !
Aussi grotesque que soit la parodie Roumaine, ses acteurs principaux ne se cantonnent pas aux seules visites d’Eglises. C’est dire la vacuité et la paresse dans lesquelles Luis de Borbon se vautre….
En lisant certains intervenants, on s’attend sous peu à ce que la religion catholique soit purement et simplement interdite, et les églises fermées ou transformées en maison de la « culture », pour cause de laïcité mal comprise et obligatoire!
Et c’est vous, cher Aramis, qui venez me parler d’un esprit victimaire! Si je ne connaissais pas votre amour inconsidéré pour la vérité, je vous soupçonnerais d’une mauvaise foi certaine…
Certes il fait que les églises, mais au moins il est visible, il fait parler de lui dans les médias, il est invité aux mariages princiers, les Orléans eux…rien…
La Princesse Marie représentait la Maison de France en tant que fille du Chef de et c’est à ce titre que l’ambassadeur de France l’a accueilli à son arrivée en Albanie.
Quant au Prince de Liechtenstein, il était représenté par son frère et sa belle-soeur le Prince et la Princesse Philipp.
Je vous invite à écrire au chef de cabinet du Prince Souveraine à Vaduz pour confirmation.
Il est évident en effet qu’en partant de l’idée de Mayg des dizaines de princes de Liechtenstein pouvaient être invités et que le prince Gundakar dont les qualités personnelles sont indiscutables avait de surcroît celle d’être l’époux de la princesse Marie.
Mayg
13 octobre 2016 @
19:43
Si Marie d’Orléans a été reçu par l’ambassadeur de France, c’est parce qu’elle française. La République française via son ambassadeur ne reconnait aucun cas les Orléans comme représentant la Maison de France !
Et enfin, reçu ou non par l’ambassadeur, si elle n’avait pas été épouse du prince de Liechtenstein, elle n’aurait pas été présente à ce mariage.
Gérard
14 octobre 2016 @
16:01
Oui Mayg il est bien connu qu’à Tirana l’ambassadeur de France s’est installé une cahute devant l’aérogare et qu’il attend les Français qui débarquent.
Mais vous vous trompez, la République française depuis qu’elle existe et spécialement depuis les années qui suivirent la mort du comte de Chambord reconnaît les Orléans comme étant la maison de France, allant même à cet égard jusqu’à en exiler les chefs, à tous les radier des cadres de l’armée, pour faire bonne mesure comme vous l’oubliâtes, et ce pendant un sacré moment !
Tous les présidents de la République ont tenu compte des Orléans à tout le moins même quand ils étaient en exil et nous savons les relations qui furent celles de De Gaulle ou de Mitterrand avec le comte de Paris et même quand Giscard avait fait savoir que le protocole élyséen désormais ne reconnaîtrait plus d’autre titre que ceux du comte de Paris et du prince Napoléon, on savait bien ce qu’il voulait dire.
Le temps n’est pas si loin où Jacques Gandouin préfet qui fut chargé du protocole, homme on ne peut plus brillant et grand maître de l’étiquette, proposait d’ajouter ces deux princes à titre héréditaire dans la hiérarchie comme cela se trouve en Allemagne ou ailleurs (Jacques Gandouin qui finalement fut relevé de ses fonctions préfectorales par Pompidou pas toujours bien inspiré, parce qu’il avait dit à un preneur d’otages une nuit dans son département et par le porte-voix : « Fais pas le con…»).
Et si vous croyez Mayg que l’on tient la France pour un État inférieur au Liechtenstein en Albanie permettez-moi de vous dire que vous avez une drôle de conception de votre pays, malgré toute la considération que j’ai pour le Liechtenstein que je connais bien.
Cosmo
15 octobre 2016 @
11:26
Mayg,
L’ambassadeur de France où qu’il soit ne reçoit pas tous les Français en visite, ni les ressortissants du Liechtenstein.
Encore un petit effort et vous allez gagner le Prix Vinaigre !
Cosmo
Karll
15 octobre 2016 @
16:06
Mayg, la Princesse Marie de France était la en tant que princesse de France et Princesse de liechtenstein…. Une personne n est pas divisible au gré des circonstances. Il est vrai que les Orléans ont toujours eu tendance a faire de bonnes alliances, on ne peut certes pas en dire autant de la famille de Luis de Borbon qui s’est abatardie a chaque génération en contractant des mariages plus honteux les uns que les autres….
Voyez vous si Luis de Borbon avait fait l effort de venir (pour une fois qu il était invité quelque part), il serait venu en tant que luis de Borbon descendant de Franco et suité de sa femme parvenue d amerique du Sud. Pas certain en revanche que des ambassadeurs fassent l effort d accueillir des rien du tout…
Ce n est pas plus compliqué que ca. Faites un effort, vous arriverez un jour a comprendre…
Invité aux mariages princiers??? c’est bien une des premières fois qu’il est invité quelque part… Et pour mémoire, a son mariage, point d’Altesse! Un mariage boudé par la quasi totalité des Maisons d’Europe!
Pourquoi le soi-disant prétendant préfère t-il vivre en Espagne plutôt qu’en France?
Pourquoi ne reste-t-il que quelques heures à chacun de ses déplacements au lieu de s’inprègner de « ses terres »?
Tout cela démontre le peu d’intérêt du citoyen Bourbon Martinez-Bordiu
J’aimerais tant avoir des réponses à vos questions.
Luis Alfonso semble supporter l’omniprésent entourage légitimiste que quelques heures c’est pourquoi il retourne respirer en Espagne dès la cérémonie terminée
Luc, les Orléans ont montré que cela n’apporte pas de légitimité supplémentaire et les aînés des Bourbons ont fait connaître leurs droits sans résider en France…
Pourquoi changer ce qui est efficace ?
Gauthier, on peut avoir parfois votre sentiment mais en l’espèce pour aussi élevé que soit le discours de Louis de Bourbon il me semble cependant réducteur et dans une certaine mesure erronée car les rois de France n’ont jamais entendu instaurer une théocratie se souvenant sans doute en cela de ce que le Christ séparait ce qui est à César de ce qui est à Dieu. Il est vrai néanmoins qu’ils ont été à des degrés divers conscients des obligations qui étaient les leurs en tant que chrétiens, cependant c’est certainement quand ils ont privilégié l’esprit sur la lettre qu’ils ont été les plus grands et les plus bénéfiques, comme les plus authentiquement chrétiens.
Gérard, je partage votre sentiment. C’est d’ailleurs pour cela que, bien que demeurant légitimiste et issu d’une famille légitimiste, je me distancie de plus en plus de ce mouvement, qui actuellement renie ce qu’il a été en considérant le Prince comme un objet commercial, qu’il convient d’exhiber à dates régulières pour rappeler son existence.
Après l’intermède ridicule de l’IDA il y a quelques années, où le nom « Louis de Bourbon » était utilisé comme une marque, force est de constater qu’une partie de l’IMB semble vouloir prendre le même chemin! Et je ne parle pas des interventions de certains légitimistes ici, qui semblent oublier que la religion catholique est l’un des fondements de la France et qui confondent le légitimisme avec une volonté de dénigrer systématiquement les Orléans.
Quant à mon sentiment sur le combat que l’on mène, actuellement, sous couvert de « laïcité », à la religion catholique, je crois qu’il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles pour constater ce qu’il en est. Et dire que certains ici défendent ce point-de-vue!! C’est tout bonnement incompréhensible, mais l’Homme n’en est, hélas, plus à une contradiction près.
Bravo Gauthier. La religion catholique est en effet l’un des fondements de la France. C’est dire qu’il y en a d’autres ! Et en effet il y en a d’autres.
Ravi que vous le reconnaissiez.
Peut-être Jules César qui a réussi à unir un peu les Gaulois sans trop le chercher, mais aussi les Phéniciens, les Grecs, les Juifs qui commerçaient avec les Gaulois et les Ligures et s’installaient dans ce qui devait devenir bien plus tard la France, sans doute les Capétiens qui petit à petit on fait la France, Philippe Auguste, Jeanne d’Arc et aussi tout de même tous nos ennemis successifs qui d’une manière progressive ont soudé le pays, j’imagine qu’on dira aujourd’hui les philosophes des Lumières et sans doute ont-ils joué un rôle important mais ils ne sont pas nés d’une génération spontanée. Ce qui a fait la France ce fut aussi certainement tous ces hommes et ces femmes qui ont brillé dans la philosophie, dans les lettres, dans les arts, dans la musique, dans la charité, dans le mécénat, dans le travail bien fait. À cela s’est ajouté l’apport par vagues des immigrés généralement catholiques ou orthodoxes dans un premier temps, et aussi de tous ceux qui sans être chrétiens, en étant par exemple juifs, musulmans, d’autres religions ou sans religion, ont fait l’effort de vouloir être français, sans oublier dans la paix comme dans la guerre l’apport des peuples à qui la colonisation nous a unis parfois malgré eux.
Cependant il me semble que le Christianisme tel que Rome nous l’avait apporté avec une oeuvre organisatrice, et auquel les Barbares se sont ralliés, a été un élément fondateur pour ce qui devait devenir notre pays, avec je crois quand même la prédominance donnée à la langue française notamment sous François Ier et la volonté centralisatrice de nos dirigeants, les rois et surtout la Révolution, le Premier Empire, la République. Tout cela s’est fait dans une certaine mesure aux dépens d’autres manières de penser et de vivre et il reste aujourd’hui à trouver comment conjuguer au mieux des situations nouvelles.
Mais aussi il serait vain de nier par exemple que l’Islam a été un élément fondateur de nombreux pays y compris les pays du Maghreb qui ont été pourtant un important foyer de romanité et de christianisme autrefois, avant l’Islam. Et le poids de la religion demeure très important dans tous les pays du monde y compris ceux qui vivent sous des régimes laïques parfois démocratiques parfois autocratiques. La religion à cet égard a un moment donné de son histoire et quelle qu’elle soit est à la fois un ferment de rassemblement et un ferment de division par rapport à ce qui lui est extérieur. Ce n’est plus le cas du Christianisme qui a très généralement compris de nos jours le message évangélique.
Gérard
11 octobre 2016 @
15:30
Au fait où était-il Louis quand Madame et le duc de Vendôme étaient à Reims avec des centaines de milliers de Français pour accueillir Jean-Paul II lors des 1500 ans du baptême de la France ?
Gérard, je vous informe puisque vous semblez l’ignorer et que vous posez la question que le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou assistait à la messe apostolique célébrée par Jean-Paul II le dimanche 22 septembre 1996 sur le terrain de l’ancienne Base 112 de Reims. Il se trouvait sur la même ligne que les princes d’Orléans, séparé d’eux par une allée. Etaient présents la comtesse de Paris, vêtue de violet, Jean d’Orléans, Jacques d’Orléans et Eudes d’Orléans.
A la fin de la messe, Jean d’Orléans est venu saluer le duc d’Anjou et les deux princes ont échangé leurs cartes de visite.
Je confirme la véracité de vos propos, puisque j’y étais, le Prince Louis, duc d’Anjou et de Bourbon était bien à Reims lors de la venue du pape Jean-Paul II, à une époque où ses visites en France étaient plutôt rares. Il est passé tout près de notre groupe qui n’a pas manqué de le saluer.
Dans le même ordre d’idée le Prince Alphonse son père, duc d’Anjou et de Cadix était venu lors de la visite du pape Jean-Paul II en 1986 à Lyon à Eurexpo dans la tribune d’honneur, invité par le Cardinal Decourtray, Primat des Gaules.
Ce même cardinal qui avait célébré une messe pour le Millénaire Capétien en 1987 en sa présence dans sa cathédrale toute fleurdelysée pour l’occasion. Il me semble que cher Aramis avait avoué y être présent aussi dans l’un de ses commentaires.
D’autant qu’on avait quand même attendu bien longtemps.
Nemausus
11 octobre 2016 @
22:01
Il est amusant de voir les orléanistes critiquer la présence du duc d’Anjou dans une cathédrale quand tout le monde sait et voit que Jean d’Orléans passe aussi son temps à l’église !
mais encore une fois, c’est la jalousie de voir que le duc d’Anjou est invité de plus en plus souvent comme chef de la maison royale de France (et pas qu’en France) et pendant ce temps les Orléans règlent leurs comptes entre eux mais publiquement….ils sont raison, qu’ils continuent à donner l’image d’une famille désunies, qui se déchire et se hait……il sera difficile de continuer à leurs partisans de vouloir les faire passer pour la famille providentielle !
Ce n’est pas faux, c’est même plutôt vrai…hélas !
Au mariage albanais, Louis était invité. Je n’ai pas vu que les Orléans l’aient été. l’ ont ils été ?
Au mariage du prince héritier d’Albanie, la Maison de France était représentée par la princesse Marie, fille ainée du Comte de Paris. La sœur du Duc de Vendôme a été accueilli sur place par l’ambassadeur de France en Albanie.
La princesse Marie et sa filles étaient là car elles sont épouse et fille d’u prince de Liechtenstein. Sans ça, elles n’auraient pas été présentes à ce mariage !
C’est faux, le Prince Souverain de Liechtenstein était représenté par son frère le Prince Philipp et sa belle sœur la princesse Isabelle tandis que le Comte de Paris était représenté par sa fille ainée Marie qui est venue accompagnée de son mari et de leur fille la Princesse Maria-Immaculata. L’ambassadeur de France a accueilli comme il se doit la fille du chef de la Maison de France.
Gérard
14 octobre 2016 @
16:05
Mayg croit que le prince souverain avait dit à Gundakar : « Vas-y aussi des fois que Philippe et Isabelle ne me représenteraient pas assez bien. »…
Cosmo
15 octobre 2016 @
11:53
Cher Charles et Gérard,
Mayg nous offre un spectacle terrible. Il faut l’imaginer tordue de douleur face à cette nouvelle, la princesse Marie de France, née Orléans, princesse Gundakar de Liechtenstein, a été reçue par l’ambassadeur de France.
Cela semble l’avoir terriblement affectée. Compatissons à son aigreur en lui offrant lui une grande bouteille de Gaviscon. Cela l’aidera sans doute pour ce weekend.
Amitiés à tous les deux
Cosmo
Karl
17 octobre 2016 @
14:35
Mayg qu’en savez vous??? C’est vous qui etes en fait responsable du protocole du prince albanais? C est vous qui savez qui est invité et pourquoi? C est vous qui avez lancé les invitations?
Votre aigreur vous rend ridicule….
Nemausus
17 octobre 2016 @
18:49
Manifestement Mayg, il n’y avait aucun princes d’Orléans de disponibles pour représenter Henri, si celui-ci avait réellement été invité….ils ont donc envoyé une princesse de Liechtenstein pour les représenter, faute de mieux !
Peut être que l’invitation, s’il y a eu, n’a pas satisfait à l’égo d’Henri….
Gérard
18 octobre 2016 @
17:54
Une princesse de France qu’on aurait appelée autrefois Madame Première voire Madame Royale et qui serait l’héritière du trône s’il y avait un trône et si la primogéniture absolue avait été votée par le Congrès de Versailles.
Ainsi donc la Maison royale d’Albanie est devenue une référence pour les royalistes. Est-ce l’effet de l’entretien de madame Salens ? Qu’une invitation des Zogou aux Bourbon et Orléans, hors jeu les uns et les autres, attise les rivalités sur N&R c’est un comble !
C’est un bien grand malheur pour le prince Louis qu’il n’ait presque plus de famille à l’exception de celle heureusement qu’il constitue avec son épouse et ses charmants enfants. Il a cependant une famille, un peu plus éloignée mais régnante et qui ne soutient pas du tous ses droits prétendus au trône de France.
Il reste que lorsqu’on a très peu de famille on évite les contrariétés familiales éventuelles.
Vos affirmations sont fausses. Le roi Juan Carlos n’a jamais pris de position officielle sur ce sujet. C’est par souci de sa mère qu’il a toujours ménagé les Orléans jusqu’à ce que Henri le jeune ait l’outrecuidance d’insulter la maison royale d’Espagne en la considérant comme illégitime !
Le roi Felipe VI n’a pas pris non plus de position officielle sur le sujet car cela ne le concerne pas mais il a néanmoins invité son cousin à son intronisation.
Et que ce soit Juan Carlos ou Felipe VI, tous 2 valident le fait que l’elenco de grandezas, sous leur patronage, continue depuis très longtemps de traiter le prince Louis Alphonse de Bourbon comme duc d’Anjou et chef de la maison royale de France et grand maître des ordres royaux….. or la députation de la grandesse d’Espagne, présidée par le duc d’Hijar, est la référence en la matière de titre de noblesse. Jamais la députation de la grandesse n’aurait affirmé une telle position sans l’accord du roi !
Vous révez Naucratis. Le Roi Juan Carlos a toujours soutenu ses cousins Orléans dans leur position de Maison Royale de France. Il n’ a jamais accordé à Luis de Borbon le prédicat d’Altesse Royale et n a jamais eu la moindre considération pour lui et sa famille!
Il n a meme pas pris la peine de se faire représenter à son mariage , ni meme à l’enterrement de sa grand mere, celle la meme que vous affublez du ridicule titre de duchesse qu elle n etait plus depuis 60 ans avant sa mort!
