Voici le menu servi au Palais royal de Stockholm ce 11 décembre 2018 en l’honneur des Prix Nobel. (Merci à Michèle – Copyright photo : Cour royale de Suède)
Soupe de homard au pernod avec des légumes croquants et de l’huile d’aneth
Omble rôti au four avec haricots jaunes grillés, crème de panais et pommes de terre sauce au beurre citronné
Selle de cerf de la chasse royale rôtie aux herbes avec ragoût de lentilles du Puy, topinambour et sauce sauvage à la truffe noire
Glace au four au goût de pommes d’hiver
L'Alsacienne
12 décembre 2018 @ 09:17
Menu gourmand. Si j’étais invitée, je laisserais le gibier, mais tout le reste me plairait.
Glace au four : je suppose qu’il s’agit d’un dessert genre omelette novégienne.
Baboula
12 décembre 2018 @ 09:18
Une omelette norvégienne ! Ça doit être une prouesse de la réussir pour tant de personnes . Combien de cerfs pour tous ces convives ? Elle n’est pas au menu mais à gauche on peut voir une dame d’honneur de la reine dans sa robe noire à croisillons dorés.
Teddy
12 décembre 2018 @ 09:40
L ouverture fastueuse du parlement a été sacrifiée pour la remise des Nobel
Recevoir ces invités coûte cher
La famille royale est revue en carrosse au parlement et assiste à m ouverture du parlement en tenue de ville sans bling bling le Roi ayant perdu tout pouvoir exécutif l intronisation de la reine victoria sera sans bling bling
Claude Patricia
12 décembre 2018 @ 15:35
J ai hâte de voir cela, mais pas quand-même d enterrer ses royaux parents.
Greg van N
12 décembre 2018 @ 10:01
c’est bien ils ont revisité les restes de la veille, pas de gaspillage!
J’adore les menus scandinaves avec du gibier !!!
Antoine
12 décembre 2018 @ 10:08
Je me réjouis de voir la lentille du Puy à l’honneur jusque sur les tables nordiques.
clementine1
12 décembre 2018 @ 10:16
une variante du dîner de l’Hôtel de Ville.
Danielle
12 décembre 2018 @ 10:29
Je laisse la crème de panais et le topinambour.
el malik
12 décembre 2018 @ 10:48
« Pernod » lentilles du Puy La France bien présente
et les vins? mystère……….
Pierre-Yves
12 décembre 2018 @ 10:52
Dans ce genre de banquet, on est condamné à ne causer qu’avec son voisin de gauche et celui de droite. Comment fait-on s’il s’avère vite qu’on a peu à se dire ? En plus, pas moyen de se lever pour aller converser trois minutes avec un ami assis plus loin. Tout ça me rendrait malheureux.
Menthe
12 décembre 2018 @ 11:08
Similitudes avec le dîner servi à l’Hôtel de Ville.
Leclercq
12 décembre 2018 @ 11:27
Excellent menu.
jocelyne D
12 décembre 2018 @ 11:59
quelle est la longueur de la table?
olivier kell
12 décembre 2018 @ 12:11
Quelqu’un pourrait-il m éclairer pour ce qui est du dessert ? Je vous remercie :-)
Michèle
13 décembre 2018 @ 00:44
Olivier Kell
Glace au four au goût de pommes d’hiver
Dessert cuit au four avec glace recouverte de meringue très ferme sur fond de Génoise ou biscuit. La glace congelée ne peut pas fondre quand la meringue n’est que rapidement dorée.
Michèle
maman monique
12 décembre 2018 @ 12:17
très bon menu,juste un peu lourd
Robespierre
12 décembre 2018 @ 12:20
si on veut gâcher mon potage de homard, on n’a qu’à y verser du pernod au lieu de cognac
Baboula
12 décembre 2018 @ 13:05
Et gâcher le Pernod ! Gloup !
Actarus
12 décembre 2018 @ 21:18
Je vous approuve. Ce serait corrompre le potage et nous sommes incorruptibles. ;-)
Mais j’ai trouvé pire comme menu ! ^^
https://www.facebook.com/SARcomtedePaname/posts/2076635792359794
Menthe
13 décembre 2018 @ 13:52
Trop drôle, Actarus !
Je prendrai le poisson pas né et profiterai du prix prohibitif accordé à une table de 8, qui veut m’accompagner ?
Ghislaine-Perrynn
12 décembre 2018 @ 14:45
Diantre-fichtre réunis du topinambour, du panais, du pernod , des lentilles , l’horreur pour ce qui me concerne , vue la tablée j’ose espérer que les toilettes royales sont nombreuses.
Attention la France , les maîtres-queux donnent dans de telles originalités actuellement que beaucoup d’entre nous évitent vos tables !
Ghsilaine-Perrynn
12 décembre 2018 @ 14:46
Il manque la soupe-a-la grimace , pas de prix Nobel de littérature cette année ….
Claude Patricia
12 décembre 2018 @ 15:39
J aime cuisiner, et un de mes films préférés est Julie et Julia. Une ode à notre gastronomie. Et fan de certaines émissions comme les carnets de Julie Andrieu, et les escapades de petirenaud.
dadouna
12 décembre 2018 @ 16:19
Je me réjouis de voir le Pernod…à la table de royaux…
bianca
13 décembre 2018 @ 15:46
Pour ma part je ne mange ni de cerf, ni de biche, ni sanglier, ni cheval, ni lièvre magnifiques animaux qui peuplent les forêts toutes proches !!!
Leonor
14 décembre 2018 @ 13:42
Oui, mais le sanglier peuple tellement les forêts qu’il les boulotte . Les cervidés aussi, qui, laissés en trop grand nombre, peuvent anéantir des forêts, en boulottant les bourgeons des jeunes plants au printemps.
Le problème étant, comme on sait, qu’ils n’ont plus de prédateurs naturels , puisque les hominidés stupides ont éliminé ceux-ci.
Mélusine
12 décembre 2018 @ 18:50
D’imaginer l’hécatombe de cerfs, ombles, homards (ébouillantés vivants) sacrifiés pour remplir les estomacs de tous ces convives me coupe l’appétit.
Par chance, je n’étais pas invitée ! ;)
j21
13 décembre 2018 @ 15:47
Mélusine régalez -vous de soja, de tofu, de pois chiches et autre lait de coco et laissez- nous apprécier, sans scrupule,foie gras, poissons, crustacés et autres volailles. Merci!
Corsica
12 décembre 2018 @ 19:19
Menu de dîner intéressant même si un peu trop copieux pour moi. J’aurais donc, comme l’Alsacienne, laissé le gibier mais goûté volontiers à ses accompagnements.
Michèle
13 décembre 2018 @ 10:19
jocelyne D
La galerie de Karl XI mesure 47 mètres de long et 6 mètres de large,
et peut recevoir 170 personnes.
Michèle
Leonor
14 décembre 2018 @ 13:45
La soupe au Pernod me laisse un peu dubitative. Le Rehrücken, par contre, est un grand classique . En Allemagne et Autriche, se sert classiquement avec airelles et poires légèrement cuites. Quant au panais, c’est très à la mode en ce moment, et c’est mérité.