La princesse héritière Masako du Japon était sur le pas de la porte d’entrée de sa résidence du Palais Togu à Tokyo pour assister au départ de son époux le prince héritier Naruhito pour une vsiite de cinq jours en Malaisie. Malgré un état de santé qui semblait s’améliorer puisque le princesse avait pris part à des dîners au cours des derniers mois au palais impérial, il semble encore être visiblement prématuré pour elle de prendre part à des voyages de quelques jours à l’étranger avec un programme officiel plus soutenu.
marina
14 avril 2017 @ 08:10
masako est une belle personne intelligente erudite
malheureusement elle vit dans un monde ferme
il vaudrait mieux pour elle justement faire ces voyags a l etranger elle pourrait respirer
et vivre comme il se doit
c est drole le japon est un pays aux technologies modernes mais par ailleurs tellement
archaique pour la vie de cette pauvre masako
de grace laissez la vivre un vent de fraicheur ferait du bien a cette famille
adriana
14 avril 2017 @ 08:17
c’est navrant !!!! que de problèmes pour cette princesse !!!! bon vendredi à tous
MIKA
14 avril 2017 @ 19:25
Et pour sa fille qui semble avoir déjà eu des soucis de santé et psychologiques…
Ontheroadagain
14 avril 2017 @ 09:30
Oui, je pense qu’il faut y aller pas à pas et ne pas trop précipiter les choses pour l’aider à reprendre confiance en elle et goût à la vie et faire son devoir d’épouse consort du mieux qu’elle peut
Marc
14 avril 2017 @ 10:02
Une photo remplie de tristesse…. Je me pose des questions sur les véritables raisons de la mise a l’écart de la Princesse pour ce voyage.
Mary
14 avril 2017 @ 11:48
Ou bien elle va se passer quelques jours ,bien tranquille chez elle ?
Gibbs-Dominique ?
14 avril 2017 @ 12:09
Je constate qu’elle est fort bien chaussée et pas sur des échasses qui deviennent ridicules chez certaines.
Masako ?
Je ne vous envie nullement Madame.
Michèle Lobre
14 avril 2017 @ 13:56
La dépression est vraiment une maladie pernicieuse. Cette princesse apparaissait en forme ces derniers temps mais on ne guérit jamais d’une dépression . La princesse a beaucoup donnée lors de la visite du couple royal espagnol, il faut la laisser respirer et se préparer serainement à prendre le relais de ses beaux parents sans lui mettre la pression.
j21
14 avril 2017 @ 17:17
» La princesse a beaucoup donné lors de la visite du couple royal espagnol », il ne faut pas exagérer, c’est surtout le couple impérial qui a assuré la visite et non Masako.
Corsica
15 avril 2017 @ 17:47
Michèle Lobre, comme Antinéa, je suis surprise que vous disiez qu’on ne guérit jamais d’une dépression. C’est comme si vous disiez que l’on ne guérit jamais d’un cancer alors que certains sont curables, d’autres non. Il n’y a pas un seul type de cancer comme il n’y a pas un seul type de dépression et donc pas un seul type de prise en charge.
On ne traite pas de la même manière la dépression d’un trouble bipolaire et la dépression réactionnelle à un deuil chez une personne âgée. Ces troubles de l’humeur sont toujours très difficiles à vivre mais avec avec un traitement antidépresseur, voire anti psychotique, associé à une psychothérapie de qualité, beaucoup de personnes atteintes arrivent à se sortir de ce gouffre dont les pentes semblent pourtant impossibles à gravir mais un jour, après d’immenses et parfois longs efforts, la lumière est là et l’on peut, sauf troubles bipolaires, vivre sans médicament. Certains resteront plus fragiles aux troubles de l’humeur que d’autres mais beaucoup arrivent à s’en sortir sans jamais rechuter. Et c’est là que la psychothérapie, qui peut durer plusieurs années, joue un rôle essentiel, car elle permet de se connaître, de connaître ses points forts et ses vulnérabilités et donc d’agir en conséquence, ce qui implique de parfois faire des changements majeurs dans sa vie.
