A l’Hacienda « San Juan del Hornillo » à Séville, Myrta Marquez de Bavière, fille de feu le marquis de Castro et de la princesse Tessa de Bavière a épousé le 17 septembre 1994 Pedro Escudero Aznar. La princesse Tessa, mère de la mariée est la fille de l’Infant José (fils de l’Infante Maria Teresa et du prince Ferdinand de Bavière qui renonça à ses droits au trône de Bavière et fut titré Infant d’Espagne) et de Maria de la Asuncion Mesia y de Lesseps.
La mariée qui a eu la douleur de perdre son père 6 mois plus tôt dans un accident de voiture, a été conduite à l’autel par son oncle le comte d’Odiel. A noter que Myrta a pour parrain et marraine le roi et la reine d’Espagne. La mariée portait une cération de Francisco Delgado et un diadème de diamants et émeraudes. Le couple a eu 2 enfants : Cristina et Luis. (Copyright photo : Hola)
Françoise
10 mars 2010 @ 06:48
Bonjour à tous,
Heureuse de voir ce couple que je ne connais pas.
La mariée est-elle parente avec les ducs de Bavière actuels sis en Allemagne ?
Catherine(Charente)
10 mars 2010 @ 08:11
Un couple que je ne connais pas ,une jolie mariée.
Caroline
10 mars 2010 @ 08:40
C’est une belle photo qui respire le bonheur de ce beau couple!Le diademe de cette mariee ressemble etrangement a celui du diademe aux boutons de Victoria de Suede!
sophie
10 mars 2010 @ 09:31
Merci beaucoup pour cette mariée que je ne connaissais pas. J’aime beaucoup le style de sa robe et son diadème.
Danielle
10 mars 2010 @ 10:09
La mariée porte un beau diadème.
Elle a du beaucoup penser à son papa et la joie qu’il n’a pas eue de voir marier sa fille.
corentine
10 mars 2010 @ 10:29
Alfonso Marquez (1936-1994), marquis de Castro est le fils de Jose Maria Marquez , marquis de Montefuerte et de Maria Rosario Patino
il a épousé la princesse Marie Therese de Bavière (1941), fille du prince Jose Eugenio de Bavière et de Marie Solange Messia (Mrie-Solange Messia est la petite-fille de Ferdinand de Lesseps)
le couple a eu deux filles :
-Myrta (1965) mariée à Pedro Escudero d’où Cristina (1996) et Luis (2002)
-Sonia (1969) mariée à Miguel Matossian d’où Sol (1993), Miguel (1995) et Vittoria (1997)
ascendance (simplifiée) du prince Jose Eugenio de Bavière
1-Jose Eugenio de Baviere (1909-1966)
2-Fernando de Bavière
3-Marie-Therese de Bourbon, infante d’Espagne
4-Louis-Ferdinand de Bavière
5-Maria de la Paz de Bourbon, infante d’Espagne
6-ro Alfonso XII d’Espagne
7-archiduchesse Mrie-Christine d’Autriche
8-Adalbert de Bavière
9-Amélie de Bourbon, infante d’Espagne
10-François d’Assise, de Bourbon, duc de Cadix
11-Isabelle II, reine d’Espagne
12-François d’Assise de Bourbon , duc de Cadix
13-Isabelle II, reine d’Espagne
14-archiduc Charles-Ferdinand d’Autriche
15-archiduchesse Elisabeth d’Autriche
Charlotte
10 mars 2010 @ 11:47
Une mariée tout à fait ravissante mais que je ne connaissais pas du tout.
Danielle
10 mars 2010 @ 12:12
Corentine, merci pour cette généalogie.
pierre-yves
10 mars 2010 @ 12:59
Corentine ou Charles
Cette princesse Marie Solange de Bavière, grand mère de la mariée, n’est- elle pas la marraine de Charles Louis d’Orleans, duc de Chartres qui fut baptisé à Ansouis en 1972 ?
Renée
10 mars 2010 @ 13:46
Merci à Corentine pour ces explications qui permettent de mieux situer ce couple.
