Les objets historiques ont la cote en ce moment lors des ventes aux enchères. Les prix s’emballent rapidement et ne permettent pas toujours de les conserver sur le sol national. Les musées et châteaux ont donc dû s’adapter aux circonstances aussi bien grâce au droit de préemption qui permet certes de supplanter un acquéreur mais qui ne dispense pas au final de mettre sur la table le même montant financier que pour pouvoir effectivement acheter une œuvre d’art ou un joyau.
Souscription publique, appel aux mécènes, comités de soutien, tous les leviers possibles sont sollicités et activés. Voici à présent qu’un diadème ayant appartenu à la reine Victoria d’Angleterre risque de quitter le territoire britannique. Le bijou en saphirs et diamants est un cadeau du prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha (neveu de Léopold I, roi des Belges) à sa future épouse Victoria d’Angleterre. La reine le porte sur un de ses célèbres portraits par Franz Xaver Winterhalter.
Le ministre britannique de la Culture a indiqué qu’il avait mis une interdiction temporaire à la demande d’exportation de ce diadème comme les dispositions du Conseil des Arts le lui permettent.
La date butoir est fixée au 27 décembre 2016. Pour empêcher que ce joyau qui passa de génération en génération au sein de la famille royale jusqu’à être hérité par la princesse Mary (sœur du roi George VI) dont les descendants l’ont vendu à un courtier anglais visiblement aujourd’hui désireux de s’en défaire auprès d’un acquéreur étranger, il faudra mettre le prix fort … 7 millions d’euros ! (Merci à Huguette)
Shahmashah
14 septembre 2016 @ 06:35
Ah et quand les Anglais « importent » des vestiges de l’Antiquite grecque, ca passe …
Muscate-Valeska de Lisabé.
14 septembre 2016 @ 08:00
Bravooo,Shahmashah!!…et tous les trésors des Indes!!
marianne
14 septembre 2016 @ 09:55
Et quand la Grèce trafique ses comptes pour entrer dans l’ Europe, Ça passe aussi …
Pascal
14 septembre 2016 @ 14:36
Vu ce qu’est en réalité ce qu’on appelle l’europe , c’est à dire l’U.E. ,laquelle n’a rien à voir avec une certaine idée de l’Europe , la Grèce a eu bien raison.
Cette bienpensance germanophile et protestante est assommante.
D’ailleurs le mot lui même est d’origine grecque…
Pascal
14 septembre 2016 @ 15:37
Et à ceux ou celles qui regimberaient devant mon commentaire , je suggère , puisque nous sommes sur « Noblesses et Royautés » d’aller consulter le site du prince Michel de Grèce (que j’ai découvert grâce à ce site et j’en suis reconnaissant) ou le site du renouveau bonapartiste qui me semblent de précieux témoignages de ce qu’on peut éprouver pour l’U.E. telle qu’elle se montre dans le réel et non dans les phantasmes de certains.
Leonor
16 septembre 2016 @ 10:51
Mais c’est pas bientôt fini, cette façon de taper sur l’Europe ?
Avec, en plus, des mots aussi insultants que » bien pensance germanophile et protestante » ?
Qu’est-ce que vous avez contre les protestants ? Qu’est-ce que vous avez contre les Allemands ?
C’est sûr, la tolérance, ce n’est pas chez vous, Pascal, qu’elle a sa maison !
L’Europe est actuellement ce qu’elle est. Ca n’est pas top, d’accord. Mais elle a le mérite d’exister. Et vu d’où on revient, cela reste un exploit.
Et ça, ce n’est pas un fantasme.
Mes aïeux morts sur les champs de bataille sous divers uniformes, ce n’est pas un fantasme non plus, c’est une sale réalité.
Et Paris ne s’est pas fait en un jour.
Signé :une Européenne, de coeur, d’origine(s).
L’Europe est dans mes gènes. Mes GENES.
