Voici un menu qui fut servi à la Cour impériale de Russie sous le règne de Catherine II : Fricassée de langues de rossignols. Ragoût de lèvres et d’oreilles de cerfs. Yeux de bœufs en sauce, pour le réveil du matin. Lèvres d’élans à la crème fraiche, cuisses d’ours bouillies, tartes aux pigeons au four. A découvrir lors de l’exposition au château de Champs-de-Mars. Toute une poésie…
Luise
8 décembre 2017 @ 08:47
Terrible
DEB
8 décembre 2017 @ 08:56
J’imagine que les yeux, lèvres, oreilles etc passent aujourd’hui dans les pâtées pour chats et chiens.
Dans le livre de cuisine de ma grand-mère de 1903, il y a une recette de filet d’ours à la transylavienne.
Je ne savais pas que certains mangeaient de l’ours en France ou en Belgique à l’époque.
Clément II
12 décembre 2017 @ 01:18
Oh non, ces morceaux là nourrissent les poulets de batterie, via les poudres. Les pâtées pour chiens et chats sont composées de chutes de viande provenant des découpages de vos bavettes, rumstecks, etc. Egalement de pièces trop nerveuses (donc trop dures) pour être vendus en consommation humaine, ou encore des viandes d’animaux écartés de la consommation humaine pour raisons vétérinaires.
peri
8 décembre 2017 @ 09:01
c’est à se demander où finissaient les parties nobles de ces animaux
Iris Iris
8 décembre 2017 @ 09:03
Au petit déjeuner, aaaarghhhh … ?
Laurent F
8 décembre 2017 @ 09:06
Très peu pour moi, je préfère les diners de la cour danoise ou suédoise !
Clément II
12 décembre 2017 @ 01:20
Je ne suis pas certain que les menus des cours danoises ou suédoises du XVIIIème siècle soient très différents de ceux de la cour de Russie. La cuisine est comme la couture, elle suit des modes qui dépassent largement les frontières.
Elsi
8 décembre 2017 @ 09:12
Je n´aurais vraiment pas aime d´etre dans l´embarras de devoir decliner une invitation…..brrrrrr.
Un tel refus aurait peut-etre mene au fait que mon bout de nez aurait ete servi aux trois poivres …. ou ma mauvaise langue a la sauce Madeire….
noelie bourbon
8 décembre 2017 @ 09:32
pas degoutee l imperatrice ;des langues de rossignols et des yeux.? « »ce festin » » ferait fuir tout le monde aujourd huit,,et encore on ne connait pas tt;;!
Leonor
8 décembre 2017 @ 09:40
Intéressant, ce menu, très intéressant. Barbare, bien sûr, mais intéressant.
Catherine II était une fameuse bonne femme. Mais c’était un ogre. Un ogre pour la nourriture, pour la boisson, et pour le sexe. Pour le pouvoir aussi et surtout, bien sûr. Insatiable, la Grande Catherine.
teddy
10 décembre 2017 @ 09:50
Jusqu a la fin de sa vie elle était insatiable
monica
10 décembre 2017 @ 19:22
Léonor ??
Robespierre
8 décembre 2017 @ 09:40
Finalement, je crois que préfère encore la maigre pitance des diners officiels de Margrethe.
Mary
8 décembre 2017 @ 13:22
On est deux !
Muscate-Valeska de Lisabé
8 décembre 2017 @ 14:26
Tout est dégoûtant.Une abjection. Beurk.
Anna1
8 décembre 2017 @ 09:47
Rien qu’à la lecture je deviens végétarienne ?
Guy
8 décembre 2017 @ 10:17
Ils devaient rester des heures a table pour ingurgiter tout cela, a vomir rien que d’imaginer les yeux de bœuf en sauce et le ragout d’oreilles de cerf, pauvres bêtes qui finissent dans ces estomacs qui n’ont rien d’impériaux, j’espére qu’il avaient tous des dérangements intestinaux ensuite…
Clément II
12 décembre 2017 @ 01:25
De nos jours, les yeux de lapin se cuisinent encore mais ils n’ont plus leur consistance vitreuse naturelle. Par contre, sans jamais avoir testé (je suis assez peu « viandard »), il semble qu’ils prennent une texture assez croquante, pas forcément très agréable pour les non-initiés.
