En la Basilique de Saint Pierre et Saint Paul de Souvigny, ont assisté à une messe le prince Louis de Bourbon, chef de la Maison de Bourbon, le prince Charles-Louis d’Orléans, duc de Chartres et son épouse Iléana ; le duc et la duchesse de Séville, la princesse Anne de Bourbon-Deux-Siciles; le prince Charles Henri de Lobkowicz (à l’initiative de cette rencontre des différentes branches de la famille) et sa mère la princesse Françoise de Bourbon-Parme, la comtesse Anne-Laure de Bourbon-Busset et le prince Michel de Yougoslavie. (Merci à Pierre B. – Copyright photo : getty images)
marielouise
21 septembre 2015 @ 12:06
Une messe qui a rassemblé les Bourbons et les Orléans……cela vaut une Messe!
La jeune femme au premier plan est ravissante ,l’un n’empêche pas l’autre!
Radotage de ml!
Juanito
22 septembre 2015 @ 08:59
Les Orléans sont issus par les mâles de Monsieur, frère du roi Louis XIV, par conséquent à partir du moment où les descendants de Louis XIV sont des Bourbons, les descendants de son frère le sont aussi! Ce n’est pas parce que les descendants de Monsieur, duc d’Orléans et frère du roi Louis XIV, portent le nom d’Orléans, qui en réalité n’est pas leur nom de famille mais celui de leur apanage le duché d’Orléans, que les Orléans ne sont pas des Bourbons, qu’ils portent ou pas le nom de Bourbon, les Orléans étant les descendants directs en ligne masculine de Monsieur, frère du roi Louis XIV, ils sont des Bourbons, avec ou sans ce nom, que ça plaise ou pas, qu’ils soient des gens brillants ou des ratés, car il en va des familles royales comme dans celles du commun où l’on trouve de tout pour faire notre monde, chaque descendant de Monsieur frère de Louis XIV est un descendant de la dynastie des Bourbons. Leur généalogie est là pour le prouver!
Gustave de Montréal
22 septembre 2015 @ 12:10
la Maison de Bourbon-Orléans.
Naucratis
22 septembre 2015 @ 15:40
Le nom de famille des Orléans est Orléans et non Bourbon. L’état-civil est formel.
La justice française a d’ailleurs très logiquement débouté Henri d’Orléans de ses prétentions ridicules à se faire appeler « Bourbon-Orléans ».
JAY
22 septembre 2015 @ 17:56
Tres juste et bien écrit
Charles
23 septembre 2015 @ 09:02
Les Princes d’Orléans sont des Bourbons puisqu’ils déscendent de père en fils de Henri IV
Lady Chatturlante
23 septembre 2015 @ 13:20
Je me demande pourquoi ils s’appellent Bourbon, d’ailleurs. J’ai fait des recherches, car je ne suis pas blonde, et j’ai lu que les branches prenaient le nom de leur apanage. Or, Henri IV ayant d’abord été Henri III roi de Navarre, logiquement tous ses descendants devraient s’appeler « de Navarre », et en fin de compte, les seuls Bourbons subsistants seraient les Busset et les Châlus.
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 22:05
My Lady, la Navarre n’était pas un apanage, mais l’héritage de la Maison d’Albret, le Bourbonnais n’était d’ailleurs pas un apanage non plus. Les règles pour les noms et leur transmission se sont fixées sous Louis XIV. Henri IV était de la branche de Bourbon-Vendôme, devenue Bourbon tout court après la disparition des branches aînées légitimes dont celle du fameux prince évêque de Liège ancêtre des Bourbon-Busset et celle du connétable Charles de Bourbon
Gérard
24 septembre 2015 @ 10:56
La Navarre n’était pas un apanage pour Henri IV, c’était un royaume qu’il tenait de sa mère et uniquement d’elle et ce n’est qu’après Henri IV que la France et la Navarre ont été réunies sous Louis XIII (II de Navarre, Ier de Béarn) par l’édit du 28 octobre 1620, avec la vicomté de Béarn, la seigneurie de Donezan et les droits de coprince d’Andorre (édit de Louis XIII de glorieuse mémoire du mois d’octobre 1620 par lequel il a uni le Royaume de Navarre et la souveraineté de Béarn à la couronne de France, avec réserve expresse de leurs fors, droits, franchises et immunités qui seront inviolablement gardés et observés).
Lady Chatturlante
24 septembre 2015 @ 17:36
Merci de vos précisions, messieurs.
Je m’y perds un peu avec ces histoires de patronymes. Le mien a changé tellement souvent du fait de mes nombreux mariages, que je ne me souviens avec précision que de mon nom de jeune fille.
Gérard
23 septembre 2015 @ 19:48
La Justice l’a dit d’ailleurs car elle plus cultivée et avisée que certains mais a estimé que la prise du nom d’Orléans était suffisamment ancienne pour s’en tenir là. C’est une jurisprudence constante après trois siècles de non usage.
Gérard
24 septembre 2015 @ 17:44
Rappelons à cet égard ce qui a été dit par la Cour de Cassation, première chambre civile, le 30 septembre 2003, dans cette affaire :
« Mais attendu que si la possession loyale et prolongée d’un nom ne fait pas obstacle en principe à ce que celui qui le porte, renonçant à s’en prévaloir, revendique le nom de ses ancêtres, il appartient alors au juge, en considération, notamment, de la durée respective et de l’ancienneté des possessions invoquées, ainsi que des circonstances dans lesquelles elles se sont succédé, d’apprécier s’il y a lieu d’accueillir cette revendication ;
Attendu qu’en l’espèce, par motifs adoptés, la cour d’appel a souverainement estimé que c’était volontairement que le nom d’Orléans avait été substitué à celui de Bourbon par le fils cadet de Louis XIII et tous ses descendants qui avaient ainsi abandonné le nom de Bourbon et que cette volonté de porter le nom d’Orléans avait été confirmée par le roi Louis-Philippe lors de son accession au trône ; que, par des seuls motifs, elle a légalement justifié sa décision ;
Par ces motifs : Rejette le pourvoi ; »
AUDOUIN
24 septembre 2015 @ 18:23
Ce que vous omettez d’ajouter, Gérard, c’est l »attendu de l’arrêt du 1er février 2000 de la 1ère chambre civile de la Cour d’appel de Paris dans lequel elle déclare que » la requête de M.Henri d’Orléans n’était qu’un prétexte pour faire trancher une querelle dynastique dont l’issue ne peut trouver une solution de nature judiciaire. ».
De toute façon, Monsieur, frère du Roi, Fils de France, duc d’Orléans, ne pouvait transmettre à sa postérité le nom de Bourbon qu’il n’a jamais porté.
AUDOUIN
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 07:15
De père en fils, sauf ceux qui descendent de Philippe Égalité qui a affirmé être le bâtard d’un palefrenier.
Gérard
28 septembre 2015 @ 15:51
L’ADN a démontré le contraire !
Sigismond
28 septembre 2015 @ 16:59
L’ADN a parlé du côté du duc de Nemours et de sa descendance Orléans et Bragance, mais pas du côté de son frère aîné le duc de Chartres et de sa descendance, Gérard.
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 18:18
Risible ! Démontrez le avec une étude scientifique et on en reparlera. Il est tout de même rare de s’affirmer soi-même bâtard lorsqu’on est prince du Sang, Philippe Égalité l’a fait, ce n’est pas rien.
Gérard
29 septembre 2015 @ 17:59
Les Orléans-Bragance descendent de Philippe évidemment.
Sigismond
30 septembre 2015 @ 08:06
Certes Gérard, les Orléans et Bragance descendent de Louis-Philippe et de Philippe Égalité, qui eux-mêmes descendaient de Louis XIII, l’ADN a parlé. Mais ce qui n’a pas été étudié, c’est l’ADN du fils aîné de Louis-Philippe, ainsi que celui de Robert (1840-1910), pseudo-« duc de Chartres », ainsi que celui de Jean (1874-1940), pseudo-« duc de Guise », et celui du fils de ce dernier. Ce qui permettrait de lever certains doutes.