Gare à qui s’en prendra à l’Europe, il me trouvera sur son chemin.
Muscate-Valeska de Lisabé.
16 septembre 2016 @ 19:04
Exilée au Moyen-Orient,mon Europe me manque,la Jeune et la Vieille.
Moi aussi je l’ai dans le sang.
Franco-serbo-germanico-belge,les miens se sont battus pour elle également,et je voudrais la voir un jour aussi forte, grande,puissante et unie qu’elle doit l’être.
Fière d’être Européenne, avec vous, Leonor.
Pascal
17 septembre 2016 @ 18:15
Leonor
Vous ne m’impressionnez guère , fussiez vous assistée de toute la cohorte de vos ancêtres .
Je ne suis pas un partisan de cette Europe là , celle de la commission de Bruxelles et de M Junker .
Je veux bien m’efforcer d’observer ici une nécessaire (je n’ai pas dit prudente!) neutralité mais quand quelqu’un , à savoir en l’espèce Marianne , franchit la ligne jaune je m’estime en droit de ramener le balancier au centre .
Rassurez vous je n’ai rien contre les protestants ,parler de la « rigueur protestante », c’est chez moi une sorte de phantasme , si ça peut vous faire plaisir.
La façon dont les Allemands régentent actuellement l’Europe c’est autre chose….
Point barre ,que ça plaise ou non .
Et sinon demandez donc à Madame Salens de m’exclure .
Après tout je m’en remettrai .
Pascal
17 septembre 2016 @ 18:59
http://renouveaubonapartiste.blogspot.fr/2013/05/propositions-leurope-confederale.html
Philippe
14 septembre 2016 @ 12:40
Absolument aucun rapport.
Pascal
18 septembre 2016 @ 17:54
oui !!! , c’est ce que j’aurais du me limiter à déclarer.
Vous l’avez su faire mieux que moi.
Merci de cette leçon.
Pauline
14 septembre 2016 @ 06:48
La reine est suffisamment riche pour l’acquérir
Ce bijou montre à quel pont le prince Albert avait bon goût, ce diadème inspiré du Moyen-âge est splendide tout en gardant une grande légèreté
DEB
14 septembre 2016 @ 07:07
À ce prix, je pense qu’il partira !
Laurent F
14 septembre 2016 @ 07:30
Si ce n’est la dimension historique toute relative (il a appartenu à Victoria certes mais bon ce n’est pas non plus une pièce extraordinaire), je ne vois pas l’intérêt de dépenser 7millions d’euros pour un seul bijou qui finira au mieux dans un musée au pire dans un coffre anglais mais ça m’étonnerait beaucoup que la reine dépense une telle somme pour un diadème quand elle en a des dizaines dont certains qu’elle ne porte jamais ! La reine Mary aurait dû avoir plus de bon sens et donner à sa fille un autre diadème bien moins emblématique.
j21
14 septembre 2016 @ 13:26
Même avis que vous. Ce n’est pas très grave que ce bijou parte à l’étranger.
Antoine
15 septembre 2016 @ 17:01
Celui qui va acheter le diadème à ce prix va se faire joliment avoir ! Il serait plus moral qu’il restât sur les bras du vendeur à défaut de ceindre son chef.
Gérard
18 septembre 2016 @ 03:39
L’entretien du château familial qui est magnifique doit nécessiter beaucoup d’argent…
Gérard
18 septembre 2016 @ 03:45
J’avais mal lu puisque le diadème est déjà entre les mains d’un courtier.
chanchan
14 septembre 2016 @ 07:36
dommage pour ce bijoux mais les affaires étant ce qu’elle sont au plus offrant! il a deja été vendu donc il continuera et sera acquis par celui qui saura sortir la somme exorbitante demandée , la famille royale estimant à savoir » too expansive » ( ce qui semble être le cas)
pour ce qui est des antiquités grecques et egyptiennes, :
– qui fait l’ouverture du british museum , une certaine (grosse) pierre de Rosette ,Champolion (mais qui c’est ce mec là) juste une petite explication, pierre trouvée par des soldats de Napoléon (qui d’ailleurs n’était à cette époque connu que sous son nom patronymique Bonaparte) et récupérée (comme trésor de guerre) par les Anglais, passant par là !!!!!!!!!!