En revanche le roi a toujours reçus et fréquentés ses cousins Orléans et il continue à le faire, comme le fait également son fils, le nouveau roi d ‘Espagne.
Chacun sait que le roi Juan Carlos était furieux du faire-part de Louis de Bourbon, de cette altesse royale, de ce titre de duc d’Anjou. La mère de Louis n’a jamais dit le contraire même si elle était furieuse que personne ne soit venu.
Et vous avez raison Karl surtout lorsque l’on songe que le roi Philippe est le parrain de la fille de l’autre duc d’Anjou.
Kalistéa
12 octobre 2016 @
10:08
Encore , la JALOUSIE !
A croire que si on est pour reconnaître que ce sont les descendants du dernier roi ,qui représentent le principe royal en France , et non un prince étranger , on est Jaloux parce que c’est monsieur Borbon Martinez qui boit aujourd’hui le champagne de mr Robinet , après un discours ridicule, dont on peut penser d’ailleurs que c’est tout à son honneur de ne pas l’avoir écrit!
Mais ne vous inquiétez pas Jul nous savons maintenant que les derniers seront les premiers, en tout cas au Ciel, sur la terre c’est pas toujours sûr.
Cosmo
14 octobre 2016 @
21:36
C’est vous qui en faites, en invertissant les choses et en trahissant volontairement la réalité.
Nemausus
16 octobre 2016 @
09:38
Jul,
Les orléanistes ont toujours fait de la discrimination sur la nationalité française selon son mode d’acquisition en se revendiquant uniquement du droit du sol alors que le droit français n’est pas basé que sur ce principe (et heureusement pour les Orléans car à cause de la théorie de leurs partisans, les aînés seraient tous étrangers !)
Sauf que selon le décret rendant (et non donnant) la nationalité française au duc d’Anjou et de Cadix, il est bien indiqué que ses enfants sont considérés comme nés français.
Il en est également ainsi pour les enfants de l’actuel duc d’Anjou qui sont bien nés aussi français.
Et la loi a bien plus de force que les élucubrations de certains orléanistes !
AUDOUIN
13 octobre 2016 @
18:12
Cher Jul
Que le Prince ait vu le jour à Madrid, à Paris ou à Honolulu n’ a strictement aucune incidence sur son statut. Le duc d’Anjou est né Bourbon, de la Maison royale de Bourbon dont il est aujourd’hui le chef. C’est ce qui fonde sa légitimité au regard des lois dynastiques. Tout le reste n’est que jacasserie stérile.
Tiens, j’ai appris en lisant sa nécro que le roi Bumibol de Thaïlande était né aux États-Unis quand son père suivait ses études à Harvard. C’est fascinant.
Tout le monde sait que l’idée d’une nationalité Française n’a chatouillé le duc de Cadix , que lorsqu’il s’est agi de faire payer à la sécurité sociale française, ses soins longs et coûteux après le tragique accident de voiture!
Et oui, Goélette, c’est la réalité de la volonté d’être français de celui que certains auraient placé sur le trône, s’ils l’avaient pu. Ce n’est somme toute pas très différent de bien d’autres qui aspirent à devenir français pour les avantages que cela procure.
@ Aurore
« Linformation » de Goélette vous laisse sans voix. Comme je vous comprends! Moi, le n’en crois pas mes yeux. Pour des raisons qui ne sont pas nécessairement celles qui vous rendent aphone…Sans la moindre vergogne, cette Goélette à la dérive n’hésite pas à imputer au Prince Alphonse des faits d’une gravité exceptionnelle, de nature à porter atteinte à son honneur et sa considération, sans les étayer par le moindre commencement d’une preuve. Ce n’est plus de l’information, c’est de la diffamation. Car comment qualifier, en droit, cette insinuation insensée selon laquelle le Prince aurait « escroqué » la Sécurité sociale française?
Cette accusation est non seulement infamante mais plus encore absurde car dénuée du moindre fondement.
Le Prince Alphonse de Bourbon, né français par sa mère n’a pas eu à demander la nationalité française puisqu’elle lui était acquise le jour de sa naissance. Il a fait tout ce qu’un citoyen français est en droit de faire: il s’est fait délivrer un passeport français par les autorités compétentes.
Dire que cette pièce d’identité lui a permis d’obtenir des prestations de la Sécurité sociale est d’une stupidité qui n’échappera à personne.
Pour bénéficier de tels avantages, chacun sait ( sauf apparemment l’ineffable Goélette), qu’il faut être immatriculé à la SS. Et surtout payer ses cotisations.
Le Prince Alphonse n’était pas dans ce cas, n’étant à ma connaissance, ni salarié, ni artisan, ni chef d’entreprise en France.
Le 5 février 1984, le jour de son accident à Pampelune, le duc d’Anjou était président d’International Factors Española SA, filiale du Banco Extérior de España. Il n’était pas un indigent dont l’insuffisance de ressources lui eût permis d’être pris en charge par l’Assurance maladie.
Sur la recommandation de ses médecins espagnols qui estimaient que les établissements français étaient à l’époque mieux équipés que ceux d’ Espagne, le Prince, polytraumatisé, a vécu une partie de sa rééducation à Paris. Les frais afférents aux soins reçus ont été intégralement payés par l’Assurance que le Prince Alphonse de Bourbon avait contractée pour lui et ses fils..
Comme quoi, Audouin, vous parlez une fois de plus de choses que vous ignorez et vous confondez l’existence d’un droit et son exercice.
C’est le président Mitterrand qui a donné l’ordre à Pierre Beregovoy, et ensuite à Georgina Dufoy, de faciliter toutes les démarches afin que le prince Alphonse de Bourbon puisse bénéficier du traitement lourd qu’il devait subir, en attendant que la nationalité française lui soit reconnue.
Personne ne dit que le prince a escroqué la sécurité sociale – çà c’est votre argument d’attaque pour tenter de masquer la réalité – car tout a parfaitement été légal.
On dit tout simplement que le prince n’a demandé la reconnaissance de la nationalité française que lorsqu’il en a eu besoin, pour pouvoir être mieux soigné en France qu’en Espagne. Quand il était ambassadeur d’Espagne et petit-gendre du chef de l’Etat espagnol, cette idée ne lui a pas traversé l’esprit.
Vous semblez oublier que de sa naissance à 1986, le prince n’avait pas de droit à la nationalité française car sa mère qui n’avait pas exercé le sien propre. Il a fallu qu’Emmanuella de Dampierre soit reconnue comme française pour que ses fils puissent l’être également.
Ce n’est qu’en 1987 que la nationalité française fut reconnue au prince Alphonse, sa mère, Emannuella de Dampierre, n’eut sa reconnaissance qu’en 1986. Car si la nationalité française pouvait leur être reconnue de droit grâce à celle de Roger de Dampierre, duc pontifical de San Lorenzo, un jugement était nécessaire pour la voir exécutée dans toutes ses formes. Ni Emmanuella de Dampierre, ni son fils n’étaient nés en France. Roger de Dampierre ne pouvait en aucun cas transmettre sa nationalité à son petit-fils.
Donc, entre l’accident et la reconnaissance judiciaire de sa nationalité française, le prince a pu bénéficier de soins en France grâce à l’intervention du président Mitterrand.
Ce n’est donc pas l’amour de la France qui lui fait demander la nationalité française, mais les commodités offertes par notre pays. Car si l’amour de la France avait été si fort, il aurait demandé à sa mère d’effectuer les démarches en 1975, après la mort de Franco, avant d’en avoir besoin.
Il n’y a là aucune diffamation mais la simple relation des faits.
Comment savez-vous que c’est l’assurance privée du prince qui a pris en charge tous ces frais ?
comme à leurs habitudes les orléanistes insinuent la calomnie en voulant faire croire que le duc d’Anjou et de Cadix n’a demandé à retrouver la nationalité française que par commodité pour des soins….
mais la loi se fout complètement des allusions perfides des orléanistes car elle dit tout simplement que le duc d’Anjou est considéré comme né français et récupère donc la nationalité française et peut importe à quel moment. Il ne s’agit donc pas d’une naturalisation qui de toute façon aurait fait du prince un français au même titre que le fait de récupérer la nationalité….. il n’y a bien que les orléanistes pour discriminer les français entre eux….. mais le fait pour la branche aînée des Bourbons de récupérer la nationalité française sciait la branche de leurs pseudo arguments sur la nationalité d’où leur hargne à créer une nouvelle théorie discriminante faisant la différence entre les français selon le mode d’acquisition de la nationalité….. c’est ça cette famille qui prétend unir le peuple français en commençant par les diviser pour les besoins de leur cause …. la providence nous épargnera de les avoir comme roi !
Ce n’est pas une calomnie, c’est la simple constatation des faits dans leur ordre chronologique. Le duc de Cadix ne pensait pas demander la reconnaissance de sa nationalité française, tant qu’il avait des intérêts en Espagne.
Le constater vous ennuie vous et vos amis. C’est votre problème avec votre prétendant qui a un pied au-delà des Pyrénées et un pied en deçà.
De toutes façons, la nationalité ne change rien à l’ordre dynastique. Comme le fait d’assister à toutes les messes et célébrations qu’il veut n’en fait pas un français de coeur. Il reste ce qu’il est, un français de papier ou dé récupération comme vous dites.
Cette excitation autour du prince Louis et de ses droits, cette agitation de crapauds dans une mare demandant un prétendant, est bien amusante et en dit long sur l’état d’esprit de certains monarchistes confits dans la haine.
Rassurez-vous, vous n’aurez pas plus un Orléans qu’un Bourbon d’Espagne comme roi.
Cher Cosmo votre démonstration est imparable. Lors de la guerre d’Algérie ou à l’heure du service militaire nos Bourbons ne devaient pas savoir qu’ils étaient français.
Cosmo
23 octobre 2016 @
17:06
Cher Gérard,
Tout ceci est tellement logique. On se demande comment certains osent même parler de la nationalité du prince Louis et avant lui de son père. Oui, ils ont la nationalité française mais on se demande ce qu’ils en font ou en ont fait. Assister à des cérémonies ou parler sans cesse de ses ancêtres français (et encore, il faut remonter à Louis XIV dans son ascendance royale) ne sont pas des raisons suffisantes. Etre un véritable citoyen d’un pays comporte des devoirs, et ceci est valable pour tous les pays. Dire cela n’est en rien la manifestation d’un quelconque sentiment ultra-nationaliste ou xénophobe.
En réalité, les pseudo-légitimistes s’abritent derrière cette affaire de nationalité reconnue pour pousser Louis de Bourbon en avant. Ils oublient que son coeur et son esprit sont espagnols. Le duc de Madrid, don Carlos, en 1883, écrivait dans une lettre : “chère Espagne. C’est à elle seule que j’appartiens, et je lui appartiendrai toujours.” Ces paroles s’appliquent aussi à Louis de Bourbon. S’il pensait autrement, on se serait déjà aperçu.
De toutes façons, français ou pas, ses droits n’existent que dans certains esprits chimériques pour qui l’histoire des peuples n’est rien. On gomme trois siècles d’histoire européenne, tout simplement parce que les Orléans, pour diverses raisons, n’ont pas l’heur de leur plaire. Et pour paraphraser le général de Gaulle » Il ne suffit pas de crier l’aînesse, l’aînesse, en sautant comme des cabris… »
Amicalement
Cosmo
Goélette
16 octobre 2016 @
15:36
Il a fallu l’intervention de mr Mitterrand, qui était bien un tout petit peu snob aussi…malgré votre véhémence , môssieur Audouin!
Cher Naucratis, cette pauvre Goélette prend l’eau de toutes parts…Après avoir accusé par ignorance ou mensongèrement le défunt duc d’Anjou d’avoir demandé un passeport français pour profiter indument de la Sécurité sociale, elle confond maintenant le père et le fils! Je lui indique que Marie Marguerite Vargas a épousé le prince Louis plus de quinze ans après la mort du père de celui-ci. Quel écran de fumée va-t-on encore dresser pour tenter de sauver du naufrage la frêle goélette? Consternant.
En matière de sottises répétées à l’infini , vous êtes le roi couronné et oint Naucratis:Personne n’en écrit autant que vous.Et elles ne deviennent pas non plus des vérités ; elles restent indéfiniment de lourdes bêtises naucraticiennes c’est à dire extrêmement lassantes .
C’est que , mon cher Cosmo , il faut aussi considérer que la fortune Vargas (d’où qu’elle vienne) n’était pas encore à la portée du duc de Cadix qui était dit-on assez désargenté…
Goélette, je pensais qu’en épousant la petite fille d’un dictateur espagnol, le duc de cadix s’est mis à l’abri… Il fallait tout de meme bien ça pour compenser la mésalliance, la descendance non dynaste et le cortège de scandales que ce mariage allait produire.
Pierre-Louis, je reprends votre idée de » mésalliance ».Mon idée personnelle , car je m’efforce d’être juste , est que le mariage du duc de Cadix, fils d’un prince renonciateur et non dynaste ni en Espagne ni en France , avec une jeune femme , fille du marquis de Villaverde un chirurgien de valeur , et petite fille d’un chef d’état qui fut durant 40 ans à la tête de son pays ,n’était pas du tout une mésalliance.Au moment du mariage , il n’y avait eu que le scandale du divorce des ducs de Ségovie ,après que l’épouse de celui-ci l’ait abandonné ainsi que leurs deux enfants pour partir avec un autre homme.C’est cela qui aurait pu faire hésiter la famille de la mariée qui s’était toujours conduite de façon irréprochable.(la politique du gouvernement Espagnol sous la dictature du général Franco , ça c’est un autre sujet ).Mais après tout n’est-ce pas on ne pouvait reprocher au duc de Cadix , la conduite de sa mère ?
Par la suite , hélas son épouse se conduisit exactement de la même façon que sa belle-mère!
Je ne suis même pas sûre que le mariage de Luis -Alfonso Borbon avec une roturière Vénézuélienne richissime dit-on , soit une « mésalliance » car après tout il n’est plus maintenant que le cousin même pas germain du roi d’Espagne !Quant à son pseudo titre de « duc d’Anjou » , tout le monde sait qu’il est faux à commencer par ses amis et leur thèse fantaisiste qui ne repose que sur l’idée farfelue d’un droit d’ainesse , à l’exclusion de toute autre considération , porte à la commisération .
J’espère que vous me comprenez.Bonne nuit.Bien à vous . k
Kalistéa, merci de votre analyse.
Quand je dis mésalliance, pour moi s’en est une pour qui prétend être chef de la Maison de France. En effet, que le duc de Cadix ait accepté de méler son sang à celui d’un terrible dictateur en dit long sur la moralité de cette personne… Son fils, pseudo duc et même pas prince s’est également mal marié en épousant un parvenue dont l’origine de la fortune semble etre moralement douteuse…. Pour moi, les bons mariages sont ceux qui se font entre des personnes honorables. Peu importe qu’un prince epouse une bergère tant que celle ci provient d’une famille respectable, ce qui manifestement n’ est pas vraiment le cas dans les deux cas présents.
Maintenant comme ni le duc de Cadix, ni son fils ne représentent quoi que ce soit ni en Espagne ni en France, peu m importe leurs mariages. Je pense seulement que quand on prétend si important, on s’entoure et se marie correctement.
Bien à vous
Au-delà de leurs prétentions monarchistes respectives,aussi vaine l’une que l’autre,Luis Alfonso de Borbon me semble beaucoup plus agréable à regarder que Jean d’Orléans ¨même s’il est loin d’être un Adonis. -;)
Nos prétendants étaient plus beaux il y a 20 ans que maintenant comme chacun de nous mais tout cela n’a aucune importance et ils ont toujours belle allure. Le physique n’est pas le critère primordial. Heureusement.
Ensuite il faut rappeler que les prétendants ne sont pas des prétendants parce qu’ils revendiquent un droit mais parce qu’ils ont des partisans.
Hugues
10 octobre 2016 @ 08:01
Louis est tourné uniquement vers le passé et son amour des églises et des messes devient obsessionnel !
Mayg
10 octobre 2016 @ 13:21
Dans la mesure où il s’agit d’un hommage aux rois de France qui se sont fait sacrés à Reims, il est tout à fait normal que cela se passe dans la cathédrale de Reims !
Aramis
11 octobre 2016 @ 12:06
En effet.
Que ce bel hidalgo préside cette cérémonie est en revanche contestable au regard du rang des Orléans.
Mayg
12 octobre 2016 @ 16:18
Les Orléans sont au rang de cadets, rien de plus !
Karl
18 octobre 2016 @ 10:57
Si vous le dites!
Hélène
12 octobre 2016 @ 09:09
Encore faudrait-il que ce Bourbon d’Espagne non dynaste ait la légitimité pour représenté la famille de France à ces cérémonies
Mayg
12 octobre 2016 @ 16:19
En tant qu’ainé des Bourbon, il à bien plus de légitimité que la branche cadette d’Orléans.
Pascalv
13 octobre 2016 @ 13:46
Mayg, encore eut-il fallu que son ascendance se soit pliée à la règle des mariages dynastes, qui à l’époque de ses grands parents et de ses parents etait encore de rigueur…. Il n’est donc l’aîné de rien du tout….
