Les hôpitaux psychiatriques ont des progrès à faire. Parfois au lieu de guérir on s’y enfonce davantage dans la tristesse. Je connais deux hommes (env. 30 et env. 45) qui se sont suicidés en hôpital psychiatrique, l’un déprimé par un divorce.
Imaginez de jeunes hommes confinés des journées entières en chambre, parfois sans avoir le droit de se promener dans les jardins de l’hôpital, avec une nourriture imposée, peu goûteuse, avec juste la chambre à arpenter en journée, voire un jardin intérieur, obligés d’avaler des médicaments qui font souvent grossir entre autres effets secondaires.
Avec (je connaissais un membre du personnel) des règles strictes pour le lever et le coucher et plein d’autres contraintes : armoire à vêtements fermée en journée etc. Et comme quasi seule distraction la télé et un peu de conversation avec leurs compagnons d’infortune ou un soignant(e) plus sympathique.
Comment pense-t-on les guérir ainsi ? Ils ne peuvent que tomber davantage dans la tristesse et l’envie d’en finir, car le cadre de vie est plus déprimant qu’à la maison. J’ai lu des commentaires d’anciens patients qui parlent d’une vie « en taule ». Et la personne y travaillant disait certaines règles sont pires qu’en prison.
DOM 06
29 septembre 2024 @ 08:34
Elle recycle la reine
Ce tailleur lui.va très bien
Thalia
29 septembre 2024 @ 20:25
Je ne suis pas une fan de cette femme mais elle se démarque dans son job.
Marie-Caroline de Bretagne
29 septembre 2024 @ 11:25
Cet ensemble va très bien à Mary. Très belle allure dynamique sur la seconde image.
Guiguy
29 septembre 2024 @ 16:27
Très élégante Mary mais ce que j’aime le plus chez elle c’est d’être une marraine vive et dont on ressent l’implication et l’intérêt.
Fleur
2 octobre 2024 @ 10:19
Les hôpitaux psychiatriques ont des progrès à faire. Parfois au lieu de guérir on s’y enfonce davantage dans la tristesse. Je connais deux hommes (env. 30 et env. 45) qui se sont suicidés en hôpital psychiatrique, l’un déprimé par un divorce.
Imaginez de jeunes hommes confinés des journées entières en chambre, parfois sans avoir le droit de se promener dans les jardins de l’hôpital, avec une nourriture imposée, peu goûteuse, avec juste la chambre à arpenter en journée, voire un jardin intérieur, obligés d’avaler des médicaments qui font souvent grossir entre autres effets secondaires.
Avec (je connaissais un membre du personnel) des règles strictes pour le lever et le coucher et plein d’autres contraintes : armoire à vêtements fermée en journée etc. Et comme quasi seule distraction la télé et un peu de conversation avec leurs compagnons d’infortune ou un soignant(e) plus sympathique.
Comment pense-t-on les guérir ainsi ? Ils ne peuvent que tomber davantage dans la tristesse et l’envie d’en finir, car le cadre de vie est plus déprimant qu’à la maison. J’ai lu des commentaires d’anciens patients qui parlent d’une vie « en taule ». Et la personne y travaillant disait certaines règles sont pires qu’en prison.