Le 2 février 2002, Willem-Alexander épouse l’élue de son cœur, une jeune Argentine nommée Maxima. Après la cérémonie religieuse, le couple offrit à ses invités une réception au Palais royal d’Amsterdam.
La Cour des Pays-Bas suit la tradition qui consiste à rédiger les menus en français.
La tarte nuptiale dite « tarte de la mariée » fut découpée au sabre par le jeune couple. (Merci à Sophie Lbm pour cet article – Copyright photos : DR)
Caroline
31 juillet 2013 @ 12:10
Est-ce le chou rouge à la flamande?
Lool,la tarte nuptiale n’est pas assez haute par rapport à la ‘stature imposante’ du beau couple princier des Pays-Bas!
FLEUR
2 février 2022 @ 20:35
C’est une tarte nuptiale pas très jolie, comparée à celle de Meghan et Eugénie d’York, qui étaient splendides. Dans un autre genre celle de Sofia et Carl Philip moins spectaculaire avait l’air délicieuse.
Vu la petite taille de ce wedding cake, on se demande si chaque invité en a eu une part !
Jean Pierre
31 juillet 2013 @ 14:40
Voici le sabre de mon père !
Tu vas le mettre à ton côté !
Ton bras est fort, ton âme est fière,
Ce glaive sera bien porté !…
Quand papa s’en allait en guerre,
…….
Ben papa il est pas venu au mariage ! Il est resté en Argentine parce qu’il avait travaillé avec le général Boum Boum….
Francine du Canada
1 août 2013 @ 11:47
Excellent Jean Pierre; puisque vous le mentionnez, savez-vous ou quelqu’un sait-il qui a conduit Maxima à l’autel? J’ai vu des photos mais aucune de son entrée dans l’église. FdC
granie
2 août 2013 @ 00:31
elle était au bras de son futur mari
Francine du Canada
2 août 2013 @ 16:01
Merci granie. Bonne journée, FdC
Marie de Cessy
31 juillet 2013 @ 22:12
Miam, cela devait être un délicieux repas.
:)
Philibert
1 août 2013 @ 15:36
En effet, le chou rouge cuit aux pommes est un délice, que les français connaissent trop peu, hélàs !
Caroline
2 août 2013 @ 14:04
Philibert,surtout avec les marrons d’après la recette de feue ma grand-mère!Miam,miam,miam!
FLEUR
2 février 2022 @ 20:32
Ici en Alsace et depuis mes grands-parents, j’ai l’une ou l’autre fois en hiver, du chou-rouge au menu.
Ce qui me retient de le faire plus souvent, c’est le fait de devoir le râper, ce qui est une corvée dont je me passerais.
Je le cuis avec une pomme et du vin rouge, allongé d’un peu d’eau. Il m’arrive de rajouter un oignon piqué de clous de girofle.