Au Palais d’Egmont à Bruxelles, la reine des Belges a pris la parole lors d’un colloque sur la protection des enfants lors des conflits armés. Cliquez ici pour prendre connaissance de son discours. (Copyright photo : Palais royal)
Au Palais d’Egmont à Bruxelles, la reine des Belges a pris la parole lors d’un colloque sur la protection des enfants lors des conflits armés. Cliquez ici pour prendre connaissance de son discours. (Copyright photo : Palais royal)
marielouise
11 février 2017 @ 07:01
Elles sont actives, présentes, belles et secondent -enfin ce n’est pas le bon verbe-soutiennent, accompagnent et remplacent leurs maris à la perfection…si ce n’est mieux!
Mathilde, Maxima,Letizia, Mary…
ml
marianne
11 février 2017 @ 07:07
bla bla bla …
une seule solution: interdire la guerre .
framboiz 07
11 février 2017 @ 11:08
En 1914 , c’était déjà la der des der …On a vu la suite …
Pierre-Yves
11 février 2017 @ 12:09
Vaste programme, comme l’a dit le Général De Gaulle en contemplant l’inscription »Mort aux cons ».
La guerre, hélas, est consubstantielle à l’espèce humaine. Les pacifistes, je le crains, n’auront jamais le dernier mot.
Leonor
13 février 2017 @ 22:48
Sans compter que, il n’y a pas si longtemps, des puissances redoutables en leur temps – j’ai nommé l’Union Soviétique – ont manipulé dans toute l’Europe des pacifistes de bonne foi, mais ô combien naïfs, afin de désarmer autant que possible les puissances autres, occidentales en l’occurrence .
Leonor
11 février 2017 @ 09:15
Très bien, Mathilde, bien sûr.
J’ai lu le discours.
J’apprécie entre autres qu’elle n’ait pas oublié les enfants-soldats, et autres enfants employés pour être des tueurs, pour poser des bombes, etc.
C’était – c’est – le cas en Afghanistan. Les talibans utilisaient des enfants, à poser les fameux IED (Improvised Explosive Device = engins explosifs improvisés) sur ou au bord des routes et voies carrossables. D’abord parce que ces engins à explosifs peu stables pouvaient exploser à tout moment, et que, pour les talibans, un enfant de plus ou de moins ….. D’autre part, parce qu’ils savent parfaitement que les forces occidentales et/ou officielles afghanes n’ont pas le droit de tirer sur des enfants.
Question : Quand on est militaire, en guerre, qu’on VOIT poser une bombe destinée à vous tuer , vous et vos copains, et que le poseur est un enfant, on pense et on fait quoi ?
framboiz 07
11 février 2017 @ 11:09
Merci, Léonor, vous savez ce qu’il en est …
Leonor
11 février 2017 @ 23:53
Oui, merci de vous en souvenir, Framboiz. Mais c’est Fiston surtout , qui sait , bien sûr. Et, comme tous les » retour-de-guerre », ne dit pas tout, ne peut pas tout dire. Parce qu’on ne peut pas comprendre si on n’a pas vécu, et que, la théorie, c’est bien joli….
Cette question-là, entre autres, a été beaucoup débattue … à table chez nous , entre partants en OPEX, et revenants, si j’ose dire ( nous habitons non loin du régiment dont il fait partie ) .
Résumé ( l’homme a l’art de la concision) :
» C’est simple. Si là-bas, tu réfléchis comme ici, tu es mort. Si ici, tu réfléchis comme là-bas, tu es un salaud. »
stiernon
11 février 2017 @ 20:22
Quand on est militaire, on ne pose pas de question. On agit et c’est tout.
C’est la guerre POINT. Et c’est la même chose depuis la nuit des temps.
Leonor
13 février 2017 @ 22:49
C’est la même chose depuis la nuit des temps : oui.
Mais que les militaires ne se posent jamais de question : tout faux. Vous les prenez pour des crétins, ou quoi ?
AnneLise
12 février 2017 @ 13:36
Question sans réponse « satisfaisante » !
