Voici le menu du dîner donné au Palais royal de Stockholm. Conformément à l’étiquette de la Cour, le menu était rédigé en français.
Déclinaison de potiron, velouté, mariné, poêlé, parsemé de graines de potirons rôties et truffes noires
Filet de barbue vapeur et son beurre blanc au Champagne, risotto aux champignons de saison
Poitrine de canard sauvage rôtie, duo de choux pommé au miel et chou kalé frit, crème à la groseille noire
Cheese cake, bavaroise citron, sorbet à la groseille nappé de jus de yuzu
Leonor
13 novembre 2019 @ 09:44
Mais c’est pas mal du tout, tout ça . Et parfaitement de saison.
Vais m’en inspirer dans les prochains temps.
Par contre – mais c’est un détail – je ne suis pas certaine que ce soit pour être conforme à l’étiquette de la Cour que le menu est rédigé en français.
Rédiger un menu en français est une tradition dans le monde de la gastronomie et de l’hôtellerie. Pour quelle raison, j’avoue que je n’en sais rien . Mais ça doit pouvoir se trouver. Ceci dit, je trouve cette tradition obsolète. Le français n’est plus une langue internationale depuis longtemps, et mieux vaut, à mon avis, que les convives puissent comprendre ce qu’ils lisent et sachent ce qu’ils vont avoir à déguster.
Alix-Emérente
13 novembre 2019 @ 13:51
Leonor, et si c’était tout simplement pour faire honneur à leur ancêtre Bernadotte ?
La famille royale est très attachée à ses origines françaises, et on a pu le constater lors de leurs dernières visites en France, à Pau.et dans le Béarn.
Gérard
13 novembre 2019 @ 16:59
Un menu en français c’est quand même le fin du fin et remercions les descendants de Bernadotte d’être fidèles à la tradition. Nous sommes déjà assez envahis par l’anglais depuis fort longtemps.
Laurent
13 novembre 2019 @ 19:12
Écrire les menus en français était une tradition dans toutes les cours
Pendant la 1 ère guerre mondiale l’empereur Allemand avait des menus en français
La plupart du temps il en ait ainsi à la cour d’Angleterre
Galetoun
13 novembre 2019 @ 21:47
Le français est la langue gastronomique par excellence depuis le XIX. Et tant mieux – l’anglais domine partout, laissons nous au moins ça !
Les invités ne lisent pas, ils dégustent !
framboiz 07
13 novembre 2019 @ 23:27
Jusqu’au Traité de Versailles, Leonor , la langue de la diplomatie , la langue internationale est le français ,langue des philosophes , mais aussi du raffinement , de l’excellence et donc ,de la gastronomie. A cette époque, il n’est de gastronomie que française …
Puis les Américains, en 1917 viennent donner un coup de main pour bouter le Teuton hors de chez nous et là, débute l’invasion… linguistique, cette fois de l’anglais ! L’Amérique est riche, puissante et l’Europe, débitrice , est très appauvrie après – guerre ,elle vient de découvrir avec Paul Valéry que « les civilisations sont mortelles », la langue des puissants USA s’impose, alors …
Le Président Wilson donnant un coup de main, par sa présence à Versailles ,lors de la signature du traité de paix …
Par ailleurs , le français s’est imposé car les grands chefs étaient français et servaient même ailleurs , pensons à Jacques Martin évoquant un grand-père cuisinier chez les Tsars , à Carême ou à Escoffier ,inventant la pêche Melba au Ritz de Londres et puis à tous les cuisiniers exilés, suivant leurs maîtres nobles et royaux en 1789 , avec l’émigration à Londres, Coblence , en Italie ou ailleurs : Ils parlaient français et leurs patrons, rois ou princes aussi, même les princes anglais , puisque le français est alors LA langue de l’Europe , pas étonnant que les menus soient restés français…On a un peu oublié ce fait !