Quant aux oreilles de cerf, je ne pense pas que ça soit plus mauvais en ragoût, que les oreilles de cochons dans la soupe.
lidia
8 décembre 2017 @ 10:31
Ce menu ne me met pas en appétit …
Sila
8 décembre 2017 @ 10:37
Houla ! De grand matin… J’ai, disons, le cœur au bord des lèvres….
Pierre-Yves
8 décembre 2017 @ 10:42
On a l’impression d’être dans un film gore dissimulé derrière une apparence de raffinement extrême. Mais luxueux ou pas, c’est quand même assez terrifiant.
Robespierre
8 décembre 2017 @ 12:50
J’aurais pu à la rigueur me dévouer pour ne pas être envoyé en Sibérie, mais j’aurais calé aux yeux de boeuf…
AnneLise
9 décembre 2017 @ 19:52
Les yeux dans un bouillon de pot au feu, à la rigueur !
Mais là vraiment, non !
Baboula
10 décembre 2017 @ 04:22
Mais non voyez ça comme un trou normand…à la russe.
Clément II
12 décembre 2017 @ 01:25
Bien vu ! ?
teddy
10 décembre 2017 @ 09:52
Dans certains pays il mangent les parties intimes des animaux beurk!
AnneLise
10 décembre 2017 @ 19:03
Il me semble que la France fait partie de ces pays !
Ce que l’on appelle pudiquement les rognons blancs étant les testicules de bovins…
C’est une information pas une dégustation en ce qui me concerne.
Corsica
11 décembre 2017 @ 14:08
Bien connu aussi sous le joli nom d’amouretttes…
AnneLise
12 décembre 2017 @ 13:36
Il y en avait autrefois dans les bouchées à la reine non ?
En ce cas, j’en ai mangé… et m’en suis remise.
Comme quoi !
Corsica
13 décembre 2017 @ 16:06
AnneLise, l’appellation amourettes correspond à deux choses : les testicules mais aussi à la moelle épinière et c’est cette dernière qui était mise dans les bouchées à la reine.
Clément II
12 décembre 2017 @ 01:26
Ça se fait en France et en Belgique. Ce ne sont sûrement pas les seuls en Europe.
Ghighi
8 décembre 2017 @ 10:56
Les lèvres, des oreilles, des yeux, …Ca ne me met pas l’ eau à la bouche.
Baboula
10 décembre 2017 @ 04:24
Mais le cœur au bord des lèvres.
June
8 décembre 2017 @ 11:18
Excellent pour le régime, je n’aurais rien mangé ! ;)
COLETTE C.
8 décembre 2017 @ 12:01
Original !
Mayg
8 décembre 2017 @ 12:41
Beurk…
olivier Kell
8 décembre 2017 @ 12:57
Qui ose proposer ce menu pour les fêtes ? :-)
l'Alsacienne
8 décembre 2017 @ 13:26
ECOEURANT Rien que l’intitulé des plats me dégoûte.
Je préfèrerais de loin un plat frugal dans le genre pommes de terre et fromage blanc aux herbes.
Deb, il semblerait que la nourriture pour animaux soit contrôlée par les services vétérinaires. (il semblerait…)
.
Actarus
8 décembre 2017 @ 13:39
On ne mange plus de tels mets, cependant c’est en effet très poétique. ^^
Clémence
8 décembre 2017 @ 13:46
Pour aider à la digestion: https://www.youtube.com/watch?v=LQi2vLlporA
Du temps de Catherine II, on ne parlait pas de végétarisme / végétalisme. Gaia, Greenpeace et Ecolo n’existaient pas non plus…
Myriam
8 décembre 2017 @ 13:49
Dégueulasse. Ils ont massacré combien de bestioles pour ce menu répugnant.
particule
8 décembre 2017 @ 14:12
Et cela vous étonne que tous ces tzars , princes et consorts adoraient se dévorer entre eux !