Dans le cas de la famille impériale, où l’impératrice et la princesse Masako ont souffert de dépression, ces troubles de l’humeur ne sont pas uniquement liés à leurs vulnérabilités individuelles, ils sont aussi réactionnels à la situation spécifique qu’ont dû affronter ces femmes, sans y avoir été préparées. Une situation, ou plutôt une vie, où les notions de liberté, de choix et d’épanouissement individuel n’existent pas. Elles doivent rentrer dans un moule où tout est prévu au millimètre près par des règles millènaires et appliquées d’une main de fer par la très conservatrice Maison Impériale. Mais si l’impératrice semble avoir fait un mariage d’amour, ce ne fut pas celui de la princesse Masako. Elle avait une vie intéressante et ne voulait pas épouser le fils de l’empereur mais, après plusieurs refus, par rapport aux éventuelles conséquences sur sa propre famille, elle n’a plus eu le choix. On peut donc comprendre qu’elle ait complètement craquée quand elle a réalisé son impuissance à faire un peu bouger les règles. Depuis, je pense qu’elle a retrouvé un équilibre et que ce n’est pas parce qu’elle n’accompagne pas son époux que cela signifie qu’il y a rechute.
Sur ce, comme je dois me dépêcher, je profit de ce commentaire pour souhaiter à tous et tous de joyeuses fêtes pascales et à ceux qui ne sont pas chrétiens un bon et long week-end.
Corsica
15 avril 2017 @ 17:56
Pardon, il fallait lire : après d’immenses et parfois longs efforts, la lumière est là et ELLES PEUVENT.
MillÉnaire et je profitE.
En me relisant, je me rends compte qu’en voulant me dépêcher, j’ai oublié nos amis juifs dont Pessah a commencé le 10 avril et ne prendra fin que mardi.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:22
Corsica,
Je ne partage pas votre avis.
Il y aurait beaucoup à dire mais le site n’est pas le lieu et même et surtout les spécialistes s’arrachent les cheveux.
En vrac, les dépressions réactionnelles dues au deuil ne sont pas « l’apanage » des personnes âgées.
Ce n’est pas parce que l’on est bipolaire et dépressif que l’on est psychotique.
La psychose c’est être hors de la réalité; la dépression relève de la névrose.
Vous savez qu’il y a plus types de dépression.
Je vous renvoie à ce lien concernant la bipolarité qui se soigne mal quoique certains disent et pensent.
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=10&ved=0ahUKEwiJ0ZTW-ajTAhVB0xoKHZT9D3oQFgh0MAk&url=http%3A%2F%2Fwww.bicycle-asso.org%2Fcyclothymie%2Fclassification-troubles-bipolaires.php&usg=AFQjCNEDf8Ia-iMDk_OX9eIuvOc3L7gz7A
Vous oubliez l’importante notion de génétique contre laquelle il est extrêmement difficile de lutter.
Ceci est mon constat de vie mais aussi celui d’autres qui n’en sortent jamais vraiment…
Comme tout, il faut le vivre pour savoir ce que c’est.
La guérison du cancer ?
Oui, j’en suis à 4 ans mais les contrôles continuent car les risques demeurent.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:23
plusieurs types…
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:24
Avec la psychose, vous perdez la notion de la responsabilité de vos actes ce qui n’est ni le cas de la dépression ni celui de la bipolarité.
Corsica
17 avril 2017 @ 05:19
Gibbs Dominique, j’entends votre souffrance de dépressive et je respecte votre vécu mais je sais très bien de quoi je parle, notamment que la dépression du deuil ne concerne pas que les personnes âgées puisque j’ai vécu cette maladie qui n’est pas une tare honteuse mais une maladie comme une autre, sauf que ses souffrances ne peuvent être imaginées tant qu’on ne les a pas vécues, d’ailleurs je ne les souhaite à personne, même pas à mon pire ennemi.