Le devoir du militaire est, me semble-t-il, de préserver la vie des copains et certainement de civils qui étaient là, « dommages collatéraux ».
Le devoir de l’Homme serait de ne pas instrumentaliser les enfants.
On n’est pas rendu au bout de la route !
Muscate-Valeska de Lisabé
11 février 2017 @ 09:31
Les discours ne sont que de bonnes intentions. Il suffit de voir ce qui se passe en Syrie et combien il en meurent tous les jours,des petits,pour voir que ça ne sert à rien.
Robespierre
11 février 2017 @ 15:39
je suis d’accord avec vous. Ces réunions à une table, avec de beaux discours et de beaux sentiments ne servent finalement pas à grand chose.
Leonor
11 février 2017 @ 23:30
Y’a d’ça …… :-((
Ghislaine
11 février 2017 @ 11:04
SI , n’importe quel petite goutte d’eau , peut aider un enfant dans la guerre ou dans l’après-guerre . Ces actions de personnalités qui s’engagent apportent un plus dans le sauvetage de vies , même si peu nombreuses qu’elles soient .
Vous n’avez pas connu surement cette situation MVL , moi si et toute aide nous a été précieuse , quand vous avez faim , froid et peur qu’il y a des associations (même si les grands vous bousculent pour attraper des colis ) diligentées par toutes les bonnes volontés croyez moi que l’on ne regarde pas d’où elles viennent .
C’est un noir américain (j’étais terrorisée car je n’avais pas été encore au contact de personnes de couleur ) médecin, qui m’a recousu la main dans un hôpital de campagne et qui m’a donné en réconfort un morceau de corned beef – Je n’ai ni oublié le corned-beef ni ce GI.
Merci Madame .
Elisabeth-Louise
11 février 2017 @ 15:30
Ghislaine, votre message est réaliste et touchant, et je joins mon sentiment au vôtre;
TOUT, absolument TOUT ce qui peut-être fait contre la guerre, cette atrocité, mérite d’être tenté;
Je fais partie des gens qui, quoique nés ensuite ( tout juste après) ont été durablement impactés par la seconde guerre mondiale; ma famille y a tout perdu, dans une ville anéantie, rasée de la carte par les bombardements, et mon père qui a fait cette guerre dans la marine y a fait naufrage et en a été rescapés, seuls quatre rescapés, dont lui; il a été en camp de concentration et s’en est échappé;
Je vois avec inquiétude ces souvenirs devenir lointains dans la mentalité collective; avec inquiétude, car cette expérience rend lucide et permet de construire une civilisation plus humaine;
Dieu veuille que nous ne connaissions plus de guerre, et que certains pérennisent cette lucidité;
Muscate-Valeska de Lisabé
11 février 2017 @ 16:27
Nous sommes d’accord,Ghislaine. Le corned-beef,c’est du concret.
Quant aux discours,il faut en voir les fruits,car les mots hélas ne se transforment pas en corned-beef tous les jours.
Leonor
11 février 2017 @ 23:44
Comme on vous comprend, Ghislaine.
Mais Muscate est dans le vrai aussi . Certes, TOUT, en effet, peut aider, certes. Mais, comme elle, je ne crois pas trop à l’effet des discours. Mais sait-on jamais, à force …. Tout vaut donc d’être tenté, d’être fait.
Ghislaine, mon frère aîné , né, lui, avant-guerre, a souvenir … de sa première barre de chocolat ! Donnée par un soldat du haut de son char, en novembre 1944, à la Libération. .
Par contre, il n’a aucun souvenir d’avoir hurlé à la mort quand tombaient les bombes sur la ville en juin 44 , et qu’il se trouvait avec notre mère et d’autres dans les caves. Il ne se souvient pas de cette terreur, ni même du bombardement lui-même. Pourtant, il avait presque 8 ans. Rien. Rien d’autre que d’être sorti de la cave, et d’avoir retrouvé … son nounours ! Son nounours, projeté jusque sur le trottoir d’en face. Les bombes étaient tombées droit dans notre rue, l’immeuble d’à côté a été pulvérisé – pendant des années, plus tard, tous les gosses du quartier ont joué dans le cratère – . Il y eut de nombreux morts et blessés.
