Voici le menu du dîner de gala servi au Palais royal de Stockholm en l’honneur des Prix Nobel 2017. Le menu est comme vous pouvez le constater rédigé en français.
Terrine de foie gras, figue glacées au miel, brioche poêlée et herbes en salade
Filet de sandre du lac Hjälmaren rôti, sauce beurre blanc safrané, écrasé de pommes de terre au beurre noisette et pousses d’épinards sautées
Selle de chevreuil de la chasse royale, sauce poivre vert, broccolini poêlé, chou noir frit et céleri confit
Glace au four à la saveur de plaquebière
A noter que le broccolini est comme son nom l’indique de la famille du brocoli mais avec des tiges plus fines.
Et la plaquebière est un petit mûrier.
Nathetvoila
12 décembre 2017 @ 09:23
Miam ! Ce menu est extra, je resterai jusqu’au bout du dîner du coup !
philippe vii
13 décembre 2017 @ 08:16
C est La seule cérémonie fastueuse a la cour de Suède avec la cérémonie des noble et c est un coût pour l état suédois.
L ouverture du parlement avec le faste et bling-bling:soldat en armure fuademed et robes de cœur et voiles en dentelle et manche en hermines et sortie des regalias
Et ensuite un repas.
philippe vii
13 décembre 2017 @ 08:16
Nobels pardon
noelie bourbon
14 décembre 2017 @ 10:06
c est exact ,un enorme cout pour la Suede,,! en Norvege il y en avait un aussi pour le prix Nobel de la paix ,mais ils l ont suprimer en raison de l etonnement de Soeur Theresa ,qui trouvait cela etonnant et un peu sc andalise de voir toute cette nourriture alors que dans son pays les gens mourraient de faim,a cette epoque la (lus) dans PDV la totalite du repas lui a ete donner en plus de son prix et la Norvege ne fait plus de banquet du Nobel ,ca doit faire des economies pour le peuple ,,et c est tres bien ainsi,,!
philippe vii
13 décembre 2017 @ 08:17
Diademes pardon
lidia
13 décembre 2017 @ 08:55
Moi-aussi, j’apprécierais bien ce dîner !
Ghislaine-Perrynn
12 décembre 2017 @ 09:40
Mise à part la selle de chevreuil , ce menu me paraît raffiné.
framboiz 07
12 décembre 2017 @ 09:54
Plus raffiné que d’habitude , je crois ?Superbe table, on voit bien le coquetier Bernadotte !
Corsica
12 décembre 2017 @ 14:36
Les menus de la cour de Suède sont souvent raffinés. Dans celui-ci, je prends tout sauf la selle de chevreuil.
Robespierre
13 décembre 2017 @ 13:17
vous auriez pu me donner votre part car j’adore le chevreuil quand il est bien préparé.
Corsica
13 décembre 2017 @ 15:49
Mon cher Robi, je vous la laisse bien volontiers mais garde les légumes. La selle est délicieusement tendre et même si je ne mange plus vraiment de viande, j’aurais fait une exception mais avec l’entrée et le poisson, cela aurait été tout simplement trop pour moi.
Leonor
13 décembre 2017 @ 18:36
Et alors, une selle de chevreuil avec des airelles et des poires pochées, à l’allemande ou à la nordique, quelle merveille.
Le chevreuil, lui, évidemment… J’aurais du mal aussi à occire une aussi gracieuse petite bête. Cependant, on sait qu’ils en surnombre en maints endroits, puisqu’ils n’ont plus de prédateurs naturels.
Corsica
14 décembre 2017 @ 16:27
Amie Leonor, rien à voir avec la chasse mais tout avec le fait que je ne suis pas dotée du même solide appétit que vous ! :):)
lila
14 décembre 2017 @ 21:58
Chère corsica …
La selle de chevreuil est une viande esquise .
Le menu me convient … Paroles d’une végétarienne….
Goélette
13 décembre 2017 @ 10:03
Qu’est-ce que le coquetier Bernadotte?
framboiz 07
14 décembre 2017 @ 02:00
Goëlette ,
Jean Baptiste Bernadotte avait peur d’être assassiné par les amis de Napoléon, il ne mangeait – parait-il – que des œufs , d’où un coquetier sur la table, face à son assiette …
La tradition est restée, mais je ne l’avais jamais vu , sur la table , jusque ce repas des Nobel .
