A Jette (Bruxelles), la reine Mathilde s’est rendue au marché biologique « The Barn » et a discuté avec les producteurs biologiques sur l’alimentation durable, saine et abordable.
MoreA Jette (Bruxelles), la reine Mathilde s’est rendue au marché biologique « The Barn » et a discuté avec les producteurs biologiques sur l’alimentation durable, saine et abordable.
More
28 mai 2021 @ 04:34
Encore une robe Natan j’imagine!! Une robe portefeuille doit être taillée dans un tissu fluide et est surtout flatteuse sur un corps mince car elle souligne la poitrine et serre la taille. Sur Mathilde qui a la taille épaisse et haute et cousue dans un tissu épais assorti des fameux plis que Natan utilise systématiquement c’est juste une catastrophe!!!!
28 mai 2021 @ 06:04
Voilà une robe parfaite pour cette sortie!
Mathilde nous a souvent régalé avec ses tenues Natan!
28 mai 2021 @ 09:44
Bio c’est bien, bio ET local c’est bien mieux.
Je privilégie le local. Le Bio importé ne m’intéresse pas.
28 mai 2021 @ 13:56
Moi aussi , donc je jeûne en regardant pousser mes salades et mes fraises sur mon balcon parisien .
28 mai 2021 @ 16:06
Vous avez raison Agnès !
On ne favorise pas la préservation de l’environnement en achetant fruits et légumes, même bio, importés d’Amérique du Sud, Océanie ou autre Afrique du Sud. Un bon réflexe, en priorité regarder le pays d’origine du produit.
28 mai 2021 @ 10:03
Bon , alors aujourd’hui, sur N&R, ce qui frappe, c’est le vert. Tous, ils visitent des légumes : Charles & co, Kate & co, Maxima & co. Et pour bien marquer le coup, Maxima s’est en plus mis du vert sur la tête, sur les pieds, et sur le dos – sous son improbable manteau, façon ciré hilarant de la reine Margrethe.
28 mai 2021 @ 11:11
La reine Mathilde a- t- elle voulu porter son manteau vert, clin d’ oeil aux légumes verts ?
28 mai 2021 @ 16:37
Caroline, j’ai eu la même pensée que vous.
Je ne consomme pas bio car je trouve ces produits surfaits mais uniquement français.
29 mai 2021 @ 12:01
Surfaits ? Peut-être chers à l’achat lorsqu’ils sont issus de la production française et qu’il’y a des intermédiaires qui se sucrent au passage. Mais en circuit court et local, c’est l’idéal !