Prince de Condé
2 octobre 2015 @ 01:17
En bref il y a les Bourbons légitimes et les Bourbons régicides !
Charles
22 septembre 2015 @ 10:15
marie louise
C’est en fait une réunion de Bourbons, puisque les princes de la Maison d’Orléans sont des avant tout des Bourbons.!
Laurent 61
22 septembre 2015 @ 13:29
Charles, tout est dit en 3 lignes…Mais les autoproclamés « légitimistes » (nous savons bien où se trouve la vrai légitimité) sont impossible à raisonner puisqu’ils confondent tout et mélangent tout volontairement !
Naucratis
22 septembre 2015 @ 15:41
Charles se trompe. Ils s’appellent Orléans et non Bourbon, ce qui les fait enrager cela va de soi.
Aramis
23 septembre 2015 @ 07:28
En même temps cela les distingue de tous ces Bourbons d’Europe….Orléans, c’est la marque des Bourbons de France, des Bourbons dynastes en France.
Ceci étant sur la vidéo on voit que Luis/louis est plutôt grand…je ne le pensais pas d’aussi belle stature. Quand on a autant d’atouts dans son jeu, quel dommage d’usurper un titre et des positions dynastiques invraisemblables !
Ceci dit comme ça marche, pourquoi s’en priver ?
Naucratis
23 septembre 2015 @ 13:27
Aramis se lance à son tour dans les incantations. Il prend facilement ses désirs pour la réalité !
Gérard
23 septembre 2015 @ 19:55
Peut-être une part d’amour filial et un peu d’ego ou le petit regret quand même de n’être pas sur le trône madrilène…
Roch
23 septembre 2015 @ 12:54
Les princes d’Orléans sont les Bourbons Français.
Hélène
23 septembre 2015 @ 14:49
les Orléans appartiennent à la grande famille des Bourbons, ils sont aujourd’hui les héritiers directs des rois de France
AUDOUIN
22 septembre 2015 @ 16:37
…des « Bourbons », Charles, à qui la Justice, saisie par Henri d’Orléans en personne, a refusé le droit de substituer à son patronyme d’Orléans celui de Bourbon (arrêt de la Cour de Cassation du 30 septembre2003).
AUDOUIN
AUDOUIN
22 septembre 2015 @ 16:54
erratum:
…a refusé le droit de substituer à LEUR patronyme d’Orléans celui de Bourbon…
aubert
23 septembre 2015 @ 09:58
la justice la République est votre référence. Les traités signés par Louis XIV et Philippe duc d’Anjou devenu roi d’Espagne sont sans valeur. Voila qui est original !! Est-ce une profession de foi républicaine ?
Naucratis
23 septembre 2015 @ 13:28
Non, les Orleans ne se sont jamais appelés Bourbons puisque le premier d’entre eux était Philippe de France, duc d’Orleans, frère de Louis XIV!
AUDOUIN
23 septembre 2015 @ 13:29
Aubert
La justice républicaine n’est pas ma « référence » mais celle du prétendant de la branche cadette. Vous faites semblant d’ oublier que ce n’est pas moi qui ai saisi la justice républicaine mais Henri d’Orléans…Il n’a, le « pôvre », qu’à s’en prendre à lui-même s’il a perdu le ridicule procès qu’il avait engagé…
AUDOUIN
Mayg
23 septembre 2015 @ 13:34
En même temps la France étant une République, il va de soit que la justice soit une référence. Alors que lorsque la France était une monarchie, la coutume et les lois fondamentales du royauté faisaient foi en terme dynastique…
Gérard
23 septembre 2015 @ 19:59
Le premier d’entre eux n’était-il un lointain seigneur franc ?
Roch
23 septembre 2015 @ 12:56
Comment pourrait-il en être autrement puisque tous les princes d’Orléans descendant de mâle en mâle du roi Henri IV, fondateur de la dynastie des Bourbons
Hélène
23 septembre 2015 @ 14:50
Pauvre Audouin, si vous n’avez que la justice comme argument, cela est bien minable de votre part.
Naucratis
23 septembre 2015 @ 15:54
Du calme Hélène, vous n’êtes plus à la criée !
AUDOUIN
23 septembre 2015 @ 17:01
Vous ne comprenez donc rien, ma pauvre Hélène? Il ne s’agit pas d’un argument. Il s’agit d’une décision judiciaire. Qui, je vous le demande, a tenté d’instrumentaliser la Justice française si ce n’est Henri d’Orléans qui voulait se débarrasser, comme on se défait d’une guenille, d’un nom qu’il jugeait probablement difficile à porter depuis qu’il a été tristement illustré par un régicide et un roi usurpateur? Il voulait s’appeler Bourbon pour se donner des airs de prétendant légitime et se couvrir de lys. La Justice française l’a envoyé sur les roses, jugeant sa prétention incongrue non fondée en droit…
AUDOUIN
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 18:49
La justice, humaine ou divine, royale ou contemporaine, n’est pas un argument minable. Je me demande bien pour qui vous vous prenez pour balayer d’un revers de la main une décision de la justice française.
D’autre part, si on exclu cette justice parce que républicaine – ce qui serait parfaitement rétrograde – même en terme de lois fondamentales et de coutume, rien ne donne de droits à la couronne aux Orléans, en tous cas pas de droits autres que ceux qui leurs reviennent en qualité de branche cadette et éloignée de la Maison de France. Rien. D’ailleurs si on s’en tenait aux renonciations, celle de Philippe Égalité n’est pas mal dans son genre, mais les thuriféraires de Riton et Jeannot on tendance à passer ce détail sous silence ;-)
Emeline
23 septembre 2015 @ 22:53
La justice peut être un argument tout à fait valable, Helene. D’autant plus que vous n’en présentez aucun.
Mayg
24 septembre 2015 @ 13:18
Lui au moins à un argument contrairement à certains…
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:48
Il n’y a aucune renonciation véritable de Philippe Egalité et quand bien même il y en aurait une sous l’effet de la peur elle serait nulle et ne s’étendrait en tout cas pas à ses descendants qui étaient déjà vivants. Il n’y a en fait qu’une simple déclaration à l’Assemblée dans laquelle il dit qu’il pourrait renoncer si nécessaire à ses droits ce qu’il ne fera jamais.
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 07:21
Ah parce que renoncer au trône pour rétablir la paix et mettre fin à une longue guerre, le tout sous la menace d’ennemis mortels c’est un acte valable, mais la même chose pour tenter d’usurper le trône et flatter le vulgaire, pas de problème?
Philippe Egalité se disait lui même fils du palefrenier de son père, iln’avait donc aucun droit à hériter du trône, et ses descendants non plus du fait de l’illégitimité revendiquée par cet ancêtre pervers.
Nemausus
28 septembre 2015 @ 07:29
L’argument de Gérard d’une non validité d’une renonciation signée sous l’effet de la peur est une nouvelle théorie intéressante. Celle de Philippe V a été faite sous la contrainte de la guerre et la peur de sa continuation…. donc elle est tout autant nulle que celle de Philippe Egalité car ce qui vaut pour les Orléans vaut aussi pour les autres !
Gérard
28 septembre 2015 @ 15:54
Il n’y a eu aucune renonciation écrite ni même verbale de Philippe ! En revanche Philippe d’Anjou a renoncé avec le maximum de serments requis !
Gérard
28 septembre 2015 @ 17:21
Dans un cas la crainte d’avoir la tête coupée et dans l’autre celle d’être roi d’Espagne et des Indes…
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 19:03
Philippe Égalité a renoncé à sa légitimité et donc au trône de France e s’affirmant fils du palefrenier de son père. IL se dit lui même bâtard, cela constitue une belle renonciation !