Mais lui, rien, rien que son nounours.
Comme quoi, les enfants ont une fameuse résilience.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 février 2017 @ 14:42
Vos témoignages sont émouvants, Ghislaine et Léo.Forcément bouleversants.
bianca
11 février 2017 @ 13:04
Merci de votre témoignage Ghislaine qui donne à réfléchir…surtout envers la cruauté de ce monde qui tolère de perpétuels conflits !
Caroline
11 février 2017 @ 22:44
Je partage tous les commentaires précédents. D’après les nouvelles et la presse sur les guerres, je ne vois guère des progrès dans le domaine de la protection de l’enfance lors des conflits armés.
A envoyer le discours de la reine à l’O.N.U. !
JAusten
12 février 2017 @ 10:38
Moi je ne vois guère de progrès dans le domaine de la protection de l’enfance tout court ! Je vois même que ça empire.
On peut se demander qui servent ces grands organisations finalement.
Robespierre
12 février 2017 @ 18:05
D’accord avec vous, ça empire. Ici, des enfants martyrs sont tués par leur beau-père (comme par hasard, c’est toujours le compagnon de la mère) et là-bas on en fait des kamikazes ou bien on leur apprend à tuer, ce ne vaut pas mieux, parce qu’ainsi on tue leur âme. Dans le Nouveau Testament Jésus maudit ceux qui apprennent le mal aux enfants. Même les nazis n’apprenaient pas au enfants à décapiter et tuer des prisonniers.
AnneLise
13 février 2017 @ 18:07
Vous avez tout à fait raison, Robespierre.
Il y a les drames que l’on connaît avec cette instrumentalisation des enfants dans les pays actuellement en guerre.
Forme de lâcheté que de les jeter en première ligne, les « donneurs d’ordre » restant eux bien au chaud derrière leurs ordinateurs et autres moyens de communication ; « permis de tuer ».
Mais, je vous rejoins également sur le nombre de petites victimes d’une autre forme de folie : les coups assénés par les compagnons de mères qui sont incapables de protéger leur enfant.
Incapables parce que elles mêmes victimes, incapables parce qu’elles ont des addictions qui leur retirent tout entendement.
Les cas sont évoqués par les media, ils nous paraissent monstrueux, mais ils perdurent et j’oserais dire, se multiplient;
Il y a des moments où l’on a envie de baisser les bras.
AnneLise
13 février 2017 @ 19:40
Allez, tant pis, je vais y aller de mon couplet « professionnel ».
Il y a peu j’ai eu à instruire le cas d’un « enfant secoué ».
Le compagnon, tant bien que mal a fini par admettre sa faute;
La mère était devant moi, avec comme argument de défense : « le petit pleurait tout le temps, il empêchait X de finir son jeu »
Je sentais une houle de colère monter et l’envie irrépressible de me lever, de la prendre par les épaules et de la secouer, la secouer…
Ma greffière, qui me connaît bien a senti le danger, s’est levée, est venue vers nous disant : »je vais faire du café, vous en voulez Madame ? » à l’intension de la maman.
La tension est retombée et je ne sais comment je pourrai remercier la greffière qui m’a épargnée une faute professionnelle.
Il est temps que la retraite arrive !
JAusten
13 février 2017 @ 22:51
je vous tire mon chapeau car vous devez exercer un métier que je me suis toujours interdit de faire car j’ai très peu voire pas du tout de patience avec la violence … ça vient avec l’âge :) mais ça me révolte toujours autant. Vu que les gens sont de moins en moins patients ….
Leonor
13 février 2017 @ 23:03
Merci pour ce récit, AnneLise.
Comme quoi, même « armé » (!) d’une éthique solide, même habitué au recul nécessaire dans certains boulots, on n’est jamais, jamais, à l’abri de la montée de violence en soi-même, serait-ce pour ce qu’on pourrait appeler » la bonne cause ».