Ajoutons qu’à Stockholm, nous sommes chez les Bernadotte , qui restent francophiles , Sylvia parle français , Victoria l’a appris à Orléans, je crois . Bertil et Lilian vivaient l’été chez nous …Ils sont restés fidèles à la tradition, il est vrai qu’on parle (encore? ) plus le français dans le monde que le suédois , pour les repas internationaux !
J’approuve votre propos , il vaut mieux savoir ce qu’on mange , surtout si l’on est allergique …Et même savoir qu’on est allergique , avant d’avoir une crise fatale …
Olivier d'Abington
14 novembre 2019 @ 08:11
Chère Leonor,
Désolé, mais je vais encore me fâcher avec vous! :-)
Si, le français est encore une langue internationale (sans même parler de tous les pays encore francophones aujourd’hui…), toutes les grandes institutions internationales actuelles (U.E., N.U. etc. utilisent le français comme langue de communication, au même titre que l’anglais).
Par ailleurs, depuis le XVIIe siècle, il est « de rigueur » de connaître la langue de Molière (et non seulement la langue de Shakespeare) dans les sphères bien nées, et notamment dans les cours internationales.
Et c’est depuis cette époque que l’étiquette impose des menus en français (c’est aussi le cas à la cour impériale japonaise depuis la restauration de Meiji).
Il serait très étrange que quelqu’un n’ait pas réussi à « décrypter » le menu à une table aussi sélective… Une grande partie des diplomates invités à ce genre de dîners parlant en général couramment français (ou suffisamment pour comprendre un menu).
Seul une partie des Français hexagonaux semblent penser que le français « n’existe plus qu’en France » (autrement dit s’en plaignent et en même temps « l’espèrent »… En tant que signe « si distinctif » de la « déchéance » de la culture française dans le monde). Je dis « l’espèrent », car c’est un moyen de se plaindre davantage encore sur un état de fait qui pourrait parfaitement être contrecarré.
Oui, c’est vrai, le français a été en perte de vitesse ces 20 dernières années… Mais principalement en raison de politiques culturelles orchestrées par les divers gouvernements successifs de cette période (l’actuel inclus), et pas du tout par un manque d’attractivité de la part des étrangers, qui, pour beaucoup, restent très amoureux de notre langue et de notre culture.
Mais, les politiques culturelles de ces dernières années ont, en effet, des conséquences ravageuses sur le rayonnement de la culture française/francophone. Qui malgré tout se maintient, grâce à la force intrinsèque à la culture française.
Enfin, précision qui m’importe: surtout ne voyez dans mon message aucune attaque personnelle! je sais que beaucoup de Français pensent comme vous…
J’espère seulement pouvoir expliquer que cette vision n’est qu’un effet d’optique, qui ne reflète pas complètement la réalité internationale.
Sinon, par ailleurs, je suis entièrement d’accord avec vous sur l’aspect particulièrement alléchant de ce menu! :-))
Leonor
17 novembre 2019 @ 23:08
Ne vous inquiétez pas,Olivier . Vous et moi nous sommes si souvent fâchés et défâchés, que nous savons comment faire pour nous rabibocher en riant ! Car, ne sommes-nous pas là, sur ce site, d’abord pour échanger ? Tant qu’il n’y a pas d’attaque ad hominem, toute discussion me va, serait-elle musclée, pourvu qu’elle soit argumentée . .
Sur le fond, mon réalisme ne me permet pas de partager votre vision de l’influence du français,même si, dans certaines institutions, il demeure encore, THEORIQUEMENT langue officielle. Oui, le français était langue internationale et de culture aux XVIIe et XVIIIe siècle. Mais, déjà, la Révolution française, honnie ailleurs, a changé la donne, et Napoléon , considéré comme un tyran et un ogre partout ailleurs qu’en France, aussi. Le Congrès de Vienne, ce n’est pas en français qu’i s’est tenu …
La réalité des réalités, ami Olivier, que je vis et constate , c’est que l’anglais est devenu l’esperanto mondial.
