Nous l’avions déjà évoqué : les éditions Lacurne ont réédités les mémoires du prince Christophe de Grèce (1888-1940), fils du roi Georges I et de la reine Olga de Grèce. Noblesse et Royautés consacrera lundi 3 mai différents articles à cet ouvrage.
Mémoires du prince Christophe de Grèce : différents articles
17 Comments
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28 avril 2021 @ 02:05
Donc, aucune lacune aux Éditions Lacurne ? ;-)
28 avril 2021 @ 05:50
Ces articles vont beaucoup m’intéresser. Père de Michel de Grèce, n’est ce pas?
28 avril 2021 @ 06:59
oui
28 avril 2021 @ 10:42
pouvez vous rétablir une fonctionnalité où l’on puisse imprimer les articles je vous prie? je le faisais pour certains (reine de Naples, passionnant) et je ne peux plus! merci d’avance
28 avril 2021 @ 12:04
Sur mon pc c’est toujours possible
28 avril 2021 @ 13:18
Sur le mien également !
Avec la souris, clic droit puis imprimer …
28 avril 2021 @ 06:45
Excellente initiative, j’adore les mémoires.
28 avril 2021 @ 07:34
et moi donc !
28 avril 2021 @ 09:51
et moi plus encore ! 😄
Ce petit trait d’humour est néanmoins la vérité. Les articles sur les royaux disparus ou n’étant plus sur le devant de la scène me sont toujours bienvenus.
Ne connaissant presque rien d’autre du prince Christophe que sa paternité, je me réjouis d’avance.
28 avril 2021 @ 17:33
Il s’agit d’une réédition de son ouvrage : le monde et les cours éditions Plon 1939
Traduction d’Henri Delgove
Les ouvrages réédités par les editions Lacurne sont passionnants, et nous font redécouvrir des trésors. Je vous les conseille
28 avril 2021 @ 10:15
Merci. Toujours intéressant d’en apprendre davantage.
28 avril 2021 @ 11:49
je me souviens du prince Michel de Grece,citant son pere qui avait ete a la cour imperiale russe du temps du dernier tsar.
ce prince se souvenait avoir vu d immenses armoires remplies chacune une de diamants,une autre se saphirs,etc.
et ce prince se demandait dans quelles mains etait tombe ce tresor.
anecdote qui laisse reveur.
clavier qwerty,desolee,pas d accent….
28 avril 2021 @ 12:18
Je pense qu’il aimait bien les femmes vues de « dot » … la 1ère étant fortunée, et, pouvant lui aider pour sa vie future car, je suppose, que la cour royale grecque n’était pas des + riches …
28 avril 2021 @ 16:37
ecellent !
28 avril 2021 @ 18:44
Effectivement Yode la famille royale grecque n’était pas des plus fortunées.
Un avènement récent et des exils à répétition n’avaient pas permis de constituer un grand patrimoine. La fortune des épouses permettaient de contrebalancer cette situation. Ce fut le cas pour le Prince Christophe.
Ce fut également le cas pour son frère le Prince Georges qui en épousant la Princesse Marie Bonaparte fut à l’abri du besoin puisque celle-ci était l’héritière d’une fortune considérable qu’elle utilisa généreusement. C’est ainsi que lors d’un des exils des princes grecs, elle hébergea à Saint Cloud durant 2 ou 3 ans son beau-frère le Prince André, son épouse et leurs cinq enfants (dont le jeune Philip qui plus tard épousa la reine d’Angleterre).
Pour l’anecdote, l’instabilité politique de la Grèce était un fait tellement avéré que le Prince Roland Bonaparte lors du mariage de sa fille avec le Prince Georges fit préciser dans le contrat de mariage qu’en aucun cas les fonds de l’épouse ne pourraient être utilisés pour les affaires politiques grecques !
28 avril 2021 @ 15:47
Sa 1ère épouse Nancy-May (Nonie) Stewart (1878-1923) avait 10 ans de plus que lui, il était son 3ème mari et, son fils unique William (1902-1971), issu de son 2ème mariage (divorce 1930) avec William Batemann Leeds (1861-1908), avait épousé la princesse Xénia de Russie (1903-1965), fille du grand-duc Georgij de Russie (1863-1919) et de la princesse Marie de Grèce (1876-1940).
La princesse Marie de Grèce était la sœur de Christophe : sa nièce s’était donc unie en 1921 au fils de son épouse Nonie qui décédera un peu moins de 2 ans après leur mariage.
De plus, la mère de Christophe, la grande-duchesse Olga de Russie et le père de Xénia étaient cousins germains : leur grand-père commun était le tsar Nicholas I.
28 avril 2021 @ 17:33
Il s’agit d’une réédition de son ouvrage : le monde et les cours éditions Plon 1939
Traduction d’Henri Delgove
Les ouvrages réédités par les editions Lacurne sont passionnants, et nous font redécouvrir des trésors. Je vous les conseille