À 32 ans, à la suite d’un deuil difficile associé à un rythme de travail effréné, la personne pleine d’énergie, de passions, amoureuse de la vie et optimiste que j’étais, est soudain devenue un « cheval mort » incapable de fonctionner et de s’intéresser à quoique ce soit. J’ai été hospitalisée pour deux semaines de cure de sommeil, j’ai connu les traitements par perfusion puis per os, la souffrance et l’épuisement intenses liés à cette maladie où la moindre décision est difficile à prendre, et où les efforts pour retrouver énergie et sourires sont si durs. J’ai connu les séances de psychothérapie d’abord quotidiennes puis tri-hebdomadaires avant de devenir hebdomadaires. Six mois plus tard, j’arrêtais mon traitement médicamenteux, reprenais mon travail et trois ans plus tard je disais au revoir à mon thérapeute en me disant que cette épreuve, dont je suis sortie nettement plus forte, avait été pour moi une chance car elle m’a permis de faire un travail sur moi, de connaître mes forces et mes faiblesses et d’ajuster ma vie en conséquence. 34 ans ont passé, j’ai vécu d’autre deuils, dont celui de mon père que j’adorais, j’ai eu ma vie de famille, j’ai beaucoup travaillé et cette dépression, pourtant étiquetée comme majeure par les psychiatres, n’est jamais revenue et je n’ai jamais eu besoin de reprendre un quelconque traitement. J’ai eu cette chance et je ne dis pas que c’est pareil pour tout le monde, chacun a son vécu et son hérédité mais beaucoup guérissent et c’était le but de mon propos initial, alors que pour d’autres c’est différent, ce qui semble malheureusement être votre cas.
La phrase qui vous a dérangé disait simplement que l’on ne soignait pas le deuil d’une personne âgée comme une bipolarité, ce qui est vrai d’autant que la bipolarité est une maladie au long cours dont on peut plus ou moins bien contrôler la survenue des épisodes. C’était de simples exemples et quand j’ai écris « sensibilités individuelles » je pensais, et à la génétique, et au caractère.
Par contre quand vous dites que la dépression n’est pas une psychose, si vous permettez, ce n’est pas toujours le cas. la plupart des dépressions, endogènes ou réactionnelles, sont effectivement névrotiques, mais il y a aussi des dépressions psychotiques avec bouffées délirantes où hélas le patient perd contact avec la réalité. Je veux parler notamment de la psychose puerpérale qui est une grave urgence car la vie de la mère et de l’enfant sont en jeu et qui se traite par des antipsychotiques ou des neuroleptiques. Et parfois, les accès mélancoliques d’un bipolaire peuvent aussi devenir psychotiques, avec idées délirantes de persécution ou d’hypochondrie sans aucun rapport avec la réalité ( négation d’organes etc.).
Je ne reparlerai pas de ce qui m’est arrivé car ce n’est pas le lieu mais je m’y suis sentie autorisée car vous pensiez que je ne savais pas de quoi je parlais et malheureusement je le sais à double titre.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour la suite de votre vie qui, je le sais, doit être tout sauf facile ce que je regrette sincèrement.
Gibbs-Dominique ?
17 avril 2017 @ 12:11
Corsica,
Je vous remercie de votre témoignage et de vos souhaits.
Feu mon ex-époux était classé psychotique et a voulu me tuer mais le mot « dépression » n’a pas été évoqué à l’époque.
Mais vous avez raison; il était aussi dépressif.
La triste suite la prouvé.
Je vous épargnerai mon parcours; de plus le site n’est pas le lieu.
Mais comme vous, je ne le souhaite pas à mon pire ennemi.
Bonne continuation car nous sommes tous différents.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:27
Corsica,
Antinéa s’étonne de ce que l’on affirme ne pas guérir de la dépression !
Antinéa
17 avril 2017 @ 11:58
Merci Gibbs vous m’avez bien lue !
Gibbs-Dominique ?
18 avril 2017 @ 09:24
Avec plaisir Antinéa !
Il me semblait nettement qu’il y avait confusion.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:37
Corsica,
Je ne vous mets pas en cause ni les théories médicales, je relate juste du vécu.
Nous savons tous ou presque que la psychiatrie n’est pas une science exacte au même titre que la gastro-entérologie ou l’orthopédie.
Les médecins eux-mêmes le reconnaissent et sont souvent bien impuissants devant le vécu de leurs patients.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:40
Si j’ai relaté ceci c’est parce que j’ai pris la décision de ne plus cacher le fait que je souffre de dépression depuis très très longtemps.
Je veux témoigner et aider si je le peux.
Parler fait beaucoup de bien et aide les autres à « nous » comprendre parce que nous sommes différents comme tant d’autres sous d’autres formes.
Ce n’est pas une maladie honteuse.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 15:36
Corsica,
Je sais que je prêche dans le désert mais j’ai dit ce que je ressens et je ne le regrette pas.