Naucratis
13 octobre 2016 @ 17:02
Pascalv inventé de nouvelles règles ! Pas question de mariage dynaste ou non dynaste dans la monarchie française.
Les orléanistes ne sont pas à un mensonge près.
Mayg
13 octobre 2016 @ 19:01
La règle du mariage dynaste n’a jamais existé appliquée en France.
C’est surtout une coutume des Maison allemandes.
Mayg
13 octobre 2016 @ 19:01
n’a jamais « existé »
Ascain2
12 octobre 2016 @ 18:42
Hélène, vous avez parfaitement raison de soulever ce point qui est pourtant crucial. Luis de Borbon etant issu de mariages qui ne repondaient pas aux règles dynastiques alors en vigueur (mariage inégal de ses grands parents, encore plus inégal fut celui de ses parents), il ne peut prétendre, en plus des raisons historiques connues de tous et négligées par ses quelques partisans, à être le chef de la Maison de Bourbon.
Naucratis
13 octobre 2016 @ 17:03
Ascain2, avez-vous conscience d’écrire n’importe quoi ?
Karl
18 octobre 2016 @ 11:03
Vous avez parfaitement raison Ascain 2. La règle des mariages dynastes a toujours été implicite en France, n’en déplaise à Naucratis et a Mayg.
A-t-on déjà vu un prince, chef de Maison, garder son rang en contractant d’aussi mauvaises alliances que celles réalisées depuis 80 ans dans la famille de Luis de Borbon?
Un des seuls de nos Rois qui se soit marié avec une personne d’une naissance plus modeste fut Louis XIV, en secondes noces. Noces gardées secretes, célébrées à un age ou aucune naissance n’était plus possible… Ca en dit long sur cette prétendue absence de mariage non dynaste défendue par certains ici!
jul
10 octobre 2016 @ 16:59
Hugues, ce sont des Français qui l’invitent. Allez demander aux Français pourquoi ils ont besoin de renouer avec leurs racines?
Thibault
11 octobre 2016 @ 08:03
On a hate de le voir visiter nos banlieues, nos belles campagnes, nos régions, nos villes, nos hôpitaux, bref la ou les Francais vivent, car Grande Nouvelle, il n’y a pas que dans des Eglises que les Français se trouvent… Quant à dire qu’ils l’attendent, on en est loin!
jul
11 octobre 2016 @ 13:20
Thibault, vous êtes hypocrites car c’est surtout ce que vous ne souhaitez pas.
Qu’avez vous pensé du voyage du Prince en Bretagne par exemple ?
Thibault
12 octobre 2016 @ 18:47
Ah si au contraire, je le souhaite. Je suis certain que sorti de sa zone de confort habituelle, luis de Borbon ferait encore plus pâle figure…. Quant aux courtisans d’un autre temps qui l’accompagnent de messes en messes, ils seraient certainement moins empressés à faire le tour des banlieues que celui des églises. J’ai hâte!
Quant à la Bretagne j’avoue que sa visite n’ayant certainement pas eu l’écho qu’elle méritait, je ne saurais me prononcer…. A-t-il visité une crêperie?
jul
13 octobre 2016 @ 20:54
Oh Thibault, à votre place, je serai plus circonspect.
Jean-François
11 octobre 2016 @ 14:50
Ce n’est pas le tout de se dire l’aîné des capétiens pour faire de vous un roi. Initialement d’obédience légitimiste, je suis comme vous désappointé. Il est un fait que nos compatriotes ont oublié leurs racines et il est bon de leur rappeler, mais on aimerait que le duc d’Anjou aille à la rencontre des français, de leurs besoins de tous les jours.
jul
13 octobre 2016 @ 20:58
Ah Jean-François, les Français ont assez de personnes qui ne cessent de leur parler de leurs besoins dits « de tous les jours ».
Il semblerait que les besoins matériels ne soient pas les seuls que cherchent à satisfaire légitimement les Français.
Les Français ont besoin de plus que cela. Et il convient au successeur des rois d’être au-dessus, d’évoquer les besoins immatériels dont les Français ont grand’ faim depuis quelques années.
Hélène
12 octobre 2016 @ 09:25
On n’est pas prêt de voir Luis Alfonso dans les régions de France puisqu’il refuse de vivre en France et même d’y venir pour ses vacances.
Il vient simplement en avion pour assister à une messe et repartir vivre librement sa vie en Espagne loin des légitimistes obsessionnels qui lui donnent des ordres.
Arnaut
11 octobre 2016 @ 13:31
Le prince Louis devient une caricature vivante avec ses visites dans les églises et les messes
Milena K
21 octobre 2016 @ 00:37
Pas plus que son « rival »,Jean d’Orléans.
Roger
11 octobre 2016 @ 13:45
S’il s’interesse à la France, qu’il s’y installe et qu’il y paye ses impôts en France
Sinon je ne crois pas les inventions des Bauffremont
Marie-Josépha
10 octobre 2016 @ 17:14
« son amour des églises et des messes devient obsessionnel ! » en quoi cela vous gêne-t-il?
kalistéa
10 octobre 2016 @ 08:19
Une répétition en vue du prochain sacre ?
Roger
11 octobre 2016 @ 13:46
Il est capable d’y croire !
MDR
Zeugma
10 octobre 2016 @ 08:27
Louis 20 vient repérer les lieux.
C’est simple, il suffit de reprendre le cérémonial du sacre de son lointain cousin – Charles X – le dimanche 29 mai 1825 et le matériel qui fut commandé à l’occasion.
Quelques regalia manquent : la couronne qui fut malheureusement détruite en 1887 et l’épée en diamants mystérieusement volée en 1976 dans la galerie d’Apollon du Louvre.
Il suffit d’en commander des neuves.
Les Bourbon de l’ancien régime se faisaient faire deux couronnes pour leur sacre. Celle de Louis XV fut la première à être incrustée de pierres précieuses. Elle est aujourd’hui au Louvre (avec des pierres fausses).
Les couronnes étaient confiées à l’abbaye de Saint Denis après la cérémonie.
jul
10 octobre 2016 @ 17:10
Vous savez Zeugma, Reims n’est pas un lieu désuet, seulement réservé aux sacres de nos Rois.
Le Général de Gaulle choisit la cathédrale de Reims pour une messe à laquelle il convia le Chancelier Adenauer le 8 Juillet 1962.
Notre Président y a prié officiellement. Dans une République laïque, c’est une preuve qu’on peut affirmer les racines chrétiennes de la France. Je suis admiratif.
HRC
11 octobre 2016 @ 08:58
ou tout simplement de sa foi personnelle.
Gauthier
11 octobre 2016 @ 10:22
J’imagine les cris d’orfraie des laïcards si le président, quel qu’il soit, avait été surpris à « prier » dans une église! Actuellement, il se contente de « présider » une commémoration, mais surtout pas assister à une Messe.
Mais la France évolue vers le « bien-être de ces citoyens » paraît-il, comme je viens de le lire ici.
jul
11 octobre 2016 @ 13:23
C’était une messe et le président y a prié pour la paix entre la France et l’Allemagne.
Zeugma
15 octobre 2016 @ 19:15
Jésus n’utilise jamais le mot « laïcards » (sic).
adriana
10 octobre 2016 @ 08:52
domage que l’épouse du prince ne soit pas présente………..; c’est un tres beau couple; bon début de semaine à tous
Licorne
10 octobre 2016 @ 09:52
Un absent de taille dans cette longue liste: notre bon roi Henri IV, sacré à Chartres..
Pierre-Yves
10 octobre 2016 @ 13:21
Manque aussi Louis VI, sacré à Orléans.
Et Louis XVIII, qui lui ne le fut pas, sacré. De même que Louis-Philippe.
grossmann
10 octobre 2016 @ 17:42
justement dans cette liste il n’y que les rois sacrée a Reims. Henri IV ne pouvait être sacré a Reims elle était tenu par la Ligue catholique;
Caroline
10 octobre 2016 @ 10:46
Merci à Quentin sur cet article qui fera couler beaucoup d’encre!
A bientot avec les prochains cent commentaires!
Quentin
10 octobre 2016 @ 12:37
Le prince Louis de Bourbon duc d’Anjou était ce samedi 8 octobre 2016 (c’est pour cela qu’il s’est excusé de ne pouvoir être présent au mariage royal d’Albanie) à la cathédrale de Reims pour commémorer les rois qui s’y ont fait sacrer.
http://www.lunion.fr/817547/article/2016-10-08/des-vive-le-roi-resonnent-dans-la-cathedrale-de-reims
Des «Vive le roi!» résonnent dans la cathédrale de Reims
Une plaque avec les noms des 31 rois sacrés, depuis l’an 816, à la cathédrale de Reims, a été dévoilée, samedi, en présence du prétendant à la couronne de France. Parmi les nombreuses personnes présentes hier à la cathédrale de Reims, beaucoup n’ont pas caché leur admiration pour le prince Louis de Bourbon et, plus largement, leur attachement à la royauté.
Le prince était accompagné de Mgr Jordan, Archevêque de Reims et du député-maire Arnaud Robinet (maire de Reims).
http://beaudricourt.hautetfort.com/archive/2016/10/09/discours-du-samedi-08-octobre-2016-a-la-cathedrale-de-reims-5858331.html
http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/communication-des-princes/2193-discours-de-louis-xx-a-reims-et-reportage-photo
Discours de Louis de Bourbon à Reims et reportage photo
Excellence,
Monsieur le Député-Maire,
Monsieur le Sénateur,
Cher Professeur,
Messieurs les Présidents,
Mesdames et Messieurs les Professeurs,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis
Certes le lieu n’est pas propice à un long discours, mais il m’appartient, comme Chef de la Maison de Bourbon, à ce titre héritier et successeur des Rois de France, de m’exprimer au moment où un acte important vient d’avoir lieu dans la Cathédrale de Reims avec la pose de la plaque des 31 sacres.
Mes premiers mots vont au Professeur Patrick Demouy puisque, si nous avons été réunis aujourd’hui, avec M. le Député-Maire, avec son Excellence l’Archevêque de Reims, c’est grâce à son heureuse initiative. Ainsi, je lui adresse tous mes remerciements. Il est devenu, au fil du temps un des spécialistes des sacres, et par son énergie et sa force de conviction, il a groupé autour de lui à la fois les autorités religieuses et civiles, les chercheurs universitaires et les associations fidèles à défendre la mémoire de la Cathédrale et plus largement celle de notre histoire commune.
Mes remerciements s’adressent aussi à l’Association des Amis de la Cathédrale et à son Président Monsieur Bernard Poret. Ils ont été pour beaucoup dans la réalisation de cette plaque, soutenue par le mécénat, que je salue, de l’Institut de la Maison de Bourbon. Les uns et les autres ont concilié les intérêts des diverses autorités, l’Archevêché, le clergé de la Cathédrale, les Monuments historiques.
Ainsi une plaque est installée dans la cathédrale pour commémorer les 31 sacres qui, depuis celui de Louis le Pieux, il y a 1200 ans, y ont été célébrés et notamment ceux des capétiens. Plusieurs fois par siècle cette cathédrale retrouvait la solennité des sacres, véritable colonne vertébrale de la royauté.
En effet si le règne du roi commençait à la mort de son prédécesseur, seul, le sacre lui conférait cette dimension supérieure qui faisait de la royauté française un pouvoir différent des autres.
Par le sacre, le divin et l’humain, se conjuguaient pour permettre au roi d’exercer sa mission au service du bien commun. La dureté du pouvoir des hommes se trouvait compensée par la charité du prince chrétien. Les promesses du sacre obligeaient le roi à tendre aussi vers la sainteté. Si Saint Louis en fut le modèle, tous les rois savaient qu’ils devaient se rapprocher de cet exemple.
La ville de Reims demeure profondément marquée par ce rôle unique qu’elle eut dans l’histoire de notre pays. Et si quelques sacres eurent lieu ailleurs, c’est bien ici que la symbolique demeure la plus forte. Bien évidemment la ville le doit au baptême de Clovis qui en fut le théâtre à l’aube de la royauté franque puis aux sacres et notamment au premier. Le colloque qui se tiendra cet après-midi aidera à le comprendre et je remercie vivement ceux qui présenteront leurs recherches.
Je me souviens de ma venue ici en 1996 et du privilège qui m’avait été donné de pouvoir tenir dans mes mains les restes de la Sainte Ampoule, conservant le Saint Chrême, miraculeusement conservée à l’Archevêché après qu’elle ait été profanée lors des journées révolutionnaires qui ensanglantèrent la ville.
Oui, Reims s’inscrit dans une lignée de l’histoire de France qui peut paraître parfois si inactuelle, où se côtoient Clovis, Louis-le-Pieux, Saint-Louis, Jeanne d’Arc, où le toucher des malades le jour des sacres avait tant d’importance pour les présents, en un mot la lignée de tout ce qui a permis à la France de mériter le nom de fille aînée de l’Eglise.
Mais au-delà, il y a le message si actuel de l’appel à la transcendance. A force de privilégier le matériel, le présent, une certaine facilité nimbée dans le cynisme et le scepticisme, nos sociétés ont perdu beaucoup. Perte de repères, de sens, jeunes plus ou moins déboussolés prêts à se jeter dans les mirages et craignant l’avenir. Le sacre nous rappelle l’autre versant du pouvoir, celui du bien commun et du don, celui de quelque chose qui nous dépasse et nous force à nous élever. Tel est bien le message d’espoir que nous retenons car il ouvre sur demain.
Puissent Notre Dame, Saint-Louis et tous les saints, à travers toutes les prières qui durant des siècles et des siècles, ont accompagné les sacres, protéger la France et la maintenir dans sa tradition.
Merci de m’avoir écouté.
Louis, duc d’Anjou
Armelle M
11 octobre 2016 @ 13:48
Avec un tel discours désuet, Louis de Bourbon n’est pas crédible.
Ce discours fait plutôt rire en 2016
Mary
11 octobre 2016 @ 16:52
Le tout,avec un superbe accent espagnol !
Kalistéa
12 octobre 2016 @ 09:56
Moi , l’accent espagnol ne me gène nullement puisque le senor Luis-Alfonso Borbon , Martinez- Bordiu y Franco , Est Espagnol , et de grande maison encore! ça personne ne peut le nier: Borbon est un grand nom , même si « duc d’Anjou » n’existe pas et est usurpé!
On va encore me dire qu’il est aussi Français…oui , il a obtenu la double nationalité , mais il est né Espagnol , ses parents l’étaient , il a fait son service dans l’armée espagnole et a juré fidélité au drapeau espagnol. Punto !
Charles
12 octobre 2016 @ 11:49
Tout est bien dit Kalistéa
Thibault
12 octobre 2016 @ 13:24
Bien dit! Meme si de sa naissance on aurait pas mal de choses a redire si l’on s’en tient aux règles dynastiques qui a l’époque de ses parents et encore plus de ses grands parents réglaient comme papier à musique la succession dynastique….
jul
12 octobre 2016 @ 16:18
Kalistéa,
Le service militaire du Prince Louis dans l’armée espagnole ne pose aucun problème.
Ne fantasmez pas sur une guerre entre France et Espagne (à moins que vous soyez du genre pessimiste) mais voyez la réalité :
L’Espagne n’est pas une Nation ennemie de la France, bien au contraire. L’Espagne est une Nation amie de la France.
Cela fait des siècles que la France et l’Espagne sont en PAIX, depuis que la Maison de France (dite de Bourbon) règne à Madrid. La même famille a longtemps régné sur les deux Etats.
Cette amitié s’est accrue avec le Général de Gaulle et le Général Franco puis avec la Communauté (depuis Union) européenne. Et même si l’on souhaite une Europe des Nations, cela ne change pas.
Les deux Etats collaborent même étroitement face à certaines menaces (voir Nicolas Sarkozy recevant la Toison d’Or du Roi).
Et même si les choses changeaient éventuellement, le Duc d’Anjou a fait son service militaire à une époque de très bonne entente (vous pourrez difficilement dire le contraire).
Pascalv
13 octobre 2016 @ 13:48
C’est vrai que le service militaire au sein de l’armée française aurait été tout de meme la moindre des choses quand on y pense… Quel mépris pour la France….
Kalistéa
13 octobre 2016 @ 15:31
Mais je n’ai jamais dit que la France et l’Espagne ne sont pas des pays amis! Je m’en suis personnellement toujours réjouie d’ailleurs.
J,
e dis que si le prince Luis Alfonso a l’accent Espagnol et s’il se plait tellement plus dans son pays, l’Espagne , c’est tout-à-fait normal! Il n’y avait que sa grand-mère née de Dampierre , divorcée du duc de Ségovie,( mme Sozzani ) qui était Française.
jul
13 octobre 2016 @ 20:52
Pascalv
Le Prince Louis est officier de réserve de la Marine française.
Mary
12 octobre 2016 @ 20:20
Je m’amusais Kallistea, juste pour taquiner Quentin :-))
Mary
12 octobre 2016 @ 20:20
KaListea,pardon…
Mayg
11 octobre 2016 @ 17:52
Merci pour les liens Quentin.
Hélène
12 octobre 2016 @ 09:28
Merci Quentin de nous ouvrir les yeux sur le monde légitimiste, tout cela est à peine croyable
Actarus
10 octobre 2016 @ 13:09
Cosmo va nous dire que voici encore une action de communication – de l’intox – des amis du Prince… ;-)
Il s’agit bien d’une action de communication, si l’on veut, mais de l’Institut de la Maison de Bourbon, qui remplit ici son mandat historique et culturel.