Aucun serment, même sur les Évangiles ne peut contraindre les Lois Fondamentales du Royaume et encore moins la volonté de la Divine Providence, mon brave ;-)
AUDOUIN
28 septembre 2015 @ 19:05
Le 7 décembre 1792, le citoyen Egalité écrivit une lettre dans le Moniteur, afin de démentir la clameur publique qui le dénonçait comme aspirant au trône.
» Plusieurs journaux, disait-il dans cette lettre, affectent de publier que, dans le cas où Louis XVI ne serait plus, je suis placé derrière le rideau pour mettre mon fils ou moi a la tête du gouvernement.
Je ne crois pas, Messieurs, que vos comités entendent priver aucun parent du roi d’opter entre la qualité de citoyen français et l’expectative soit prochaine, soit éloignée du trône ; je conclus donc à ce que vous rejetiez purement et simplement l’article de vos comités, mais, dans le cas où vous l’adopteriez, je déclare que je déposerai sur le bureau ma renonciation formelle aux droits de membre de la dynastie régnante, pour m’en tenir à ceux de citoyen français. Mes enfants sont prêts à signer de leur sang qu’ils sont dans les mêmes sentiments que moi »
Nemausus
30 septembre 2015 @ 08:19
la mauvaise foi de Gérard à l’état pur étalée ici…. la renonciation de Philippe Egalité fut enregistrée et considérée comme telle à l’assemblée nationale…. et la représentation nationale élue a bien plus de valeur que les évangiles ! quant au serment sur les évangiles, tous les traités sous l’ancien régime l’étaient et pourtant ils ont été le plus souvent bafoués quand il s’agissait de l’intérêt de l’état (notamment concernant le traité de Troyes excluant Charles VII de la succession au trône au profit du roi d’Angleterre) …. vos évangiles servent uniquement à la solennité mais n’ont jamais contraints les hommes car nous ne sommes pas un état théocratique où seule la loi de l’église prévaut….et heureusement sinon nous serions au moyen-âge comme sont en train d’y retourner certains états !
Gérard
2 octobre 2015 @ 21:46
Mes Évangiles ! Ah ils sont beaux les pseudo légitimistes ! Des diablotins plutôt !
Francine du Canada
23 septembre 2015 @ 21:06
À vous lire Audouin, on croirait que vous étiez Juge à la Cour de Cassation en 2003? Nous savons pourtant que vous n’êtes qu’un « petit journaleux de Commune » ;-)))
AUDOUIN
24 septembre 2015 @ 12:40
Comme dirait Rachida Dati, « vous êtes pathétique, ma pauvre fille… ».
Mayg
24 septembre 2015 @ 13:20
« petit journaleux de Commune » ? Vos commentaires ne sont une fois de plus qu’insultes et manque de respect envers les autres intervenants !
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:41
Francine vous êtes la fille d’Audouin ?
Naucratis
25 septembre 2015 @ 11:33
Francine du Canada ne comprend rien, commente tout à tort et à travers…
Nihil novi sub sole…
Nemausus
28 septembre 2015 @ 07:31
Un juge est sans aucun doute possible beaucoup plus crédible que vos commentaires sans intérêts et dépourvus de la moindre réflexion !
Lady Chatturlante
21 septembre 2015 @ 13:44
C’est comme à l’école : les petits devant, les grands derrière.
jul
21 septembre 2015 @ 14:12
Cela fait très plaisir de voir toutes les branches de la Maison de France représentées lors de ces retrouvailles dans le Bourbonnais.
JAY
21 septembre 2015 @ 14:49
Belle initiative ….. mais quel est le sens a tout ca …..?
Les branches diverses n ont plus vraiment de lien ensemble
Tessa
22 septembre 2015 @ 14:01
Bonjour JAY !
Une grande famille qui se retrouve !
Il n’est jamais trop tard pour faire bien !
Bonne journée partagée entre soleil et nuages , à Paris !
Naucratis
21 septembre 2015 @ 15:30
Il est très agréable de voir des représentants des différentes branches de la Maison de France autour de son chef, le duc d’Anjou, aîné des Capétiens.
Gérard
22 septembre 2015 @ 09:25
Le chef de la maison de France était bien sûr représenté comme on l’a vu par le duc de Chartres.
Naucratis
22 septembre 2015 @ 15:43
Message partisan. Si la Maison de France est représentée par la Maison de Bourbon, seul le chef de cette dernière est chef de la Maison de France et il s’agit du duc d’Anjou. N’inventez pas les règles qui vous arrangent.
Roch
23 septembre 2015 @ 12:57
Bien sur le chef de la famille de France était représenté par ses neveux le duc et la duchesse de Chartres.
Hélène
23 septembre 2015 @ 14:51
La famille de France était représentée par le prince Charles Louis et son épouse Iléana
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 22:06
Le Duc de Chartres , je ne vois pas François d’Orléans sur cette photo…
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:40
Je suppose que vous ne verriez même pas le pape s’il était devant vous.
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 19:05
Oh vous savez, je l’ai vu assez souvent et d’assez près pour ne pas me tromper.) Marrants vos propos de valetaille qui se sent pousser des ailes pour l’insulte ;-)
Gérard
29 septembre 2015 @ 17:56
Vous n’êtes décidément qu’un faquin auquel j’ai fait trop d’honneur en répondant et la fréquentation du Saint Père n’a guère servir à vous évangéliser ou du moins à vous civiliser. Vos grands airs ridicules ne trompent personne et ne vous transformeront pas en gentilhomme ni même en majordome.
Laurent 61
22 septembre 2015 @ 13:22
C’est ce que l’on appelle la « méthode Coué », selon laquelle nos pensées et actes sont dictés par notre imagination…
Il n’y a que dans votre imagination que le prince espagnol Luis-Alfonso est « chef », revenez à la réalité il n’est chef de rien, quand à sa qualité d’aîné, rien n’est moins sûr : je vous conseille de lire attentivement le cahier spécial du magasine Point de Vue consacré au Bourbons d’Espagne…
AUDOUIN
23 septembre 2015 @ 13:12
Laurent 61
Si votre seule référence en matière de droit dynastique est le magazine « pipole » ultra orléaniste Point de vue, alors vous avez de sérieuses lacunes à combler….
AUDOUIN
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:09
Cette revue de Philippe Delorme est bien faite et bien illustrée et contient souvent des informations inédites mais là notre ami fait allusion au couple Isabelle II et François d’Assise lequel comme on le sait n’était pas un saint mais était plutôt complaisant tout de même. C’est de l’histoire.
Nemausus
28 septembre 2015 @ 07:32
Cette revue est partisane des Orléans comme tout le monde le sait donc dénuée de toute crédibilité et impartialité attendue pour un magasine !
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 18:53
Et quand bien même, il y a bien d’autres princes descendants de Philippe duc d’Anjou qui éloignent la maison Chiappini du trône de France ;-)
Mayg
24 septembre 2015 @ 13:08
Point de vue est devenu la bible des orléanistes, on aura tout lu sur N&R…
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:36
Mayg ce n’est que l’histoire de l’Espagne qui est bien connue. Et l’on voit même que Monsieur de Lauban est prêt à abandonner son roi déjà.
Sigismond
28 septembre 2015 @ 05:54
Louis de Lauban n’abandonne personne, il ne fait que rappeler cette évidence que ressasser ces calomnies au sujet des reines María Luisa et Isabel est contre-productif pour les orléanistes : cela indispose le roi d’Espagne et son père (Orléans par sa grand-mère maternelle) mais cela ne propulse en aucun cas Henri sur le devant de la scène, puisque les nombreux Bourbon Siciles et Bourbon Parme font barrage entre lui et la couronne des lys.
Gérard
28 septembre 2015 @ 15:56
La légitimité du roi d’Espagne qui descend Isabelle II ne fait évidemment aucun doute et personne n’a nié qu’il descendait bien de la reine.