J’ai un jour vécu quelque chose de similaire à ce que vous racontez. En situation professionnelle, j’étais au bord de littéralement gifler un salaud qui avait fait quelque chose d’abominable, en situation professionnelle aussi. Vraiment d’abominable – je ne peux pas ici raconter quoi. C’est mon adjoint , » un vieux de la vieille » , qui est intervenu, avec un doigté similaire à celui de votre greffière.
Ghislaine
12 février 2017 @ 10:18
Elizabeth-Louise votre commentaire sur le mien a une valeur de témoignage important car comme vous je vois cette période retransmise de façon sooit dénaturée soit édulcorée .Quand mon père et mon frère déposaient après la guerre des gerbes au pied des monuments aux morts de la Région , ils demandaient aux rescapés des camps d’être devant eux et eux à 3 pas derrière.
Comme vous Elizabeth-Louise toute guerre m’est une souffrance , hélas voyez vous je suis dans l’une et si cela continue de vais disparaître dans l’autre et je considérerai ma vie comme une parenthèse inutile .
Bien à vous .
Ghislaine
12 février 2017 @ 10:21
Muscate and so on , vous aurez constaté je le pense que je suis rarement d’accord avec vos commentaires . Il m’est difficile sur ces sujets d’aller au superficiel.
Toutes les guerres se finissent par des redditions ou des accords autour d’une table alors je préfère qu’il y ait des gens qui se mettent autour d’une table avec leurs mots comme la Reine Mathilde le fait .
Ghislaine
12 février 2017 @ 10:27
Léonor j’ai un peu répondu à votre premier point sur le post a destination de Muscate …
J’ai été dans le cas de votre frère , toute la famille m’expliquant que j’étais trop jeune 3 ans et quelques mois sous les bombardements terribles que nous avons subis .
Un jour j’étais reçue officiellement à Guernica , où il y a un musée très réaliste du drame subi par ces pauvres basques. L’audio-visuel sur grand écran se met en marche et la vague de stukas , entre autres, arrivent sur la ville , je suis prise de tremblement , de sueur glacée dans le dos et mon entourage , dont mon mari , me voit me lever complètement paniquée et en larmes sortir à l’air , au soleil , rejoignant mes amis assis tranquillement près d’une fontaine , certains handicapés n’ayant pas tenu à assister à cette séance .
Ghislaine
12 février 2017 @ 10:34
Bianca , je me suis promis que jusqu’à la fin de ma vie , étant d’une famille des maquis de Bretagne ou de l’Ain qui a eu un engagement total et dès le début .Nous avons eu des jeunes de 20 ans , torturés et fusillés. Moi par l’année de ma naissance , je suis l’élément qui n’a rien fait , donc le moins que je leur devais était de parler de ceux qui m’ont donné avec la vie la liberté , à mon humble niveau .
Finalement ces dures conditions de début de vie ont donné au reste de celle ci , comment puis je expliquer ça , un peu à la manière de la regrettée Comtesse de Paris qui titrait l’un de ses livres « Tout m’est bonheur » une capacité à goûter tous les petits bonheurs qu’elle m’apporte .
Merci à toutes pour vos commentaires que j’ai apprécié , croyez le.
bianca
13 février 2017 @ 15:32
Chère Ghislaine, quelle tristesse pour moi quand je lisais, lors de nos fréquents séjours en Bretagne ou dans une autre région, la liste des personnes décédées, fusillées, sur le monument aux morts de chaque village visité…Je me disais, c’est grâce à ces soldats, ces résistants que nous sommes là aujourd’hui. J’ai partagé le chagrin de mes camarades de classe lorsqu’un frère tombait en Algérie. Je trouve la chanson de Boris Vian qui commence ainsi « Monsieur le Président, Je vous écris une lettre que vous lirez peut-être quand vous aurez le temps…Les guerres sont des bêtises, etc.. etc… » Très juste !
Par l’année de ma naissance, comme vous, je n’ai rien pu faire…Avec les années, bientôt au soir de ma vie, en toute lucidité, ce serait différent, croyez-le pour défendre nos enfants et petits enfants ! Je ne peux dire comme la Comtesse de Paris « Tout m’est bonheur » quand on voit les actualités ! Merci de m’avoir si gentiment répondu Guislaine ! Bonne semaine à vous !
