Le musée Leone de Verceil dans le Piémont présentera le 16 novembre prochain cette toile de Margherita de Habsbourg (1651-1673), fille du roi Philippe IV. (merci à Alberto)
Le musée Leone de Verceil dans le Piémont présentera le 16 novembre prochain cette toile de Margherita de Habsbourg (1651-1673), fille du roi Philippe IV. (merci à Alberto)
olivier Kell
9 novembre 2019 @ 09:14
Le jour où la beauté était distribuée elle devait être absente :-)
Baboula
9 novembre 2019 @ 09:26
Pauvre infante ,on comprend que la lignée se soit éteinte. Elle eut quatre enfants, malgré sa constitution chétive ce qui hâtât sans doute son départ à 23ans.
Je lui trouve une certaine ressemblance avec lady Amelia Windsor 😜
Antoine
9 novembre 2019 @ 10:18
Nul doute que lady Amelia soit ravie et flattée…
Mayg
10 novembre 2019 @ 14:21
😂😂😂
Jean Pierre
9 novembre 2019 @ 13:56
Elle était la belle-sœur de Louis XIV.
Elle a aussi eu une fille qui est la mère de l’électeur de Bavière qui disputât le trône lors de la Guerre de succession d’Espagne ?
Menthe
9 novembre 2019 @ 13:59
La consanguinité avait fait des ravages !
Sa mère était la nièce de son père et elle même dût épouser un de ses oncles.
Leonor
10 novembre 2019 @ 18:28
Euh…. attendez , Menthe…. hou là la…. faut qu’je fasse un dessin ! ;-)
Menthe
11 novembre 2019 @ 17:36
Bon, je vais prendre mon temps, juste pour rigoler un peu, moi l’impatiente de nature: la maman d’Amelia était la nièce du papa d’Amelia, (donc sa mère -sa, se rapportant à Amélia-était la nièce de son père -son,
se rapportant à Amelia- ) jusque-là ça va ? et Amélia a épousé un de ses oncles, en l’occurrence le frère de sa maman.
Voilà…. oh, et puis zut, lisez donc le post d’HélèneA ci-dessous, il est clair comme de l’eau de roche 😘😘
Leonor
10 novembre 2019 @ 18:36
Je viens de le faire, le croquis . Pour rire, mais pour de vrai.
Hem, hem.
Il en ressort que l’oncle-époux était potentiellement aussi son grand-père, puisque le frère du père était aussi le père de la mère …. !
Bon. On rigole.
Voyons voir les choses autrement .
L’oncle était peut-être un autre frère du père que le père de la mère . Ou ‘il était le frère de la mère. Ou encore , la mère était la nièce du père parce qu’elle était la fille de la soeur du père .
Z’avez tout compris, j’suis sûre . ET j’ai dû évidememnt me mélanger les pinceaux. Une chatte n’y retrouverait pas ses petits ! :-))
Esquiline
11 novembre 2019 @ 14:32
Piergiorgio Odifreddi, mathématicien et philosophe, a aussi reconstitué les liens entre les membres de la divine famille, c’est encore plus compliqué.
Marie, fécondée par le Saint Esprit qui est Dieu, est la mère de Jésus qui est Dieu, donc aussi la mère du père de son fils, donc grand-mère de son fils et ainsi de suite …
Charlotte
9 novembre 2019 @ 14:17
Son regard vif, peut-être ?
Bon dimanche !
Cosmo
9 novembre 2019 @ 18:39
Bien vu !
Ses portraits révèlent toutefois un goût plus sûr que celui de Lady Amelia, surtout le portait en bleu de Velasquez. Un goût en tous cas plus en rapport avec son statut impérial que celui de Lady Amelia avec son statut social.
Bon dimanche
Gatienne
9 novembre 2019 @ 22:52
Et moi avec la nouvelle princesse Napoléon : un peu normal puisque descendante des Habsbourg…La vitalité en plus, bien sûr ! 😉
Lionel
9 novembre 2019 @ 10:01
L’infante n’était pas italienne et s’appelait Margarita. Elle avait pour patronyme « de Austria » et non de Habsbourg, qu’aucun membre de la Maison d’Autriche n’a jamais porté avant le 19e siècle comme souvent rappelé ici.