Sauf en Afrique ( mais hormis en Afrique les anciennes colonies anglaises ) je vous l’accorde volontiers , où le français, oui, est resté , à côté des langues autochtones voire de l’arabe, langue courante et officielle.
Vous savez, ami, le français est tellement difficile à apprendre ….Plus illogique que ça, je ne vois pas.
Plus compliqué, je ne vois guère que le basque et le hongrois !
Je serai toujours prête à discuter avec vous, tant que nous restons de bonne foi.
Leonor
17 novembre 2019 @ 23:39
Alix-Emerente et Gérard, pour ce qui est des Bernadotte, c’est ma foi très possible aussi, en plus de la tradition hôtelière de l’emploi du français.
Pour ce qui est de l’invasion de l’anglais en France , par contre …
Si on peut y mettre un peu d’humour – cependant parfaitement documenté – disons que le français ou ce qu’il était jadis , a envahi l’anglais depuis bien plus longtemps que l’inverse .
Ainsi, custard vient de croustade, pedigree de pied de grue ( eh oui), kickshaw de quelque chose ( kekchose), puppy de poupée, fuel de fouaille ( qui alimente le foyer) , nurse de nourrice, handkerchief de couvre-chef, pudding de … boudin (!) , match ( allumette) de mèche, proud de preux, pattern de patron, etc, etc.
Last but not least (!) flirter nous revient en boomerang , puisque , à l’origine issu de fleureter , autrement dit, conter fleurette ! C’est-y pas bieau, ça ? ;-)
Vous savez, toutes les langues, toujours, partout, ont constamment échangé leurs concepts et leurs termes en même temps que leurs productions, leurs marchandises et leurs hommes. C’est un processus vivant, alerte, bien connu des linguistes. Ils savent aussi que vouloir figer une langue dans son passé, et dans ce qu’on imagine être une sorte de pureté, c’est contre-productif et, de toute façon, vain . On ne va pas contre la vie.
Et puis, après tout, le français n’est jamais qu’une évolution populaire du latin ! Mâtiné de surcroît de quantité d’importations germaniques puisque les Francs étaient , qu’on le veuille ou non, des Germains. Les Francs Saliens . Dont notre pays et notre langue , et notre précédente monnaie nationale portent le nom !
Je ne cherche pas à vous embêter, Olivier.
Simplement, je trouve passionnantes les langues et leur histoire – leur vraie histoire. Pas leur histoire idéalisée et nationalisée.
Sincèrement et cordialement
L.
Réf.
Henriette Walter – L’aventure des langues en Occident . leur origine, leurnhistoire, leur géographie . Laffont, 1994
Michel Malherbe – Les langages de l’humanité , Seghers 1983, rééd. Laffont coll. Bouquins 2004
Sarita
13 novembre 2019 @ 10:50
Tout cela m’a l’air parfaitement délicieux. Le chou kale frit c’est notre nouvelle coqueluche à la maison. On sépare les feuilles des côtes (au ciseau c’est plus rigolo), on melange avec de l’huile et du paprika doux, on met sous le grille et on sale. Ça fait de délicieux chips, parfait à l’apero ou pour parsemer une soupe au potiron.
Juliette d
13 novembre 2019 @ 15:13
Je vais m’inspirer de ce truc pour servir le kale Sarita.
Sarita
14 novembre 2019 @ 13:22
Bonjour Juliette, voilà la recette que j’avais trouvé :http://allrecipes.co.uk/recipe/13466/healthy-kale-crisps.aspx
Dans les commentaires, vous pourrez trouver plein de variantes dans les épices utilisées. Essayez, c’est rapide et franchement bon 😊
Leclercq
13 novembre 2019 @ 10:57
Exquis, en ce qui me concerne.
Menthe
13 novembre 2019 @ 11:04
Le chou kale, qui est un chou frisé non pommé, est très à la mode actuellement ! ne nous plaignons pas et invitons plus fréquemment les choux dans nos assiettes, il y tellement de variétés, pour tous les goûts.