Cela s’est passé encore une fois dans un lieu de culte ? Eh bien oui. On ne sacrait pas les Rois en plein air. Un sacre et un couronnement, ce n’est pas un concert à Woodstock ni même des Journées mondiales de la jeunesse. ;-)
Cosmo
11 octobre 2016 @ 07:23
Et oui, cher Actarus, c’est encore une action de communication organisée par les amis de Louis de Bourbon. Qu’est-ce qui justifie cet hommage, si ce n’est de voir le prince le présider ? Mais on ne peut être qu’admiratif devant le zèle déployé par eux. La courtisanerie est loin d’être morte en France. Cela dit l’Institut de la Maison de Bourbon n’a d’autre mandat que celui qu’il s’est donné. Et il peut multiplier à l’envie les occasions d’inviter le prince à présider. L’essentiel, à leurs yeux, n’est-il pas qu’on en parle ?
Amicalement
Cosmo
Actarus
11 octobre 2016 @ 13:12
Mon cher,
l’IMB est une association reconnue d’utilité publique, et elle remplit le mandat que ses statuts lui donnent. L’IMRF n’a qu’à faire pareil. ;-)
Ah mais c’est vrai, j’oubliais qu’au fond, vous vous fichez des Orléans. ^^
Actarusement vôtre,
Vous savez qui
Cosmo
12 octobre 2016 @ 11:47
Cher Actarus,
Vous avez doublement raison.
Amicalement vôtre
Celui qui
Anne-Cécile
11 octobre 2016 @ 18:46
La courtisanerie dans tous les domaines est la règle en France. Que l’on s’adresse à un parti politique, au Président, ou à un virtuel Roi. Le style des « Orléanistes » et des « Bourbonistes » débordent de flagorneries.
On adresse des centaines de milliers de lettres chaque année au Chef de l’état, quel qu’il soit, de supplique comme si un claquement de doigt suffisait et comme si un individu savait trancher justement. Le fait du prince a fait beaucoup de dégât.
Actarus
12 octobre 2016 @ 13:25
C’est certain. Appeler VGE « Monsieur le président », 35 ans après son départ à la retraite, me semble procéder du même principe.
Un peu hors sujet, je me suis demandé ce qui arriverait si Nicolas Sarkozy, candidat à la primaire, était réélu président en mai prochain, sachant, à titre liminaire, qu’il est de plein droit membre du Conseil d’État en qualité d’ancien président, et qu’il touche une retraite.
En cas de réélection, cumulerait-il les trois revenus ?
aubert
13 octobre 2016 @ 14:42
Conseil d’Etat, conseil constitutionnel…est-ce une actaruse ?
Actarus
14 octobre 2016 @ 13:36
Oups… oui Aubert, à l’insu de mon plein gré !
J’espère que vous me pardonnerez de mélanger les institutions républicaines sur un site consacré aux monarchies. Il convient bien évidemment de lire « Conseil constitutionnel ». Bien vu ! ;-)
Kalistéa
11 octobre 2016 @ 10:25
Je me demande qui a pondu ce discours dithyrambique et alambiqué, à l’intention des lombrics!
Muscate-Valeska de Lisabé
11 octobre 2016 @ 18:23
Vous avez raison,Kali, moi aussi je tique sur cette pratique,et c’est sans réplique.Quel mouche le pique,il fait de la politique? ;-))
Kalistéa
12 octobre 2016 @ 09:50
De la politique-fiction!
De la fiction politicarde!
Germain
12 octobre 2016 @ 11:01
Il est très bien ce discours. Sur la transcendance, il n’est pas sans rappeler celui du Pape au parlement européen de Strasbourg.
Pourriez-vous argumenter en quoi il est mauvais ?
Arnaut
11 octobre 2016 @ 13:34
L’auteur de ce discours doit vivre dans un autre monde
Ce qui est le plus drole c’est que Louis de Bourbon accepte de lire un texte aussi ridicule
Germain
12 octobre 2016 @ 11:04
Un chrétien vit dans le monde, mais il n’est pas du monde.
C’est ce que rappelle ce discours, celui d’un « roi » chrétien et c’est sans doute ce qui vous gène.
Armelle M
11 octobre 2016 @ 13:49
L’auteur du discours a certainement une arrière pensée car à part d’être ridicule, il est très néfaste pour l’image de Louis de Bourbon
Muscate-Valeska de Lisabé
10 octobre 2016 @ 13:14
Un sourire faux qui évoque celui de nos hommes politiques…c’est un bon début. ..;-))
aubert
10 octobre 2016 @ 13:41
Savons-nous quand la République abrogera la loi d’exil contraignante envers Louis de Bourbon ?
Cosmo
11 octobre 2016 @ 07:37
Le prince attend probablement que Versailles soit enfin rendu habitable pour lui et sa famille, qu’un pied-à-terre en ville soit aussi préparé, peut-être dans les murs du Palais-Royal, histoire de chasser définitivement les Orléans de l’inconscient collectif français, et qu’une ligne TGV directe soit établie entre Paris et Madrid. Une fois ces conditions remplies, Son Altesse Royale devenue Majesté, par la grâce du duc de Bauffremont, daignera sans doute rentrer en ses Etats après 300 ans d’absence.
Thibault
11 octobre 2016 @ 08:05
Oui le pauvre, on voit qu’il souffre de cet exil sans fin!!!!
Gérard
11 octobre 2016 @ 10:43
Hé oui hélas mais il a quelques permis de visite.
Luc
11 octobre 2016 @ 13:37
C’est triste en effet de voir que le prince Luis ne soit autorisé à venir en France que quelques heures par an.
A moins que cela lui permette de vivre sa vie à Madrid dans son lotissement de la banlieue loin des excités légitimistes qui lui empoisonnent la vie et qui le rendent ridicule en lui faisant lire de tels discours
Kalistéa
11 octobre 2016 @ 15:11
c’est très bon , ça cher Aubert !
AnneLise
10 octobre 2016 @ 13:53
Je vais certainement encore m’attirer des foudres mais cette plaque me rappelle le poème de Prévert dans « Les belles familles » Louis I, Louis II……Louis XVIII qu’est ce que c’est que ces gens là qui ne sont pas foutus de compter jusqu’à XX?
Cosmo
11 octobre 2016 @ 07:27
Difficile de ne pas y penser !
AnneLise
10 octobre 2016 @ 14:14
Ce qui ne veut pas dire, car j’entends déjà les commentaires que j’attends Louis XX
Pierre
10 octobre 2016 @ 16:07
http://www.lunion.fr/817547/article/2016-10-08/des-vive-le-roi-resonnent-dans-la-cathedrale-de-reims
Pierre
10 octobre 2016 @ 16:19
Il y a mille deux cents ans, Louis le Pieux était le premier roi sacré à Reims
Publié le Samedi 8 Octobre 2016 à 18h27
Des «Vive le roi!» résonnent dans la cathédrale de Reims
Par Valérie Coulet
Une plaque avec les noms des 31 rois sacrés, depuis l’an 816, à la cathédrale de Reims, a été dévoilée, samedi, en présence du prétendant à la couronne de France.
…..
suite de l’article sur: http://www.lunion.fr/817547/article/2016-10-08/des-vive-le-roi-resonnent-dans-la-cathedrale-de-reims
Pierre
10 octobre 2016 @ 16:21
Il y a mille deux cents ans, Louis Ier était le premier roi sacré à Reims
Le 5 octobre 816, Louis Ier était le premier roi sacré à Reims
Quatrième fils de Charlemagne, Louis, né en 778, fut le seul roi des Francs que l’on couronna trois fois et le premier que l’on sacra à Reims. En 781, son père en fit, à Rome, le roi des Aquitains, sacré par le pape Hadrien. En 813, devenu l’aîné des Carolingiens par la mort de ses trois frères, il fut proclamé par avance empereur à Aix-la-Chapelle, encore par son père, qui disparut l’année suivante. Enfin, le 5 octobre 816, le pape Etienne IV le sacra à Reims.
suite de l’article sur : http://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2185-il-y-a-mille-deux-cents-ans-louis-ier-etait-le-premier-roi-sacre-a-reims
Pierre
10 octobre 2016 @ 16:25
Discours du prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou à Reims
Excellence,
Monsieur le Député-Maire,
Monsieur le Sénateur,
Cher Professeur,
Messieurs les Présidents,
Mesdames et Messieurs les Professeurs,
Mesdames et Messieurs, Chers Amis
Certes le lieu n’est pas propice à un long discours, mais il m’appartient, comme Chef de la Maison de Bourbon, à ce titre héritier et successeur des Rois de France, de m’exprimer au moment où un acte important vient d’avoir lieu dans la Cathédrale de Reims avec la pose de la plaque des 31 sacres.
Mes premiers mots vont au Professeur Patrick Demouy puisque, si nous avons été réunis aujourd’hui, avec M. le Député-Maire, avec son Excellence l’Archevêque de Reims, c’est grâce à son heureuse initiative. Ainsi, je lui adresse tous mes remerciements. Il est devenu, au fil du temps un des spécialistes des sacres, et par son énergie et sa force de conviction, il a groupé autour de lui à la fois les autorités religieuses et civiles, les chercheurs universitaires et les associations fidèles à défendre la mémoire de la Cathédrale et plus largement celle de notre histoire commune.
Mes remerciements s’adressent aussi à l’Association des Amis de la Cathédrale et à son Président Monsieur Bernard Poret. Ils ont été pour beaucoup dans la réalisation de cette plaque, soutenue par le mécénat, que je salue, de l’Institut de la Maison de Bourbon. Les uns et les autres ont concilié les intérêts des diverses autorités, l’Archevêché, le clergé de la Cathédrale, les Monuments historiques.
Ainsi une plaque est installée dans la cathédrale pour commémorer les 31 sacres qui, depuis celui de Louis le Pieux, il y a 1200 ans, y ont été célébrés et notamment ceux des capétiens. Plusieurs fois par siècle cette cathédrale retrouvait la solennité des sacres, véritable colonne vertébrale de la royauté.
En effet si le règne du roi commençait à la mort de son prédécesseur, seul, le sacre lui conférait cette dimension supérieure qui faisait de la royauté française un pouvoir différent des autres.
Par le sacre, le divin et l’humain, se conjuguaient pour permettre au roi d’exercer sa mission au service du bien commun. La dureté du pouvoir des hommes se trouvait compensée par la charité du prince chrétien. Les promesses du sacre obligeaient le roi à tendre aussi vers la sainteté. Si Saint Louis en fut le modèle, tous les rois savaient qu’ils devaient se rapprocher de cet exemple.
La ville de Reims demeure profondément marquée par ce rôle unique qu’elle eut dans l’histoire de notre pays. Et si quelques sacres eurent lieu ailleurs, c’est bien ici que la symbolique demeure la plus forte. Bien évidemment la ville le doit au baptême de Clovis qui en fut le théâtre à l’aube de la royauté franque puis aux sacres et notamment au premier. Le colloque qui se tiendra cet après-midi aidera à le comprendre et je remercie vivement ceux qui présenteront leurs recherches.
Je me souviens de ma venue ici en 1996 et du privilège qui m’avait été donné de pouvoir tenir dans mes mains les restes de la Sainte Ampoule, conservant le Saint Chrême, miraculeusement conservée à l’Archevêché après qu’elle ait été profanée lors des journées révolutionnaires qui ensanglantèrent la ville.
Oui, Reims s’inscrit dans une lignée de l’histoire de France qui peut paraître parfois si inactuelle, où se côtoient Clovis, Louis-le-Pieux, Saint-Louis, Jeanne d’Arc, où le toucher des malades le jour des sacres avait tant d’importance pour les présents, en un mot la lignée de tout ce qui a permis à la France de mériter le nom de fille aînée de l’Eglise.
Mais au-delà, il y a le message si actuel de l’appel à la transcendance. A force de privilégier le matériel, le présent, une certaine facilité nimbée dans le cynisme et le scepticisme, nos sociétés ont perdu beaucoup. Perte de repères, de sens, jeunes plus ou moins déboussolés prêts à se jeter dans les mirages et craignant l’avenir. Le sacre nous rappelle l’autre versant du pouvoir, celui du bien commun et du don, celui de quelque chose qui nous dépasse et nous force à nous élever. Tel est bien le message d’espoir que nous retenons car il ouvre sur demain.
Puissent Notre Dame, Saint-Louis et tous les saints, à travers toutes les prières qui durant des siècles et des siècles, ont accompagné les sacres, protéger la France et la maintenir dans sa tradition.
Merci de m’avoir écouté.
Louis, duc d’Anjou
Pascalv
13 octobre 2016 @ 13:50
Comme quoi les plus longs discours ne sont pas les plus convaincants… C’est à ce demander s’il sait lire ou s’il comprend ce qu’il lit pour debiter des propos aussi niais.
Pierre
10 octobre 2016 @ 16:31
A 11h30, Son Excellence Monseigneur Thierry Jordan, archevêque de Reims, suivi de Monseigneur le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, de Monsieur Arnaud Robinet, député-maire de Reims, du prince de Bauffremont, Président de l’Institut de la Maison de Bourbon et de Monsieur Bernard Poret, Président de la Société des Amis de la Cathédrale, entre et traverse aisément le chemin qui s’ouvre instantanément au milieu des 400 personnes entourant déjà la plaque commémorative. Monseigneur Jordan et le duc d’Anjou se positionnent de chaque côté de la plaque et tirent ensemble les cordons qui retiennent le drap fleurdelisé. Apparaît alors une grande plaque de marbre de comblanchien au teint légèrement rosé, gravée des noms et dates des sacres des trente-et-un rois (un empereur carolingien et trente rois capétiens) sacrés en cette cathédrale depuis 1200 ans !
suite sur http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/communication-des-princes/2195-8-10-2016-louis-xx-a-la-cathedrale-des-sacres-a-reims
Gérard
11 octobre 2016 @ 15:25
« C’est à ce moment que Monseigneur le duc d’Anjou reçoit, avec une inaltérable bienveillance, les hommages protéiformes, parfois surprenants, mais toujours sincères, de ceux qui le reconnaissent pour le Roi de France…»
Magnifique péroraison de Franz de Burgos dans ce texte dédié à Louis de Madrid.
Cosmo
12 octobre 2016 @ 11:51
Voilà qui vaut son pesant de cacahouètes, cher Gérard ! Qui est l’auteur de ce morceau de bravoure ? On croirait lire une serpillère.
Amicalement
Cosmo
aubert
13 octobre 2016 @ 14:48
Disons plus prosaïquement qu’il y a de quoi se taper le cul par terre !
Certains commentaires laissent pantois dans la France d’aujourd’hui à moins de croire que Dieu qui est uniquement catholique et aime notre pays plus que tous les autres est impatient de faire des miracles pour elle.
Cosmo
13 octobre 2016 @ 16:58
Le problème, Cher Aubert, est qu’on les attend les miracles et qu’ils ne viennent pas. Serait-ce la punition pour avoir troublé l’ordre divin en 1793 ?
Alors restons réalistes ! Dieu a sans doute d’autres préoccupations.
Gérard
14 octobre 2016 @ 15:28
Franz de Burgos est l’animateur de Vexilla Galliae. Je ne sais pas à quoi il ressemble et ne connaît rien de sa biographie ni peut-être de son état civil mais outre qu’il parait obsédé par les Orléans, il a un style inimitable dont voici un extrait pour la visite à Lorient de Louis de Bourbon l’année dernière :
« L’on entendra sans doute des « Monseigneur le duc d’Anjou, Madame la duchesse d’Anjou », seules titulatures que la censure républicaine permette à ses agents, mais il faudra entendre la mémoire des cœurs murmurer « Votre Majesté, Sire, Notre bon Roi, Madame, Notre Reine, merci d’être venus honorer de votre présence votre ville de Lorient qui est votre fille à jamais reconnaissante de lui avoir donné le jour ! » Car l’on se grandit toujours d’un élan de gratitude à l’égard de son bienfaiteur ! »
Ce qui laisse supposer que la ville de Lorient n’est pas si ancienne qu’on le disait mais l’histoire de Lorient est bien obscure apparemment car Louis de Bourbon devait ensuite y déclarer : « Je suis heureux de pouvoir le rappeler en évoquant ici, Louis XIV, mon grand-père. Cette année du tricentenaire de la mort du monarque préfigure l’anniversaire de la Ville de Lorient l’an prochain, qui sera, Monsieur le Maire, j’en suis sûr, un grand succès. »
On en perd le Nord.
Kalistéa
13 octobre 2016 @ 15:35
En plus Pierre nous l’inflige plusieurs fois : c’est dur! c’est du sadisme!
Vous avez dit « Cruella » ?
Pierre-Louis
18 octobre 2016 @ 13:31
C’est risible cette citation de Burgos!On en perd le Nord effectivement! Ce style grandiloquent est ridicule! Aussi ridicule que ce « prince » espagnol
jul
10 octobre 2016 @ 17:00
Toujours heureux de voir notre prince en France.
ursti
11 octobre 2016 @ 08:08
Oui dommage qu’il n’y vive pas alors que rien ne l en empêche.