Je sais aussi que c’est très difficile pour moi mais ma lucidité me fait culpabiliser car j’ai conscience de ce que vit mon entourage…
Dont acte.
Martine
15 avril 2017 @ 21:13
La fièvre peut être pernicieuse mais pas la dépression qui est une maladie qui se soigne et dont on guérit, des rechutes sont possibles mais pas inéluctables.
Danielle
14 avril 2017 @ 14:10
Laissons à Masako le temps de reprendre tranquillement ses forces et ses esprits avant qu’elle entame le parcours du combattant d’impératrice.
ciboulette
14 avril 2017 @ 14:50
Dans ce cas, il ne faut pas accumuler non plus les fatigues . Cinq jours en Malaisie peuvent se révéler très éprouvants !
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:29
ciboulette,
Je le pense aussi.
COLETTE C.
14 avril 2017 @ 15:46
C’est déjà bien de l’avoir vue participer à plusieurs évènements, elle est sans doute encore fragile.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:29
Exact COLETTE C.
Alinéas
14 avril 2017 @ 17:01
Après une période où elle apparaissait en forme, la princesse a l’air soucieux même si elle esquisse un très discret sourire, peut-être pour la photo et en pensant au retour de son époux parti en voyage en Malaisie…
j21
14 avril 2017 @ 17:21
La princesse n’a peut-être pas voulu accompagner son époux, pourquoi toujours considérer Masako comme une victime? Elle a peut-être un caractère plus affirmé qu’on ne le pense.
Jacqueline
15 avril 2017 @ 10:37
Je suis d’accord avec vous. Je n’arrive pas à adhérer à la thèse de la dépression éternelle, surtout pour quelqu’un qui d’une part, a forcément accès aux meilleurs thérapeutes et qui, d’autre part, a dû faire preuve d’une grande solidité sur tous les plans pour mener la carrière qui a été la sienne avant son mariage. Il y a très certainement d’autres raisons.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:30
Jacqueline,
C’est extrêmement complexe…
Actarus
14 avril 2017 @ 17:24
Son Altesse Impériale a bien raison de faire attention à sa santé et de rester au Japon.
En Malaisie, elle risquerait de faire un malaise ! ^^
Claude-Patricia
15 avril 2017 @ 16:18
Dans un hôtel Hilton?
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 15:38
Corsica,
Je sais que je prêche dans le désert mais j’ai dit ce que je ressens et je ne le regrette pas.
Je sais aussi que c’est très difficile pour moi mais ma lucidité me fait culpabiliser car j’ai conscience de ce que vit mon entourage…
Dont acte.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 15:42
Claude-Patricia,
Si vous le permettez, lorsque l’on est réellement dépressive, des murs pavés d’or et de diamant, tous les biens matériels de la Terre ne changent RIEN.
Nous sommes dans une bulle sans issue, où tout est noir, sans but, sans espoir…
Alors, excepté pour faire de l’humour, merci de ne pas plaisanter avec un tel sujet.
Merci à Régine pour m’avoir laissé développer le sujet car le site n’est pas le lieu et je le sais.
Je sais aussi que nous avons tous nos problèmes; soyez-en assuré(e)s.
Claude-Patricia
18 avril 2017 @ 16:17
Bonjour Dominique Gibbs,
Mais non je ne faisais pas de mauvaise plaisanterie à propos de cette maladie, n’ayant jamais su moi-même de quoi je souffre…alors loin de moi une telle idée. Disons que je suivais le commentaire d’Actarus qui aurait pu avoir lu le mien d’il y a quelques temps sur les serpents. En fait je pensais que la princesse aurait pu avoir fait un malaise en les voyants, les serpents. Rien à voir donc. Vous savez que je soutiens toutes les souffrances et absente d’internet je ne suivais pas votre conversation avec Corsica.
Yom
14 avril 2017 @ 21:53
Sincèrement je pense que personne ne l’empêche d’accompagner son mari et que vraisemblablement son mari et ses beaux parents seraient heureux qu’elle le fasse mais ça doit venir d’elle qui ne se sent pas de taille a moins qu’elle ne veuille pas laisser sa fille qui a l’air d’être elle aussi bien fragile,mais c’est bien triste pour elle et pour les siens.
Milena K
15 avril 2017 @ 12:51
Je partage votre point de vue.