Sigismond
28 septembre 2015 @ 16:56
Il ne suffit pas de descendre d’Isabelle II, il faut descendre aussi de son mari et non d’un supposé amant de la reine, car un bâtard ne fait pas un roi légitime, Gérard.
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 19:13
Ridicule. Alphonse XII, s’il avait été un bâtard d’Isabelle II, n’aurait pas été un roi d’Espagne légitime. En affirmant que Philippe VI descend d’Isabelle II pour bien souligner qu’il n’est pas le fils du roi consort François Ier, vous aggravez encore vos insultes contre ces princes de la Maison de Bourbon.
L’infamie orléaniste n’a pas de limites ! Philippe Egalité se disait lui même batard, il se souilla de toutes les opprobres possibles et fut régicide, à l’indignation même de Robespierre (qui n’était pas un enfant de coeur non plus de ce point de vue là !), il eut Marat (l’ordure la plus abjecte de la Révolution, le plus barbare et le plus sanguinaire vampire de la Terreur) pour défenseur, son fils fut un usurpateur, ses descendants perpétuent encore ce crime. Et passons sur le comportement plus que douteux du prétendu Comte de Paris, Henri, père de l’actuel prétendu, pendant l’Occupation…
L’insulte, le crime, le mensonge, l’usurpation et le déshonneur, voilà ce que traînent les Orléans et voilà encore dans quoi ils se vautrent.
Leonor
22 septembre 2015 @ 15:13
Bon, ça va, hein, tous les deux ! ;-)
….. z’allez pas recommencer la guérilla ? ;-)
Valérie R.
21 septembre 2015 @ 16:38
La princesse Iléana, à la tenue toujours plus catastrophique… quel dommage, elle était très jolie lors de son mariage, pourtant…
CAROLINE VM
21 septembre 2015 @ 17:18
Michel de Yougoslavie ? Quel rapport avec les bourbons?
Laurent F
22 septembre 2015 @ 07:54
Visiblement Charles-Henri voulait des représentants de toute les dynasties amies mais bien peu ont répondu à l’appel !
Commentaire d’Anne de Bourbon-Siciles à un de mes amis qui était invité « Après une messe comme celle-ci (2 heures et en latin !)…on peut tout faire pendant 2 ans, on a l’absolution » c’est dire si c’était réjouissant !!
Tessa
22 septembre 2015 @ 14:11
Bonjour Laurent F !
Deux heures en latin ?
Sauve qui peut !!!!!
FRANCE
22 septembre 2015 @ 12:25
Oubliez un instant que » Is pater est quem nuptiæ demonstrant » et vous aurez la réponse.
FRANCE
23 septembre 2015 @ 08:58
Je retire mon commentaire: j’ai fait une erreur . Michel de Yougoslavie ne fait pas partie des jumeaux .
AUDOUIN
23 septembre 2015 @ 13:36
France
Il fait partie avec Dimitri de la première paire de jumeaux…
Danielle
21 septembre 2015 @ 19:30
Cette messe fait elle suite au dîner relaté ici ?
Zeugma
21 septembre 2015 @ 20:36
Ce reportage me permet de découvrir la basilique Saint Pierre et Saint Paul de Souvigny.
Wikipédia y consacre un article très intéressant dont je ne donnerai qu’un détail :
c’est dans ce monastère que les duc de Bourbon y installèrent leur nécropole. L’article ne donne pas de dates mais on y trouve le dessin de quatre tombes.
Je comprends maintenant pourquoi les Bourbon célèbrent le onzième centenaire de leur Maison.
Toujours selon la même source, c’est Aymar ou Aimard (894-953) (parfois aussi appelé Adhémar) – sire de Souvigny – qui est le plus lointain ancêtre connu de la maison de Bourbon en étant le père du premier sire de Bourbon, Aymon Ier de Bourbon.
Chaque jour, « Noblesse & royautés » nous permet de combler – partiellement – nos immenses lacunes.
Nadine- Marie
21 septembre 2015 @ 21:11
Un moment de Grâce!Merci Prince Charles-Henri!
PierreB
21 septembre 2015 @ 21:35
Le prince Louis, en tant que chef de la Maison de Bourbon et duc de Bourbon (depuis 1984), était l’invité principal des célébrations Il est également le seul prétendant au trône à s’être déplacé.
Le prince Charles-Philippe, absent le jour précédant, représentait la Maison d’Orléans.
http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/departement/allier/moulins/2015/09/20/une-haie-dhonneur-pour-louis-xx_11591309.html
https://www.youtube.com/watch?v=MAjrJvdedg4
Gérard
22 septembre 2015 @ 09:27
Charles-Louis, duc de Chartres, et non Charles-Philippe, duc d’Anjou.
Francine du Canada
23 septembre 2015 @ 21:10
Exact!
Louis de Lauban
28 septembre 2015 @ 19:19
Aucun de ces deux titres n’a de valeur. Ce ne sont là qu’usurpations.
Aramis
21 septembre 2015 @ 22:55
Comment s’est fait le choix des participants ? Est Charles Henri qui a fait un choix ou est ce chaque branche qui a envoyé son représentant ?
Gérard
22 septembre 2015 @ 09:29
Il a invité beaucoup de cousins dont certains ont décliné l’invitation pour des raisons diverses. Ce fut le cas du comte de Paris et du duc de Vendôme.
Charles
22 septembre 2015 @ 11:47
En effet Gérard, les chefs des Maisons de France, de Parme, des Deux-Siciles, de Luxembourg et d’Espagne ont tous décliné l’invitation, c’est pourquoi les princes sont représentés par des cadets de cadets.
La présence de Don Luis Alfonso de Borbon y Martinez-Bordiu, qui usurpe le tître de Duc d’Anjou, n’est certainement pas étranger à ces absences.
Emeline
23 septembre 2015 @ 07:46
Le véritable chef de la Maison de France n’a pas décliné l’invitation puisqu’il était présent … d’ailleurs, le prince Louis n’usurpe rien du tout. Comme son père, il a repris le titre d’attente de son aïeul.
Cosmo
23 septembre 2015 @ 14:54
Titre d’attente, après une renonciation ? Où avez-vous vu que le titre de duc d’Anjou était en attente ? N’a-t-il pas été porté par Louis XVIII ?
Voilà une extravagance de plus !
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 18:57
Le titre est à la disposition du Roi titulaire de France, ainée des Capétiens et en cette qualité Chef de la Maison de Bourbon, donc de la Maison de France.
Louis-Alphonse de Bourbon étant Louis XX de droit, il peut disposer de tous les titres revenus à la couronne, ce que ne peuvent(ou ne pouvaient) pas faire les 2 Ritons d’Orléans qui en ont attribué irrégulièrement à leur engeance et à eux même. L’usurpation, ils ont ça dans le sang. Duc d’Iznogoud pourrait bien leur convenir, il faudrait le créer pour eux ;-)
jul
23 septembre 2015 @ 18:59
Cosmo
La renonciation a moins de valeur que l’ordre des naissances. L’aîné des Bourbons prend le titre d’attente qu’il souhaite.
Ne faites pas semblant de ne pas savoir ce que c’est.
Ni Louis XV ni Louis Louis XVI n’ont permis à leur petit-fils et frère de prendre publiquement le nom d’Anjou, bien qu’il avait reçu le fond de ce duché en apanage (dont on ne pouvait priver un Fils de France), par respect pour la branche descendant de leur oncle Philippe.
Après avoir été connu comme le Comte de Provence, il a ensuite pris le nom de Monsieur, ne faisant même plus spécifier Comte de Provence qu’il avait reçu à sa naissance, le jugeant inférieur à celui de Monsieur.
Louis XV eut la même délicatesse à l’égard de la branche d’Anjou pour ce qui concerne la brisure des armes du Comte de Provence.