Mayg
9 novembre 2019 @ 12:46
Ok ne peut pas dire qu’elle était jolie. Remarque chez les Habsbourg c’est pas étonnant, vu les ravages de la consanguinité.
HélèneA
9 novembre 2019 @ 13:23
Ses parents étaient oncle et nièce et son époux était son oncle maternel.
Difficile de suivre la généalogie
Jérôme
9 novembre 2019 @ 13:29
L’infante Margarita Teresa (12 juillet 1651 – 12 mars 1673) fille de Felipe IV et de sa nièce et seconde épouse, Marie-Anne d’Autriche; épouse de son oncle et cousin germain, l’empereur Leopold Ier.
Actarus
9 novembre 2019 @ 14:55
Ou plutôt de Marguerite d’Autriche, infante d’Espagne. ;-)
Une princesse espagnole (Margarita) dont le prénom est écrit en italien ! ^^
Restons francophones.
Severina
9 novembre 2019 @ 15:33
Néanmoins elle a été très aimée par son père et son oncle/époux. Seule une fille lui est survécue.
Vitabel
9 novembre 2019 @ 16:53
La pauvre, elle était tout à fait laide.
Nivolet
9 novembre 2019 @ 17:23
Effectivement, il y a la même vivacité dans le regard….👀🤭
Cecicela
9 novembre 2019 @ 17:40
Pourquoi Margherita, forme italienne de Marguerite, pour une espagnole mariée à un autrichien?
Velasquez a fait beaucoup de portrait de cette infante (« Les Ménines », notamment) en flattant certainement ses traits. Ce tableau-ci la montre franchement laide et il y a de grandes chances qu’il soit le plus juste. La pauvre fille devait être le produit des mariages consanguins répétés des Habsburg. Elle même n’a pas failli à la règle : On lui a fait épouser son oncle.
Eric Pimont
9 novembre 2019 @ 18:47
Elle ressemble à jazmin Grimaldi.
Bambou
9 novembre 2019 @ 19:02
Amélia de Windsor va être flattée de la comparaison….cette pauvre infante avait le bas du visage très prognate de Charles Quint, entre autre…
Leonor
9 novembre 2019 @ 22:25
Un visage typiquement Habsbourg:un visage épointé du bas, pas de mâchoire, et des lèvres épaisses .
Maria-Laura du Belgique l’a aussi, alors que son père, l ‘archiduc Lorenz, non.
J’ai fini par comprendre aussi que cette absence apparente de mâchoire était probablement la raison pour laquelle l’empereur François-Joseph portait d’impressionnantes roufflaquettes.
Avel
10 novembre 2019 @ 13:11
Beaucoup de consanguinité chez les Hasbourg…. flagrant quand on visite les musées à Madrid.
Gérard
10 novembre 2019 @ 19:40
Ce portrait de l’infante ou l’impératrice Margarita, qu’on appelle ici la princesse triste, et qui est dans le salon rouge du musée Leone au palais baroque Langosco di Stroppiana de Verceil, est anonyme mais elle est plus connue notamment par les Ménines de Vélasquez naturellement. La fille de Philippe IV épousa son oncle, le frère de sa mère, que toute sa vie elle appela oncle. Elle souhaitait vivement donner un fils à l’empereur Léopold Ier. Ils en eurent deux le premier à 15 ans, mais qui vécurent peu ou pas. Seule une fille atteignit l’âge adulte.
L’infante mourut à 21 ans des suites de son quatrième accouchement.
Francois
10 novembre 2019 @ 19:59
Et dire que ce portrait doit être flatteur !
kalistéa
11 novembre 2019 @ 10:39
ressemble
kalistéa
11 novembre 2019 @ 10:40
Ressemble à Philippe d’Orléans frère du roi Louis XIV .
Elsi
11 novembre 2019 @ 14:04
Un produit de plus de la tradition abjecte des mariages consanguins pratiques pendant des siecles …et c´est quoi ce truc noir sur son cou ???
Nivolet
12 novembre 2019 @ 15:59
Le prognathisme habsbourgeois ou autrichien est appelé la lippe habsbourgeois. Ces stigmates héréditaires sont un des signes de dégénérescence, il faut dire qu’en matière de consanguinité de cette famille n’avait pas grand chose à envier aux pharaons.