Le dîner d’adieu fut organisé par les descendants des colons britanniques au Waldorf Astoria de New-York. Après le Bénédicité récité par l’évêque de New-York, la Reine et le président de l’association des pèlerins des Etats-Unis portèrent les toasts d’usage ; dans son discours, la Reine félicita ses hôtes pour leur action en faveur des liens d’amitié entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis.
Après les hymnes nationaux, le menu fut servi :
Soupe à la tortue de Caroline du Sud
Filet de loup de Long Island
Sauce au Champagne
Filet de bœuf sauce aux truffes
Beignets de pomme de terre
Haricots verts Amandine
Savarin au rhum façon Waldorf
Accompagné de nectarines de Californie
et de cerises de l’Oregon
Sauce Sabayon
Café haïtien
24 février 2012 @ 09:28
Ces sujets me donnent faim et me frustent autant que lorsque j’ai vu le film « le festin de Babette ».
24 février 2012 @ 09:59
La photo de presse donne l’impression que tout le monde est assis en rang comme dans l’amphithéâtre d’une université. Pas vraiment chaleureux pour un dîner, même d’Etat.
je suppose qu’avant de composer un menu, on se renseigne sur les goûts et les dégoûts des invités ? On en déduit donc que Sa Gracieuse M aime le loup et le rhum.
1 mars 2012 @ 10:45
Faudrait pas que le type derriere la reine éternue ou projette des morceaux de ragoût en mangeant !
24 février 2012 @ 11:42
Ce menu me semble raisonnable et copieux à la fois! N’oubliez pas qu’entre ces plats,on prononce de longs discours! Donc,les convives laissent reposer leur estomac pendant les ‘speech’,loool!
24 février 2012 @ 11:56
Oups…Soupe à la tortue, je n’aurai pas pû :(
Ca existe encore ?
24 février 2012 @ 16:03
loup et tortue??!!
25 février 2012 @ 01:08
Après la tête de veau à la tortue chez la reine Victoria voici la soupe à la tortue…j’en transpire:)Chez moi ma tortue court dans le jardin et s’appelle Caroline comme celle de Boule et Bill :)
26 février 2012 @ 18:59
…tiens pas de commentaires outrés de voir en 1957 la reine autant banqueter alors que les britanniques étaient rationnés.
çà nous change des critiques outrées sur les vacances princières à la montagne.
1 mars 2012 @ 12:29
En 1957, les Britanniques n’étaient plus rationnés depuis 1953 (sauf erreur de ma part)… mais beaucoup étaient dans la dèche en effet.
1 mars 2012 @ 09:14
Et c’est vous qui parlez de critiques outrées, cher AUBERT!
Allons allons!…Sortez donc des écuries et allez prendre l’air!