Emeline
23 septembre 2015 @ 22:58
Quelle renonciation, Cosmo ? Celle de Philippe Égalité faisant le choix de la république, s’écartant ainsi, et sa descendance avec, du trône de France ?
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:31
Sous Louis XV les armes du comte de Provence étaient un écartelé de France plein et de Provence moderne.
jul
25 septembre 2015 @ 17:08
Gérard,
Ces armes ont été modifiées au moment de la consitution de l’apanage du comte d’Artois et de son mariage, donc par Louis XV.
Apanage dans lequel ne figurait pas le fond du comté de Provence.
Une bordure de gueules lui fut attribuée mais différentes de celle d’Anjou.
Gérard
4 octobre 2015 @ 16:23
Hervé Pinoteau estime que le changement d’armoiries remonte à une période antérieure et doit être de 1770. L’apanage et le mariage datent de 1771.
Les armes pleines étaient incorrectes.
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:28
Louis XIV se serait retourné dans sa tombe s’il avait pu…
Mais bon en attendant Godot Anjou vaut bien Cadix qu’on lui a pris…
Sigismond
23 septembre 2015 @ 10:04
Des cadets de cadets, vous voulez rire ! Était présent S.A.R. Mgr le duc de Séville, chef de la troisième branche de la Maison de France et cinquième héritier du duc d’Anjou. On peut regretter bien sûr l’absence du duc de Santa Elena, du duc de Noto et du prince Pedro Carlos d’Orléans et Bragance, chef de la famille impériale du Brésil. En revanche, l’absence des deux chefs d’État en exercice, Felipe et Henri, s’explique aisément par leurs obligations officielles. Ils auraient pu toutefois envoyer leurs papas respectifs, mais l’on sait que Jean avait expulsé les lys de France de ses armoiries, quant à l’autre papa… N’oublions pas que « Su Alteza Real » n’est pas inscrit sur la pierre tombale du duc d’Aquitaine (alors que « Sus Altezas Reales » est bien inscrit sur la tombe du duc d’Anjou et de Cadix et de son fils aîné le duc de Bourbon). Cet affront fait à ce très regretté fils de France était un véritable casus belli envers la branche aînée, sans oublier la manière désinvolte de la branche intermédiaire de snober l’invitation qu’elle avait reçue de se rendre au mariage du duc d’Anjou en Amérique en 2004 (mais la troisième branche était représentée au plus haut niveau, avec LL.AA.RR. le duc de Séville et son frère).
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:30
Pourquoi Juan Carlos était marbrier ? Il n’a pas bien pris la commande ?
Sigismond
23 septembre 2015 @ 10:34
Quant au duc de Parme, sa continuation des prétentions carlistes de son père et de son grand-père paternel ne peut qu’offusquer le duc d’Anjou, légitime héritier salique de la branche (1833-1936) des comtes de Molina, de Montemolin et de Montizon et des ducs de Madrid et de San Jaime.
En septembre 1931, le duc d’Anjou et de Madrid avait passé le flambeau franco-espagnol à Alphonse XIII, en faisant ce dernier, chevalier de l’ordre du Saint-Esprit.
Aux obsèques du duc d’Anjou à Paris le mois suivant, Sixte de Bourbon Parme avait d’ailleurs mis un genou à terre devant Alphonse XIII en le reconnaissant comme roi de France, oubliant l’existence du prince Alphonse, 82 ans, nouvel aîné des Capétiens, qui résidait en Autriche et qui allait prendre le titre de duc de San Jaime le mois suivant (novembre 1931). Alphonse XIII avait prestement ordonné à Sixte de se relever, en lui rappelant que c’était le vieil oncle du duc d’Anjou qui devenait le Roi.
Charles
23 septembre 2015 @ 11:44
Pour parler vrai, toutes les Capétiens reconnaissent le Comte de Paris comme Chef de la Maison de France, que ce soit l’ainé, le comte de Bourbon-Busset, le roi d’Espagne, le Duc de Castro, le Duc de Parme, le Prince d’Orléans et Bragance et le Grand-Duc de Luxembourg.
Seul un cadet de cadet de la Maison de Parme, le prince Charles-Emmanuel est favorable à Don Luis Alfonso de Borbon y Martinez-Bordiu.
Mayg
23 septembre 2015 @ 13:22
Encore une fois Charles, cessez de parler au nom des autres !
jul
23 septembre 2015 @ 19:01
Charles,
1. Apportez des déclarations officielles et vous serez cru.
2. L’ordre de succession au trône de France n’est pas déterminé par les hommes, mêmes princes, mais par l’ordre des naissances.
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:29
Jul apportez vous-même vos preuves officielles !
jul
25 septembre 2015 @ 11:35
Gérard,
Ce n’est pas moi qui proclame qu’Henri d’Orléans est reconnu par d’autres souverains.
Nemausus
28 septembre 2015 @ 07:42
Charles nous rabâche son crédo sur les positions des autres chefs de maisons royales ou de chefs d’état sans jamais apporter la moindre petite preuve de ce qu’il avance….et pour cause, tout cela n’est que mensonge….
– par contre la qualité de duc d’Anjou et prétendant au trône de France a été indiquée clairement lors de l’invitation au mariage d’Albert II de Monaco (tout comme il l’a fait pour Henri d’Orléans, ce qui démontre que les autres souverains ou chefs de maisons ne prennent pas position car ils n’ont pas à le faire, cela ne les regarde pas)
– l’elenco de grandeza, journal official de la grandesse d’Espagne, sous l’autorité du roi d’Espagne, reconnait les titres et qualités du prince Louis comme duc d’Anjou et chef de la maison royale de France.
Les orléanistes pourront bien répéter à l’envie leur profession de foi envers les Orléans, cela ne la rendra pas pour autant crédible pour les autres ni légale !
Gérard
28 septembre 2015 @ 16:09
L’Elenco n’est pas un recueil officiel même s’il est bien fait pour la partie concernant les grandesses et les titres du royaume.
Il donne évidemment à Louis un titre qui ne lui est pas reconnu en Espagne mais pas dans la partie documentaire concernant les grandesses et les titres, mais uniquement dans la partie généalogique et son opinion n’engage que ses auteurs.
Gérard
28 septembre 2015 @ 21:24
Le prince de Monaco donne aussi le titre de duc d’Anjou à Charles-Philippe. On sait bien que les princes de Monaco ont toujours considéré les comtes de Paris comme chefs de la maison de France.
Nemausus
30 septembre 2015 @ 08:24
Comme d’habitude Gérard est dans le faux concernant le journal officiel de la grandesse d’Espagne….le seul titre de ce recueil sous l’autorité du roi suffit puisque c’est la députation de la grandesse d’Espagne, organisme officiel, qui le publie !
quant aux affirmations de Gérard sur la reconnaissance des Orléans, elles rejoignent celles de Charles, elles ne sont que péremptoires et sans aucune preuve et pour cause, ces affirmations loufoques restent des mensonges des orléanistes !
Gérard
30 septembre 2015 @ 18:03
L’Elenco n’est pas un journal mais un fort répertoire publié chaque année par l’Institut Salazar y Castro aux éditions Hidalguia et il ne dépend pas de la Députation de la Grandesse. Ce n’est pas un recueil officiel mais c’est un bon travail pour tout ce qui touche aux grandesses et aux titres du royaume d’Espagne.
Roch
23 septembre 2015 @ 13:05
La branche de Luis de Bourbon est à côté de la plaque, arrêtez de raconter des sornettes.
Luis de Bourbon s’est autoproclamé duc d’Anjou alors que ce titre appartient aujourd’hui au comte de Paris en tant que chef de la maison de France. Le prince a d’ailleurs octroyé ce titre a son neveu Charles-Philippe.
