Voici le menu du dîner de gala donné à l’hôtel de ville de Stockholm après la remise des Prix Nobel 2016. (merci à Michèle – Copyright photos : getty images & Nobelprize.org)
Carpaccio de langoustine et coquille Saint-Jacques cuites à la braise avec orties, ail sauvage et pommes d’hiver confites
Caille du Södermanland à l’ail noir et à la cendre de poireau avec topinambour, champignons sauvages et jus de peau de poulet rôti aux graines de moutarde
Nuage de sudachi, sorbet aux mûres polaires, miettes de miso et feuille de riz en friture
Muscate-Valeska de Lisabé
11 décembre 2016 @ 11:38
« Jus de peau de poulet »,il eût mieux valu passer cette dénomination sous silence. ..
Poisson ou crustacés crus,
Mes cailles sont bien dans leur volière.
Je ne sais pas ce que c’est que le sudachi…
Donc,tout ce que je retiens,c’est. ..la liane de capucine,très décorative dans la première assiette.
Mais je ne la brouterai pas! ;-)
Corsica
11 décembre 2016 @ 14:49
Muscate, le sudachi est un citron vert japonais, acide et sucré à la fois, en tout cas plus sucré que les limes que nous utilisons.
Kalistéa
11 décembre 2016 @ 20:49
Heureusement que je ne suis pas prix Nobel!
Quoique…les orties et la cendre de poireaux sont bien tentants…
Lou Signolo
12 décembre 2016 @ 09:44
Muscate, les photos donnent l’impression de ne pas représenter les plats listés.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 décembre 2016 @ 16:11
C’est possible,Lou!…Quand on aura fini de suçoter le citron-sudachi décrit par notre Corsi,nous pourrons tous ensemble aller avec Kali nous piquer les mollets dans les orties pour chercher les poireaux trop rôtis. ..;-)…
C’est une ornière, ce dîner, mes amis.
kalistéa
13 décembre 2016 @ 17:24
une chausse-trappe , Mumu , un piège-à-loup , une souricière dont aucun d’eux ne sortira sans dommage!
(sans compter que , trop serrés les uns contre les autres , y compris les allergiques à autrui , certains vont s’étouffer!)
Danielle
11 décembre 2016 @ 11:46
Je laisse les topinambours.
Caroline, cette table est pour nous, beaux candélabres et belle composition florale et il me semble que les couverts sont en vermeil.
Guewagram
11 décembre 2016 @ 13:25
Il me semble que les couverts sont posés à la française : cuillers face bombée en l’air?
CLAIRE
11 décembre 2016 @ 17:41
Ce qui m’a surprise sur un autre site c’est la mixité : cuillères bombées à la française et fourchettes pics en l’air à l’anglaise ! jamais vu cela !
massi
11 décembre 2016 @ 12:04
Pourquoi faire un prix Nobel en Norvège et en Suède en même temps? J’ai rien compris.
Gibbs ?
11 décembre 2016 @ 12:38
massi,
C’est historique… Voici ce que dit Wiki
« À sa mort, le Suédois Alfred Nobel laisse un héritage de 32 millions de couronnes. Cette fortune vient de son invention : la dynamite. Dans son dernier testament, rédigé le 27 novembre 1895 au club suédo-norvégien de Paris, Alfred Nobel demande que soit créée une institution qui se chargera de récompenser chaque année des personnes qui ont rendu de grands services à l’humanité, permettant une amélioration ou un progrès considérable dans le domaine des savoirs et de la culture dans cinq disciplines différentes : paix ou diplomatie, littérature, chimie, physiologie ou médecine et physique.
Le testament précise que la nationalité des savants primés ne doit jouer aucun rôle dans l’attribution du prix. La Fondation Nobel voit le jour le 29 juin 1900. C’est elle qui gère l’exécution des dernières volontés du testateur, contrôle le respect des règles dans la désignation des lauréats et vérifie le bon déroulement de leur élection. Elle est également chargée, par la voie d’un comité propre à chaque branche et selon les propositions de personnalités éminentes dans les cinq domaines, d’établir des listes préalables de nominations communiquées aux différentes instances qui attribuent le prix.
