Voici le menu servi au Palais royal de Dresde le 7 septembre 1889 à l’invitation du roi Albert et de la reine Carola de Saxe en l’honneur de l’empereur Guillaume II et de l’impératrice Auguste-Viktoria d’Allemagne. Cliquez sur le site Royal Menus
Voici le menu servi au Palais royal de Dresde le 7 septembre 1889 à l’invitation du roi Albert et de la reine Carola de Saxe en l’honneur de l’empereur Guillaume II et de l’impératrice Auguste-Viktoria d’Allemagne. Cliquez sur le site Royal Menus
ANNIE
2 septembre 2015 @ 10:40
heureusement que la mode est à changer et que les menus sont plus légers , comment faisaient ils pour manger tout ceci ……
Gustave de Montréal
2 septembre 2015 @ 11:39
Espérant qu’on prévoyait des w.c.
Jean Pierre
2 septembre 2015 @ 12:02
Le vin servi au dessert vient du domaine de « Groot Constantia », un vignoble situé dans la banlieue du Cap. Les vins produits sont excellents tant les rouges que les blancs mais les « sauvignon blanc » restent mes préférés. Le domaine viticole est magnifique et l’on peut s’y promener sans pour autant devoir acheter obligatoirement des bouteilles. Il faut juste faire attention aux baboons.
C’était aussi le vin de Napoléon à Ste Hélène.
Haut-Landaise
2 septembre 2015 @ 12:04
A la campagne il n’y a pas si longtemps, pour les menus de fête, il y avait obligatoirement : bouilli (pot-au feu ou poule au pot) sauce (de veau en général) rôti (volaille) en plus du potage, des hors d’oeuvre, et bien sûr desserts. Bon appetit !
flabemont8
2 septembre 2015 @ 17:14
Et encore avez-vous oublié le fromage …
Philippe gaind'enquin
2 septembre 2015 @ 12:13
Si « Auguste », IL doit être suivi de « Victoire. En cas contraire : « Augusta » trait d’union « Victoria ». Avant tout était simple les prénoms étaient libellés dans la langue diplomatique (le Français) et non point dans celle des boutiquiers (l’Anglais) Me préparant à une bolée de bois vert, je m’esquive (je me casse!!!) PGE
Philippe gaind'enquin
2 septembre 2015 @ 12:14
La « bolée » normande est « le coup de grâce », en revanche : la « volée » conserve tout son sens…
Marquise
2 septembre 2015 @ 14:18
Votre « bolée de bois vert » est amusante quoiqu’un peu lourde à digérer… comme le menu présenté ci-dessus.
Ne gardons de tout ceci qu’une cuisse de poulet et un peu de salade et nous resterons légers pour « survoler » la problématique de ce double prénom bien lourd à porter!
Bien à vous!
flabemont8
2 septembre 2015 @ 17:13
Je vous protègerai de mes griffes acérées et de mes prunelles fulminantes !
Pour revenir au menu , je me demande surtout comment faisaient les dames pour se restaurer , corsetées comme elles étaient …D’autre part , Augusta-Victoria n’était pas mince , loin de là !
Corsica
2 septembre 2015 @ 23:53
Devant ces beignets, saumon, viande et volailles, je rends d’avance ma serviette !
Pierre-Yves
3 septembre 2015 @ 11:33
On s’affichait très international et assez peu terroir dans ce temps-là.
Il fallait dans le menu de l’inspiration saxonne, anglaise, et française.
Et un petit brin de finance aussi, mais ça, ça n’a pas changé, bien au contraire.