Laurent F
10 mars 2010 @ 15:50
Le diadème faisait partie de la parure de diamants et emeraudes, cadeau de la reine Marie-Christine à sa fille l’infante Maria-Térésa lors de son mariage avec l’infant Luis-Ferdinand de Baviera y Borbon.
Guyard
10 mars 2010 @ 19:34
à Pierre-Yves, vous avez parfaitement raison, la grand-mère est bien la marraine du Duc de Chartres.
corentine
10 mars 2010 @ 20:19
oui Pierre-Yves, vous avez raison
la princesse Marie-Solange de Bavière (grand mère de notre mariée) est la marraine du prince Charles-Louis, duc de Chartres
A.Lin
10 mars 2010 @ 22:10
Moi aussi, je découvre un couple que je ne connais pas.
Il est toujours plaisant de lire les généalogies de Corentine.
Mais n’y a t’il pas répétition ?
11-Isabelle II, reine d’Espagne
13-Isabelle II, reine d’Espagne
Laurent F
11 mars 2010 @ 09:47
Pour A. Lin pas de répétition puisque Maria de la Paz (N°5) est la soeur d’Alphonse XII N°6. C’est ça la consanguinité !!
corentine
11 mars 2010 @ 09:55
A.Lin
oui il y a repetition parce que les parents du prince Jose Eugenio de Bavière étaient cousins
son père le prince Fernando de Bavière, par sa maman la princesse Maria de la Paz de Bourbon, est le petit fils de la reine Isabelle II
sa mère, la princesse Marie Therese de Bourbon par son père le roi Alphonso XII est aussi la petite fille de la reine Isabelle II
autrement dit, le roi Alphonso XII et sa soeur la princesse Maria de la Paz , ont eu le plaisir de marier ensemble leurs enfants : Marie Therese, fille du roi Alphonso a épousé Fernando, fils de Maria de la Paz
Dominique Charenton (Royauté2)
11 mars 2010 @ 11:05
Bonjour
Sur le couple 4/5 : l’infante Paz (1862-1946) et le prince Louis Ferdinand de Bavière(1859-1949), indiqué par Corentine, voici ce qu’écrit, la princesse Radziwill (1840-1915) :
«
Berlin, 24-25 janvier 1895
Nous avons la visite des deux Infantes d’Espagne, Eulali et Paz, que l’Empereur fête beaucoup^et auxquelles l’Impératrice a bien voulu me présenter.
Sans être jolie, l’Infante Eulalie est tout à fait charmante, tant elle est élégante, aimable, et a le désir de plaire. Elle a laissé Berlin enthousiasmé d’elle ; tous les messieurs en raffolent. Sa soeur a eu moins de succès, son gros lourdaud de mari a reflété sur elle. Ce prince de Bavière s’est fait chirurgien et non seulement il met son art en pratique, mais il force sa femme à lui tenir ses instruments et à devenir le premier de ses assistants ; quelle agréable occupation pour une jeune princesse ! Quand l’Empereur lui a parlé d’aller voir les troupes, il a décliné cet offre, préférant aller dans les cliniques pour y étudier le microbe du choléra ; et sa femme a dû le suivre. »
in Lettres de la princesse Radziwill au général de Robilant (1889-1914)
Dominique Charenton (Royauté2)
11 mars 2010 @ 11:25
Bonjour,
Sur la cour de Madrid au temps d’Alphonse XII et de l’infante Paz :
» Ma nomination à l’ambassade de France en Espagne ( en octobre 1881)…..je ne dissimulais pas les motifs du choix dont j’étais honoré, je ne prétendais apporté à l’ambassade ni plus de prestige, ni plus de diplomatie.
Succédant à l’amiral Jaurès, premier du grade et du nom, oncle du futur tribun, il me paraissait que le retour à un fonctionnaire eût été plus indiqué.
Je crus devoir néanmoins accepter l’honneur que je n’avais pas sollicité, mais à titre de mission temporaire pour un délai de six mois renouvelable.