Annmaule
15 avril 2017 @ 01:47
Elle a egalement une jeune fille qui vient de faire son entree dans un nouvel etablissement scolaire et qui l annee derniere n etait pas bien en forme…
…et qui a encore un peu besoin de maman…
Antinéa
15 avril 2017 @ 08:20
Comment ca on ne guerit jamais d’une dépression? Je me demande où vous êtes allée chercher ca !
Masako reste à la maison peut être pour d’autres motifs . Nul ne sait rien à l’ extérieur . Vous faites de simples spéculations.
Gibbs-Dominique ?
15 avril 2017 @ 10:35
Antinéa,
Ne vous fâchez pas svp.
Je peux vous répondre : non, il est des cas où l’on ne guérit jamais d’une dépression et je ne souhaite cela à personne car la Vie est un enfer quotidien.
Antinéa
17 avril 2017 @ 12:03
Non Gibbs je ne me fâche pas. Je m’ étonne que l’on puisse affirmer que la dépression est une maladie dont on ne sort jamais . Ca dépend des dépressions, cela dépend des gens, de leurs facultés de résilience ou non , de l’entourage, du ou des traitements etc….
Gibbs-Dominique ?
18 avril 2017 @ 09:25
Merci Antinéa.
Beaucoup de paramètres entrent en ligne de compte.
C’est fort complexe n’en déplaise à certains.
Antinéa
19 avril 2017 @ 14:03
C’ est sur que c’est complexe ! Certaines personnes disent » mais je n’ai pas le temps de faire une dépression » . Comme si nous pouvions choisir ou prendre le temps.
Anna Claudia
15 avril 2017 @ 16:57
la princesse Masako était présente lors de la visite des souverains espagnols. Qui peut dire ce que cela lui a coûté ou pas ?. Personne ne sait rien de bien précis sur la gravité de sa maladie. Certaines dépressions se surmontent d’autres sont interminables. Réjouissons-nous de la revoir en meilleure forme et souhaitons-lui bonne chance pour l’avenir.
monica
15 avril 2017 @ 17:31
Antinea je pense aussi que des années de dépression, sans espoir de changement de sa vie, ne guérissent pas
Michèle Lobre
15 avril 2017 @ 18:29
J’en parle en connaissance de cause . La dépression reste enfouie grace aux médicaments, au sports, aux rencontres qui nous donnent envie d’avoir envie mais si on n’arrête les papillons noirs reviennent. La princesse Masako se ménage et à bien raison.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:05
Tellement vrai Michèle Lobre sans tenir compte de Masako.
framboiz07
18 avril 2017 @ 14:44
Bien vu! Courage aux ami(e)s, qui souffrent de dépression. Gibbs, Corsica, merci pour vos explications .
Un métier non choisi, difficile , de mauvaises conditions de travail ,le harcèlement , voici des causes de dépression réelles …J’ai constaté que la retraite a considérablement amélioré mon moral, qui avait tendance à flancher !
Pour Masako , elle est dans un tunnel , dont elle ne voit pas la fin, sa fille se met à avoir des problèmes , elle n’en a qu’une , donc elle représente 100°/° de ses soucis…Si elle avait eu un garçon, il est clair qu’elle se serait senti plus en sécurité et plus appréciée …
Triste situation, dans un milieu bien misogyne…
Gibbs-Dominique ?
19 avril 2017 @ 08:26
Merci Framboiz !
DUCHESSE
16 avril 2017 @ 09:15
Où l’on peut constater le résultat d’un incroyable gachis.Masako ne voulait pas de ce mariage, mais on ne dit pas »non » à l’héritier de l’empire. Elle me fit cependant plusieurs fois mais dut ceder.On connait la suite…Une vie gâchée (sans doute deux car comment le prince trouverait il me bonheur auprès d’une femme malheureuse?)
On ne peut contraindre l’amour.Et les ors et la pompe n’y changent rien.Masako était une jeune femme brillante. Elle a eu le malheur de croiser la route du prince …Voila tout….
Mary
16 avril 2017 @ 14:11
Bon,Duchesse,n’exagérons rien, elle aurait pu croiser la route d’un serial killer !
Mary
16 avril 2017 @ 14:12
Bon,Duchesse,n’exagérons rien, elle aurait pu croiser la route d’un serial killer !
L’héritier du Japon,c’est quand même mieux !