Alinéas
13 novembre 2019 @ 11:19
J’en salive ; tout à fait dans mes goûts.. Et au niveau des vins ?!
Stef
14 novembre 2019 @ 08:11
Rully et Saint Emilion. Rien à ajouter !
Alinéas
14 novembre 2019 @ 20:08
Stef, merci pour cette petite précision.. Je vous souhaite une bonne soirée Alinéas
Zeugma
13 novembre 2019 @ 12:06
Les menus royaux sont souvent intéressants. La soupe à la citrouille est de saison. Viande (canard en l’occurrence) après le poisson : je pensais que ça ne se faisait plus. Le dessert n’est pas très engageant …. On ne servirait probablement pas du cheesecake pour terminer un déjeuner ou un dîner officiel en France.
Baboula
13 novembre 2019 @ 12:08
Tout me plairait, mais je cale sur le choux kalé .J’en ai préparé, je me suis appliquée, je l’ai massé tendrement, mais il a refusé d’être mangé cru ,alors je l’ai cuit et là c’est moi qui n’ai pas vu l’intérêt de manger ce truc .Et pourtant j’aime les choux, qui me le rendent bien .
Sarita
14 novembre 2019 @ 10:58
Je comprends Baboula, j’ai eu le même problème avec lui 😁 Outre la recette de chips, je le mets aussi dans les dhaal (plat indien aux lentilles) finement ciselé (juste les feuilles) ou bien dans un risotto de bulghur aux crevettes, là où avant je mettais des épinards. Il paraît que ça fait aussi un délicieux pesto, mais je n’ai jamais essayé.
Baboula
14 novembre 2019 @ 14:33
Je suis la reine du pesto ! Alors un pesto sans basilic se doit de trouver un autre nom . :-)
Sarita
15 novembre 2019 @ 11:29
Un kalesto? 😁
Baboula
16 novembre 2019 @ 10:58
Sarita,bien trouvé ! Mais je pense que la feuille de kale manque de souplesse pour être bien triturée . 😉
Esquiline
15 novembre 2019 @ 15:29
Le pesto alla genovese se fait évidemment avec du basilic!
Mais comme pestare signifie entre autre triturer à l’aide d’un lourd instrument, mettez des feuille de basilic, de rucola, d’épinard ou pourquoi pas de chou, dans un mortier et maltraitez-les avec un pilon et vous avez pestato!
Ajoutez de l’ail, de l’huile Evo, du parmesan ou du pecorino, des pignons ou des amandes et vous avez un pesto!
L’hérésie, selon les puristes, est d’utiliser un mixer ce que nous faisons pratiquement tous pour gagner du temps!
Baboula
16 novembre 2019 @ 10:52
Merci Esquiline d’éviter la guerre des pestos et même celles de pistous qui ont une étymologie semblable : pistare broyer .
Gibbs 😉
13 novembre 2019 @ 12:09
Le chou frisé, chou plume, chou vert, chou d’aigrette, chou frangé ou chou lacinié, est une variété de chou consommé comme légume et utilisé comme plante ornementale.
Ce chou fait partie des plantes commercialisées sous le nom de « chou kale ».
Sans accent à kale.
Robespierre
13 novembre 2019 @ 12:19
Pas mal du tout.
Francois
13 novembre 2019 @ 12:21
Ambiance Tres agreable
Luminosité comme autrefois
Et un air toujours Tres Français
Koko
13 novembre 2019 @ 13:41
Ca me plait, j’aurais bien voulu être invitée, j’aurais mis ma belle robe pour l’occasion.
Danielle
13 novembre 2019 @ 14:09
Repas de saison duquel je laisserais le potiron.
Cosmo
13 novembre 2019 @ 14:27
Les banquets se suivent et se ressemblent…
Du potiron et de la truffe ? Pauvre truffe, tubercule royal associé à une courge !
particule
13 novembre 2019 @ 14:47
Le menu est mangeable … je ne vois pas comment on peut décliner un potiron c’est une astuce de sorcière post Halloween.