La première cérémonie pour attribuer le prix Nobel eut lieu, cinq ans après la mort de son fondateur, dans l’ancienne académie royale de musique de Stockholm, le 10 décembre 1901. À partir de 1902, les prix furent remis des mains du roi de Suède, le 10 décembre de chaque année hormis le prix Nobel de la paix qui est remis par le roi de Norvège car, jusqu’en 1905, la Suède et la Norvège relevaient de la même Couronne ; c’est à compter de la séparation de ces deux nations en 1905 que cette répartition des prix Nobel entre les deux pays fut arrêtée. »
massi
11 décembre 2016 @ 22:03
Merci Ribbs
Le prix Nobel de la paix en Norvège le reste en Suède ma compréhension s’arrêtait là mais je n’avais pas l’explication la Norvège et la Suède ne faisait qu’un autrefois en effet ce détail m’avait échappé.
J’ai l’idée de caille farcie au foie gras pour Noël à méditer
Gibbs ?
12 décembre 2016 @ 16:57
Avec plaisir massi.
Il est vrai que ce n’est pas franchement simple pour l’Histoire Danemark, Norvège, Suède,…
Dans les cailles farcies, ma préférence va à la farce avec raisins de Corinthe et un peu d’un bon alcool (Cognac, Armagnac par exemple).
Bonne méditation.
Gibbs ?
12 décembre 2016 @ 16:59
Désolée, je vous relis et constate que vous parlez de foie gras !
A faire hurler certains, mais je n’en mange pas, alors que je vis dans le sud-ouest, car je n’aime pas du tout.
Gérard
11 décembre 2016 @ 12:44
Quand le prix Nobel a été institué, la Suède
et la Norvège partageaient le même souverain. Après la pleine indépendance de la Norvège en 1905, le prix nobel de la paix est resté en Norvège.
framboiz 07
11 décembre 2016 @ 13:12
Parce qu’au moment d’Alfred Nobel, les deux pays étaient unis , Oslo a récupéré le Nobel de la Paix .Je suis perplexe face à ce menu , il faudrait goûter pour savoir vraiment …Ca fait menu thalasso , pour ne pas grossir !
Bambou
11 décembre 2016 @ 13:29
Le prix Nobel de la paix est le seul décerné à Oslo. Les autres le sont à Stockolm.
Mister M
11 décembre 2016 @ 14:24
La première cérémonie pour attribuer le prix Nobel eut lieu, cinq ans après la mort de son fondateur Alfred Nobel, Suédois, dans l’ancienne académie royale de musique de Stockholm, le 10 décembre 1901. À partir de 1902, les prix furent remis des mains du roi de Suède, le 10 décembre de chaque année hormis le prix Nobel de la paix qui est remis par le roi de Norvège car, jusqu’en 1905, la Suède et la Norvège relevaient de la même Couronne ; c’est à compter de la séparation de ces deux nations en 1905 que cette répartition des prix Nobel entre les deux pays fut arrêtée.
G de G
11 décembre 2016 @ 14:56
Prix Nobel de la paix en Norvège et les autres (Physique, chimie, médecine, littérature) en Suède.
Robespierre
13 décembre 2016 @ 13:12
Mais pas de mathématiques, parce que madame Nobel était parait-il partie avec un mathématicien.
Leonor
17 décembre 2016 @ 22:44
Ah ouiiiiii ! C’est vrai ça ! J’avais lu ça quelque part !
Merci pour l’éclat de rire, Robespierre.
Mais c’est sûr, quand votre savant de mari consacre plus de temps à ses éprouvettes, ses recherches – ou ses bricolages, ses tutures, son golf, son foot, son ordinateur etc etc, barrer la mention inutile) , y’a plus trente-six solutions . On la comprend, Madame Nobel.
Cependant … tailler la route avec un matheux ….. Qu’a-t-elle gagné au change ? Il savait peut-être faire des figures géométriques …
mary71
11 décembre 2016 @ 12:28
de l’ail ! ! Les menus de gala me laissent toujours rêveuse !
Muscate-Valeska de Lisabé
11 décembre 2016 @ 14:01
C’est bon l’aïl…au goût,et surtout cru,pour la santé, j’en mets partout..garant d’une haleine fleurie,à l’image du Vert Galant. ..et puis. ..ça chasse les vampires! ;-))
CLAIRE
11 décembre 2016 @ 17:42
Oui moi aussi et il suffit de retirer le germe pour être digeste !