Danielle
8 décembre 2017 @ 14:44
Une horreur !
clement
8 décembre 2017 @ 16:38
Des yeux d’animaux pour le petit-déjeuner ….crus ou cuits ?…..en tous cas bon appétit et bonne journée !
guizmo
8 décembre 2017 @ 17:09
Euh ! Je passe mon tour en espérant que pour le déjeuner les plats étaient plus affriolants.
Leonor
8 décembre 2017 @ 17:39
Vous êtes rigolos, tous, à faire les dégoûtés . ;-))
D’accord, les petits et gros animaux tués pour la satisfaction de notre bedaine, nous sommes nombreux à détester la chose.
Mais quoi, tout est affaire de culture.
Allez donc faire manger des escargots à des Américains, ou du lapin, ou du cheval.
Qui d’entre nous a déjà préparé des escargots à partir des bêtes vivantes ? C’est passablement dégoûtant, un escargot, du type limace !
Et puis, il faut les faire baver, les pauvres, et jeûner, avant le sacrifice.
Et une truite au bleu ? Un homard ? Un crabe ? Eux aussi plongés vivants dans l’eau bouillante, attachés sur une planchette. Si on vous faisait cela, hein ? La truite se tord, se raidit, c’est immonde à voir.
Et, franchement, fallait-il que les hominidés soient affamés, pour penser à manger des bigorneaux par exemple, ces petits machins tout enfoncés dans leurs coquilles . Or, les plateaux de » fruits de mer », un délice, non ?
J’ai une excellente recette de poumon et coeur de boeuf, marinés : c’est ancestral et délicieux. De tétine de vache, panée, et frite à la poêle : délicieux. De fressure en salade . De laitance de hareng. Qui en veut ?
Et puis, on mange bien des tripes ! Tripes à la mode de Caen, et andouillettes de Vire, un délice.
Sans compter l’ineffable foie gras ! Un foie , et malade ! Délire et délice franco-français. ( Mais avez-vous déjà gavé une oie, puis tuée ? )
Non, non, je vous assure, les yeux de mouton cuits dans la marga du couscous, et les criquets frits, c’est fameux.
Allons, question de culture, vous dis-je .
Muscate-Valeska de Lisabé
9 décembre 2017 @ 16:46
Non Léo…je sais que vous avez l’esprit large,mais cette fois je suis satisfaite que le mien soit très étroit, comme mon estomac quand je lis ça^^…pouah! :-(((
Corsica
9 décembre 2017 @ 18:44
Ah Leonor, tous les bas morceaux que vendaient autrefois les tripiers sont bien souvent excellents et de plus en plus de jeunes chefs les remettent au goût du jour dans un souci de ne rien perdre d’un animal. Quant à la cuisine lyonnaise, elle a su les mettre à l’honneur : tablier de sapeur ( fraise de bœuf panée), tripes, salade de museau, langue de veau sauce ravigote, salade d’oreilles de cochon etc. Et il m’arrive encore régulièrement de m’acheter aux Halles une portion de salade de museau, de tripes ou d’oreilles de cochon. Quant aux insectes frits, je suis d’accord avec vous, la plupart sont délicieux mais les gens refusent d’essayer. Bon week end.
Dans la série des langues, me revient un souvenir relativement récent d’un séjour au Québec où dans un restaurant de Gaspésie l’on nous avait servi des langues de morue. C’était très bon.
Leonor
10 décembre 2017 @ 19:25
Ah, Corsica, nous sommes donc au moins deux à avoir » la papille aventureuse », comme vous le dites si joliment !
Effectivement , l’art de la triperie se perd. C’est bien dommage, d’autant que ces morceaux dits à tort « bas-morceaux » renferment quantité de choses bonnes pour la santé ( j’ai oublié le détail, mais retenu l’idée).
Ah ? Des langues de morue ? Tiens, tiens, vais voir si je peux trouver cela.
En « France Centre-Ouest », on trouve à certaines saisons du foie de lotte, très facilement, en supermarché. Intriguée, j’ai essayé, en plusieurs recettes : fameux, fameux.