Luis de Bourbon appartient bien a la branche espagnole des Bourbons, il n’a aucun droit au trône de France
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 19:01
ET par quelle magie l’ainé de la branche ainé, descendant direct de Louis XIV n’aurait pas de droit au trône et serait dépassé un jour par le cadet d’une branche cadette, le duc de Chartres, Jean d’Orléans, fils du duc d’Orléans Henri.
jul
23 septembre 2015 @ 19:04
Bonsoir Roch
vous faites erreur
Le titre de Duc d’Anjou a été pris par plusieurs aînés des Bourbons en souvenir de Philippe, Duc d’Anjou et Roi d’Espagne, auteur de leur branche.
Des royalistes français sont très satisfaits que les Princes Jacques, Alphonse puis Louis aient pris ce titre d’attente.
Emeline
23 septembre 2015 @ 23:03
Les Orleans se distribuent des titres comme des hochets mais ne peuvent revendiquer un trône qu’ils ont contribué à faire chuter. Le prétendu « comte de Paris » n’est pas davantage chef de la Maison de France qu’il n’est Souverain Pontife.
Sigismond
24 septembre 2015 @ 06:22
Vous inversez les rôles ! C’est Henri d’Orléans qui s’est autoproclamé « comte de Paris » alors que ce titre appartient aujourd’hui au duc d’Anjou en tant que chef de la Maison de France et de Bourbon. Le prince Louis est français, sa branche est une branche française des Bourbons, et c’est surtout la branche aînée, alors que les Orléans sont au diable vauvert de l’arbre capétien ! La succession dynastique capétienne est basée sur la primogéniture, quelque quatre-vingts dynastes ont davantage de droits que les Orléans. La couronne de France ne saute pas par-dessus les branches comme une puce ou une sauterelle. Et Henri d’Orléans n’a pas le droit de distribuer les titres royaux comme des bâtonnets de barbe à papa de fête foraine.
Mayg
24 septembre 2015 @ 13:15
C’est plutôt vous qui êtes à côté de la plaque Roch, en défendant l’ainé d’une branche cadette qui s’est inventé le titre de « duc de France »
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:26
Il faut peut-être être réaliste et se souvenir à nouveau que l’immense majorité des monarchistes se sont ralliés comme le souhaitait le comte de Chambord au comte de Paris lorsque le premier est mort.
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:28
Mais je crois Roch que nous prêchons dans un désert, les partisans de Louis de Bourbon savent tout cela mais ils ont un rêve qui pour eux est plus important que le droit et le fait.
Gérard
24 septembre 2015 @ 19:26
Certes Roch Louis n’a droit à rien mais comme son père et son grand-père il donne des titres de nos provinces comme s’il était roi de France ou au moins chef de la maison de France alors voilà Anjou, Bourgogne, Bretagne, Berry, Aquitaine, Bourbon, Touraine et j’en passe, avec les armoiries d’icelles. Ça plaît à quelques fanas… Et ça fait travailler un ou deux héraldistes.
Titres de fantaisie qui exaspéraient un grand juriste l’avocat général Alzuyeta.
Sigismond
26 septembre 2015 @ 07:48
C’est l’hôpital qui se moque de la charité, Gérard. Car Henri lui aussi, comme son père et son grand-père, donne des titres de nos provinces comme s’il était roi de France ou au moins chef de la maison de France alors voilà Paris, France, Vendôme, Angoulême, Évreux, Anjou, Dreux, Aumale, Eu… et j’en passe, avec les armoiries d’icelles. Ça plaît à quelques fanas… Et ça fait travailler un ou deux héraldistes. Et là ce sont vraiment des titres de fantaisie, car Henri n’a droit qu’à ceux d’Orléans, de Valois, de Chartres, de Nemours et de Montpensier (ce qui est déjà beaucoup), mais il ne peut les distribuer à sa parentèle sans l’aval du prince Louis.
Sigismond
26 septembre 2015 @ 16:37
« Comme le souhaitait le comte de Chambord », faux car ce Prince ne s’est jamais prononcé dans ce sens, il a contraire fait en sorte que tous les souvenirs royaux aillent à son filleul et futur successeur le prince Jacques, fils du duc de Madrid. Et la comtesse de Chambord, connaissant les intentions de son mari, a fait présider les obsèques d’Henri V par le comte de Montizon, Jean III, nouveau chef de la Maison de France.
Hélène
23 septembre 2015 @ 14:53
le duc de Parme est bien le chef de la famille de Parme. En effet il s’égare en voulant défendre le carlisme aujourd’hui
Gérard
24 septembre 2015 @ 19:30
Le carlisme n’a plus lieu d’être au sens dynastique puisque le roi d’Espagne est légitime selon la doctrine carliste.
Du point de vue politique c’est une autre affaire bien complexe.
laure2
23 septembre 2015 @ 15:41
C’est bien dommage que l’un ou l’autre des princes n’ait pas fait l’effort de venir à une réunion de famille . Ce sont eux qui n’en sortent pas grandis pour le coup.
Gérard
23 septembre 2015 @ 22:29
Les prétentions de Louis-Alphonse finissent par en agacer plus d’un…
laure2
25 septembre 2015 @ 17:33
J’ai bien compris mais il me semble que dans le cadre d’une simple réunion de famille qui parait bien informelle ces histoires n’ont pas leur place ne serait ce que par égard pour l’organisateur. L’age du comte de Paris excuse bien des choses mais je ne comprend pas le prince Jean (bon ceci dit il ne le saura jamais et s’en remettra donc sans peine ).
Gérard
27 septembre 2015 @ 19:06
La répétition à l’infini d’une erreur ne peut en faire une vérité…
Sigismond
26 septembre 2015 @ 16:46
Il n’y a que des cadets frustrés qui s’agacent de voir le prince Louis assumer ses droits d’aîné. Les cadets frustrés, c’est vieux comme l’histoire des dynasties dans le monde entier. Fort heureusement, la grande majorité des cadets ont le sens de l’histoire et savent bien que pendant huit siècles, le roi de France a toujours été l’aîné des Capétiens.
Nemausus
28 septembre 2015 @ 07:46
La position du duc d’Anjou n’agace que les Orléans…. et alors, tout le monde s’en fout et s’ils veulent s’exclure des réunions familiales et bien tant mieux, ils ne gâcheront pas la fête ainsi pour les autres participants qui n’auront pas à supporter ces rabat-joies!
Gérard
28 septembre 2015 @ 16:11
Vous paraissez Nemausus être un joyeux drille.
Antoine
22 septembre 2015 @ 10:28
Les jeunes générations sont plus ouvertes que leurs aînés. Le prince Louis entretient de bonnes relations avec les princes Jean et Eudes. Les uns et les autres jugent sans doute inutile d’entretenir des querelles stériles au sujet d’un trône à jamais perdu.
marielouise
22 septembre 2015 @ 11:44
Bien exact Antoine!
Parella
22 septembre 2015 @ 15:12
» Un trône à jamais perdu » nous dit Antoine. Qui sait ? Son saint patron a des pouvoirs parfois surprenants en matière de retrouvailles…Quant au Seigneur, nous savons tous combien ses voies sont impénétrables.
Antoine
22 septembre 2015 @ 21:03
Dans mon for intérieur je souhaiterais, Parella, qu’il ne le fût pas. Mais je ne me fais aucune illusion. Les Français vivent benoîtement sous une monarchie absolue. Il suffit qu’elle soit baptisée « république » pour qu’ils soient contents. Cela amuse beaucoup nos voisins qui vivent dans des royaumes où les monarques n’ont pas le centième des pouvoirs du Président de la pseudo-république française.
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:33
Les Français contents ? Antoine vous rêvez !
Leonor
22 septembre 2015 @ 15:16
Exactement.
Enfin, je ne sais évidemment fichtrement rien de ce que pensent ces jeunes messieurs.