DUCHESSE
17 avril 2017 @ 17:10
Je suppose que vous n’avez aucune idée de ce que peut être la situation à la Cour du Japon.Le redoutable Kunichaiko regit le protocole d’une main de fer. Alors, lorsqu’en plus on doit subir cette vie auc côtés d’un conjoint que l’on n’a pas désiré cela peut devenir très vite intenable. La dépression devient la révélation du désespoir
Avouez aussi que la comparaison d »une union avec un serial killer n’est pas vraissemblable.
Gibbs-Dominique ?
16 avril 2017 @ 13:34
Pas seulement DUCHESSE.
Il n’y a pas de hasard mais un faisceau d’éléments qui conduisent toujours aux situations qu’elles soient positives ou négatives aux événements que nous sommes amené(e)s à vivre.
Jps
17 avril 2017 @ 08:56
Voilà, vous nous avez donné votre avis, vos connaissances et votre vie avec une dépression. Mais qui vous dit que cette femme en souffre, elle vit certainement une autre vie que celle qu’elle s’était choisie, mais lui a t on mis un pistolet sur la tempe pour épouser cet espèce de dadais qui n’à pas l’air d’avoir inventer la poudre ( moi aussi j’extrapole au vu d’une photo). Qui vous dit qu’elle n’aime pas ces moments de solitude, qui vous dit qu’elle devait accompagner son mari. Elle jouit peut être d’une revanche en lui disant tu m’as voulu et bien fait avec. Elle comme « l’idole » Diana savait où elle mettait les pieds en épousant l’héritier du trône.
Anitra
17 avril 2017 @ 22:08
Diana n’avait pas tout le » background » de Masako en se mariant ! Peut-être Masako est-elle trop intelligente pour supporter le système quasi carcéral de l’agence du protocole, le Kunaicho. J’ai lu il y a quelques semaines que SM l’impératrice rêvait de … visiter le grand marché de Tokyo (vente de poissons juste pêchés, légumes frais …). Mais … cela n’est pas, n’a pas été et ne sera (sans doute) jamais prévu par le même Kunaicho. Comment Est-ce possible ??? Roi, empereur, et prisonnier davantage que le plus pauvre de son peuple !!!
Gibbs-Dominique ?
18 avril 2017 @ 08:33
Jps,
Je n’ai jamais écrit le contraire mais qui vous dit qu’elle ne souffre pas réellement de dépression ?
Gibbs-Dominique ?
18 avril 2017 @ 09:27
Jps,
Quant à nommer Nahurito « cet espèce de dadais », ceci reflète le peu de respect que vous faites des êtres.
Comment pourriez-vous en avoir pour des gens en souffrance ?
Je ne suis ni la première ni la dernière à évoquer certains sujets très personnels.
Nous cohabitons sur ce site mais nous ne sommes pas des robots.
Jps
18 avril 2017 @ 14:56
Je n’ai fait qu’écrire ce que tout le monde fait à longueur de commentaires c’est à dire extrapoler au vu d’un instantané. Comment pouvez vous me juger ainsi, vous ne savez rien de moi pas plus que vous en savez sur Masako. Je sais désormais que vous êtes dépressive que c’est incurable j’en suis désolé pour vous et je ne permettrais en aucun cas de vous juger ou vous définir à la lecture de vos commentaires. J’ai simplement voulu dire que cette personne nous est totalement inconnue et que d’un commun accord sur je ne sais qu’elles bases il a été décidé qu’elle était dépressive. C’est peut être vrai et peut être pas. Sachez enfin que même après ce commentaire déplaisant à mon égard, je vous respecte, ce qui n’a pas l’air d’être votre cas.
Corsica
18 avril 2017 @ 19:00
Jps, la dépression de Masako n’a rien d’une extrapolation d’internautes excités du clavier tout simplement parce que pendant des années, c’est la raison officielle qu’a donné la Maison Impériale pour justifier les nombreuses absences de la princesse lors de cérémonies au Japon ou lors de déplacements à l’étranger. À moins que l’implacable Kunichaiko ait menti, ce qui est peu probable, la réalité est que la princesse a bel et bien souffert de dépression et ce, pendant plusieurs années. Depuis plusieurs mois, on la voit beaucoup plus souvent, elle est très souriante et on espère de tout cœur que sa maladie soit derrière elle.