Mais si vous avez une bonne raison pour justifier cet éloignement, je suis preneur, j’avoue que je n ai jamais compris… Merci
jul
11 octobre 2016 @ 13:30
Une bonne raison : La légitimité ne vient pas de la résidence mais de la position dynastique.
Jamais autant de Français n’ont connu la position des aînés des Bourbons malgré leur domicile en Espagne. Il serait difficile d’écrire le contraire. Alors pourquoi changer ce qui fonctionne ?
Les Orléans ont aussi prouvé qu’on pouvait beaucoup prétendre que n résidant en France et perdre en audience.
Thibault
12 octobre 2016 @ 13:30
Jul, je comprends ce que vous dites, néanmoins, comment être crédible aux yeux des français et prétendre les représenter depuis le sommet de la pyramide nationale en vivant à des centaines et des centaines de km de la frontières quand rien ne l’empêche de venir parmi nous.
C’est regrettable pour lui et peut être pour nous, mais ca nous ne le saurons jamais.
Merci néanmoins de votre réponse.
aubert
13 octobre 2016 @ 15:02
Thibault, mais où se cachent-ils les français de Jul qui attendent le Bourbon ,de plus en plus nombreux, avec ferveur et impatience ?
Je confesse qu’en ville comme à la campagne dans les salons comme dans les usines je n’en rencontre pas. Idem pour l’Orléans d’ailleurs.
Je ne dois avoir que de mauvaises fréquentations.
jul
13 octobre 2016 @ 20:51
Ah Aubert, je ne parle pas de foule, cela est évident, à moins d’être de mauvaise foi et de vouloir tourner mes propos en ridicule.
Luc
11 octobre 2016 @ 13:38
Profitez en car il ne reste que quelques heures à chaque voyage comme si il n’aimait pas la France
Kalistéa
11 octobre 2016 @ 15:14
Ce que j’aimerais savoir c’est si, des robinets du maire de Reims coule du champagne: si c’est le cas , cela inciterait peut-être Louis XX à revenir plus souvent!
Karl
12 octobre 2016 @ 18:55
Pas besoin de venir à Reims pour le champagne… Son mariage avec une parvenue d’amerique du Sud doit lui permettre d’en boire aussi souvent qu’il le souhaite… a défaut de grandeur cette curieuse alliance lui aura au moins rempli les poches!
Mayg
13 octobre 2016 @ 15:24
« Parvenue d’Amérique du sud » ? Marie-Marguerite de Bourbon est loin d’être une parvenue comparée aux Orléans !
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:56
Les alliances des Orléans tout de même sont généralement brillantes…
Quant à la famille de Marie-Marguerite de Bourbon il semblerait qu’elle soit parvenue à la fortune.
Karl
14 octobre 2016 @ 08:53
Avant de s appelle bourbon elle s appelait Vargas, une famille de parvenus d Amérique du Sud en effet.
Mayg
14 octobre 2016 @ 15:06
En matière de parvenus, les Orléans en savent quelque chose. Eux qui ont tout fait pour casser le testament de Louis XIV et assurer la régence, eux qui ont usurper la fortune duc dernier duc d’Enghein mort dans des circonstances douteuses, eux qui ont voté la mort de Louis XVI… et j’en passe.
Concernant les alliances, la famille de Philoména de Tornos, est loin de faire partie de la haute noblesse !
Cosmo
15 octobre 2016 @ 11:16
Mayg,
Le dernier duc d’Enghien n’est pas mort dans des circonstances douteuses. Il a été assassiné par Napoléon. Son père, le prince de Condé, lui, est mort dans des circonstances espagnolettes…
Vos propos vous révèlent. Car rien de ce que vous dites ne fait des Orléans des parvenus. Mais votre mauvaise foi et votre haine des Orléans s’affichent encore.
Oui, la princesse Louis de Bourbon est une parvenue dont la fortune paternelle est d’origine douteuse, aux accointances avec Hugo Chavez et aux manipulations financières.
Aucun des Orléans, s’il ne se sont pas tous mariés dans le Gotha, n’a épousé de parvenu.
Alors, gardez votre fiel !
Cosmo
Kalistéa
13 octobre 2016 @ 15:36
Oui , cher karl : Rien de Philomènal !
Mary
10 octobre 2016 @ 17:10
Embrassez un crapaud et peut- être verrez-vous apparaître un prince,mais embrassez Luis-Alfonso…et voulez-vous savoir ce qui apparaîtra ?
« – Côa-Côa » me direz-vous ?
Bravo,vous avez deviné,un crapaud de bénitier !!!
Kalistéa
11 octobre 2016 @ 10:26
J’adore « crapaud de bénitier » Mary !
Val
10 octobre 2016 @ 17:12
La dernière Photo est vraiment grotesque! Tous ces rois français doivent se retourner dans leurs tombeaux!
Robespierre
11 octobre 2016 @ 09:01
Pourquoi ? qu’on le considère ou nom comme LE prétendant, le sang des capétiens coule dans ses veines malgré les « pas sur le côté » de deux reines espagnoles au sang chaud.
ludomarc
11 octobre 2016 @ 12:02
le sang de franco et de carmen polo egalement!!!
Mayg
12 octobre 2016 @ 16:26
Et alors ?
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:53
Du sang capétien des centaines de milliers de Français en ont…
Karl
14 octobre 2016 @ 08:53
Et alors?????? Quelle question stupide…
Mayg
14 octobre 2016 @ 15:09
Gérard,
Oui mais un seul des français est chef de la Maison de Bourbon et ainé des Capétien: Louis de Bourbon.
Karl,
En matière de stupidité je suis loin d’arriver à vous égaler…
Gérard
11 octobre 2016 @ 15:02
Les rois de France à partir de Louis XIV savaient qu’il y avait une famille royale en France représentée par leur branche, et par les Orléans et les Condé et que les branches qui étaient sorties de cette maison de France n’étaient plus la maison de France.
Val
12 octobre 2016 @ 18:59
Oui et les pas sur le coté de son grand père et de son père aussi mal mariés l’un que l’autre et produisant, l’un comme l’autre une descendance non dynaste…. Alors en effet, Louis le Grand doit se retourner dans sa tombe en voyant un lointain, abâtardi et etranger descendant se réclamant être l’héritier de la couronne qu’il a portée pendant le plus long et le plus brillant règne de notre Histoire.
Naucratis
13 octobre 2016 @ 17:07
Louis le Grand s’est marié en secondes noces avec une femme de toute petite noblesse. Il n’aurait pas à rougir de son descendant et successeur, le duc d’Anjou .
Vous écrivez encore n’importe quoi, Val.
Gérard
14 octobre 2016 @ 15:31
Il s’est surtout marié pour recevoir les sacrements et en s’inquiétant pour son salut.
Karl
15 octobre 2016 @ 15:51
Naucratis, il me semble, comme a tous les historiens, que cette union a été cachée, nous ne connaissons meme pas sa date exacte…; Si pour vous cette union a rendu fier Louis XIV, il a eu une drôle façon de le monter…. Jamais aucun fils de roi ou aucun chef de Maison n a pu contracter d unions aussi minables que celles qui ont précédé Luis de Borbon. Vous le savez…. Nos rois doivent se retourner dans leurs tombes en voyant cet espagnol non dynaste prétendre a gouverner leur Maison.
Mayg
14 octobre 2016 @ 15:12
Dois-je vous rappeler que les Orléans actuels sont issues des batards de Louis XIV, ce qui à l’époque n’était pas très glorieux…
Cosmo
15 octobre 2016 @ 11:22
Comme beaucoup de princes sur des trônes aujourd’hui !
Vous allez faire plaisir aux familles royale de Belgique, d’Espagne et de Luxembourg, aux Würtemberg, aux Bourbons de Parme ou de Sicile, aux Habsbourg-Lorraine etc…
Encore un peu de fiel, Mayg, et vous allez vous surpasser.
Cosmo
Karl
15 octobre 2016 @ 15:41
Pauvre Mayg, cessez donc de vous ridiculiser avec des propos aussi stupides si vs en etes encore capable…. Il n est un secret pour personne que Louis XIV a impose ses batards aux Orléans…. Lisez donc une bonne biographie de la princesse palatine par exemple, cela vous donnera les circonstances précises de cette union….
En ce qui concerne les unions peu glorieuses, vous savez de quoi vous parlez avec un prince espagnol qui a pour grand mere une gourgandine arriviste et pour mere une coucheuse professionnelle.
PierreO
15 octobre 2016 @ 15:53
Ah oui, rappelez nous les circonstances de cette union qu on rigole… Avant d écrire des âneries comme celle ci cultivez vous un peu Mayg…
Naucratis
16 octobre 2016 @ 10:56
Eh bien les trois derniers messages sont d’une violence difficilement admissible sur un site qui se veut courtois.
L’éducation n’a visiblement pas touché Cosmo, Charles/Karl et PierreO.
Mayg, ces trois rustres se ridiculisent par leur violence à votre égard et n’inspirent que le mépris.
Bien à vous.
Cosmo
17 octobre 2016 @ 09:15
Naucratis,
En quoi rappeler que la plupart des princes actuels descendent des bâtards de Louis XIV est-il un manque d’éducation ?
Vous êtes trop drôle dans votre rôle de chevalier servant.
Cosmo
Karl
18 octobre 2016 @ 11:11
Trop drôle ou trop pathétique ! Mais pas assez malins pour s’en rendre compte… Le duo Mayg/ Naucratis, tout en aigreur et en ignorance n’a pas fini de nous divertir!
Naucratis
19 octobre 2016 @ 15:44
Karl/Charles, vos commentaires truffés de fautes sont consternants.
Karl
20 octobre 2016 @ 10:23
Ah oui j’avais constaté qu’ en plus de prendre les gens pour des idiots vous vous improvisiez parfois prof de Français faute d’arguments sérieux à déployer. Etonnant pour quelqu’un qui ne sait pas lire car mon nom est Karl et non Charles mais ca semble vous échapper, comme le reste!
Naucratis
22 octobre 2016 @ 09:00
Karl/Charles, quand on s’obstine à donner du Luis à quelqu’un qui s’appelle Louis, on évite de faire des remarques aux autres sur son propre prénom.
Régine
22 octobre 2016 @ 17:39
Une bonne fois pour toutes : Karl et Charles sont 2 intervenants distincts
Naucratis
22 octobre 2016 @ 20:02
À Régine, personne n’a dit le contraire.
Toutefois, Karl a pris la fâcheuse habitude d’hispaniser le prénom du duc d’Anjou, il peut donc supporter qu’on francise le sien.
Gérard
22 octobre 2016 @ 22:17
Oui Louis de Bourbon je crois est comme le pape, son prénom est traduit dès qu’il passe la frontière. Mais je ne sais pas s’il devient Luigi en Italie et Ludwig en Allemagne.
PVL
10 octobre 2016 @ 17:13
Encore une Eglise???? Que ne va-t-il pas concretement à la rencontre des Français, lui qui prédend, depuis l’Espagne les représenter!
Kalistéa
17 octobre 2016 @ 09:29
Pour copier le grand style de Meg , je dirais: En matière de violence vous vous y connaissez Naucratis!
Karl
10 octobre 2016 @ 17:17
Décidement, il n’y a bien que dans les eglises qu’il est reçu… C’est bien peu pour qui prétend représenter l’Héritage dynastique…. Il n’est plus suité de son épouse. Elle a du se lasser de ce rôle d’opérette qu’endosse son (Cf la dernière photo qui est ridiculissime!)
Françoisld
10 octobre 2016 @ 17:20
J’ai lu dans le Figaro que ce monsieur n’avait pas de « programme » pour la France, qu’il attendait juste que les français viennent à lui…
Il va falloir qu’il se reveille d’urgence car ce n’est pas en collectionnant les visites d’églises qu’il va les croiser et les séduire!
Wake up, on est en 2016, plus en 1720!
jul
11 octobre 2016 @ 13:32
Les rois actuels n’ont plus besoin de programmes en démocratie par contre de bons principes oui.
Françoisld
12 octobre 2016 @ 13:35
Oui vous avez raison, de bons principes comme vivre en France quand on pretend être roi de France! Avec des réponses comme celles que vous venez de faire, on se rend compte du ridicule de ce pauvre Luis de Borbon….
Gérard
14 octobre 2016 @ 15:33
Il dit paraît-il : « Je ne prétends pas, je suis ». Et Dieu dit à Moïse : « Je suis celui qui suis. »
Un peu la grosse tête peut-être Louis…
Karl
19 octobre 2016 @ 14:31
Mais comme il n’est rien dans son pays, ni prince encore moins duc, il peut seulement prétendre au ridicule et au néant.
Luc
11 octobre 2016 @ 13:39
Je crois qu’il pourra rester encore longtemps en Espagne
Thibault
10 octobre 2016 @ 17:22
Quelle vacuité!
Le pauvre, ca devient tragique ces gesticulations d’églises en chapelles…. Il doit être bien mal conseillé pour
réserver aux seules églises ses brefs passages en France…
jul
11 octobre 2016 @ 13:33
Thibault avez vous un problème avec la religion ?
N’est ce pas un fondement de la France ?
Thibault
12 octobre 2016 @ 13:38
Alors depuis une certaine loi datant du siècle dernier, la religion et l’état son séparés. Malheureusement à mon avis! Voila qui vous rassurera sur mon rapport à la Religion!
En revanche il faut être sacrément méconnaissant des Français ou ignorant leurs vies pour imaginer ne les trouver et les convaincre que par et dans les eglises!
Des engagements concrets sont attendus et toujours en vain!
Ce pauvre Luis est totalement à côté de la plaque
jul
13 octobre 2016 @ 12:17
Donc vous n’êtes pas pour la monarchie chrétienne mais pour une monarchie laïque.
Naucratis
13 octobre 2016 @ 17:09
Jul, si jean d’Orléans, son poulain était allé à la messe, Thibault se serait pâmé !
Mais il s’agit là du duc d’Anjou, prince d’une dynastie qu’il exercre, les Bourbons, et Thibault ne peut que déplorer, critiquer et jalouser.
Thibault
14 octobre 2016 @ 08:55
Je ne suis pas monarchiste car quand on voit le chef d orchestre potentiel ça fait pitie
Thibault
15 octobre 2016 @ 15:57
Pour répondre à Naucratis, jalouser Luis de Borbon me ferait tomber bien bas, car il n est rien ou pas grand chose… Jean d’Orléans peut aller a toutes les messes qu il veut, s’il ne fait rien de plus, j en aurait autant a son service que son vague cousin abatardi….
Kalistéa
16 octobre 2016 @ 15:29
Mon cher Thibaut , ce doit être qu’il va prétendre guérir les écrouelles , c’est pour bientôt peut-être , qu’en savons-nous ?
Pour cela ne faut-il pas être fils de l’église ?
PierreO
10 octobre 2016 @ 17:25
A l’heure ou les Français ont des problèmes sérieux à tous points de vue, à quand la parole de ce Monsieur sur des sujets de fond?
Ressasser l’histoire sans rien proposer, voila toute son ambition… Affligeant.
aubert
13 octobre 2016 @ 15:05
D’après Jul quelques pater et quelques ave suffiront, comme à confesse.
jul
14 octobre 2016 @ 16:52
Aubert
Les racines chrétiennes ne se limitent pas aux pater et ave…
Vous avez une bien mauvaise image du Christianisme, ou du moins très-limitée semble-t-il…
JAY
10 octobre 2016 @ 17:30
Il ne fait que des commémorations et des messes ! Il ne s inscrit aucunement dans l’avenir. Dommage
grossmann
10 octobre 2016 @ 17:42
pourquoi le compte de paris n’était présent ?
Cosmo
11 octobre 2016 @ 07:52
Probablement que tout ceci fut à l’initiative de l’Institut de la Maison de Bourbon qui soutient le prince Louis et dont le comte de Paris est la bête noire !
Rembarre
10 octobre 2016 @ 18:41
Bel homme, beau sourire… Dommage qu’un roi ce soit aussi du Politique, des paroles, des engagements pour la Nation….
Sébastien
10 octobre 2016 @ 19:43
Voilà un autre prince charmant transformé en grenouille… de bénitier.
C’est bien triste.
Erato
10 octobre 2016 @ 20:37
Il en est de ce Monsieur comme des Orléans: ils croient ce qu’ils désirent. La réalité c’est une autre affaire.
Ceci dit la cathédrale de Reims est magnifique .
Francois
11 octobre 2016 @ 01:50
Sont ce les élections prochaines qui feraient prendre
au Prince des initiatives médiatisées ?
En effet cette photo devant tous ces rois inscrits
montre une certaine continuité
On verra cela
Aramis
11 octobre 2016 @ 06:13
Encore une fois, il coiffe les Orléans sur le poteau. Et à Reims !
Il faut dire que le comte de Paris livre de nouvelles elucubrations dans son ouvrage dont les extraits donnés sur son blog sont pathétiques, comme d’habitude.
Mais sans doute le ciel, si soucieux des droits légitimes, enverra t il une nouvelle Jeanne d’Arc pour rasseoir dans les esprits le bien fondé des droits des Orléans… sinon ….