JAY
14 septembre 2016 @ 07:41
Belle symbolique si la reine l achetait et le donnait au trésor de la couronne !
Pascal
14 septembre 2016 @ 14:41
Je ne vois rien de symbolique la dedans si ce n’est dans le pire sens du terme.
Ce qui était jadis la liste civile a toujours été ce me semble bien inférieur au revenu des biens de la couronne auquel le monarque britannique renonçait à son avènement dans un souci « politique » , en compensation de quoi lui était versée cette fameuse liste civile qui n’a cessée d’être rognée.
Le système a changé et la Reine perçoit désormais une partie de ces revenus à la place de la liste civile , mais cela ne représente je crois que 15% , le reste est sans doute en partie mis en réserve à des fins de bonne gestion (du moins je le souhaite ) et sinon reversé au trésor de la Grande Bretagne.
Kaiserin
15 septembre 2016 @ 19:41
La reine est connue pour être pingre
Isa C
14 septembre 2016 @ 08:04
Très étrange que la famille royale ne semble pas penser à le racheter… Qu’est-ce que 7 millions d’euros pour eux ? On sait que rien que Charles a un revenu annuel de plus de 20 millions par an.
Kate serait ravissante avec ce splendide bijou sur la tête
Pascal
14 septembre 2016 @ 14:42
Cela ferait quand même un tiers de ses revenus annuels….
Même si il a moins de « frais fixes » que son auguste mère.
Zeugma
14 septembre 2016 @ 08:33
Seuls des spécialistes pourraient nous dire ce que vaut cette pièce, tant pour la qualité des pierres que du point de vue esthétique, historique ou financier.
Je pense, par exemple à Martin du Daffoy, le grand spécialiste des bijoux anciens sur la place de Paris (Il propose d’ailleurs plusieurs diadèmes d’origine royale sur son stand de la Biennale) ;
ou à Vincent Meylan, bien sûr.
Ce diadème n’est peut-êre pas facile à porter car il a la forme d’une mini couronne ouverte. Il s’agit là d’un bijou royal.
Le prix ?
Un article paru récemment estime que le prix demandé est trop élevé. Je n’en sais rien mais – comparaison n’est pas raison – un tableau de Basquiat à frôlé les soixante millions de dollars récemment à New York.
Claude MARON
14 septembre 2016 @ 11:39
Il y a un article à ce sujet dans le « Point de Vue » de la semaine dernière et il ne vaudrait que quelques centaines de milliers d’€ pour ses pierres…
Pascal
14 septembre 2016 @ 15:07
Je ne suis nullement un expert.
Mais ce diadème a une origine prestigieuse et sans être gemmologue les saphirs me semblent très beaux , il y en a deux en outre qui sont d’une forme peu courante et qui en plus font la paire.
Par ailleurs les pierres précieuses de qualité semblent se raréfier ( à l’exception des diamants semble t’il mais dont la De Beers fait une commercialisation très organisée).
De plus il y a au niveau mondial , du fait d’un dérèglement monétaire voulu , une abondance de capitaux dans certaines mains qui peuvent avoir le désir légitime d’investir aussi dans des biens tangibles.
(ce qui n’est que pur bon sens)
Comme pour tout objet de cette sorte le prix sera celui que le plus richissime des amateurs sera prêt à débourser.
Mais je ne le vois pas à la baisse…
Zeugma
15 septembre 2016 @ 09:25
Pascal,
1°) Ce n’est pas la première fois qu’un diadème ayant appartenu à la famille royale est mis en vente.