Leonor
11 décembre 2016 @ 20:42
Yes. Parfaitement. Et l’ail est bourré de vertus thérapeutiques etc.
Je ne sais pas ce que c’est que ce snobisme de dédaigner l’ail.
Quant à l’ail en chemise, c’est une pure merveille.
Robespierre
12 décembre 2016 @ 12:18
Ce n’est pas indiqué l’ail quand a un rendez-vous galant,. Ou même un RV d’affaires.
Muscate-Valeska de Lisabé
13 décembre 2016 @ 14:35
Chez le dentiste non plus m’Ami ! ;-))
kalistéa
13 décembre 2016 @ 17:27
L’ail c’était parce qu’on pensait que le prince Henrik le Béarnais , serait invité , mais il a fait savoir que sa retraite valait même pour les prix Nobel.
Corsica
12 décembre 2016 @ 13:52
Leonor, j’adore tout particulièrement l’ail en chemise mais aussi simplement frotté sur une tranche de pain de campagne grillée avec une excellent huile d’olive et du sel de Guérande. Variante : comme en Catalogne, je frotte en plus le pain avec une tomate. On est du Sud ou pas.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 décembre 2016 @ 16:13
Humm…Oui!
…Heureusement qu’on en a mangé toutes les deux, Léo,comme ça on ne se sent pas! ;-))
l'Alsacienne
12 décembre 2016 @ 16:57
Leonor, Bien d’accord avec vous.
L’ail en chemise, l’échalote et les petits oignons cuits entiers : délicieux !
Gibbs ?
11 décembre 2016 @ 12:28
Pas de risque de prendre un gramme !
Corsica
11 décembre 2016 @ 14:55
Gibbs, moi j’aime bien ce genre de menu qui permet de découvrir de nouvelles alliances tout en étant facile à digérer. Ce n’est pas une question de poids mais de sensation : je déteste me sentir lourde après un repas. Par contre, pour les solides appétits, je suppose que ces portions doivent leur sembler bien congrues.
Gibbs ?
11 décembre 2016 @ 16:45
Corsica,
Tout comme vous, je déteste me sembler lourde après un repas; ce qui n’arrive jamais car je mange de petites portions.
Effectivement, certaines personnes doivent rester sur leur faim.
Leonor
11 décembre 2016 @ 20:44
Réponse après Corsica :
Portions bien congrues : euh… oui.
Le genre de menu après lequel les miens diraient : » et qu’est-ce qu’il y a après ? » !
Mais en effet, je partage avec vous , Corsica, le plaisir de découvrir, goûter, savourer.
marianne
11 décembre 2016 @ 12:42
Les couverts semblent assez rapprochés, les convives resteront coudes au corps … ou alors est-ce un effet de perspective .
Leonor
11 décembre 2016 @ 20:44
Vous me l’ôtez de la bouche, si j’ose dire.
Roselila
11 décembre 2016 @ 13:08
La décoration florale superbe y compris cette déposée sur la rampe. Le repas et la vaisselle sont totalement à mon goût. Je vais approfondir sur Internet pour voir à quoi correspond de l’ail noir.
Esquiline
11 décembre 2016 @ 13:16
Menu que mon palais, aussi curieux que mon esprit, aurait eu immense plaisir à déguster!
Corsica
11 décembre 2016 @ 22:06
Je pense comme vous. Je suis sûre que nous aurions beaucoup de plaisir à découvrir ensemble.:):)
Pierre-Yves
11 décembre 2016 @ 13:17
Les dénominations des plats sont parfois tellement sophistiquées qu’elles ne permettent pas de se faire une idée assez précise de ce qu’on va déguster.
Je me demande si c’est un avantage ou un inconvénient.
Quoi qu’il en soit, le retour à une certaine simplicité me paraîtrait une bonne chose.
Leonor
11 décembre 2016 @ 20:46
Avis que voue me permettrez de partager, Pierre-Yves.
La subtilité , c’est une chose. Intéressante au demeurant, bien sûr.
Mais la mode du moment, c’est d’avoir plus de mots dans la bouche que de mets dans l’assiette.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 décembre 2016 @ 16:14
;-))!!!
l'Alsacienne
12 décembre 2016 @ 17:01
Encore d’accord avec vous, Leonor.
