Carlos Fitz-James Stuart, comte d’Osorno, fils cadet du duc d’Albe et sa fiancée Belen Corsini maintiennent pour le moment leur projet de se marier au Palais de Liria à Madrid le 22 mai prochain. (merci à Ludovina – Source : Hola)
Carlos Fitz-James Stuart, comte d’Osorno, fils cadet du duc d’Albe et sa fiancée Belen Corsini maintiennent pour le moment leur projet de se marier au Palais de Liria à Madrid le 22 mai prochain. (merci à Ludovina – Source : Hola)
luigi
4 mars 2021 @ 00:56
Très beau couple !
Caroline
4 mars 2021 @ 06:41
Avec des invités ‘ triés sur le volet ‘ ?
La fiancée est jolie et svelte à la fois, mais elle porte une bizarre paire de boucles d’ oreilles!
Qui est la mère du futur marié ? Les fiancés travaillent- ils ?
Ludovina
4 mars 2021 @ 18:54
Matilde de Solís y Martínez de Campos, née le 13/06/1963, fille de Fernando Solís y Atienza (1921-1996), 10e marquis de la Motilla et de Isabel Martínez de Campos y Rodríguez (1926-2017).
Elle est la 10ème de leurs 11 enfants.
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Bambou
4 mars 2021 @ 06:45
Le marié ressemble à son frère aîné comme deux gouttes d’eau…
Pourrons toujours se marier en petit comité le 22 mai mais pas de grandes festivités….!
Quand son souhaite vraiment se marier pas besoin d’être 500….
kalistéa.
4 mars 2021 @ 17:45
Eh bien , il y aura des masques … et peut-être des Bergamasques!( Et rien ne les empêche de jouer du luth , n’est -ce pas mon cher Roby ?)
Annmaule
4 mars 2021 @ 07:11
Un cadet qui ressemble a son aine de façon etonnante.
Les epouses ou futures se ressemblent aussi….
Belle allure..
Val
4 mars 2021 @ 07:31
Les 2 frères ont des femmes très classes , discrètes , élégantes.
D’ailleurs le même style .
Cosmo
4 mars 2021 @ 07:32
Le problème n’est pas le mariage en soi mais le nombre d’invités à la noce.
miloumilou
4 mars 2021 @ 07:37
J’espère pour eux et pour nous😉!
Folle envie de voir reprendre vie partout!
PATRICIA
4 mars 2021 @ 08:23
très bien, je leur souhaite beaucoup de chance pour ce projet et j’ai hâte de voir un beau mariage !
JAY
4 mars 2021 @ 08:34
Les princes d’Albes savent choisir de belles femmes, bien nées et forts riches
Il faut dire qu’ils sont très bels hommes (son frère et lui) , riches et de belle naissance aussi !
Mayg
4 mars 2021 @ 15:00
Je le trouve moins beau que son frère ainé.
Antoine
4 mars 2021 @ 15:02
Rien n’étant parfait, les hommes de la maison d’Albe sont tous un peu courts sur pattes. C’est un détail mineur, je vous l’accorde.
luigi
4 mars 2021 @ 19:46
@ Antoine, celui-ci possède une bonne longueur de jambes pourtant.🤔
HRC
5 mars 2021 @ 13:49
Bonne remarque, Luigi.
isabelle
4 mars 2021 @ 08:36
Elle est bien jolie sa fiancée !
El malik
4 mars 2021 @ 08:50
Si seulement.. La vie comme avant ? Joli mois de mai.. ✌️
Agnese
4 mars 2021 @ 10:30
Joli couple et surtout beau mariage en vue.
Leonor
4 mars 2021 @ 11:35
Les hommes Albe sont plutôt de beaux gosses. Ca leur vient d’où ? De quels ascendants ?
Jean Pierre
4 mars 2021 @ 11:46
Guapa !
lucile
4 mars 2021 @ 12:02
qu’elle jolie fiancée, c’est une belle italienne
Carla Manganelli
4 mars 2021 @ 14:44
La mariée n’est pas italienne mais espagnole d’une famille importante et riche (pas noble)
https://www.archyde.com/a-very-jet-set-wedding-carlos-fitz-james-and-belen-corsini-the-dreamy-couple/
kalistéa.
4 mars 2021 @ 17:47
Ah? je pensais que , vu son nom , c’était une petite Corse , comme moi !
Muscate-Valeska de Lisabé
4 mars 2021 @ 12:03
Il aurait tort de renoncer.
COLETTE C.
4 mars 2021 @ 12:54
Il faut bien faire des projets.
Danielle
4 mars 2021 @ 13:01
L’espoir fait vivre, peut être pourront ils se marier en extérieur.
Marie d’Aix
4 mars 2021 @ 15:21
Mariage très attendu , probablement très élégant….
Ciboulette
4 mars 2021 @ 19:56
J’espère pour eux qu’ils pourront se marier à la date prévue . Le fiancé est très bel homme ( un peu moins que son aîné , cependant ) et la fiancée est jolie .
particule
4 mars 2021 @ 15:47
La fiancée est très prometteuse …
Kalistéa
6 mars 2021 @ 13:01
Particule , vous me faites rire: »prometteuse » , à quoi le voyez vous? parce qu’elle sait montrer ses cuisses mine de rien , à l’exemple de sa reine ?