Ce fut le cas de la ravissante tiare Poltimore qui fut créée en 1870 pour une aristocrate anglaise et achetée pour le mariage de la princesse Margaret (1930-2002) le 6 mai 1960.
(Je dis « ravissante » parce que je l’ai vue dans une exposition au Victoria & Albert museum il y a de très nombreuses années déjà.)
Elle fut vendue aux enchères par ses deux enfants chez Christie’s en 2006.
Par ailleurs, le cabinet en ébène et pierres dures de la succession de Robert Zellinger de Balkany qui va être mis en vente chez Sotheby’s et était resté longtemps dans les collections royales – jusqu’à la reine Mary, la grand-mère de la reine actuelle – et fut vendu aux enchères en 1959 (avec l’accord de la souveraine).
La famille royale achète mais il lui arrive également de vendre.
2°) Sur la qualité des pierre :
Mon grand regret de samedi dernier en visitant la biennale fut de constater la disparition des grands joailliers.
Il y a deux ans, Cartier ou Graff – et d’autres – avaient eu l’excellente idée de poser des petits cartels à côté de certaines pièces pour expliquer en quoi tel saphir – par exemple – présentait un caractère exceptionnel.
Si vous n’y connaissez rien – ce qui est mon cas – vous ne pouvez pas savoir.
3°) Les prix dépendent du marché et le marché a ses propres critères.
La triste vente aux enchères des joyaux de la couronne de France en mai 1887 rapporta des clopinettes.
Pascal
16 septembre 2016 @ 09:20
Zeugma
« la triste vente aux enchères des joyaux de la couronne de France en mai 1887 rapporta des clopinettes »
Je suis tout à fait d’accord avec vous et je l’ai aussi déjà exprimé sur ce site je pense.
Mais c’était tout à fait volontaire ! Il s’agissait de disperser au plus vite les symboles d’une époque qu’on voulait effacer .
Je le tiens de la lecture d’un livre écrit par un descendant de la famille Bapst sur l’histoire des joyaux de la couronne.
Il fallu même je crois quelques interventions pour sauver le Régent du naufrage.
De toute façon tout ceci ne nous concerne guère .
Ce sont les multiples pérégrinations de ces joyaux et ce que cela représente qui outre la beauté des gemmes font leur intérêt .
Et si la Reine préfère garder ses sous pour entretenir , préserver voire embellir ses magnifiques domaines de Sandringham et Balmoral ou son élevage de purs sang je comprendrais tout à fait.
Elle n’est effectivement pas à court de bijoux et sur le plan patrimonial cette tiare ne lui serait guère utile selon ce que vous me dites.
Merci pour les précisions sur le cabinet en pierres dures !
Leonor
16 septembre 2016 @ 11:02
En matière d’art – quel que soit l’art en question – le prix qu’atteint une oeuvre dans une vente, à un moment donné, ne repose pas que sur ses composants. Si on allait par là, le bout de tissu vieilli qu’est une toile , et les quelques pigments dessus ne vaudraient pas un clou.
Joue évidemment en matière de peintur, la valeur réellement reconnue de l’artiste, quand il s’agit d’oeuvres anciennes, donc d’artistes dont la valeur reste ou s’est affirmée à travers le temps.
Mais s’ajoutent à cela des données impalpables et difficiles à estimer,
– la valeur « historique » : objet lié à un monarque,un prince, à un événement, à une vedette, etc;
– la mode, engouement par définition passager , mais qui fait monter ( et descendre) des cotes en flèche
– le moment même, l’état du marché, les fonds disponibles ici ou là, la passion d’un ou plusieurs acheteurs, etc.
Pascal
14 septembre 2016 @ 15:10
Zeugma
Grâce à vous je suis allé voir à quoi ressemblait la peinture de ce Basquiat .
Personnellement entre les 60 millions du tableau et les 7 du diadème je n’hésiterais pas , d’autant que la différence me permettrait peut être d’acheter un autre tableau…
Quelle est la cote de Nicolas de Staël par rapport à ce Basquiat ?