Mais si c’est ça, ils ont bien raison, et c’est pas trop tôt.
fanie
23 septembre 2015 @ 10:18
Si un jour il devait y avoir un retour de la monarchie en France cela ne pourrait se faire que par la volonté du peuple et qui sait qui il choisirait entre un Bourbon, un Orléans, un Napoléon ou un autre… et peut importe celui que vous trouverez le plus légitime…
Louis de Lauban
23 septembre 2015 @ 19:04
S’il doit y avoir à nouveau un roi, il ne pourra être que Louis de Bourbon ou unde ses successeurs. Rétablir la monarchie en la personne d’un usurpateur n’aurait aucun sens. Un Bonaparte à la rigueur, ils n’usurpent pas le titre royal et leur légitimité procède d’autre chose. Mais on imagine mal leur retour dans un contexte rassembleur et pacifique.
Gérard
24 septembre 2015 @ 16:24
Sur ce point nous sommes d’accord rétablir la monarchie avec un usurpateur n’aurait aucun sens et c’est pourquoi je ne souhaite absolument pas voir Louis de Bourbon sur le trône mais évidemment ce n’est qu’une hypothèse d’école.
Louis de Lauban
30 septembre 2015 @ 10:00
Louis de Bourbon est le Roi de France légitime. Il ne prétend pas à la succession de la Monarchie de Juillet, en ce sens, je ne comprend pas ce que vous supposez qu’il souhaite usurper.
Gérard
22 septembre 2015 @ 14:00
Jean et Eudes sont de bonne compagnie et bien élevés mais ils n’en pensent pas moins.
Prince de Condé
22 septembre 2015 @ 14:31
Vive le Roi de France aux Invalides !
http://www.dailymotion.com/video/x37ie9u_louis-xx-cathedrale-saint-louis-des-invalides-le-20-09-2015_people
Charles
23 septembre 2015 @ 11:38
Oui j’ai été très heureux de la présence aux Invalides du Chef de la Maison de France et de sa soeur la princesse Hélène, comtesse Evrard de Limburg Stirum.
Hélène
23 septembre 2015 @ 14:54
Heureuse de voir la princesse Hélène de France au coté de son frère Henri, actuel prétendant au trône de France
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:35
Un peu tôt pour les Invalides non ? Il est encore vert votre roi et il n’a pas été longtemps sous les drapeaux.
neoclassique
22 septembre 2015 @ 15:58
E où sont donc les Bourbon d’Espagne , les Bourbon-Parme (pourtant cousins germains du prince invitant et qui sont en plus nombreux)
Quid aussi des Bourbon-Siciles?
Le regroupement familial semble bien mince……
aubert
23 septembre 2015 @ 10:05
Bourbon-Parme, Bourbon-Siciles ? n’y a-t-il donc que les Orléans qui ne peuvent être Bourbon ? et pourquoi ? parce qu’un jugement de la République en a décidé ainsi ?
et c’est là l’argument des monarchistes « légitimistes » !
AUDOUIN
23 septembre 2015 @ 13:48
Aubert
Vous vous répétez…Et moi, je vous répète que c’est Henri d’Orléans qui est venu quémander devant la justice républicaine un changement de nom. Elle l’a envoyé promener. Tant pis pour lui! Il n’avait qu’à ne pas y aller…
AUDOUIN
Nemausus
28 septembre 2015 @ 07:49
Aubert oublie certainement que ce ne sont pas les Orléans qui font appliquer la loi mais que le juge français lui a toute autorité pour le faire ! et à débouter les Orléans de leur tentative d’usurpation patronymique !
Gérard
28 septembre 2015 @ 16:12
Évidemment les Bourbons d’Espagne n’ont pas perdu le nom de Bourbon puisqu’ils ne pouvaient pas prétendre à un apanage français contrairement aux Orléans !
Nemausus
30 septembre 2015 @ 08:34
Gérard invente encore car depuis Louis XIV, le nom officiel des descendants du grand roi est Bourbon donc le duc d’Anjou porte logiquement ce nom. Louis XIV n’a pas inclus dans la famille ayant droit au patronyme de Bourbon son frère et sa descendance !
Rien n’aurait empêché Philippe V de ne porter que le nom d’Anjou (puisqu’il en gardait aussi les armoiries) à l’instar de la maison d’Anjou, rois de Sicile, rois de Hongrie…
mais le juge avait très bien compris la manoeuvre d’Henri d’Orléans qui ne visait rien d’autre qu’une tentative d’usurpation de la qualité de chef de la maison de Bourbon à brève échéance en faisant disparaître le nom d’Orléans, pour semer ainsi plus de confusion… Henri s’est consolé en s’octroyant le titre de duc de France et en se vengeant en attribuant en cadeau empoisonné le titre de duc d’Anjou à un neveu rétrogradé dans la succession !
Gérard
30 septembre 2015 @ 17:53
Dans la descendance masculine française de Louis XIV personne ne s’appelait Bourbon, le premier qui ne s’appelait pas de France fut Henri d’Artois futur Henri V.
Sigismond
3 octobre 2015 @ 18:03
Gérard, vous oubliez les trois enfants du duc de Berry (petits-fils de Louis XIV), les quatre enfants de Charles X et les trois frère et sœurs du comte de Chambord. Ces dix dynastes ne s’appelaient pas « de France », et trois d’entre eux parvinrent à l’âge adulte : Louis-Antoine d’Artois, duc d’Angoulême puis dauphin, Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry, et Louise-Marie d’Artois, duchesse de Parme.
Et actuellement, la descendance masculine française de Louis XIV s’appelle « de Bourbon ».
Gérard
4 octobre 2015 @ 16:14
Justement les trois malheureux enfants du duc de Berry, petit-fils de Louis XIV étaient de Berry et non de Bourbon même s’ils furent très brièvement connus comme duc d’Alençon, ou Mademoiselle de Berry.
De même une anonyme d’Artois en 1776, Mademoiselle, une autre anonyme d’Artois en 1783, Mademoiselle d’Angoulême, Louise d’Artois, Mademoiselle, en 1817, un anonyme d’Artois en 1818, sa sœur et bien sûr Louise d’Artois, Mademoiselle, en 1819.
Philippe Delorme
23 septembre 2015 @ 08:10
Voici quelques autres images de cette très belle cérémonie à laquelle j’assistais : https://www.facebook.com/philippe.delorme.98/photos/pcb.1671516809738255/1671516059738330/?type=3&theater
Pourquoi faut-il toujours qu’il y ait des partisans « plus royalistes que leur roi » ? Personne parmi les historiens et les généalogistes à dénier aux d’Orléans leur qualité de sous-branche des Bourbons, eux mêmes branche de l’arbre capétien ! Qu’ils portent un autre nom à l’état civil n’y fait rien; d’ailleurs sous l’Ancien Régime, le roi et sa famille n’avait d’autre patronyme que « de France », et nullement « de Bourbon ».
Quant aux diverses branches des Bourbons, elles étaient représentées, certes par des cadets, sauf les Bourbon Busset, dont le chef, le comte Charles était présent, avec son épouse Ariane. Il y avait aussi Anne de Bourbon-Siciles, le duc de Séville et Louis-Alphonse pour les Bourbons d’Espagne, plusieurs Bourbon Parme, les Bourbon Châlus, et bien sûr Charles-Louis et Ileana pour la maison royale de France.
Charles
23 septembre 2015 @ 11:36
Merci Philippe pour ces informations.
Il ne manquait à l’appel que les branches Luxembourg et Brésil.
Le véritable ainé de la maison de Bourbon, le comte de Bourbon-Busset était présent et cela avait valeur de symbole.