Pour les curieux : http://www.marmiton.org/recettes/recherche.aspx?aqt=foie-de-lotte
Les Romains assaisonnaient bien leurs plats de garum, une sorte de macération de viscères de poisson, assez proche du nuoc-mam asiatique.
Corsica
11 décembre 2017 @ 14:34
Ma chère Leonor, si vous ne trouvez pas de langues et joues de morues chez votre poissonnier et que vous voulez essayer, il y a une entreprise de Fécamp qui peut vous en expédier :
http://pecheurs-islande.eu/categories/morue-salee/
Je suppose que l’on doit aussi en trouver dans les épiceries desservant la communauté portugaise.
AnneLise
10 décembre 2017 @ 20:43
Vous répondant Corsica, mais englobant Leonor dans mon commentaire, je reconnais ne pas être très friande de tous les plats que vous énoncez l’une et l’autre, mais en revanche je conçois parfaitement que l’on puisse les aimer, et heureusement, car nombre de professions seraient réduites au chômage dans le cas contraire.
Simplement, je ne suis pas « viande » en règle générale et ce n’est pas par mode ou par « comestiblement correct », c’est comme ça.
Lorsque je suis invitée même si un plat ne me plait pas vraiment, j’en mange, en petite quantité, ce qui n’étonne personne car on me connait comme n’ayant pas un « solide coup de fourchette ».
Lorsque je suis à l’étranger, je goûte, après on voit…
Pour les langues de morue, j’aurais certainement apprécié, étant assez poisson sous toutes ses formes, les langues, connaît pas, mais les foies oui !
Bon, sur ce je vais dîner !
Corsica
11 décembre 2017 @ 14:42
AnneLise, depuis une vingtaine d’années, à la maison et par goût, je mange presque exclusivement du poisson ou d’autres produits de la mer, mais j’ai gardé beaucoup de plaisir à manger ces plats !
Muscate-Valeska de Lisabé
11 décembre 2017 @ 20:46
Ça me fiche les foies,de lire tout ça,mes amies…c’est moi qui vous le dis! ;-)♡
AnneLise
9 décembre 2017 @ 20:00
S’il vous plait, Leonor, je préfèrerais la recette du kouglof, du baeckoffe etc
Hélas, je l’avoue, un plateau de fruits de mer, je succombe, mais poumon, coeur, tétine non !
Et alors les yeux de mouton…
Même question de culture, je me contenterai de la semoule.
Mais je ne dénie à personne le droit d’aimer, quoi que …
Leonor
10 décembre 2017 @ 19:30
Ne vous sauvez pas, AnneLise, ne vous sauvez pas ! :-))
Kougelhopf et Baeckeoffe quand vous voulez ( quoique je dispose de peu de temps en ce moment, vu les obligations pâtissières de l’Avent).
Et je ne vous obligerai pas à manger mes harengs confits à l’huile et au thym… ;-)
AnneLise
11 décembre 2017 @ 13:04
Eh bien vos harengs, je prends !
Amicalement.
Baboula
11 décembre 2017 @ 17:53
Les harengs à toutes les recettes ,j’en veux bien .
Carole 007
11 décembre 2017 @ 10:31
je ne suis pas une délicate, je manque plein de cochonneries, pieds de porc, pâte de tête, salade de museau, langue de bœuf, tête de veau…
Mais pas les yeux Leonor, vous ne m’aurez pas sur ce coup là ?
Muscate-Valeska de Lisabé
11 décembre 2017 @ 20:47
Sérieusement, je ne reviendrai plus sur ce sujet,en parler me lève vraiment le coeur. Vite,une clémentine!
marianne
8 décembre 2017 @ 18:07
Quelle horreur ! Beurk beurk !
Une salade verte et 2 oeufs au plat me suffiront !
Quelle époque !
bianca
12 décembre 2017 @ 10:20
Troisième beurk pour moi aussi marianne, je ne mange pas de lapin, pas de gibier, pas de triperie…Je choisis comme vous le même menu !!!