Goélette
15 décembre 2017 @ 14:04
merci framboiz07 mais j’ai beau regarder je ne vois pas de coquetier!
Robespierre
12 décembre 2017 @ 10:12
J’aurais aimé être invité.
Kalistéa
12 décembre 2017 @ 18:10
Tâchez d’obtenir le prix Nobel cher Roby et vous serez très certainement invité !
Muscate-Valeska de Lisabé
13 décembre 2017 @ 14:52
Et qui à votre bras,cher Rob?Allez…les aventures de Porky-Porky continuent! ;-))♡
Robespierre
14 décembre 2017 @ 17:32
A mon bras ? J’ai deux bras, ma charmante. Donc un bras pour vous et un bras pour notre prima donna Baboula qui nous a charmés avec ses tribulations conjugales et ses états d’âme, en Vénétie.
Muscate-Valeska de Lisabé
15 décembre 2017 @ 19:49
Vous allez en décevoir beaucoup,même si je me gonfle de fierté. ..beaucoup voudrait vous savoir mille-pattes,cher Rob,pour partager notre privilège. ..;’))♡
Bételgeuse70
12 décembre 2017 @ 10:14
Menu français donc : l’honneur est saut. Avec en prime quelques idées pour ceux/celles qui se creusent encore la cervelle à cause des fêtes de fin d’année.
Leonor
12 décembre 2017 @ 14:34
En haute gastronomie, les menus sont toujours écrits à la française. Vieille tradition.
Robespierre
17 décembre 2017 @ 10:58
Vous n’avez pas commenté les repas de notre voyage en Vénétie ce 12 decembre, pourtant vous étiez tout le temps au four et au moulin.
Antoine
12 décembre 2017 @ 10:32
L’ordinaire est nettement plus relevé que dans d’autres cours voisines. Les invités
traversent-ils un détecteur de métal en sortant..?
Jean Pierre
12 décembre 2017 @ 10:42
Une glace au four ?
Bon, encore un gewurtz avec le foie gras…même de chez Trimbach c’est inutile. Le « sucré » pour digérer la graisse du foie gras est déjà apporté par les figues et le miel.
Chez le même Trimbach, il vaut mieux casser sa tirelire pour un riesling.
Leonor
12 décembre 2017 @ 14:35
Suivez les conseils de Jean Pierre … Parole d’Alsacien.
Glace au four ? Peut-être est-ce une sorte d’omelette norvégienne, enfin, ce qu’on appelait ainsi lorsque c’était à la mode.
Evelyne
12 décembre 2017 @ 15:07
Un Gewurtz non « vieilles vignes » n’est généralement pas sucré et convient très bien au foie gras tandis qu’un vrai Riesling est trop dur pour ce mets, de mon avis en tout cas.
Ghislaine-Perrynn
13 décembre 2017 @ 18:22
Du mien aussi Evelyne. En revanche je l’apprécie beaucoup en accompagnement d’huîtres de Belon.
Kalistéa
12 décembre 2017 @ 18:08
Moi aussi je m’interroge sur la « glace au four » jean-Pierre! Y en aura-t-il au moins pour le lauréat ?
framboiz 07
12 décembre 2017 @ 18:13
Jean – Pierre ,
Champagne , c’est mieux, un Nobel, ça se fête au champagne ! Radins, les Suédois ?
Guy ,
Les robes , nous on regarde les robes !Mais, vous avez raison , plus les pampilles des lustres, les tapisseries, le décor, les Glaces , style Galeries des Glaces , les hommes élégants, ça doit être grandiose !
Bon, inutile de rêver , je ne risque pas d’être Nobel ou d’en épouser un !
A moins que…
Rêvons un peu !
Ambassadrice de N&R ???
Gibbs ??
13 décembre 2017 @ 12:21
Jean Pierre,
La glace au four me fait penser à l’omelette norvégienne.
Le fois gras : je n’en mange pas mais vous avez raison, trop de sucré tue le goût du foie gras (entier de préférence avec une pointe de fleur de sel et de poivre noir) et un bon rouge bien puissant aide à le digérer.
Personnellement, je ne retiendrai que l’entrée mais je mange peu et je n’aime pas le gibier.
anny
12 décembre 2017 @ 10:45
le menu est somptueux
Alinéas
12 décembre 2017 @ 10:54
Tout cela a l’air fort alléchant mais je ne sais pas si la saveur de la plaquebière soit à mon goût.. Et au niveau des vins ?