Phil de Sarthe
4 mars 2021 @ 16:27
Ils ont raison! Très beau couple…
Marie de Cessy
4 mars 2021 @ 17:52
Ils sont beaux gosses dans cette famille
Monica
4 mars 2021 @ 19:12
Tres beau couple. La future fait plus jeune que son âge
Gérard
5 mars 2021 @ 02:37
Je ne sais pas s’il y a des liens entre la famille princière Corsini d’Italie et celle dont nous parlons maintenant qui est espagnole aujourd’hui.
Il y a cependant un principe de noblesse en ce qui concerne cette famille espagnole depuis José Antonio de Vargas-Zúñiga y Corsini né en 1960 qui depuis le 8 février 2007 est le quatrième marquis de Siete Iglesias.
Le titre de marquis de Siete Iglesias a été concédé par le roi Philippe III d’Espagne le 13 juin 1614 à Rodrigo Calderón de Aranda, seigneur de Siete Iglesias de Trabancos, premier comte de la Oliva de Plasencia (1576-1621), secrétaire de la chambre du roi et favori du duc de Lerma. Il fut peint par Rubens sur une toile qui est aujourd’hui dans la collection royale britannique.
Le titre fut rétabli le 17 août 1918 par Alphonse XIII sur demande de Josefa Montero de Espinosa y Chaves pour son fils Antonio de Vargas-Zúñiga y Montero de Espinosa (1904-1983), descendant direct du premier marquis et qui devint donc le deuxième marquis de Siete Iglesias, aujourd’hui Siete Iglesias de Trabancos dans la province de Valladolid. Antonio était membre de l’Académie royale d’histoire, un grand érudit et un grand éleveur. Il épousa en premières noces María del Milagro Sanchiz y Arrospide fille du 14e marquis del Vasto grand d’Espagne et de la 3e marquise de Valderas, et en deuxièmes noces après la mort de sa première épouse, Josefina Pignatelli y Maldonado.
Le quatrième marquis est fils de doña Lourdes Corsini Muñoz de Rivera, décédée à Madrid le 20 décembre 2015 et qui était donc la mère de José Antonio marquis actuel de Siete Iglesias. Elle était veuve de José Antonio de Vargas-Zuñiga Sanchiz (1929-2006) troisième marquis le 22 mars 1985.
Le père de Lourdes était fils de Jacobo Corsini Marquina (1913-1996) fondateur de Corsan Empresa Constructora, époux de María Muñoz de Ribera.
La fiancée Belén Corsini de Lacalle est son arrière-petite-fille. Corsan a été vendu en 2004 pour 325 millions d’euros. Le père de Belén, Juan Carlos Corsini Muñoz de Rivera, est dans l’immobilier et elle et son fiancé travaillent avec cette grande famille qu’on appelle la Tribu.
Gérard
5 mars 2021 @ 18:01
Le portrait équestre de Don Rodrigo Calderón, chevalier de la Toison d’or, par Rubens et son atelier a été acheté par le roi George Ier parmi six peintures de la collection du célèbre financier écossais John Law en 1723 et c’est probablement un tableau qui avait été enregistré dans la collection de Gaspar de Haro en 1651.
Ces toiles ont été considérablement agrandies peu de temps après leur achat. Les collectionneurs britanniques du XVIIIe siècle ont souvent chargé des artistes d’ajouter des éléments de fond à leurs maîtres anciens, afin de créer des paires, tout en augmentant l’arrière-plan.
La taille originale de la toile de cette peinture est incertaine, mais elle devait être d’environ 265 x 190 cm. Elle a été étendue de tous les côtés : deux inventaires de la fin du XVIIIe siècle donnent des mesures d’environ 370 x 272 cm, soit à peu près 105 cm plus haut et 80 cm plus large que la pièce de toile d’origine qui subsiste. Cela semble avoir été fait pour correspondre au portrait équestre de Charles Ier par Van Dyck (368 x 270 cm). La dimension actuelle est de 304,8 x 216,5 cm.
Le cadre est de Paul Petit (actif de 1724 à 1757).
Au XVIIIe siècle, le sujet du portrait était censé être le duc d’Albe (et il a probablement été acheté comme tel par George Ier) et au XIXe siècle, il a été identifié comme l’archiduc Albert, gouverneur des Pays-Bas ou l’archiduc Ernest son prédécesseur. Ce n’est que dans les années 1990 qu’il a été identifié comme étant Don Rodrigo Calderón (1576-1621), un favori du duc de Lerma et, en 1612, ambassadeur à Anvers – la ville qui apparaît à l’arrière-plan de ce portrait. Il a dû être peint dans les années 1612 à 1615. Il est dans le salon du roi ou salon Rubens à Windsor.
La peinture se voit dans Les Résidences royales illustrées de William Henry Pyne de 1819, suspendue dans la salle de présence de la reine au château de Windsor.
Don Rodrigo était ambitieux et grâce à son protecteur le duc de Lerma il devint comte d’Oliva mais il eut des ennemis dans l’entourage de la reine Marguerite d’Autriche, l’épouse de Philippe III. Rodrigo fut arrêté le 7 janvier 1621 et accusé de sorcellerie et de meurtre, et sous la torture il reconnut avoir été impliqué dans le meurtre d’un soldat, Francisco de Juaras en 1614. Après la mort de Philippe III son ordre d’exécution fut signé et il fut décapité sur la Plaza Mayor le 21 octobre 1621. Il avait suscité beaucoup de haine qu’essaya de compenser sa femme Inés de Vargas y Trejo.
Il affronta sa décapitation avec fierté et encore aujourd’hui dans les pays de langue hispanique on entend dire de quelqu’un qu’il a plus de fierté que don Rodrigo sur l’échafaud (con más orgullo que Don Rodrigo en la horca).