Karl
11 octobre 2016 @ 09:39
Pas certain que l’on puisse se vanter de ne visiter que des Eglises sans jamais rien proposer de concret…
Si c est une victoire pour vous, ca en dit long sur la mentalité de la minorité à laquelle vous semblez appartenir.
Avec ca les Orléans, naturellement placés au dessus d’un » prince » abâtardi par la succession d’unions qui l’ont précédé, ont encore de bons jours devant eux.
Aramis
11 octobre 2016 @ 18:25
Karl, je suis fiché orléaniste par les partisans de Luis Alfonso.
Mais cela n’empêche pas de constater que c’est ce dernier que l’archevêque de Rouen accueille dans sa cathédrale pour cet anniversaire et que c’est ce dernier que le gouverneur des Invalides accueillait aussi avec pompe il y a quelques jours.
Ni de constater que ces autorités religieuses et militaires n’ont pas refusé cet honneur et n’ont pas invité les Orléans à sa place ou à ses côtés.
On les comprend d’ailleurs …. ils préfèrent un Luis Alfonso à un comte de Paris qui leur tiendrait des propos ésotériques et viendrait vêtu de costumes fanfreluchés.
Donc on peut, tout en étant fiché « O », constater objectivement la déroute des Orléans puisque la seule activité qu’on propose aux prétendants est d’assister à des messes commémoratives et de lire ou écrire de temps à autre un discours ou un livre sur le respect des traditions et le grand malheur qui va fondre sur la France si on les oublie, et qu’ils sont exclus ( ou oubliés)de ces cérémonies.
Que l’institut de Bourbon soit plus malin que les organismes soutenant les Orléans, peu importe , le fait est là, peu importe la cause …
Jamais un Tel affront ne leur aurait été fait il y a disons 40 ou 50 ans….
Karl
12 octobre 2016 @ 13:43
Je crois Aramis, que Bourbon ou Orléans finalement peut importe… Les deux ne comptant pour rien ou presque. La disparition du comte de Paris et de son épouse ont finalement mis un point final à la grande Histoire royale de notre pays. Les Orléans gardant pour eux et tant que cela durera la reconnaissance de toutes les Maisons d’Europe, à la différence du prince espagnol…
En France, je ne crois pas que l’un devance l’autre, en tt cas ce ne sont certainement pas des messes des uns ou des autres qui vont réconcilier les Français avec leur Histoire….
jul
13 octobre 2016 @ 12:18
Attention Karl, la légitimité ne vient pas des autres monarchies.
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:49
Oui Aramis vous avez raison, on n’aurait pas vu ça il y a 50 ans mais j’y vois aussi un affaiblissement de la culture générale dans notre pays.
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:52
Rappelons toutefois que le défunt comte de Paris était un chrétien pratiquant et convaincu mais qu’il ne voulait pas être catalogué alors qu’il aspirait à représenter l’ensemble des citoyens français.
Cosmo
11 octobre 2016 @ 07:50
« Par le sacre, le divin et l’humain, se conjuguaient pour permettre au roi d’exercer sa mission au service du bien commun. La dureté du pouvoir des hommes se trouvait compensée par la charité du prince chrétien. Les promesses du sacre obligeaient le roi à tendre aussi vers la sainteté. Si Saint Louis en fut le modèle, tous les rois savaient qu’ils devaient se rapprocher de cet exemple. »
Voilà un texte qui oublie bien des choses. Mis à part Saint Louis, quel roi tendit vers la sainteté ?
Les Valois qui firent un faux pour s’assurer le trône ? François Ier, Henri II, Henri IV et sa descendance qui firent de la Cour un bordel sur lequel ils régnaient. Louis XIV et ses guerres interminables, meurtrières et inutiles ? Louis XV et son je m’enfoutisme ? Louis XVI qui eut sa part de responsabilité dans la Révolution ? Louis XVIII et Charles X ? Un impie et un inconséquent ? Tous imbus d’un orgueil de race, fort peu compatible avec l’idée même de la sainteté !
jul
11 octobre 2016 @ 17:20
Cosmo nous donne là un trait éclatant de son orgueil ! Il se croit assez intelligent pour faire l’accusation des rois de France. Mais cela revient à des réductions dignes de calomniateurs (quelques mots injurieux).
Je vais essayer de faire la traduction de certains points langage réducto-cynique dans un langage plus raisonnable.
« cour un bordel » –> certes des excès mais avant tout un lieu de la grandeur de la culture, du rayonnement de la France par les arts, qui suscite l’admiration de millions de touristes, beaucoup de recettes et d’emplois.
« guerres intermiables, meurtrières et inutiles » –> des guerres certes malheureuses mais qui permirent la grandeur et l’indépendance, la liberté de la France face à la Maison d’Autriche, l’Angleterre etc…, d’obtenir la sucession et donc une paix durable avec l’Espagne, qui permirent à des centaines d’officiers de se distinguer et d’avoir une promotion sociale. Un mal nécessaire, des milliers d’hommes dont il faut honorer la mémoire au lieu de les insulter en écrivant que leur mort était inutile !
Nos rois n’avaient pas à rougir de leurs ancêtres bien au contraire : ils pouvaient en être orgueilleux ! Ils ont tous assumé la lourde responsabilité de toujours se déclarer pour le bien et contre le mal (L’idéal) tout en ne perdant pas de vue qu’il s’agit d’un savant dosage vis à vis de leur propre nature, de la nature de la France et de la nature des Français et de tous les hommes, nature qu’on ne peut pas changer, qui impose des limites à l’idéal. Ils ont essayé de faire au mieux des possibilités.
Cosmo
12 octobre 2016 @ 11:00
Jul,
Il n’y aucun orgueil ni aucune calomnie à rappeler des faits connus de tous.
Je vous rétorquerai que de votre côté c’est de la flagornerie et de l’idolâtrie.
En tous cas vous avez le sens de la litote, en qualifiant d’excès ce qui fut un scandale permanent. Vous faites bien peu de cas de la dignité des reines de France offensées par leurs maris, entre autres.
Des « guerres certes malheureuses », en effet ! Comment qualifier la Guerre de Cent ans, la Guerre de Trente ans, la Guerre de Succession d’Espagne, qui mirent non seulement la France mais l’Europe à feu et à sang. Nous nous sommes battus pour le roi de Prusse. Mais votre notion de l’ascenseur social est intéressante.
Quant à la notion de bien et de mal, je ne vois pas ce qu’elle vient faire dans ce qui fut une lutte pour le pouvoir.
En clair vous vous refusez à juger les rois de France parce qu’ils sont les rois de France et que vous vous aplatissez devant le pouvoir.
Vous eussiez fait le meilleur des courtisans.
Cosmo
jul
12 octobre 2016 @ 11:47
Que conseillez-vous donc Cosmo ?
Que la France ne résiste pas à l’Angleterre et aux Habsbourg ?
Cosmo
13 octobre 2016 @ 12:03
Jul,
Je ne conseille rien. Je ne fais que constater. La France n’a pas toujours été la victime des Habsbourg et de l’Angleterre. Elle a eu aussi sa part de responsabilité. Et il y eut aussi la guerre du Palatinat ou la révocation de l’Edit de Nantes pour lesquelles la seule responsabilité de Louis XIV est engagée. Il y eut aussi la Croisade des Albigeois…
Cosmo
jul
14 octobre 2016 @ 16:53
Eh bien Cosmo
Si vous n’avez pas de meilleures solutions que celles des rois qui ont eu cette charge…c’est déjà un pas vers plus d’humilité.
Aramis
11 octobre 2016 @ 18:42
Excellent cher Cosmo. Voilà qui remet un peu de réalisme dans cette vision irénique , idéaliste pour ne pas dire naive de la royauté. Ne pas confondre en effet ce que les souverains auraient dû être et ce qu’ils ont été.
Charles VII sacré grâce à Jeanne d’Arc et donc à l’intervention directe du Dieu tout puissant si attentif au royaume de France… et qui prend le premier maîtresse officielle ….
Louis Dieudonne XIV qui ne jugera pas utile de donner suite aux demandes pourtant formelles du Sacre Cœur apparu à sainte marguerite Marie Alacoque…
Ah ce doux mythe de la royauté parfaite à l’ombre tutélaire de saint Louis. J’admets qu’il a le charme et la puissance des contes, mais l’enfant à qui on raconte ces histoires sait qu’il s’agit de contes ! Les admirateurs transis de la royauté semblent parfois ne pas vouloir le savoir…
Cosmo
12 octobre 2016 @ 11:10
Cher Aramis,
La position de certains, le refus de la réalité disqualifient la monarchie elle-même. Nous savons tous ce que la France doit à ses monarques mais nous connaissons leurs limites humaines, qui pour certaines les rendent sympathiques et pour d’autres les rendent odieux. En faire des saints, ou presque, est ridicule. A croire que pour certains, la France n’existe que grâce à eux, semblant faire peu de cas des millions qui au moins autant que les « 40 rois qui en mille ans firent la France » ont contribué à son développement et à son rayonnement. Sans le génie du peuple de France, la monarchie française n’était pas grand chose. Disons que certains monarques ont été de bons chefs d’orchestre, d’autres ont été médiocres et certains carrément mauvais.
Mais il semble qu’en portant de tels jugements, je fasse preuve d’orgueil…
Amicalement
Cosmo
aubert
12 octobre 2016 @ 12:25
Rassurez-vous Cosmo, mais est-il besoin de vous le dire, les autres font preuve de connerie.
jul
12 octobre 2016 @ 16:04
Cosmo
Vos raccourcis sont parfois honteux pour quelqu’un qui se prétend historien.
Donc en matière de rapport à la réalité, vous n’avez pas de leçon à donner.
Cosmo
13 octobre 2016 @ 12:06
Jul,
Vos raccourcis à vous peuvent être qualifiée de servilité aveugle.
Cosmo
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:35
Je crois que Cosmo a raison, nos souverains ont été des chefs d’orchestre plus ou moins talentueux et inspirés, parfois certains étaient quand même des chefs d’orchestre qui composaient plutôt bien aussi. Sous la République il y a bien eu quelques chefs d’orchestre mais je crains qu’il n’y faille à cet égard un peu de génie alors que pour les rois le génie n’était peut-être pas nécessaire parce qu’une tradition s’était mise en place qui n’était pas remise en cause tous les cinq ans.
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:46
Pour ce qui est du Christianisme je crois que nos rois en étaient vraiment pénétrés même les plus pécheurs d’entre eux et c’est sans doute pourquoi ils ont en général fait une belle mort non pas tant parce que noblesse oblige que parce qu’ils avaient mis en ordre leurs affaires spirituelles, sauf coup de poignard intempestif.
Les papes non plus n’ont pas été parfaits mais même Alexandre VI a maintenu la doctrine.
Le sacre indépendamment de ce que les Chrétiens croient qu’il pouvait apporter comme grâce, dans une certaine mesure obligeait le roi, il le faisait pratiquement prêtre sans qu’il change de nature ou de tempérament mais avec toujours l’idée qu’il faudrait un jour s’améliorer.
Mais il est vrai aussi que les dirigeants sacrés ou pas ont toujours en tête que parfois la raison d’État impose ou permet…
jul
13 octobre 2016 @ 20:49
Vous appelez mes commentaires, des raccourcis ?
Cosmo
14 octobre 2016 @ 21:32
Cher Gérard,
Vos propos, comme toujours, sont empreints de sagesse. L’humanité des rois, leurs faiblesses peuvent les rendre attachants, leur orgueil qui les poussa parfois à la guerre beaucoup moins.
Je suis tout-à-fait d’accord avec vous sur l’absence de génie, contrebalancée par la tradition. Nous voyons bien ce qu’il en est au Royaume-Uni.
Le plus agaçant est de lire des commentaires qui considèrent comme un crime de lèse-majesté toute critique à l’encontre des personnes et des systèmes.
Il ne faut pas oublier que la noblesse a été la première à critiquer, et à se révolter, contre les rois et que souvent la bourgeoisie lui a emboité le pas.
La critique est salutaire et parfois amusante. La flagornerie est terne et ennuyeuse.
Amicalement
Cosmo
Cosmo
14 octobre 2016 @ 21:33
Pas vos commentaires, Jul ! Votre vision des choses.
Cosmo
Kalistéa
12 octobre 2016 @ 16:15
Ne nous parlez pas de tous ces Bourbons , cher Cosmo! qui , en France en voudrait encore , après le mal que notre pays s’est donné pour s’en débarrasser?
Seule cette poignée de rêveurs et de buveurs de coupes de champagne autour d’un faux duc , pas Français et nullement représentatif, peut nous faire régulièrement ce cinéma encore plus ridicule que celui qui se déroule en Roumanie !
Karl
19 octobre 2016 @ 08:12
Aussi grotesque que soit la parodie Roumaine, ses acteurs principaux ne se cantonnent pas aux seules visites d’Eglises. C’est dire la vacuité et la paresse dans lesquelles Luis de Borbon se vautre….
Gauthier
11 octobre 2016 @ 10:15
En lisant certains intervenants, on s’attend sous peu à ce que la religion catholique soit purement et simplement interdite, et les églises fermées ou transformées en maison de la « culture », pour cause de laïcité mal comprise et obligatoire!
Aramis
11 octobre 2016 @ 12:10
Ne prenez pas vos craintes laborieusement entretenues dans un esprit victimaire pour la réalité.
Gauthier
12 octobre 2016 @ 10:57
Et c’est vous, cher Aramis, qui venez me parler d’un esprit victimaire! Si je ne connaissais pas votre amour inconsidéré pour la vérité, je vous soupçonnerais d’une mauvaise foi certaine…
Quentin
11 octobre 2016 @ 12:11
Certes il fait que les églises, mais au moins il est visible, il fait parler de lui dans les médias, il est invité aux mariages princiers, les Orléans eux…rien…
Hélène
12 octobre 2016 @ 09:19
Au dernier mariage princier en Albanie c’est la fille et la petite-fille du comte de Paris qu’on a vu pas et pas Luis Alfonso…
Mayg
12 octobre 2016 @ 16:29
Elles y étaient en tant qu’épouse et fille d’un prince de Liechtenstein et rien d’autre.
Charles
13 octobre 2016 @ 12:18
La Princesse Marie représentait la Maison de France en tant que fille du Chef de et c’est à ce titre que l’ambassadeur de France l’a accueilli à son arrivée en Albanie.
Quant au Prince de Liechtenstein, il était représenté par son frère et sa belle-soeur le Prince et la Princesse Philipp.
Je vous invite à écrire au chef de cabinet du Prince Souveraine à Vaduz pour confirmation.
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:28
Il est évident en effet qu’en partant de l’idée de Mayg des dizaines de princes de Liechtenstein pouvaient être invités et que le prince Gundakar dont les qualités personnelles sont indiscutables avait de surcroît celle d’être l’époux de la princesse Marie.
Mayg
13 octobre 2016 @ 19:43
Si Marie d’Orléans a été reçu par l’ambassadeur de France, c’est parce qu’elle française. La République française via son ambassadeur ne reconnait aucun cas les Orléans comme représentant la Maison de France !
Et enfin, reçu ou non par l’ambassadeur, si elle n’avait pas été épouse du prince de Liechtenstein, elle n’aurait pas été présente à ce mariage.
Gérard
14 octobre 2016 @ 16:01
Oui Mayg il est bien connu qu’à Tirana l’ambassadeur de France s’est installé une cahute devant l’aérogare et qu’il attend les Français qui débarquent.
Mais vous vous trompez, la République française depuis qu’elle existe et spécialement depuis les années qui suivirent la mort du comte de Chambord reconnaît les Orléans comme étant la maison de France, allant même à cet égard jusqu’à en exiler les chefs, à tous les radier des cadres de l’armée, pour faire bonne mesure comme vous l’oubliâtes, et ce pendant un sacré moment !
Tous les présidents de la République ont tenu compte des Orléans à tout le moins même quand ils étaient en exil et nous savons les relations qui furent celles de De Gaulle ou de Mitterrand avec le comte de Paris et même quand Giscard avait fait savoir que le protocole élyséen désormais ne reconnaîtrait plus d’autre titre que ceux du comte de Paris et du prince Napoléon, on savait bien ce qu’il voulait dire.
Le temps n’est pas si loin où Jacques Gandouin préfet qui fut chargé du protocole, homme on ne peut plus brillant et grand maître de l’étiquette, proposait d’ajouter ces deux princes à titre héréditaire dans la hiérarchie comme cela se trouve en Allemagne ou ailleurs (Jacques Gandouin qui finalement fut relevé de ses fonctions préfectorales par Pompidou pas toujours bien inspiré, parce qu’il avait dit à un preneur d’otages une nuit dans son département et par le porte-voix : « Fais pas le con…»).
Et si vous croyez Mayg que l’on tient la France pour un État inférieur au Liechtenstein en Albanie permettez-moi de vous dire que vous avez une drôle de conception de votre pays, malgré toute la considération que j’ai pour le Liechtenstein que je connais bien.
Cosmo
15 octobre 2016 @ 11:26
Mayg,
L’ambassadeur de France où qu’il soit ne reçoit pas tous les Français en visite, ni les ressortissants du Liechtenstein.
Encore un petit effort et vous allez gagner le Prix Vinaigre !