Une personne m’a fait cette remarque : dans le temps, l’assiette plate était plus petite qu’aujourd’hui, mais on y trouvait de quoi manger. Aujourd’hui, les assiettes sont grandes avec pas grand-chose dedans.
Corsica
12 décembre 2016 @ 13:54
Dans ce cas, c’est une simple énumération d’ingrédients qui permet de découvrir ce que l’on mange tout en prévenant les réactions allergiques de plus en plus fréquentes.
June
11 décembre 2016 @ 13:29
C’est terrible ? mais rien ne me tente dans ce menu… Reste l’ambiance du dîner, les toilettes, l’ assemblée choisie…etc. ?
Kayleen
11 décembre 2016 @ 13:36
Quant à ce crétin de Bob Dylan (Robert Allen ZImmerman) il n’a même pas daigné se déplacer pour recevoir son prix il avait soit disant d’autres engagements, je me demande bien pourquoi il lui a été décerné, vraiment une pâle type
Jackie
11 décembre 2016 @ 19:54
Qualifier Bob Dylan de crétin, me paraît tout de même surprenant ! Il n’est certainement pas le premier à ne pas s’être déplacé pour recevoir son prix. Depuis 1901, il faudrait faire des recherches, mais…..
Robespierre
13 décembre 2016 @ 13:14
Ca me fait penser à Sartre. Il avait noblement refusé le prix Nobel. Mais quand il a su qu’il renonçait de la sorte à une grosse somme d’argent, il s’en est mordu les doigts. Il est vrai qu’il avait tant de dames à entretenir… Simone de Beauvoir étant l’exception qui confirme la règle.
Valerie
12 décembre 2016 @ 07:35
D accord avec vous
Pourquoi lui donner tant d importance
Baboula
13 décembre 2016 @ 13:58
Avec un peu de culture peut être sauriez vous pourquoi Dylan a obtenu ce prix .Dites ,si vous y tenez que son attitude est crétine mais pas d’amalgame .Il y a une différence entre refuser le prix (Sartre) et ne peut pouvoir de déplacer (Pasternak,Soljenitsyne) . Hitler avait contraint 3 savants allemands à refuser le prix .le vietnamien Le Duc Tho avait refusé son prix Nobel de la paix ,reçu conjointement avec Henri Kissinger car il estimait que l’œuvre de paix n’était pas terminée .Vous avez eu la gentillesse de ne pas dire que les membres du jury Nobel étaient tous des crétins .Bien à Vous.
l'Alsacienne
11 décembre 2016 @ 14:23
Quel menu ! La description, les ingrédients me laissent pantoise….
Ce repas ne pèsera pas sur la balance.
D’accord avec Muscate.
Je retiens le dressage de la table avec les belles compositions florales.
Michèle
11 décembre 2016 @ 15:26
VINS
Taittinger Comtes de Champagne Brut Blanc de Blancs 2006
Piccini Poggio Teo Chianti Classico 2010
Moncaro Tordiruta Passito 2007
Café & Mélange de Thé Musée Nobel
Grönstedts Extra Cognac
Facile Punsch
Eau Minérale Stenkulla Brunn
Michèle
Olivier d'Abington
12 décembre 2016 @ 08:54
Chère Michèle,
Je vous envie d’avoir pu participer à ces agapes!
Ne serait-ce qu’une fois, assister à une telle cérémonie me comblerait (notamment pour le prix en littérature).
Muscate-Valeska de Lisabé
12 décembre 2016 @ 16:16
Verre vide,je te plains,
Verre plein,je te vide,
Et plus je te vide,
Plus je suis plein….;-))
kalistéa
13 décembre 2016 @ 17:29
Et plus je suis plein , plus je suis à plaindre!(demandez à ce cher Ernst).
bianca
11 décembre 2016 @ 15:27
Magnifique présentation qui laisse peu d’aisance aux convives et de visibilité à ceux en face de vous…Le menu me laisse pensive !
Leonor
11 décembre 2016 @ 20:47
Moi, il me laisse sur ma faim….