Ghislaine
12 février 2017 @ 16:44
que j’ai appréciés – excusez moi
Leonor
13 février 2017 @ 23:28
Eh bien moi, je dis , je répète, et je répéterai toujours :
SI VIS PACEM PARA BELLUM
= Si tu veux la paix, prépare la guerre.
Et, toutes proportions gardées, quoique, parce que c’est là que ça commence :
Idem pour ce qui est du harcèlement scolaire.
Exemples et preuves vécus à l’appui :
L’un de mes fils, enfant, a été en école primaire l’objet de harcèlement .
En raison d’une différence physique visible , d’une différence disons intellectuelle, – et de sa » bonne » éducation , à savoir qu’à l’époque, une jeune maman idéaliste et encore naïve – ma pomme – lui avait inculqué que la guerre, c’était pas bien, qu’on ne devait pas se battre et patati et patata.
Résultat : désarmé, le gamin. Livré pieds et poings liés à des garnements qui, eux, n’avaient pas d’ inhibition à leurs pulsions mauvaises, et qui s’acharnaient sur lui.
La solution au problème m’a été assénée , amicalement et fermement par deux collègues de chorale (!) , toutes deux mères de quatre enfants , toutes deux institutrices, l’une d’entre elles même institutrice en milieu spécialisé particulièrement difficile. La teneur de leur injonction, soufflée entre deux motets de Josquin des Prés et deux Kyrie :
» Arrête tes conneries. Dans le monde, y’a la guerre, et ça commence à l’école . Les gosses, c’est pas des bisounours. Tu empêches ton môme de se défendre contre les p »tits salauds .
Maintenant là, t’as plus le choix : tu lui fais faire un sport de combat. « .
Ainsi fut fait.
On lui trouva – miracle – un club de boxe française pour enfants. Sympa tout plein. Mais efficace.
A la suite de quoi le marmot fit le coup de poing dans la cour de récré :
– une fois en primaire ==> terminé le problème.
– une fois au collège, en octobre de la 6e ===> terminé le problème.
Au lycée, sa réputation le précéda : » X, il est sympa, mais ‘faut pas l’emm…. »
Si vis pacem, para bellum.
AnneLise
14 février 2017 @ 13:27
C’est certainement le meilleur moyen pour éviter que le conflit ne dégénère et que le petit persécuté soit à jamais marqué, et qui sait ne devienne plus tard un agresseur.
AnneLise
14 février 2017 @ 13:48
J’ajoute, Leonor, pour revenir au chapitre précédent concernant ma perte de sang-froid, que c’est moi « la vieille », ma greffière est de beaucoup ma cadette, mais il est vrai que là elle a agi de façon magistrale.
On n’est jamais à l’abri d’une réaction épidermique, on a beau avoir le cuir dur, il y a des cas ou il suffit d’une goutte d’eau pour….
Je vous laisse deviner la suite;
Bien à vous.
AnneLise
14 février 2017 @ 15:26
@JAustin
Il faut croire que l’âge venant, il est de plus en plus difficile de gérer ce genre de violence.
Il y a quelques années, quelques décennies, on avait à faire à ce que l’on appelait des truands, petite ou grande envergure mais il y avait chez eux quelque chose d’imparable : on ne s’attaque pas aux enfants, je ne parle pas ici des pédophiles ou des détraqués, mais allons disons des bandits, voleurs etc
Aujourd’hui on a l’impression que la vie n’a plus la même valeur.
Un enfant gêne, on le brutalise, même si après coup on ne comprend pas pourquoi, même si on n’avait pas l’intention de le tuer.
Mais bon sang de sort, on n’est pas dans un jeu video ou les morts se relèvent et où la partie recommence.
Merci
Robespierre
15 février 2017 @ 14:01
Merci pour votre témoignage, AnneLise.
JAusten
15 février 2017 @ 22:54
brrr ça donne froid dans le dos ! mais ce doit être ça ; un jeu video où les morts se relèvent et où la partie recommence : l’âge adulte recule recule …. et les enfants (qui arrivent plus vite que la fortune) sont devenus des accessoires.