Cosmo
Karll
15 octobre 2016 @ 16:06
Mayg, la Princesse Marie de France était la en tant que princesse de France et Princesse de liechtenstein…. Une personne n est pas divisible au gré des circonstances. Il est vrai que les Orléans ont toujours eu tendance a faire de bonnes alliances, on ne peut certes pas en dire autant de la famille de Luis de Borbon qui s’est abatardie a chaque génération en contractant des mariages plus honteux les uns que les autres….
Voyez vous si Luis de Borbon avait fait l effort de venir (pour une fois qu il était invité quelque part), il serait venu en tant que luis de Borbon descendant de Franco et suité de sa femme parvenue d amerique du Sud. Pas certain en revanche que des ambassadeurs fassent l effort d accueillir des rien du tout…
Ce n est pas plus compliqué que ca. Faites un effort, vous arriverez un jour a comprendre…
jul
13 octobre 2016 @ 12:20
Hélène, la légitimité n’est pas fixée par les cartons d’invitations du prince d’Albanie…
Pierre-Louis
18 octobre 2016 @ 13:37
Invité aux mariages princiers??? c’est bien une des premières fois qu’il est invité quelque part… Et pour mémoire, a son mariage, point d’Altesse! Un mariage boudé par la quasi totalité des Maisons d’Europe!
Luc
11 octobre 2016 @ 13:43
Pourquoi le soi-disant prétendant préfère t-il vivre en Espagne plutôt qu’en France?
Pourquoi ne reste-t-il que quelques heures à chacun de ses déplacements au lieu de s’inprègner de « ses terres »?
Tout cela démontre le peu d’intérêt du citoyen Bourbon Martinez-Bordiu
Hélène
12 octobre 2016 @ 09:17
J’aimerais tant avoir des réponses à vos questions.
Luis Alfonso semble supporter l’omniprésent entourage légitimiste que quelques heures c’est pourquoi il retourne respirer en Espagne dès la cérémonie terminée
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:58
Ce que parfois sans doute après une telle cérémonie il a l’impression d’avoir été à côté de la plaque.
jul
13 octobre 2016 @ 12:22
Luc, les Orléans ont montré que cela n’apporte pas de légitimité supplémentaire et les aînés des Bourbons ont fait connaître leurs droits sans résider en France…
Pourquoi changer ce qui est efficace ?
Karl
17 octobre 2016 @ 14:33
Efficace donc! si ca vous fait plaisir de le croire, c est inquietant mais c est votre droit…
Gérard
11 octobre 2016 @ 15:13
Gauthier, on peut avoir parfois votre sentiment mais en l’espèce pour aussi élevé que soit le discours de Louis de Bourbon il me semble cependant réducteur et dans une certaine mesure erronée car les rois de France n’ont jamais entendu instaurer une théocratie se souvenant sans doute en cela de ce que le Christ séparait ce qui est à César de ce qui est à Dieu. Il est vrai néanmoins qu’ils ont été à des degrés divers conscients des obligations qui étaient les leurs en tant que chrétiens, cependant c’est certainement quand ils ont privilégié l’esprit sur la lettre qu’ils ont été les plus grands et les plus bénéfiques, comme les plus authentiquement chrétiens.
Gauthier
12 octobre 2016 @ 11:07
Gérard, je partage votre sentiment. C’est d’ailleurs pour cela que, bien que demeurant légitimiste et issu d’une famille légitimiste, je me distancie de plus en plus de ce mouvement, qui actuellement renie ce qu’il a été en considérant le Prince comme un objet commercial, qu’il convient d’exhiber à dates régulières pour rappeler son existence.
Après l’intermède ridicule de l’IDA il y a quelques années, où le nom « Louis de Bourbon » était utilisé comme une marque, force est de constater qu’une partie de l’IMB semble vouloir prendre le même chemin! Et je ne parle pas des interventions de certains légitimistes ici, qui semblent oublier que la religion catholique est l’un des fondements de la France et qui confondent le légitimisme avec une volonté de dénigrer systématiquement les Orléans.
Quant à mon sentiment sur le combat que l’on mène, actuellement, sous couvert de « laïcité », à la religion catholique, je crois qu’il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles pour constater ce qu’il en est. Et dire que certains ici défendent ce point-de-vue!! C’est tout bonnement incompréhensible, mais l’Homme n’en est, hélas, plus à une contradiction près.
Aramis
12 octobre 2016 @ 18:06
Bravo Gauthier. La religion catholique est en effet l’un des fondements de la France. C’est dire qu’il y en a d’autres ! Et en effet il y en a d’autres.
Ravi que vous le reconnaissiez.
Gauthier
13 octobre 2016 @ 12:25
Vos compliments me flattent, très cher Aramis.
Je doute néanmoins que nous tombions d’accord sur ces autres fondements, s’il d’aventure vous vouliez les partager ici bien entendu.
Gérard
13 octobre 2016 @ 17:23
Peut-être Jules César qui a réussi à unir un peu les Gaulois sans trop le chercher, mais aussi les Phéniciens, les Grecs, les Juifs qui commerçaient avec les Gaulois et les Ligures et s’installaient dans ce qui devait devenir bien plus tard la France, sans doute les Capétiens qui petit à petit on fait la France, Philippe Auguste, Jeanne d’Arc et aussi tout de même tous nos ennemis successifs qui d’une manière progressive ont soudé le pays, j’imagine qu’on dira aujourd’hui les philosophes des Lumières et sans doute ont-ils joué un rôle important mais ils ne sont pas nés d’une génération spontanée. Ce qui a fait la France ce fut aussi certainement tous ces hommes et ces femmes qui ont brillé dans la philosophie, dans les lettres, dans les arts, dans la musique, dans la charité, dans le mécénat, dans le travail bien fait. À cela s’est ajouté l’apport par vagues des immigrés généralement catholiques ou orthodoxes dans un premier temps, et aussi de tous ceux qui sans être chrétiens, en étant par exemple juifs, musulmans, d’autres religions ou sans religion, ont fait l’effort de vouloir être français, sans oublier dans la paix comme dans la guerre l’apport des peuples à qui la colonisation nous a unis parfois malgré eux.
Cependant il me semble que le Christianisme tel que Rome nous l’avait apporté avec une oeuvre organisatrice, et auquel les Barbares se sont ralliés, a été un élément fondateur pour ce qui devait devenir notre pays, avec je crois quand même la prédominance donnée à la langue française notamment sous François Ier et la volonté centralisatrice de nos dirigeants, les rois et surtout la Révolution, le Premier Empire, la République. Tout cela s’est fait dans une certaine mesure aux dépens d’autres manières de penser et de vivre et il reste aujourd’hui à trouver comment conjuguer au mieux des situations nouvelles.
Mais aussi il serait vain de nier par exemple que l’Islam a été un élément fondateur de nombreux pays y compris les pays du Maghreb qui ont été pourtant un important foyer de romanité et de christianisme autrefois, avant l’Islam. Et le poids de la religion demeure très important dans tous les pays du monde y compris ceux qui vivent sous des régimes laïques parfois démocratiques parfois autocratiques. La religion à cet égard a un moment donné de son histoire et quelle qu’elle soit est à la fois un ferment de rassemblement et un ferment de division par rapport à ce qui lui est extérieur. Ce n’est plus le cas du Christianisme qui a très généralement compris de nos jours le message évangélique.
Gérard
11 octobre 2016 @ 15:30
Au fait où était-il Louis quand Madame et le duc de Vendôme étaient à Reims avec des centaines de milliers de Français pour accueillir Jean-Paul II lors des 1500 ans du baptême de la France ?
AUDOUIN
12 octobre 2016 @ 09:23
Gérard, je vous informe puisque vous semblez l’ignorer et que vous posez la question que le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou assistait à la messe apostolique célébrée par Jean-Paul II le dimanche 22 septembre 1996 sur le terrain de l’ancienne Base 112 de Reims. Il se trouvait sur la même ligne que les princes d’Orléans, séparé d’eux par une allée. Etaient présents la comtesse de Paris, vêtue de violet, Jean d’Orléans, Jacques d’Orléans et Eudes d’Orléans.
A la fin de la messe, Jean d’Orléans est venu saluer le duc d’Anjou et les deux princes ont échangé leurs cartes de visite.
AUDOUIN
aubert
12 octobre 2016 @ 12:28
intéressant d’apprendre que les deux princes ont des manières de VRP !
Sauternes
12 octobre 2016 @ 21:25
Cher Audouin
Je confirme la véracité de vos propos, puisque j’y étais, le Prince Louis, duc d’Anjou et de Bourbon était bien à Reims lors de la venue du pape Jean-Paul II, à une époque où ses visites en France étaient plutôt rares. Il est passé tout près de notre groupe qui n’a pas manqué de le saluer.
Dans le même ordre d’idée le Prince Alphonse son père, duc d’Anjou et de Cadix était venu lors de la visite du pape Jean-Paul II en 1986 à Lyon à Eurexpo dans la tribune d’honneur, invité par le Cardinal Decourtray, Primat des Gaules.
Ce même cardinal qui avait célébré une messe pour le Millénaire Capétien en 1987 en sa présence dans sa cathédrale toute fleurdelysée pour l’occasion. Il me semble que cher Aramis avait avoué y être présent aussi dans l’un de ses commentaires.
Sauternes
Gérard
13 octobre 2016 @ 16:41
J’avais bien salué à Reims Madame et le prince Jean mais je n’avais pas vu leur cousin, autant pour moi.
Gérard
13 octobre 2016 @ 16:42
Évidemment des esprits chagrins trouveraient que c’était à Louis d’aller saluer Madame en premier…
Gérard
13 octobre 2016 @ 16:43
D’autant qu’on avait quand même attendu bien longtemps.
Nemausus
11 octobre 2016 @ 22:01
Il est amusant de voir les orléanistes critiquer la présence du duc d’Anjou dans une cathédrale quand tout le monde sait et voit que Jean d’Orléans passe aussi son temps à l’église !
mais encore une fois, c’est la jalousie de voir que le duc d’Anjou est invité de plus en plus souvent comme chef de la maison royale de France (et pas qu’en France) et pendant ce temps les Orléans règlent leurs comptes entre eux mais publiquement….ils sont raison, qu’ils continuent à donner l’image d’une famille désunies, qui se déchire et se hait……il sera difficile de continuer à leurs partisans de vouloir les faire passer pour la famille providentielle !
Aramis
12 octobre 2016 @ 06:51
Ce n’est pas faux, c’est même plutôt vrai…hélas !
Au mariage albanais, Louis était invité. Je n’ai pas vu que les Orléans l’aient été. l’ ont ils été ?
Charles
12 octobre 2016 @ 12:03
Au mariage du prince héritier d’Albanie, la Maison de France était représentée par la princesse Marie, fille ainée du Comte de Paris. La sœur du Duc de Vendôme a été accueilli sur place par l’ambassadeur de France en Albanie.
Mayg
13 octobre 2016 @ 15:29
La princesse Marie et sa filles étaient là car elles sont épouse et fille d’u prince de Liechtenstein. Sans ça, elles n’auraient pas été présentes à ce mariage !
Charles
13 octobre 2016 @ 17:10
C’est faux, le Prince Souverain de Liechtenstein était représenté par son frère le Prince Philipp et sa belle sœur la princesse Isabelle tandis que le Comte de Paris était représenté par sa fille ainée Marie qui est venue accompagnée de son mari et de leur fille la Princesse Maria-Immaculata. L’ambassadeur de France a accueilli comme il se doit la fille du chef de la Maison de France.
Gérard
14 octobre 2016 @ 16:05
Mayg croit que le prince souverain avait dit à Gundakar : « Vas-y aussi des fois que Philippe et Isabelle ne me représenteraient pas assez bien. »…
Cosmo
15 octobre 2016 @ 11:53
Cher Charles et Gérard,
Mayg nous offre un spectacle terrible. Il faut l’imaginer tordue de douleur face à cette nouvelle, la princesse Marie de France, née Orléans, princesse Gundakar de Liechtenstein, a été reçue par l’ambassadeur de France.
Cela semble l’avoir terriblement affectée. Compatissons à son aigreur en lui offrant lui une grande bouteille de Gaviscon. Cela l’aidera sans doute pour ce weekend.
Amitiés à tous les deux
Cosmo
Karl
17 octobre 2016 @ 14:35
Mayg qu’en savez vous??? C’est vous qui etes en fait responsable du protocole du prince albanais? C est vous qui savez qui est invité et pourquoi? C est vous qui avez lancé les invitations?
Votre aigreur vous rend ridicule….
Nemausus
17 octobre 2016 @ 18:49
Manifestement Mayg, il n’y avait aucun princes d’Orléans de disponibles pour représenter Henri, si celui-ci avait réellement été invité….ils ont donc envoyé une princesse de Liechtenstein pour les représenter, faute de mieux !
Peut être que l’invitation, s’il y a eu, n’a pas satisfait à l’égo d’Henri….
Gérard
18 octobre 2016 @ 17:54
Une princesse de France qu’on aurait appelée autrefois Madame Première voire Madame Royale et qui serait l’héritière du trône s’il y avait un trône et si la primogéniture absolue avait été votée par le Congrès de Versailles.
Aramis
14 octobre 2016 @ 16:45
Très bien.
aubert
12 octobre 2016 @ 12:38
Ainsi donc la Maison royale d’Albanie est devenue une référence pour les royalistes. Est-ce l’effet de l’entretien de madame Salens ? Qu’une invitation des Zogou aux Bourbon et Orléans, hors jeu les uns et les autres, attise les rivalités sur N&R c’est un comble !
Karl
12 octobre 2016 @ 13:45
La princesse Marie de France etait pourtant là….
Charles
13 octobre 2016 @ 12:26
Oui la Princesse Marie de France était bien là et elle représentait son père pour l’occasion.
Gérard
13 octobre 2016 @ 16:38
C’est un bien grand malheur pour le prince Louis qu’il n’ait presque plus de famille à l’exception de celle heureusement qu’il constitue avec son épouse et ses charmants enfants. Il a cependant une famille, un peu plus éloignée mais régnante et qui ne soutient pas du tous ses droits prétendus au trône de France.
Il reste que lorsqu’on a très peu de famille on évite les contrariétés familiales éventuelles.
Nemausus
16 octobre 2016 @ 09:32
Vos affirmations sont fausses. Le roi Juan Carlos n’a jamais pris de position officielle sur ce sujet. C’est par souci de sa mère qu’il a toujours ménagé les Orléans jusqu’à ce que Henri le jeune ait l’outrecuidance d’insulter la maison royale d’Espagne en la considérant comme illégitime !
Le roi Felipe VI n’a pas pris non plus de position officielle sur le sujet car cela ne le concerne pas mais il a néanmoins invité son cousin à son intronisation.
Et que ce soit Juan Carlos ou Felipe VI, tous 2 valident le fait que l’elenco de grandezas, sous leur patronage, continue depuis très longtemps de traiter le prince Louis Alphonse de Bourbon comme duc d’Anjou et chef de la maison royale de France et grand maître des ordres royaux….. or la députation de la grandesse d’Espagne, présidée par le duc d’Hijar, est la référence en la matière de titre de noblesse. Jamais la députation de la grandesse n’aurait affirmé une telle position sans l’accord du roi !
Karl
17 octobre 2016 @ 14:42
Vous révez Naucratis. Le Roi Juan Carlos a toujours soutenu ses cousins Orléans dans leur position de Maison Royale de France. Il n’ a jamais accordé à Luis de Borbon le prédicat d’Altesse Royale et n a jamais eu la moindre considération pour lui et sa famille!
Il n a meme pas pris la peine de se faire représenter à son mariage , ni meme à l’enterrement de sa grand mere, celle la meme que vous affublez du ridicule titre de duchesse qu elle n etait plus depuis 60 ans avant sa mort!
En revanche le roi a toujours reçus et fréquentés ses cousins Orléans et il continue à le faire, comme le fait également son fils, le nouveau roi d ‘Espagne.
Gérard
18 octobre 2016 @ 17:59
Chacun sait que le roi Juan Carlos était furieux du faire-part de Louis de Bourbon, de cette altesse royale, de ce titre de duc d’Anjou. La mère de Louis n’a jamais dit le contraire même si elle était furieuse que personne ne soit venu.
Et vous avez raison Karl surtout lorsque l’on songe que le roi Philippe est le parrain de la fille de l’autre duc d’Anjou.
Kalistéa
12 octobre 2016 @ 10:08
Encore , la JALOUSIE !
A croire que si on est pour reconnaître que ce sont les descendants du dernier roi ,qui représentent le principe royal en France , et non un prince étranger , on est Jaloux parce que c’est monsieur Borbon Martinez qui boit aujourd’hui le champagne de mr Robinet , après un discours ridicule, dont on peut penser d’ailleurs que c’est tout à son honneur de ne pas l’avoir écrit!
jul
12 octobre 2016 @ 16:06
Kalistéa,
Le Prince est chez lui en France, même s’il est aussi Espagnol, il est Français.
Cosmo
13 octobre 2016 @ 12:09
Jul,
Le prince est espagnol, parce que né espagnol, mais il est aussi français parce que devenu français.
C’est différent.