Gérard
12 décembre 2017 @ 19:02
Le premier vin est un Trimbach gewurztraminer de 2010. La maison Trimbach a commencé en 1626 avec l’établissement de Jean Trimbach à Riquewihr.
Jean-Frédéric Trimbach, né en 1811, fut nommé gourmet d’Hunawihr, c’est-à-dire qu’il vérifiait les vins destinés à l’exportation et il fut maire d’Hunawihr.
Ses descendants qui constituent la 13e génération, sont Hubert, ses neveux Jean et Pierre, et sa fille Anne, et produisent des vins secs, droits, racés, vivaces et fruités, élégants et équilibrés, avec de très beaux parfums épicés et floraux, et pour 2010 un seul gewurztraminer a été produit.
Il est selon Le Guide Bettane & Desseauve des Vins de France un gewurztraminer à la trame serrée, bien charpenté et bouqueté, une très belle bouteille.
Le deuxième vin, Les Songes de Magdelaine 2009 est un Saint-Émilion grand cru des Établissements Jean-Pierre Moueix provenant des secteurs d’Ausone et de Belair, autour du Château Magdelaine.
Issu principalement de vignes proches de la Dordogne, ce vin montre un élevage moderne quelque peu torréfié qui laisse place à la framboise mûre, au cassis et au cèdre et constitue un bordeaux racé et enrobé.
Pendant plus de deux siècles, le domaine a été la propriété de la famille Chatonnet et de ses héritiers. En 1952 après des difficultés liées aux maladies et au gel il fut acheté par les Établissements Jean-Pierre Moueix. Il fallut replanter. Et le cru parvint à être classé premier grand cru en 1958.
Le dernier vin est plus liquoreux puisque c’est un tokay doux 5 puttonyos qui a une teneur minimale en sucre de 120 g par litre et qui a vieilli au minimum trois ans dont deux en fût.
La richesse en sucre est mesurée en puttonyos, ce qui correspond à la quantité de grains nobles incorporés dans le vin clair.
Le tokay est le vin dont Louis XV aurait dit qu’il était Vinum Regum, Rex Vinorum.
Gibbs ??
13 décembre 2017 @ 12:23
Exact Alinéas !
Nous n’avons pas les vins qui accompagnent.
Actarus
12 décembre 2017 @ 11:03
J’adresse à la cour royale de Suède mes félicitations pour son respect des usages immémoriaux. ;-)
Laurent F
12 décembre 2017 @ 11:15
Noël avant l’heure !!
berton
12 décembre 2017 @ 11:15
Je veux bien de tout, sauf le chevreuil !
Laurent F
12 décembre 2017 @ 13:55
Vous avez tort, c’est fort bon pour qui aime le gibier.
DEB
12 décembre 2017 @ 11:17
Ah la glace au four !
Cela doit être surprenant !
Un rien m’amuse, je sais.
Baboula
12 décembre 2017 @ 12:42
En principe la glace au four est l’omelette norvégienne et c’est bien une glace surprise .
DEB
12 décembre 2017 @ 12:59
J’y avais pensé Baboula .
Comme quoi !
Gibbs ??
13 décembre 2017 @ 12:24
Baboula,
Je lis votre commentaire après avoir parlé de l’omelette norvégienne !
Baboula
13 décembre 2017 @ 13:10
Pas problème,Il y en a pour tout le monde .
framboiz 07
12 décembre 2017 @ 18:04
Genre omelette norvégienne, DEB ?
Antoine, les invités ont un carton et une pièce d’identité, quand je suis allée à l’Elysée, c’était comme ça, mais je n’avais pas reçu mon invitation, car j’avais écrit et tout s’est fait très vite, en 2 jours ! Donc, j’ai donné mon nom, voulu présenter ma carte , il me fut répondu, » non, merci, on vous attend! » , je suis allée vers la personne, qui m’attendait, qui m’a donné un badge (que j’ai gardé ) et il me fut dit , « allez directement au palais » , là , étonnement ..Et ce fut aussi simple que ça…
Je précise, c’était le jour du Noël des enfants , 3 semaines avant mon anniversaire , le jour de l’attentat chez Charlie et dans ma lettre ,il y avait des mots, qui prouvaient, que j’étais pas une plaisantine ,ils ont peut-être vérifié très vite , simplement en lisant le journal local , sur le net …
Maintenant, c’est différent , FHollande a tout resserré -je crois – et sans doute après ,aussi .Il le fallait !