Zeugma
15 septembre 2016 @ 09:38
Pour moi, Basquiat est une imposture.
Que vaudra-t-il dans cent ans ? Ni vous ni moi n’en savons rien.
En ce moment, certains essaient de réhabiliter Bernard Buffet qui n’intéresse aujourd’hui plus grand monde alors qu’il eut un succès considérable dans les années cinquante et soixante ; dont il tira une fortune elle-même considérable.
J’ai le souvenir d’une époque où les peintres « pompiers » ne valaient rien ….
Quant à Nicolas de Staël …. Je l’aime bien et suis même allé au Havre – l y a un an peut-être – avec une vieille amie pour voir l’exposition qui lui était consacrée.
Si j’en crois ce que je lis, sa cote tourne en moyenne autour quelques millions d’euros sans atteindre des sommets.
Pascal
16 septembre 2016 @ 09:37
Là encore je ne me considère pas comme un connaisseur .
Comme partout la spéculation dans son visage contemporain (immédiateté …) fausse beaucoup de choses me semble t’il.
Des gens n’ayant pas d’intérêts particuliers pour tel ou tel objet achetant non par passion mais par volonté de spéculer;…
Trianon
14 septembre 2016 @ 08:34
il est tout simplement magnifique!
proportions, motifs, et le bleu des saphirs….!!
daniel
14 septembre 2016 @ 09:02
la reine devrait le racheter
Pascal
14 septembre 2016 @ 11:17
Que la reine soit riche , je n’en doute pas .
Qu’elle dispose des liquidités nécessaires est une autre histoire.
Mais je serais très heureux qu’elle puisse le faire et le fasse.
Ce me semble une très belle pièce pour son patrimoine.
Et comme elle a enchaîné jubilé et anniversaires , elle mériterait bien ce cadeau (même si c’est elle qui le paye) , souvenir de sa prestigieuse arrière-arrière grand mère (trisaïeule ???) avec laquelle on la compare désormais si souvent en hommage à cette longévité.
Peut être le prince de Galles pourrait il en cette occasion ….
Ou bien les anglais richissimes…
Francois
14 septembre 2016 @ 12:06
Sept millions d’euros est un prix hallucinant
Le propriétaire profite du vent en poupe des objets historiques
La Reine Elisabrth possède bien d’autres joyaux de son ailleule
Sa majesté est suffisamment raisonnable pour ne pas acquérir ce bijoux
Les pierres n’ont absolument rien d’extraordinaire
Seule ici est en vente la valeur historique
Imaginons ce que vaudrait l’écrin de l’actuelle souveraine !!
Quand on pense aux cullimans 3 4 5 6 7 possèdes par la souveraine
Ce diadème devrait tout simplement être interdit de sortir du Royaume
Mais bon difficile de faire cela quand on a tant d’objets dans ses musées acquis au
cours du temps et de façon discutables et discutées
La frénésie autour de tant d’oeuves et d’objets rappelle celle qui a existé dans l’antiquité
A ce moment là les romains etaient prêts à tout pour avoir des bronzes grecs
La seule consolation certes amère demeure de se dire que l’art européen fascine
Signe aussi d’un monde qui part et dont déjà le souvenir commence à ne plus avoir de prix
COLETTE C.
14 septembre 2016 @ 12:50
J’espère que la Reine va le racheter, c’est important d’avoir ce diadème !
Actarus de France
14 septembre 2016 @ 13:23
Voilà ce que c’est de transmettre les bijoux de famille en ligne cognatique. Le courtier vend le diadème pour 7 millions, mais sait-on combien les Lascelles l’ont vendu au dit courtier ?
JAusten
14 septembre 2016 @ 16:13
C’est vraiment une très belle pièce qui a une grande valeur historique et certainement monétaire si on s’attache au nombre de diamants, à la taille et/ou provenance des saphirs.