Sigismond
23 septembre 2015 @ 13:02
Les Busset et les Châlus ne peuvent être considérés comme aînés, car ils descendent de Pierre dit le bâtard de Liège ou le bâtard de Bourbon, fils illégitime du célibataire et évêque Louis de Bourbon et d’une inconnue, lui-même fils du duc Charles Ier de Bourbon. D’ailleurs, jusqu’en 1791 il y avait aussi les Saint-Remy, descendants d’un fils illégitime du roi Henri II et de Nicole de Savigny. Cette branche s’éteignit avec Jeanne de Saint-Remy, la fameuse comtesse de La Motte de l’affaire du Collier de la reine. Sans oublier les Bourgogne, descendant d’un fils illégitime du duc Jean sans Peur et d’Agnès de Croy. Cette branche-là s’éteignit en 1908 avec Marie de Bourgogne, veuve de Marie-Gaston de Marolles.
Sigismond
23 septembre 2015 @ 11:53
Personne ne dénie aux Orléans la qualité de membres de la Maison de Bourbon, qui est Maison de France depuis l’extinction des Courtenay (1768), même si Louis XIV avait devancé les choses dans le honteux traité de Montmartre (1662). Mais les Orléans ne sont pas des Bourbons, au sens que « de Bourbon » est le nom de la branche issue de Louis XIV – nom « de Bourbon » pris par les monarchies espagnoles, siciliennes, parmesane, lucquoise… et même luxembourgeoise (« prince de Bourbon de Parme ») au détriment du nom « d’Anjou » (le nom « de France » ne peut être porté que par la descendance d’Emmanuelle de Dampierre et de Jacques de Bourbon, en tant que branche aînée, branche française de surcroît) – et que « d’Orléans » est le nom de la branche issue de Philippe de France, duc d’Orléans, second fils de Louis XIII.
Le duc de Séville n’est pas un cadet de branche mais un chef de branche, et il était présent, au côté du chef de la Maison royale de France, le prince Louis, duc d’Anjou.
Mayg
23 septembre 2015 @ 13:30
C’est plutôt vous qui interprétez les choses à votre sauce. Personne ( a part les orléanistes) ne nie que les Orléans sont des cadets de la Maison de Bourbon. Quant à dire que Charles-Louis d’Orléans représente la Maison royale de France, encore une fois ce n’est que votre point de vue orléaniste et rien d’autre !
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:48
Ce point de vue vaut très largement le vôtre et en droit et en fait.
Mayg
24 septembre 2015 @ 13:12
Ça c’est vous qui le dites Gérard…
Hélène
23 septembre 2015 @ 15:03
Merci Philippe pour cette photo
Il n’y a bien que le pauvre Audouin pour croire que les Orléans ne sont pas des Bourbons, sa mauvaise foi est légendaire, je ne suis donc pas surprise de ces commentaires
S’il vous plait ne refaites pas la bêtise de mettre en couverture de Point de Vue la famille Sarkozy, ces gens ont lassé et déçu les français.
Sarkozy est un personnage du passé, très clivant qui ne fait pas l’unanimité, loin de là. Il serait dommage que Point de Vue perde encore des lecteurs, à moins que votre direction prenne fait et cause pour ce candidat et veuille l’aider à retrouver le pouvoir.
Antoine
23 septembre 2015 @ 23:03
Avez-vous, Hélène, qui est en couverture de Point-de-Vue cette semaine ..? Je partage complètement votre avis sur ce couple. Le journal est pro-orléaniste comme il est pro-Sarkozy. Mais Bulgari paye cher sa page de publicité avec la trombine de son mannequin-vedette. Il faut bien renvoyer l’ascenseur ! Pratique de boutiquier, loin de l’éthique conservée durant de longues années.
France
25 septembre 2015 @ 08:54
Vous, qui êtes historien, pouvez vous nous dire à quel titre Michel de Yougoslavie était invité dans une réunion de Bourbons. Cela pour répondre à la question de Caroline VM.
AUDOUIN
23 septembre 2015 @ 14:09
Je ne sais pas si les d’Orléans apprécieront que leur thuriféraire accrédité les qualifie de « sous-branche de Bourbons »… Il y a là comme un petit côté péjoratif dans ce nouveau vocable. Pourquoi pas « sous-catégorie de Bourbons »? Quant à nous, nous continuerons , pour les désigner, à employer l’expression moins dévalorisante mais conforme à la réalité de « branche cadette ».
AUDOUIN
Gérard
23 septembre 2015 @ 20:39
Cette grandeur d’âme est émouvante.
AUDOUIN
24 septembre 2015 @ 12:46
Gérard
Je n’en attendais pas moins de vous, Gérard. Merci pour vos encouragements.
AUDOUIN
Gérard
23 septembre 2015 @ 14:22
Rappelons que les Condé et les Conti ne descendaient pas par les mâles de Louis XIV et avaient le nom de Bourbon, et ils étaient plus cadets bien entendu que les Orléans puisqu’ils ne descendaient pas de Louis XIII. siCertes le nom de Bourbon a été donné par Louis XIV à la branche devenue espagnole avec les armoiries d’Anjou mais ce n’est pas parce que ce nom a été donné à la branche devenue espagnole qu’il ne devait plus être porté par les branches demeurées françaises.
Les branches devenues espagnoles n’ont jamais eu l’indélicatesse de porter le nom de France.
Sigismond
23 septembre 2015 @ 17:07
Vous avez raison Gérard, de rappeler que les Condé et les Conti s’appelaient « de Bourbon », pour ma part je ne les ai pas cités car ils sont éteints, je ne parlais que des branches actuelles. Quant aux branches devenues espagnoles, l’aînée est ipso facto redevenue française (dynastiquement parlant) en 1883, avec le comte de Montizon et les siens. Puis ce fut le tour d’Alphonse XIII et de ses enfants en 1936, et actuellement la branche issue du mariage Bourbon-Dampierre, qui est française tant dynastiquement qu’au regard des lois républicaines. Ce n’est pas Louis XIV qui a donné le nom « de Bourbon » aux descendants du duc d’Anjou devenu Philippe V, ce sont les monarchies espagnoles, siciliennes et autres. Après l’extinction des Condé, aucune branche n’avait vocation à porter le nom « de Bourbon », et il faut bien dire que s’agissant des descendants de Philippe V, ce nom « de Bourbon » aussi glorieux soit-il n’est qu’un pis-aller, contraire aux traditions de l’Ancien Régime, et que leur nom logique serait « d’Anjou », mis à part la branche aînée qui est « de France ».
AUDOUIN
24 septembre 2015 @ 12:44
Comme dirait Rachida Dati, « vous êtes pathétique, ma pauvre fille… ».
AUDOUIN
24 septembre 2015 @ 14:35
Gérard
Votre dernière phrase est sans objet. Vous savez comme moi que le nom de France ne pouvait se transmettre dans les branches cadettes.
AUDOUIN
Nadine- Marie
23 septembre 2015 @ 16:39
Le Prince de Lobkowicz a crée l’Evénement et qu’il en soit remercie;sa Foi en l’Histoire est inébranlable et je conseille à tous de soutenir son Association PRESENCE BOURBON;en effet,c’est notre histoire à tous!
Aramis
23 septembre 2015 @ 20:49
Un écrivain italien avait proposé de rebaptiser Jérusalem Pomponico afin de diminuer la valeur symbolique et passionnelle de cette ville et ramener la paix en terre sainte. Et si on rebaptisait tous ces Bourbons d’ici et d’ailleurs, d’hier et maintenant les Pomponico, la querelle serait elle finie et la paix acquise ?
Autre solution, en parler au pape François, il aurait une solution à la fois rusée, autoritaire et douce, emplie de miséricorde….
Abandon de tout titre ducal ou comtal, être prince suffit et est plus prestigieux pour la plupart des gens. Reconnaissance du caractère inenvisageable de toute restauration monarchique et du caractère chimerique de toute prétention. Répartition de toute représentation par tirage au sort sous contrôle d’huissier. Fonds commun pour les toilettes, bijoux. Etc. Etc etc…
Leonor
24 septembre 2015 @ 19:46
Hilarants tous ces commentaires.
On se bagarre pour rien.
Mais bon, chacun son plaisir.