Lou Signolo
12 décembre 2016 @ 09:51
Pour certains convives un peu enveloppés (pour les autres aussi, d’ailleurs), ce genre de dîner de gala doit être une corvée, surtout lorsqu’on est contraint de garder les coudes « scotchés » au corps et si l’on n’aime pas le contact physique avec autrui (en dehors de ses très proches :D). Or on voit mal comment des personnes serrées à l’image de sardines dans leur boîte peuvent éviter de toucher leurs voisins, à un moment ou à un autre. Bon, certains ont eu l’occasion de s’entraîner depuis de très nombreuses années, mais c’est quand même assez triste.
Michèle
11 décembre 2016 @ 16:40
Des plats végétariens:
carottes jaunes grillées en entrée et les céleris-raves, porta et shiitake champignons grillés avec des accessoires similaires à l entrée
Cuisiniers :Sayan Isaksson et
Confiseur : Daniel Roos
Vidéo Nobel 2016 Banketten
http://www.svtplay.se/video/11362218/nobel-2016-banketten/nobel-2016-banketten-10-dec-19-00
Michèle
Michèle
11 décembre 2016 @ 17:51
Cuisiniers responsables pour le Menu du banquet du prix Nobel 2016, pour 1500 personnes, Sayan Isaksson, Daniel Roos.
Sayan Isaksson présente le plat principal de cette année pour le banquet
http://www.svtplay.se/klipp/11481246/sayan-isaksson-presenterar-arets-varmratt-for-banketten
Daniel Roos, confiseur.
En plus du banquet Nobel en 2014 et 2015, il est mieux connu pour son dessert lors du mariage de SAR la princesse héritière Victoria et du prince Daniel en 2010.
Gunnar Eriksson Chef du restaurant de l’hôtel de ville de Stockholm.
Régimes spéciaux
Cela nécessite une nourriture spéciale. En 2015, 160 personnes ont demandé une nourriture spéciale, allergies aux huîtres, aux sauces sans matières grasses, gluten et une intolérance au lactose, casher, halal et végétariens.
Michèle
Corsica
12 décembre 2016 @ 13:56
Merci Michèle pour toutes ces précisions intéressantes.
Michèle
12 décembre 2016 @ 00:00
11 DÉCEMBRE 2016 @ 16:40
non pas accessoires
mais, avec des ingrédients similaires à l entrée.
andré
11 décembre 2016 @ 16:40
mûres polaires ….. sous ou sur la glace ?
Muscate-Valeska de Lisabé
12 décembre 2016 @ 16:16
Joli André!
Ghislaine
11 décembre 2016 @ 16:47
Je sais nous sommes en pays nordique mais enfin rien n’est fait pour les intestins fragiles dans ces menus !
Mélusine
11 décembre 2016 @ 18:58
Bel alignement ! Même l’arrangement floral est au garde-à-vous. :)
Goélette
11 décembre 2016 @ 20:53
C’est un menu élaboré lorsqu’on pensait que la reine d’Espagne serait parmi les convives !
Leonor
11 décembre 2016 @ 20:59
Alors, ce que je préfère là-dedans, c’est la cendre de poireau et le jus de peau de poulet.
J’en parlerai à mon cheval.
Dites, vite, vite, il faut aller re-re-regarder » Le Festin de Babette ». Pour se consoler. Film de Gabriel Axel.
bianca
12 décembre 2016 @ 20:22
A tomber de cheval un pareil menu…
Sylvie-Laure
19 décembre 2016 @ 09:08
ah oui, les fameuses « cailles en sarcophage » de Babette (Stéphan Audran) et son fameux menu pour les villageois Danois. Et le langage du jeune de service, qui répête le nom du grand vin « CLOS VOUGEOT » de façon comique.
Cerise sur le gateau ici : la vaisselle (enfin une partie) prêtée par la reine Margrethe II.
Michèle
11 décembre 2016 @ 22:09
Les invités sont à l’étroit. Chacun obtient juste 21,6 pouces d’espace de table pour un dîner qui dure pendant trois heures, soit 54,86 cm.
Les couverts sont disposés à l anglaise.
Danielle
Les lauréats du prix Nobel mangent avec des couverts en argent – bien que le dessert soit mangé avec des couverts en or.
Pafoume
11 décembre 2016 @ 22:30
Eh bien moi, les assiettes me plaisent beaucoup, coloris différents qui rendent cette vaisselle gaie et chatoyante.