Cosmo
8 décembre 2017 @ 18:12
Pas dégoûtés, la Grande Catherine, ses amants et ses courtisans…Aujourd’hui il faudrait mourir de faim pour ingurgiter ces horreurs et encore…
Nicole C 34
8 décembre 2017 @ 18:22
des langues de rossignols , combien en fallait-il pour une fricassée ! il y avait plus raffiné avec les tartes aux pigeons au four ….
Corsica
8 décembre 2017 @ 18:40
C’est curieux car depuis Pierre le Grand, le « must » pour l’aristocratie russe était d’avoir des chefs Français capables d’offrir des mets que l’on retrouvait sur les tables huppées d’Europe. De prime abord, ce menu ne m’inspire vraiment pas mais je suppose que ces plats étaient considérés comme des mets de choix extrêmement fins, donc même si je ne mange plus qu’exceptionnellement de la viande, je serais prête à goûter. Dans toutes mes pérégrinations, j’ai toujours eu la papille aventureuse, et comme je suis capable de faire abstraction de l’animal aussi mignon ou rebutant soit-il, je ne me permets de dire que je déteste, seulement après avoir testé.
Denis
8 décembre 2017 @ 19:26
Assez écoeurant !
Bambou
8 décembre 2017 @ 19:47
Quel horreur…!!!
Alinéas
8 décembre 2017 @ 21:30
Oh la la, rien que les yeux de bœufs en sauce pour le réveil du matin, j’en ai la nausée pour la journée..!
framboiz07
8 décembre 2017 @ 21:31
Halloween, c’est fini ! Quelle horreur !
Yannick
8 décembre 2017 @ 22:04
On mange bien de la langue de boeufs mais je n’ose imaginer le nombre d’oiseaux qu’il fallait sacrifier pour une fricassée de langues de rossignols, juste pour ce petit organe … Et j’espère que le reste des cerfs était consommé.
Margaux ?
9 décembre 2017 @ 08:48
C’est « hard » mais c’était la mode culinaire de l’époque, en Russie. De mémoire, les goûts n’étaient pas plus fameux en France, où l’on mangeait de l’ours, du faon… et (déjà) des grives.
Carole 007
9 décembre 2017 @ 14:28
Ça me donne une idée pour Noël ! ?
bianca
9 décembre 2017 @ 22:06
En matière de viande je suis très difficile, ne mange pas d’abats, de lapin, ni faisan, ni pigeon, ni sanglier, ni chevreuil, (impossible même si je suis invitée) je pense que les végétariens pourraient me souhaiter la bienvenue !!! Quant aux volailles de basse-cour, je suis comme le Général de Gaulle qui ne pouvait consommer des animaux de basse-cour qu’il aurait eu l’occasion de voir durant ces promenades…Son épouse devait les faire tuer en cachette (lecture de ses Mémoires ou bien « De Gaulle Mon Père »)
bianca
9 décembre 2017 @ 22:08
Oups : durant Ses promenades !!!
Louise.k
10 décembre 2017 @ 09:44
D’un coup, d’un seul, j’ai une furieuse envie de vomir…????
Margaux ?
10 décembre 2017 @ 21:53
Commentaire ridicule, car même si ça nous paraît « terrible », « affreux », etc ça devait être bon. Sinon ça n’aurait jamais été servi à une table impériale.
Louise.k
11 décembre 2017 @ 18:46
Mon commentaire est peut être ridicule, mais c’est ainsi. La grande Catherine ne détenait peut être pas le monopole du bien manger!
Clément II
14 décembre 2017 @ 01:29
Vous n’en savez rien, d’où le ridicule de votre commentaire.
Ghislaine-Perrynn
10 décembre 2017 @ 17:39
J’ai trouvé la panacée pour maigrir un peu avant les fêtes .
J’ai photocopié le menu de la Grande Catherine et je l’ai collé sur la porte de mon réfrigérateur .
Louise.k
11 décembre 2017 @ 18:48
Jai quelques kilos à perdre, je vais faire comme vous!!