Ellen
13 novembre 2019 @ 15:27
du canard sauvage !! je me damnerais pour en remanger un jour
Neillia
13 novembre 2019 @ 16:22
En français , on ne dit pas « poitrine de canard » mais « magret de canard », c’est la même chose, j’ignore pourquoi on utilise ce terme et d’où il vient.
Leonor
17 novembre 2019 @ 23:46
Votre question m’a interloquée.
En effet, d’où vient ce terme. J’ai été fouiner un peu. Voilà le résultat, relayé par ailleurs sur le site de l’Académie française :
« Quelle est la différence entre un filet de canard et un magret de canard ?
La différence vient du mode d’élevage. Il existe en effet différents types d’élevages de canards. Il y a les canards gras, élevés et engraissés notamment pour la production de foie gras, et il y a des canards dit « maigres », élevés pour leur viande.
La viande issue d’un canard maigre est moins tendre et savoureuse que celle d’un canard gras. D’ailleurs, seul le muscle pectoral provenant d’un canard gras peut prétendre à la dénomination « magret ».
Ce même muscle est vendu sous l’appellation « filet » lorsqu’il provient d’un canard maigre. D’autre part, pour pouvoir être estampillé « magret », ce muscle doit impérativement peser plus de 300g. Le label de qualité Label Rouge exige même un poids minimum de 350g.
Vous l’aurez compris, si vous souhaitez déguster une viande fondante et savoureuse, éviter le filet de canard (qui provient d’un canard maigre) et privilégiez un magret de canard label rouge. » Fin de citation.
Source : http://www.terres-paysannes.fr/quelle-difference-entre-filet-de-canard-et-magret-de-canard/
On va se coucher un peu moins bête, mais tout ça m’a donné faim ! ;-)
ciboulette
13 novembre 2019 @ 17:00
Je n’aime pas le canard et ne supporte pas le chou . Dommage !
Luiston de Borbléans
13 novembre 2019 @ 17:40
La France et les pays francophones vont être ravis de votre assertion. Pour la contrer, Nous avons la joie, l’honneur et l’avantage de vous fournir un lien qui répertorie toutes les organisations internationales utilisant la langue française, souvent à égalité avec l’anglais, parfois exclusivement.
https://www.google.com/search?client=ms-alps-full_mlt6735m_35gu_t_m0-ma&ei=1zDMXdyXO-3jgwf7z7DwBQ&q=ke+français+langie+officielle+de+combien+d%27organisation&oq=ke+français+langie+officielle+de+combien+d%27organisation&gs_l=mobile-gws-wiz-serp.12..33i22i29i30.4597.27301..30559…6.1..3.830.9464.0j9j25j5-2j1……0….1………0i71j0i13j0i8i13i30j0i13i30j33i160j46i13j0i22i30j0i22i10i30j33i21.H7xmrqA6KpQ
maman monique
13 novembre 2019 @ 18:57
Un menu très appétissant
Je laisse juste le chou kale
Celia72
13 novembre 2019 @ 21:13
L un des vins servis est un rully. Un village voisin du mien. Un regal !
j21
14 novembre 2019 @ 13:00
Voisin du mien aussi. Le Rully est toujours à ma table quand je reçois. Dommage que son prix est doublé en 10 ans. Le prix de sa reconnaissance.
Caroline
14 novembre 2019 @ 00:21
Très beau et très bon !!!
clementine1
14 novembre 2019 @ 06:38
le chou kale, un classique du Nord de l’Allemagne et de ma mère qui le cultivait dans son jardinet et qui n’avait jamais mis les pieds outre-Rhin.
DEB
14 novembre 2019 @ 13:31
Pour moi, un risotto est un plat en soi et n’a pas à être servi en accompagnement mais’ à part cela, tout me convient.
Esquiline
15 novembre 2019 @ 15:32
Pour le risotto, exact DEB!