J’échappais ainsi à l’incompatibilité et je conservais mon mandat de député.
Les bonnes relations que j’avais eues à Paris avec la colonie espagnole n’étaient pas étrangères à ma détermination; elles me permettaient de prévenir un accueil sympathique à Madrid.
A la préfecture de police, j’avais pu rendre quelques services à l’ambassadeur d’Espagne, le duc de Fernan Nunez et à son prédecesseur le marquis de Molins.
J’avais été reçu avec une particulière bienveillance par la reine Isabelle à l’ancien hôtel Basilewski, transformé en palais de Castille. Chez Sa Majesté, j’avais rencontré parmi ses fidèles le vieux Guell y Rente, d’origine cubaine, que j’avais connu à la salle d’armes du maître Gatechair à Dieppe, durant une lointaine villégiature.
Sans avoir recours aux métamorphoses mythologiques, par une heureuse audace , Guell avait triomphé des obstacles opposés à son union avec l’infante dona Josepha, belle soeur d’Isabelle et l’avait épousée en 1848.
De ce mariage qui l’avait rapproché du trône étaient nés le marquis de Valcarlos et le capitaine Guell, attaché militaire à l’ambassade.
J’avais été présenté au roi consort François d’Assise. Séparé d’Isabelle, il vivait bourgeoisement à Epinay; satisfait de sa part dans la liste civile,
il ne demandait au ciel qu’une faveur , celle de ne rentrer dans aucun autre de ses droits.
….Le duc et la duchesse de Fernan Nunez me firent le grand honneur de quitter Paris pour me recevoir à Madrid. Ils donnèrent à cette occasion un dîner auquel ils invitèrent l’élite de la société madrilène. Ce haut parrainage me fut précieux , car d’instinct l’ambassadeur de la République était tenu en observation à la cour et dans les salons, comme un chien chez le vétérinaire.
….Les infantes Paz et Eulalie, de joyeuses humeur, aimaient le théâtre, la musique et la danse ; elles acceptaient des invitations d’une société plus hospitalière que fortunée, où l’on offrait des « »chocolats dansants » ».
Quand l’une des infantes valsait, les autres couples devaient s’arrêter.
Leur aînée, l’infante Isabelle, veuve du comte de Girgenti, préférait ses mules qu’elle excitait par de grands cris accompagnés de coups de fouet vigoureux, pour gravir au galop les montées. Elle avait été princesse des Asturies jusqu’à la naissance d’une héritière du trône.
La reine Marie Christine, grave et mélancolique, sortait peu du château, où d’ailleurs la retenaient les symptômes d’une grossesse. Par son très grand
air et la dignité de sa vie, elle s’imposait au respect de tous; mais restée Autrichienne, elle n’avait pas les sympathies des Espagnols.
….Je trouvai presque une compatriote quand je me fis présenter à la blonde duchesse de Sexto, qui avait épousé en secondes noces le grand maître du palais, duc de Sexto, marquis d’Alcanices. C’était la veuve du duc de Morny, née Sophie Troubetzkoï, princesse russe, mais très française de coeur.
Je revis plus tard à Paris ses deux filles, la marquise de la Corsonna, prématurément enlevée à la tendresse de son mari , et la plus jeune, Sophie-Mathilde, charmante enfant choyée de la famille royale, devenue marquise de Belbeuf. Comment ne rien dire de sa séduisante personne puisqu’elle même en fit beaucoup parler ? Et comment en parler sans risquer d’en dire trop ou pas assez ?
…..Les puissances n’étaient représentées en Espagne que par des ministres plénipotentiaires.
….Pour l’Allemagne, Solms qui peignait avec un talent d’amateur des portraits de jolies femmes, sans jamais s’exposer au reproche de les enlaidir.
Pour l’Italie, le comte Greppi, dont j’ai appris la mort l’an dernier à l’âge invraisemblable de cent quatre ans.
Pour la Russie, le prince Michel Gortchakoff, fils du chancelier de l’Empire.
