Munich, 2 octobre 1900, la duchesse Elisabeth en Bavière, fille du duc Charles Théodore et de l’infante Marie José de Portugal, épouse le prince Albert de Belgique, fils du comte de Flandre, appelé à succéder à son oncle le roi Léopold II.
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Juliette d
21 juin 2021 @ 03:50
A la lecture des menus il me vient toujours la même question: Régine, pouvez-vous connaitre le nombre d’invités qu’il y avait ã ces mariages, fiançailles, anniversaires ou autres réceptions? Merci.
JAusten
21 juin 2021 @ 08:12
Ma foi ! voilà un beau menu (Escoffier) avec pas mal de recherche ; il y en a pour tous les gouts ! Je m’attendais toutefois à une Bavaroise en dessert
Cosmo
21 juin 2021 @ 08:34
Une viande ça va, deux viandes c’est déjà beaucoup, trois viandes c’est bien trop et quatre viandes bonjour les dégâts !
Le saumon a du se sentir bien seul.
Leonor
21 juin 2021 @ 09:30
Le madère et le malaga ont longtemps été très à la mode. La mode est passée. Mais la saveur est restée. Je continue à aimer beaucoup ces deux vins.
Cosmo
21 juin 2021 @ 21:28
Moi aussi !
Philibert
21 juin 2021 @ 10:37
Saumon, boeuf, chevreuil, perdreau et chapon, à la suite : il fallait un estomac solide ou alors refuser certains plats…
Ciboulette
21 juin 2021 @ 18:22
Oui , trop de viandes à ce menu .
Baboula
21 juin 2021 @ 18:33
Ou le doggybag .
Anitra
21 juin 2021 @ 19:34
Il faut peut-être supposer
Anitra
21 juin 2021 @ 19:38
Pardon pour le comment avorté … Lire : il faut sans doute supposer que l’on en acceptait respectivement qu’une bouchée, et qu’on en laissait dans son assiette, c’était de bon usage.
Caroline
21 juin 2021 @ 22:08
Trop de viande…..! C’était donc l’ époque de manger beaucoup de plats de viande !!!
Carolus
22 juin 2021 @ 14:51
Sans remonter en 1900, je n’étais pas née 🙂, il y avait toujours plusieurs viandes aux déjeuners du dimanche, y compris le gibier en saison, et le poisson n’était qu’une entrée chaude.
Baboula
23 juin 2021 @ 12:35
Dans ma famille maternelle les jours de fête,il y avait toujours une viande rôtie,une viande bouillie et une viande en sauce avec les pâtes . Après les assortiments de charcuterie italienne faite par mon grand-père qui avait tué le cochon ,heureusement les légumes du jardin allégeaient l’addition calorique . Peu ont atteint l’âge de la retraite mais tous ont eu une hypertension record .Nous les enfants,faisions table à part .