JAusten
12 décembre 2016 @ 08:20
Ce menu me tente ; il y a des associations et des gouts que je ne connais pas. En plus les portions sont juste ce qu’il faut pour un diner du soir
Lars de Winter
12 décembre 2016 @ 08:44
Table somptueuse a la tradition des ceremonies de prix nobel, cote suedoise!
Aramis
12 décembre 2016 @ 09:01
Marre de ces assiettes où tout est compté et qui obligent à se précipiter dans le frigo chez soi pour assouvir enfin sa faim….la liste des ingrédients et saveurs croit à mesure que l’assiette se vide. On n’a plus que 1 ou 2 grammes de chaque chose qui figure sur le menu mais 6 fois 1 ou 2 g, ça ne fait jamais que 12 g.
Et encore ici ont ils eu la chance de n’être pas servis dans un décor minimaliste !
Robespierre
12 décembre 2016 @ 12:23
Il est évident que pour un homme avec un solide appétit, ces chinoiseries (comme disait très bien une intervenantes) laissent sur sa faim. Mais les diners officiels ne sont jamais nourrissants.
framboiz 07
12 décembre 2016 @ 15:01
Merci et Bravo, Aramis, assez de ces cuisiniers, qui présentent des assiettes légères ,vides ou presque , en disant »qu’ils ont voulu raconter une histoire » ! Mais, l’histoire tient en trois mots -ingrédients – et la facture est …salée .
Ca me rappelle un oncle et une tante, qui tenaient une auberge ,où le coté familial et copieux primait .
Un dimanche ,ils viennent dans un restaurant étoilé ,au bout de ma rue ,il était prévu , qu’ils repassent à la maison. Ma mère me dit »je vais préparer des galettes au sucre » , spécialité ardennaise . »Ils auront faim en sortant! »
J’étais dubitative , mais ils reprirent, avec leurs amis, chacun 2 parts bien gonflées , la galette était engloutie , cela devint une anecdote familiale et un bon souvenir !
Leonor
14 décembre 2016 @ 10:28
Succulente anecdote, amie Framboiz !
Cosmo
12 décembre 2016 @ 19:20
Cher Aramis,
Je partage votre opinion sur la pauvreté et la légèreté de ces menus. Tout cela est d’un triste à faire pleurer nos papilles.
Amitiés
Cosmo
-
12 décembre 2016 @ 10:02
Il me semble qu’au contraire ,les couverts posés le bombé sur la table sont mis à l’anglaise .
plume
12 décembre 2016 @ 14:10
il y a encore quelques jours j’étais invitée chez un chef étoilé. les mets (régime jockey) étaient trop sophistiqués. je me suis sentie frustrée… j’aurais aimé avoir un plat (au lieu de 2) bien de chez nous (sud ouest). Donc le menu précité ne me tente pas du tout.
ciboulette
12 décembre 2016 @ 15:41
Oh non ! Pas de quoi se boucher le creux d’une dent ! :-((
Olaf de la RM
13 décembre 2016 @ 11:40
Il me semble que tous ces prix sont très utiles pour l’humanité, le plus prestigieux est le plus connu est le Nobel de la paix décerné par le Roi de Norvège dans l’austère hôtel de ville d’Oslo à l’architecture stalinienne, il serait bon de trouve un lieu plus chic pour cette récompense, cette capitale ne manque pas d’espace !
Sylvie-Laure
18 décembre 2016 @ 08:34
Je suis perplexe devant la photo de l’assiette jaune, présentée contenant une caille… dont je ne devine pas la forme. J’y vois un genre de saucisse, peut être même un bout d’andouillette (ce qui dit en passant ne serait vraiment pas du meilleur goût vu le niveau culturel de la soirée suivant la remise des prix) et je me perds en reconnaissance des mots « ampoulés » choisis dans les menus Nobel, par rapport à ce qui est mis dans les assiettes.
Je reviens d’une semaine Alsacienne, où la féerie des festivités pré-Noël bat son plein, et la gastronomie Alsacienne, me parait beaucoup plus tentante. En guise de palais, nous avons admiré celui de Saverne, en tenue de lumières. Magnifique.
Il faut préciser quand même, qu’ici c’est le menu Nobel, de l’Hotel de Ville de la capitale Suédoise, et non celui du palais royal. Nuance importante.