….La France seule avait un ambassadeur, elle faisait cet honneur à l’Espagne , depuis l’année 1700, où, sous le nom de Philippe V, le petit fils de Louis XIV avait pris possession du trône….si bien que je représentais le grand roi en même temps que la République.
En souvenir de ces origines dynastiques, le représentant de la France remettait ses lettres de créance avec un cérémonial exceptionnel.
On mobilisait ce jour là, pour conduire l’ambassadeur au palais du roi, les vénérables carrosses de Philippe V, chamarrés de dorures, tels que
nous en voyons à notre musée de Cluny.
Escorté par un détachement de cavalerie, dans une de ces voitures de gala,déhanchée par les ans, lentement traînée par quatre chevaux, je traversai la ville par la Calle de Alcala et la Puerta del Sol, à côté de Zarco del Valle, introducteur des ambassadeurs.
Derrière nous un carrosse tout pareil suivait.
Je demandai à mon interlocuteur à quels personnages était destinée cette seconde voiture, le personnel de l’ambassade ayant la sienne plus loin.
– A Votre Excellence, me dit-il, pour le cas où un
accident l’obligerait à quitter celle que nous
occupons.
– Et quel est ce haut fonctionnaire, en brillant
uniforme, qui suit à pied le second carrosse,
portant un portefeuille sous le bras ?
– C’est le charron de Sa Majesté. Ce que Votre
Excellence prend pour un portefeuille, c’est le
nécessaire où sont enfermés ses instruments de
travail.
J’arrivai au palais de la place d’Orient sans avoir eu l’occasion de faire appel à l’art du maître charron.
Après avoir salué dans la cour du château le drapeau de la Garde qui s’était avancée au pas de l’oie, comme à Berlin, et qui présentait les armes, je fus conduit dans la salle du trône, où j’échangeai avec le roi les discours d’usage
Alphonse XII répondit en français à mon allocution.
Une conversation familière suivit la réception solennelle. Accompagné par le chambellan ordinaire de Sa Majesté, je descendis le grand escalier sur les
marches duquel les hallebardiers formaient la haie, et je remontai dans le même carrosse, qui, par la même voie me reconduisit à l’hôtel de l’ambassade.
….Je suis convié à une réception d’Alphonse XII, qui vient de s’installer à la Granja pour un mois.
Sous un soleil d’insolation, je traverse une plaine déserte, aride, désolée.
Ma voiture me suit de loin, de plus en plus loin; je crois l’avoir perdue. Mon cocher me rejoint cependant au parador de la Trinidad, médiocre oasis dans ce désert , où je me suis arrêtée près d’une bande de bohémiens, pour me désaltérer et prendre un peu de repos sous l’ombre de mon cheval et d’un arbre isolé.
J’arrive enfin à la Granja. Le temps de revêtir mon uniforme, de boucler le ceinturon d’où pend mon épée de gala, et je suis au palais à l’heure de la réception.
Tout fier de ma chevauchée, jen fais part au roi.
– Monsieur l’ambassadeur, me dit Sa Majesté, est-ce
que vous n’avez pas ouï parlé d’un gentilhomm
enlevé par des brigands et dont les oreilles furent
envoyées à sa famille à l’appui d’une demande de
rançon ?
– Sire, ai-je répondu, j’ai constaté que les routes
de Votre Majesté ne sont pas moins sûres que les
rues de Paris.
Les quelques jours d’intimité que j’ai passés dans la société du roi m’ont laissé le plus aimable souvenir de ce parisien de Madrid, Il aimait à parler
de la France, du palais de Castille, près de notre Trocadéro, où il avait vécu ses années d’exil, des artistes, des hommes de lettres, des personnalités
mondaines qu’il y avait connues. Il mettait quelque coquetterie à se montrer plus Parisien que l’ancien préfet de police; j’oserai dire plus boulevardier.