Mais dans les raouts mondains officiels, c’est la norme, invitation + identité .
Je dis pas ça , pour « me la péter », mais je verrais bien en 2018 ,des amis invités « par la haute » comme on disait autrefois …(Comme on m’a parfois, ici demandé des renseignements , je raconte ça et )
Comme on arrive aux vœux , je Vous le souhaite , car ça fait toujours plaisir , et surtout à nos parents , qui se disent , « je l’ai pas trop mal éduquée, ma fille ! « .
Pourquoi cela ne nous arriverait-il pas, ici ou ailleurs ?
Pour Notre Régine, ça serait bien , un repas à Laeken !
Ou les noces de Harry ?
Tous mes vœux à Tous ! Bises !
Celia72
12 décembre 2017 @ 11:43
Quelle est belle notre langue française. Merci pour ce joli menu qui fait envie et pour les explications. Je ne connaissais pas le mot plaquebiere. Chouette, un nouveau mot appris aujourd’hui. Bonne journée a tous
francesca
12 décembre 2017 @ 20:32
Eh bien je viens d’apprendre que la plaquebière est une sorte de mûre des pays nordiques. Un repas que j’aurais apprécié de bout en bout.
Robespierre
14 décembre 2017 @ 17:34
Eh bien j’en ai mangé alors de la plaquebière, avec du renne quand j’ai été invité il y a longtemps chez des Scandinaves.
Pierre21
12 décembre 2017 @ 12:12
« Selle de chevreuil de la chasse royale », il y a encore des chasses royales ?..
Leonor
13 décembre 2017 @ 18:39
En France, il y a bien les chasses de la République …
Guy
12 décembre 2017 @ 12:40
Mis a part le pauvre chevreuil, tout est bien tentant, mais il n’y a pas que ce qui est dans les assiettes qui compte, la vaisselle, l’argenterie, les bougies, les fleurs, les bijoux, tout cela est somptueux pour la soirée la plus attendue de l’année a Stockholm.
Luc Martin
12 décembre 2017 @ 15:27
Et pourquoi pas pauvre sandre ???
j21
12 décembre 2017 @ 13:08
Le menu me plait beaucoup et …je ne fais pas la fine bouche pour le chevreuil.
Esquiline
12 décembre 2017 @ 13:26
J’aime les animaux mais je sais aussi que nous sommes omnivores tout comme le porc. J’ai longtemps boycotté la chasse puis j’ai réalisé que ces animaux, avant de mourir d’un coup de fusil par ceux pour qui tuer est une jouissance, ont eu une vie libre qui ne se serait pas nécessairement terminée par une mort douce.
En revanche je supporte mal les souffrances infligées aux animaux durant leur vie, batteries, promiscuité, antibiotiques et …. gavage.
Heureusement on peut maintenant choisir la viande d’animaux élevés dans des conditions plus naturelles.
Claudia
12 décembre 2017 @ 13:49
Je viens d’apprendre ce qu’était la plaquebière. Merci ! et quelle magnifique table.
Michèle Lobre
12 décembre 2017 @ 13:58
Tout est magnifique et appétissant. La table est splendide et le menu gastronomique surpasse ceux proposés à la cour du Danemark.
Leonor
12 décembre 2017 @ 14:36
Entre chou noir et plaquebière, je viens d’élargir mon lexique culinaire. merci !
Marie1
12 décembre 2017 @ 16:28
Belle table, menu alléchant hormis le chevreuil.
Aramis
12 décembre 2017 @ 16:34
On plaint le chevreuil et non le sandre ni l’oie… attendrissement discriminatoire. Quelle injustice… il est vrai que l’œil du sandre est rarement attendrissant tandis que le chevreuil avec son œil vif, son saut léger, sa serviette immaculée ….
Ceci étant, La selle de chevreuil est un mets délicieux ….
quant à mourir … que ce soit dans un abattoir en attendant son tour dans l’odeur du sang, ou au cœur de la nature, parmi les bruyères, au cours d’une chasse, je pense que la seconde solution est préférable…
Sauf à se passer carrément de toute viande ce qui est une option possible et respectable (mais aussi de poisson , car pas de raison de discriminer).
Leonor
13 décembre 2017 @ 18:41
Oui. Sur tous les points.
