A l’invitation de la princesse Muna de Jordanie, mère du roi Abdallah, la princesse Margareta et le prince Radu de Roumanie sont en visite en Jordanie. C’est dans ce pays que le couple princier avait passé sa lune de miel à l’invitation de la famille royale hachémite. La princesse Muna a déjà été reçue par la princesse Margareta au palais Elisabeta de Bucarest.
La princesse Margareta et son époux se sont recueillis à Amman sur la tombe du roi Hussein de Jordanie. (Copyright photo : site du prince Radu de Roumanie)
29 mai 2014 @ 08:51
oh c’est The Place to Be en ce moment.
29 mai 2014 @ 16:10
Margareta et Radu de Roumanie ont-ils désiré suivre le chemin du Pape en Jordanie?
29 mai 2014 @ 13:38
J’espère qu’ils en ont profité pour faire un peu de tourisme.
30 mai 2014 @ 09:42
Ovidiu Oltean, professeur de sciences politiques à l’université de Cluj, a donné une longue interview à Frédéric Cheutin, envoyé spécial de la Provence à Bucarest (éditions du 29 mai 2014). Parmi les questions qui lui ont été posées, relevons celle-ci et la réponse qui suit : « Bien que le pays soit une république, la monarchie semble bénéficier d’un très solide soutien au sein de la population. Comment expliquez-vous ce fait ?
– La Roumanie a été une monarchie constitutionnelle de 1866 à 1947 quand le roi a été forcé de quitter le trône et le pays après la prise de pouvoir par les communistes. Le pays a été formé sous la monarchie ; il est donc normal qu’elle ait toujours une certaine légitimité aux yeux de la population. Quant aux mécontents, ils associent les hommes politiques actuels à la république. La monarchie est associée à la famille royale qui offre un autre discours, une présence, un style, un profil, qui donnent à la Roumanie une autre
envergure. La monarchie et son incarnation – le roi – sont souvent perçus comme l’âge d’or de la Roumanie. Entre 35-40 % de la population se prononce pour la monarchie. C’est énorme. Le roi et sa fille Marguerite sont très appréciés par la population. Pour autant la monarchie aurait bien du mal à résoudre tous les problèmes de notre société. »
Le professeur évoque notamment les problèmes économiques et ceux des minorités, rom, hongroise, saxonne, turque, et, s’il ne nie pas les problèmes en particulier concernant la minorité rom, il observe que la Roumanie d’aujourd’hui est un pays où les cultures roumaine, saxonne, hongroise, turque sont indissociables et sans aucun rapport avec ce qui se passe en Ukraine.
30 mai 2014 @ 20:24
@Merci cher Gérard !
31 mai 2014 @ 14:24
C’est un plaisir chère Livia !
1 juin 2014 @ 14:21
Lire aussi l’entretien de la princesse Margareta avec Mylène Sultan dans la livraison de Point de Vue de cette semaine numéro 3436.
2 juin 2014 @ 10:15
C’est noté merci à vous!