Quittant les ombrages et les nappes d’eau de la Granja, nous allions visiter les environs de cette agréable résidence. C’est au cours d’une de ces romenades , dans une petite rivière affluent de l’Erasma, que le roi d’Espagne m’apprit à pêcher la truite. Je n’ai guère profiter de ces royales leçons. »
in Louis Andrieux, A travers la République, 1926 ,
pages 297 à 306
Louis Andrieux (1840-1931) fut député, sénateur, un célèbre préfet de police mais il est aussi le père du poète Louis Aragon (1897-1982)
Dominique Charenton (Royauté2)
11 mars 2010 @ 11:43
A.Lin
Pour beaucoup d’auteurs sérieux le quartier 10 est en réalité Miguel Tenorio et le quartier 12 Enrique Puig Molto
Sur l’attitude du roi François d’Assise à la naissance des enfants d’Isabelle II, voir cet exemple :
In Pierre de Luz, Isabelle II 1934 page 171 :
« Le 12 07 1850, Isabelle II met au monde le premier de ses 10 enfants, Ferdinand prince des Asturies, qui a juste le temps d’être ondoyé avant de mourir.
Pendant trois jours la dépouille mortelle de l’enfant royal est exposée dans un salon du palais , où défile 40 000 personnes, avant d’être transportée à l’Escurial, précédée de troupes de toutes les armes, suivie du patriarche des Indes et de la grandesse.
Notre nouvel ambassadeur à Madrid, M.de Bourgoing, note sans curiosité que François d’Assise a fait mouler en plâtre et en cire le corps du prince des Asturies, chargé Madrazo et Gutierrez de la Vega de faire le portrait de cet enfant qui a vécu à peine une heure. Un enfant au moment de sa naissance, ressemble parfois d’une façon frappante à l’un de ses parents. Le roi consort n’ignore pas cette particularité. Si l’enfant ne ressemble pas à Isabelle, à qui ressemble-t-il ? Ainsi François console-t-il sa déception par la perspective de quelque vengeance raffinée, car si cet homme étrange accepte très facilement de couvrir la paternité d’un autre, il ne veut pas que cet autre soit un Serrano, un Bedmar, un homme qui s’est moqué de lui «
Michael
11 mars 2010 @ 14:50
ces commentaires retranscrits sont très intéresants et nous mettent vraiment dans l’ambiance de la cour d’espagne; merci à vous
corentine
11 mars 2010 @ 15:06
merci Dominique,
vos messages sont toujours passionnants
merci de nous retranscrire des témoignages de l’époque
l’infante Eulalie (1864-1958), soeur de l’infante Maria de la Paz, (évoquée par Dominique dans le message 17), avait épousé le prince Antoine d’Orleans, duc de Galliera, fils du prince Antoine, duc de Montpensier (et donc petit-fils du roi Louis-Philippe) et de l’infante Louise de Bourbon, soeur de la reine Isabelle II.
le duc et la duchesse de Galliera avaient eu trois enfants :
-Alphonse (1886-1975) marié à la princesse Beatrice de Grande Bretagne (petite-fille de la reine Victoria) d’où trois fils Alvaro, Alonso et Ataulfo
-Louis-Ferdinand (1888-1945) marié à Marie Say, sans descendance
-Roberta , née et dcd le 16 mars 1890
voici les enfants de la reine Isabelle II d’Espagne
1-fils (né et dcd 1849)
2-Ferdinand (né et dcd 1850)(voir message 19)
3-Isabelle (1851-1931) mariée au prince Gaetan de Bourbon Deux Siciles, sans descendance
4-Cristina (1854-1854)
5-fils (1855-1855, dcd à 1 jour)
6-fils (né et dcd le 21/12/1856)
7-Alphonso XII, roi d’Espagne (1857-1885)
8-Maria de la Conception (1859-1861)
9-Maria del Pilar (1861-1879)
10-Maria de la Paz (1862-1946), mariée au prince Ferdinand de Bavière
11-Eulalie (1864-1958) mariée au prince Antoine d’Orleans, duc de Galliera
12-François d’Assise né et dcd en 1866
jay
11 mars 2010 @ 15:15
pourrait on voir le diademe de plus pres ??