Cosmo
jul
13 octobre 2016 @ 20:50
Ah vous faites dans la distinction ou pire dans la hiérarchisation des Français maintenant…
Gérard
14 octobre 2016 @ 16:07
Mais ne vous inquiétez pas Jul nous savons maintenant que les derniers seront les premiers, en tout cas au Ciel, sur la terre c’est pas toujours sûr.
Cosmo
14 octobre 2016 @ 21:36
C’est vous qui en faites, en invertissant les choses et en trahissant volontairement la réalité.
Nemausus
16 octobre 2016 @ 09:38
Jul,
Les orléanistes ont toujours fait de la discrimination sur la nationalité française selon son mode d’acquisition en se revendiquant uniquement du droit du sol alors que le droit français n’est pas basé que sur ce principe (et heureusement pour les Orléans car à cause de la théorie de leurs partisans, les aînés seraient tous étrangers !)
Sauf que selon le décret rendant (et non donnant) la nationalité française au duc d’Anjou et de Cadix, il est bien indiqué que ses enfants sont considérés comme nés français.
Il en est également ainsi pour les enfants de l’actuel duc d’Anjou qui sont bien nés aussi français.
Et la loi a bien plus de force que les élucubrations de certains orléanistes !
AUDOUIN
13 octobre 2016 @ 18:12
Cher Jul
Que le Prince ait vu le jour à Madrid, à Paris ou à Honolulu n’ a strictement aucune incidence sur son statut. Le duc d’Anjou est né Bourbon, de la Maison royale de Bourbon dont il est aujourd’hui le chef. C’est ce qui fonde sa légitimité au regard des lois dynastiques. Tout le reste n’est que jacasserie stérile.
AUDOUIN
Lady Chatturlante
16 octobre 2016 @ 01:42
Tiens, j’ai appris en lisant sa nécro que le roi Bumibol de Thaïlande était né aux États-Unis quand son père suivait ses études à Harvard. C’est fascinant.
Nemausus
12 octobre 2016 @ 18:17
la preuve de votre jalousie est votre mesquinerie…..
goélette
13 octobre 2016 @ 20:28
Tout le monde sait que l’idée d’une nationalité Française n’a chatouillé le duc de Cadix , que lorsqu’il s’est agi de faire payer à la sécurité sociale française, ses soins longs et coûteux après le tragique accident de voiture!
Aurore
14 octobre 2016 @ 14:49
Merci pour cette information qui me laisse sans voix.
Ces Bourbons baissent encore un peu plus dans mon estime
Cosmo
14 octobre 2016 @ 21:39
Et oui, Goélette, c’est la réalité de la volonté d’être français de celui que certains auraient placé sur le trône, s’ils l’avaient pu. Ce n’est somme toute pas très différent de bien d’autres qui aspirent à devenir français pour les avantages que cela procure.
Cordialement
Cosmo
Nemausus
16 octobre 2016 @ 09:40
c’est de la calomnie pure et simple ! bien à l’image de tous les mensonges des orléanistes qui ne trompent plus personne aujourd’hui sauf eux mêmes !
AUDOUIN
16 octobre 2016 @ 00:47
@ Aurore
« Linformation » de Goélette vous laisse sans voix. Comme je vous comprends! Moi, le n’en crois pas mes yeux. Pour des raisons qui ne sont pas nécessairement celles qui vous rendent aphone…Sans la moindre vergogne, cette Goélette à la dérive n’hésite pas à imputer au Prince Alphonse des faits d’une gravité exceptionnelle, de nature à porter atteinte à son honneur et sa considération, sans les étayer par le moindre commencement d’une preuve. Ce n’est plus de l’information, c’est de la diffamation. Car comment qualifier, en droit, cette insinuation insensée selon laquelle le Prince aurait « escroqué » la Sécurité sociale française?
Cette accusation est non seulement infamante mais plus encore absurde car dénuée du moindre fondement.
Le Prince Alphonse de Bourbon, né français par sa mère n’a pas eu à demander la nationalité française puisqu’elle lui était acquise le jour de sa naissance. Il a fait tout ce qu’un citoyen français est en droit de faire: il s’est fait délivrer un passeport français par les autorités compétentes.
Dire que cette pièce d’identité lui a permis d’obtenir des prestations de la Sécurité sociale est d’une stupidité qui n’échappera à personne.
Pour bénéficier de tels avantages, chacun sait ( sauf apparemment l’ineffable Goélette), qu’il faut être immatriculé à la SS. Et surtout payer ses cotisations.
Le Prince Alphonse n’était pas dans ce cas, n’étant à ma connaissance, ni salarié, ni artisan, ni chef d’entreprise en France.
Le 5 février 1984, le jour de son accident à Pampelune, le duc d’Anjou était président d’International Factors Española SA, filiale du Banco Extérior de España. Il n’était pas un indigent dont l’insuffisance de ressources lui eût permis d’être pris en charge par l’Assurance maladie.
Sur la recommandation de ses médecins espagnols qui estimaient que les établissements français étaient à l’époque mieux équipés que ceux d’ Espagne, le Prince, polytraumatisé, a vécu une partie de sa rééducation à Paris. Les frais afférents aux soins reçus ont été intégralement payés par l’Assurance que le Prince Alphonse de Bourbon avait contractée pour lui et ses fils..
AUDOUIN
Cosmo
16 octobre 2016 @ 09:57
Comme quoi, Audouin, vous parlez une fois de plus de choses que vous ignorez et vous confondez l’existence d’un droit et son exercice.
C’est le président Mitterrand qui a donné l’ordre à Pierre Beregovoy, et ensuite à Georgina Dufoy, de faciliter toutes les démarches afin que le prince Alphonse de Bourbon puisse bénéficier du traitement lourd qu’il devait subir, en attendant que la nationalité française lui soit reconnue.
Personne ne dit que le prince a escroqué la sécurité sociale – çà c’est votre argument d’attaque pour tenter de masquer la réalité – car tout a parfaitement été légal.
On dit tout simplement que le prince n’a demandé la reconnaissance de la nationalité française que lorsqu’il en a eu besoin, pour pouvoir être mieux soigné en France qu’en Espagne. Quand il était ambassadeur d’Espagne et petit-gendre du chef de l’Etat espagnol, cette idée ne lui a pas traversé l’esprit.
Vous semblez oublier que de sa naissance à 1986, le prince n’avait pas de droit à la nationalité française car sa mère qui n’avait pas exercé le sien propre. Il a fallu qu’Emmanuella de Dampierre soit reconnue comme française pour que ses fils puissent l’être également.
Ce n’est qu’en 1987 que la nationalité française fut reconnue au prince Alphonse, sa mère, Emannuella de Dampierre, n’eut sa reconnaissance qu’en 1986. Car si la nationalité française pouvait leur être reconnue de droit grâce à celle de Roger de Dampierre, duc pontifical de San Lorenzo, un jugement était nécessaire pour la voir exécutée dans toutes ses formes. Ni Emmanuella de Dampierre, ni son fils n’étaient nés en France. Roger de Dampierre ne pouvait en aucun cas transmettre sa nationalité à son petit-fils.
Donc, entre l’accident et la reconnaissance judiciaire de sa nationalité française, le prince a pu bénéficier de soins en France grâce à l’intervention du président Mitterrand.
Ce n’est donc pas l’amour de la France qui lui fait demander la nationalité française, mais les commodités offertes par notre pays. Car si l’amour de la France avait été si fort, il aurait demandé à sa mère d’effectuer les démarches en 1975, après la mort de Franco, avant d’en avoir besoin.
Il n’y a là aucune diffamation mais la simple relation des faits.
Comment savez-vous que c’est l’assurance privée du prince qui a pris en charge tous ces frais ?
Cosmo
Nemausus
16 octobre 2016 @ 23:02
comme à leurs habitudes les orléanistes insinuent la calomnie en voulant faire croire que le duc d’Anjou et de Cadix n’a demandé à retrouver la nationalité française que par commodité pour des soins….
mais la loi se fout complètement des allusions perfides des orléanistes car elle dit tout simplement que le duc d’Anjou est considéré comme né français et récupère donc la nationalité française et peut importe à quel moment. Il ne s’agit donc pas d’une naturalisation qui de toute façon aurait fait du prince un français au même titre que le fait de récupérer la nationalité….. il n’y a bien que les orléanistes pour discriminer les français entre eux….. mais le fait pour la branche aînée des Bourbons de récupérer la nationalité française sciait la branche de leurs pseudo arguments sur la nationalité d’où leur hargne à créer une nouvelle théorie discriminante faisant la différence entre les français selon le mode d’acquisition de la nationalité….. c’est ça cette famille qui prétend unir le peuple français en commençant par les diviser pour les besoins de leur cause …. la providence nous épargnera de les avoir comme roi !
Cosmo
17 octobre 2016 @ 09:08
Ce n’est pas une calomnie, c’est la simple constatation des faits dans leur ordre chronologique. Le duc de Cadix ne pensait pas demander la reconnaissance de sa nationalité française, tant qu’il avait des intérêts en Espagne.
Le constater vous ennuie vous et vos amis. C’est votre problème avec votre prétendant qui a un pied au-delà des Pyrénées et un pied en deçà.
De toutes façons, la nationalité ne change rien à l’ordre dynastique. Comme le fait d’assister à toutes les messes et célébrations qu’il veut n’en fait pas un français de coeur. Il reste ce qu’il est, un français de papier ou dé récupération comme vous dites.
Cette excitation autour du prince Louis et de ses droits, cette agitation de crapauds dans une mare demandant un prétendant, est bien amusante et en dit long sur l’état d’esprit de certains monarchistes confits dans la haine.
Rassurez-vous, vous n’aurez pas plus un Orléans qu’un Bourbon d’Espagne comme roi.
Gérard
22 octobre 2016 @ 22:28
Cher Cosmo votre démonstration est imparable. Lors de la guerre d’Algérie ou à l’heure du service militaire nos Bourbons ne devaient pas savoir qu’ils étaient français.
Cosmo
23 octobre 2016 @ 17:06
Cher Gérard,
Tout ceci est tellement logique. On se demande comment certains osent même parler de la nationalité du prince Louis et avant lui de son père. Oui, ils ont la nationalité française mais on se demande ce qu’ils en font ou en ont fait. Assister à des cérémonies ou parler sans cesse de ses ancêtres français (et encore, il faut remonter à Louis XIV dans son ascendance royale) ne sont pas des raisons suffisantes. Etre un véritable citoyen d’un pays comporte des devoirs, et ceci est valable pour tous les pays. Dire cela n’est en rien la manifestation d’un quelconque sentiment ultra-nationaliste ou xénophobe.
En réalité, les pseudo-légitimistes s’abritent derrière cette affaire de nationalité reconnue pour pousser Louis de Bourbon en avant. Ils oublient que son coeur et son esprit sont espagnols. Le duc de Madrid, don Carlos, en 1883, écrivait dans une lettre : “chère Espagne. C’est à elle seule que j’appartiens, et je lui appartiendrai toujours.” Ces paroles s’appliquent aussi à Louis de Bourbon. S’il pensait autrement, on se serait déjà aperçu.
De toutes façons, français ou pas, ses droits n’existent que dans certains esprits chimériques pour qui l’histoire des peuples n’est rien. On gomme trois siècles d’histoire européenne, tout simplement parce que les Orléans, pour diverses raisons, n’ont pas l’heur de leur plaire. Et pour paraphraser le général de Gaulle » Il ne suffit pas de crier l’aînesse, l’aînesse, en sautant comme des cabris… »
Amicalement
Cosmo
Goélette
16 octobre 2016 @ 15:36
Il a fallu l’intervention de mr Mitterrand, qui était bien un tout petit peu snob aussi…malgré votre véhémence , môssieur Audouin!
Naucratis
16 octobre 2016 @ 18:27
Goélette, ce n’est pas parce que vous écrivez des sottises plusieurs fois qu’elles deviennent vérités !
AUDOUIN
17 octobre 2016 @ 07:35
Cher Naucratis, cette pauvre Goélette prend l’eau de toutes parts…Après avoir accusé par ignorance ou mensongèrement le défunt duc d’Anjou d’avoir demandé un passeport français pour profiter indument de la Sécurité sociale, elle confond maintenant le père et le fils! Je lui indique que Marie Marguerite Vargas a épousé le prince Louis plus de quinze ans après la mort du père de celui-ci. Quel écran de fumée va-t-on encore dresser pour tenter de sauver du naufrage la frêle goélette? Consternant.
AUDOUIN
Goélette
17 octobre 2016 @ 09:39
En matière de sottises répétées à l’infini , vous êtes le roi couronné et oint Naucratis:Personne n’en écrit autant que vous.Et elles ne deviennent pas non plus des vérités ; elles restent indéfiniment de lourdes bêtises naucraticiennes c’est à dire extrêmement lassantes .
Pascalv
17 octobre 2016 @ 14:55
Naucratis a part dire aux autres qu ils disent n importe quoi pour essayer de les faire taire, vous n avez pas beaucoup d’arguments…..
Kalistéa
18 octobre 2016 @ 20:57
Tout-à-fait exact cher Pascal V. c’est la spécialité de notre Naucr’adoré de faire cela! par là on juge de sa subtilité d’esprit !
bonne nuit. k.
Goélette
16 octobre 2016 @ 19:22
C’est que , mon cher Cosmo , il faut aussi considérer que la fortune Vargas (d’où qu’elle vienne) n’était pas encore à la portée du duc de Cadix qui était dit-on assez désargenté…
Pierre-Louis
18 octobre 2016 @ 13:43
Goélette, je pensais qu’en épousant la petite fille d’un dictateur espagnol, le duc de cadix s’est mis à l’abri… Il fallait tout de meme bien ça pour compenser la mésalliance, la descendance non dynaste et le cortège de scandales que ce mariage allait produire.
Kalistéa
18 octobre 2016 @ 20:52
Pierre-Louis, je reprends votre idée de » mésalliance ».Mon idée personnelle , car je m’efforce d’être juste , est que le mariage du duc de Cadix, fils d’un prince renonciateur et non dynaste ni en Espagne ni en France , avec une jeune femme , fille du marquis de Villaverde un chirurgien de valeur , et petite fille d’un chef d’état qui fut durant 40 ans à la tête de son pays ,n’était pas du tout une mésalliance.Au moment du mariage , il n’y avait eu que le scandale du divorce des ducs de Ségovie ,après que l’épouse de celui-ci l’ait abandonné ainsi que leurs deux enfants pour partir avec un autre homme.C’est cela qui aurait pu faire hésiter la famille de la mariée qui s’était toujours conduite de façon irréprochable.(la politique du gouvernement Espagnol sous la dictature du général Franco , ça c’est un autre sujet ).Mais après tout n’est-ce pas on ne pouvait reprocher au duc de Cadix , la conduite de sa mère ?
Par la suite , hélas son épouse se conduisit exactement de la même façon que sa belle-mère!
Je ne suis même pas sûre que le mariage de Luis -Alfonso Borbon avec une roturière Vénézuélienne richissime dit-on , soit une « mésalliance » car après tout il n’est plus maintenant que le cousin même pas germain du roi d’Espagne !Quant à son pseudo titre de « duc d’Anjou » , tout le monde sait qu’il est faux à commencer par ses amis et leur thèse fantaisiste qui ne repose que sur l’idée farfelue d’un droit d’ainesse , à l’exclusion de toute autre considération , porte à la commisération .
J’espère que vous me comprenez.Bonne nuit.Bien à vous . k
Cosmo
19 octobre 2016 @ 08:08
Dear K,
Votre commentaire sensé et mesuré remet les pendules à l’heure.
Amicalement
Cosmo
Pierre-Louis
19 octobre 2016 @ 08:26
Kalistéa, merci de votre analyse.
Quand je dis mésalliance, pour moi s’en est une pour qui prétend être chef de la Maison de France. En effet, que le duc de Cadix ait accepté de méler son sang à celui d’un terrible dictateur en dit long sur la moralité de cette personne… Son fils, pseudo duc et même pas prince s’est également mal marié en épousant un parvenue dont l’origine de la fortune semble etre moralement douteuse…. Pour moi, les bons mariages sont ceux qui se font entre des personnes honorables. Peu importe qu’un prince epouse une bergère tant que celle ci provient d’une famille respectable, ce qui manifestement n’ est pas vraiment le cas dans les deux cas présents.
Maintenant comme ni le duc de Cadix, ni son fils ne représentent quoi que ce soit ni en Espagne ni en France, peu m importe leurs mariages. Je pense seulement que quand on prétend si important, on s’entoure et se marie correctement.
Bien à vous
Milena K
21 octobre 2016 @ 00:43
Au-delà de leurs prétentions monarchistes respectives,aussi vaine l’une que l’autre,Luis Alfonso de Borbon me semble beaucoup plus agréable à regarder que Jean d’Orléans ¨même s’il est loin d’être un Adonis. -;)
Gérard
22 octobre 2016 @ 23:14
Nos prétendants étaient plus beaux il y a 20 ans que maintenant comme chacun de nous mais tout cela n’a aucune importance et ils ont toujours belle allure. Le physique n’est pas le critère primordial. Heureusement.
Ensuite il faut rappeler que les prétendants ne sont pas des prétendants parce qu’ils revendiquent un droit mais parce qu’ils ont des partisans.