June
12 décembre 2017 @ 16:55
Les invités qui ne lisent pas le français doivent se demander ce qu’il vont manger…? ;)
Ceci dit, l’usage du français sur les menus de la cour de Suède est-il en hommage au bicentenaire de la dynastie Bernadotte ou est-ce un maintien pérenne ?
Leonor
13 décembre 2017 @ 18:41
Non. C’est un usage en gastronomie, que d’écrire les menus en français.
l'Alsacienne
12 décembre 2017 @ 16:55
Tout simplement somptueux.
Je relève Riesling de la maison Trimbach à Ribeauvillé. Bonne idée que de servir un riesling au lieu du sempiternel Gewurztraminer ou autre vin moelleux – sucré.
Cosmo
12 décembre 2017 @ 18:06
Enfin un menu digne de ce nom et bien tentant !
Robespierre
14 décembre 2017 @ 17:35
Ben oui, on n’est pas à la Cour du Danemark
Mary
12 décembre 2017 @ 18:51
C’est très bon,mais le poisson aurait suffi, on n’ en est plus au temps de servir poisson ET viande !
JAusten
12 décembre 2017 @ 20:01
menu bien plus raffiné que ceux des cours du Danemark et de Norvège. Maiiiiis là, j’aurais tiqué sur le plat principal ; le foie gras + figue + brioche c’est trop d’accompagnements sucrés pour un met aussi excellent mangé seul. Sinon la sandre et le chevreuil, je valide et le dessert : une vraie surprise que j’espère sans fruit confit.
Ellen
12 décembre 2017 @ 20:44
quand celui qui est en bout de table demande qu’on lui passe le sel, le repas est fini quand la salière arrive
Danielle
12 décembre 2017 @ 20:57
Tout me plait, de même que l’argenterie, la table et les fleurs, quel plaisir d’être invité.
Olivier d'Abington
13 décembre 2017 @ 00:27
Menu très alléchant!
Et qui souligne que TOUS les invités sont à même de le lire dans la langue de Molière!
Le « complexe » bien français avec les langues étrangères n’en est rendu que plus évident…
Caroline
13 décembre 2017 @ 00:44
A part la selle de chevreuil, j’aimerais tout manger avec le fameux vin d’Alsace. C’est un menu très bien presenté, merci pour votre explication sur le mot ‘ plaquebière ‘ !
marianne
13 décembre 2017 @ 07:11
La glace au four saveur plaquebière me laisse dubitative …
Ce genre de couteau ne me dit rien qui vaille pour couper sans effort .
Philippe Gain d'Enquin
13 décembre 2017 @ 12:46
D’une année à l’autre dans cette atypique cousinade, je me dis : « Mais où est Chantal? » Ami (e) si vous savez quelque chose, dites le nous, siou plait, siou plait
mirabelle
13 décembre 2017 @ 17:03
Je partage l’avis d’Esquiline et d’Aramis, le gibier a eu droit à une vie normale avant d’être chassé sauf…s’il s’agit d’animaux élevés en vue d’être lâchés dans la nature la vieille de la chasse ! Les bêtes viennent manger dans la main des chasseurs, ce qui n’est sans doute pas le cas des » chasses royales », je l’espère en tout cas!
Alinéas
13 décembre 2017 @ 18:30
Gérard,
Je vous remercie beaucoup pour ces lignes explicatives sur tous ces merveilleux vins..
Alinéas
noelie bourbon
14 décembre 2017 @ 10:18
quelqu un a dit dans ses commentaires? un menu a la francaise ,l honneur est sauf;,?,! pourquoi .? la Norvege ne sait pas faire des menus de gala norvegien? c est tres ;;;pedant,,! comme si les francais avaient la pretention d etre ,,,,,,,les meilleurs des meilleurs;,? j ai fais une fois un reveillons dans les annees 80/90,aved des plats des pays limitrophes ,et meme un plat de poissons norvegien ,puding anglais c est tres long a faire,! ,salade Suisse,fromage Hollandais,y avait aussi Espagne et Italie,,,et bien sur francais,, ca a plut a tous pour plus de 30 personnes,, bonnes fetes a tous,,
Corsica
14 décembre 2017 @ 16:33
Les internautes ne parlaient pas du tout de ce qu’il y avait dans l’assiette mais bien du menu en lui-même et de sa rédaction en français. En effet, la langue de Molière a été pendant des siècles la langue d’usage des menus royaux et princiers, peu importe la nationalité de l’hôte.