Si la reine Elizabeth II avait eu une affection particulière pour ce bijou elle l’aurait peut-être déjà acheté lors de la première vente ce qui lui aurait peut-être permis de débourser bien moins que 7M€.
*Gustave de Montréal
14 septembre 2016 @ 16:57
La princesse Mary, comtesse Harewood, pas un génie, avait eu une sacrée effronterie de vendre le diadème de son arrière-grand-mère.
Marie de Bourgogne
15 septembre 2016 @ 12:52
Ce n’est pas la princesse Mary qui a vendu ce bijou.
Charlanges
15 septembre 2016 @ 13:34
Ce n’est pas la princesse Mary qui a vendu le diadème qui lui avait été offert mais ses descendants.
Laurent F
15 septembre 2016 @ 14:50
Ce n’est pas la princesse Mary qui l’a vendu mais Lord Harewood, son petit-fils après la disparition de son père
Mayg
14 septembre 2016 @ 17:21
7 millions d’euros, rien que ça !
Muscate-Valeska de Lisabé.
15 septembre 2016 @ 15:12
Allez,chère Mayg,’soyez pas radine! ;-))
Danielle
14 septembre 2016 @ 18:39
Très beau diadème qui devrait rester dans la cassette de la famille royale.
Actarus de France
15 septembre 2016 @ 12:57
La cassette ? Savez-vous que, depuis le temps, nous sommes passés au DVD et même à la clé usb ? ;-)
jo de st vic
14 septembre 2016 @ 19:46
pour se mettre un tableau de Basquiat sur la tête evidemment ça fait trés cher..
Philippe
15 septembre 2016 @ 07:18
Ce bijou risque de connaitre le même sort que la tiare Poltimore, qui appartenait à Margaret … direction, la Chine !
Lorraine 1
15 septembre 2016 @ 08:51
Je souhaiterais vivement que la Couronne puisse acquérir ce diadème qui est une merveille de finesse et d’harmonie… mais 7 millions d’euros me semblent effectivement un prix exorbitant.
Muscate-Valeska de Lisabé.
15 septembre 2016 @ 15:20
C’est vrai qu’il est beau. Son prix aussi!
jo de st vic
15 septembre 2016 @ 12:16
Si Basquiat est une imposture alors que dire des toujours actifs Damien Hurst ou Jeff Koons (dont F Pinaut ar exemple semble raffoler) ?
jo de st vic
15 septembre 2016 @ 12:17
Pinault bien sur..
Actarus
15 septembre 2016 @ 15:25
Si l’objet est historique, le prix demandé est carrément hystérique. Encore un trésor qui risque de partir au Qatar…
fanie
15 septembre 2016 @ 16:50
Quand Harry se mariera, il faudra bien que son épouse posséde un diadème personnel.
Lady Chatturlante
15 septembre 2016 @ 18:52
Je crois que je vais enchérir. Avec mes nombreuses pensions alimentaires et les héritages de mes veuvages, je devrais pouvoir réunir la somme sans que cela affecte mon train de vie. La seule question est : m’ira-t-il ? J’aimerais l’essayer avant d’acheter. Après tout, un diadème, c’est comme une robe de mariée. On ne l’achète pas sur catalogue.
Muscate-Valeska de Lisabé.
16 septembre 2016 @ 19:06
Love you Lady,dommage que je ne puisse être un potentiel mari! ;-))
JAusten
16 septembre 2016 @ 20:32
ce diadème est fait pour vous Milady ! C’est exactement ce qu’il faut porter avec une nouvelle robe de mariée : quelque chose de vieux, quelque chose de bleu, et pour le quelque chose d’emprunté, invitez la duchesse d’York.
Mary
17 septembre 2016 @ 07:22
Ce diadème ne me plait pas,on dirait la couronne des rois chez le pâtissier !
Ceci dit,je ne décourage personne de me l’offrir, mais que le généreux donateur sache que le bijou serait entièrement démonté et transformé . ( :-))))