Le dimanche 30 octobre prochain à 11 heures, sera célébrée en l’Eglise Saint Pierre d’Arène à Nice, une messe en l’honneur du Bienheureux Charles d’Autriche. Rappelons qu’en 2004, après la béatification de l’empereur Charles, l’Eglise Saint-Pierre d’Arène a été la première en France, à recevoir une relique “ex ossibus” du désormais Bienheureux Charles d’Autriche.
Cette cérémonie, organisée par Patrick Germain et le père Gil Florini, curé de la paroisse, présidée par Monseigneur Sankalé, évêque de Nice, avait permis de consacrer l’église, qui n’avait encore aucune relique dans sa pierre d’autel.
La relique avait été officiellement remise par l’archiduc Charles-Louis, fils des derniers souverains d’Autriche-Hongrie, accompagné par son épouse l’archiduchesse, née princesse Yolande de Ligne, son fils, l’archiduc Charles-Christian, sa belle-fille, l’archiduchesse Marie-Astrid, née princesse de Luxembourg, et ses petits-enfants, l’archiduc Imre et l’archiduchesse Marie-Christine. Une assistance nombreuse avait été présente pour rendre ce premier hommage au nouvel élu dans le choeur des bienheureux et des saints de l’Eglise catholique. (Copyright photos d’archives : Cosmo)
CAROLINE VM
16 octobre 2016 @ 09:32
Curieuse cette histoire de relique…et pourquoi Nice??? J’avoue ne pas suivre…
Patrick Germain
16 octobre 2016 @ 19:12
Caroline,
L’archiduc Rodolphe avait remis entre mes mains une relique de son père. J’habitais Nice à l’époque et comme je savais que la paroisse de Saint-Pierre d’Arène n’avait pas de reliques, je la lui ai offerte. Bien entendu, cela s’est fait avec l’accord de la famille impériale et l’accord des autorités religieuses.
Cela s’est passé peu de temps après la béatification de l’empereur.
Bien à vous
Patrick Germain
Francky
16 octobre 2016 @ 09:44
Merci cher Cosmo, de nous rappeler cette cérémonie.
J’avais oublié qu’il y avait une église à Nice qui conservait une relique du Bienheureux Charles.
Je serai en pensée avec les Niçois le 30 octobre prochain et espère que vous nous gratifierez d’un bel article à cette occasion.
L’archiduc Charles-Christian sera-t-il présent ?
2016 marque, en plus du centenaire de la disparition de François-Joseph, le centenaire de l’avènement de son héritier Charles Ier, pour le meilleur et pour le pire…
Bien à vous.
Francky
Cosmo
16 octobre 2016 @ 19:13
Cher Francky,
Je ne pourrai pas y être, ayant des obligations familiales par ailleurs. Je le regrette sincèrement.
Je ne pense pas qu’un membre de la famille impériale soit présent.
Amicalement
Cosmo
Nathetvoila
16 octobre 2016 @ 10:17
Ne serait-ce pas plutôt les deux plus jeunes enfants de l’archi duc Carl Christian ? Il ne me semble pas que ce soit Imre et Marie-Christine. Mais peut-être me trompè-je ?
Nathetvoila
16 octobre 2016 @ 10:19
Alexander et Gabriella? C’est vrai qu’il se ressemblent beaucoup,
Cosmo
16 octobre 2016 @ 19:07
Non, il s’agit bien de l’archiduc Imre et de l’archiduchesse Marie-Christine. Cette photo a été prise en 2004.
Bien à Vous
Cosmo
Bernadette
16 octobre 2016 @ 19:49
Je pense que c’est bien Imre mais Gabriella et non Marie Christine qui attend un bébé pour bientôt.
Silvia
17 octobre 2016 @ 02:05
Non, il s’agit sans aucun doute de l’archiduchesse Marie-Christine, aînée de l’archiduc Carl-Christian et de l’archiduchesse Marie-Astrid, et de leur second enfant l’archiduc Imre.
lorraine 1
16 octobre 2016 @ 10:36
Un bienheureux patron de l’Europe….laquelle n’a que peu à voir avec l’Union Européenne !
Charles
16 octobre 2016 @ 10:39
Merci Patrick
beji
16 octobre 2016 @ 11:51
Espérons que l’Eglise canonisera l’empereur si un nouveau miracle se produit.
jackline du Bosc
16 octobre 2016 @ 12:08
Marie Christine maman de 2 garçons a -t-elle eu son 3éme enfant ?
Pafoume
16 octobre 2016 @ 13:49
Il s’agit plutôt de l’archiduc Alexander et l’archiduchesse Gabrielle, derniers enfants de Marie-Astrid et Christian.
D’ailleurs, Marie-Christine a-t-elle donné naissance à son troisième enfant ?
Silvia
17 octobre 2016 @ 02:09
Ce n’est pas une photo récente. Il s’agit de Marie-Christine et de Imre.
Pafoume
17 octobre 2016 @ 08:48
Merci Silvia et bonne semaine.
Pascal
16 octobre 2016 @ 15:24
Certains vont sans doute s’étonner de ce respect des reliques .
Pour certains croyants , les Saints et Saintes sont des personnes qui sont allées très loin sur cette terre dans la voie de la déification permise et promise à l’Homme selon les paroles de Saint Athanase « il fallait que Dieu devienne Homme pour que l’Homme devienne Dieu » , paroles reprises par de nombreux pères de l’Eglise .
Ou selon Saint Séraphin de Sarov , des personnes qui sont parvenues sur cette terre à « l’acquisition de l’Esprit Saint » , ou encore selon Saint Paul des personnes qui ne vivent pas en Dieu mais c’est Dieu qui vit en elle .
C’est au regard de ces aspects que les reliques des corps des Saints et Saintes sont jugées dignes de respect et de vénération, et qu’elles ont un caractère sacré.
Elles sont comme une réminiscence de l’incarnation du Christ .
On est libre de ne pas le croire , et pour ceux qui pensent ainsi ils trouveront amusement et réconfort dans la lecture des dernières pages de mon cher » Guépard » de G Tomasi di Lampedusa.
Mais j’espère prévenir des commentaires » mal placés « , bien que je me doive de penser que les lecteurs de ce site en sont tout à fait incapables.
(et quoique je me réjouirais quand même de lire à ce sujet un de ces apophtegmes dont Tonton Soupic a le secret …)
Pascal
16 octobre 2016 @ 15:27
et quoique j’ai pour ma part fâcheuse tendance à mal placer les guillemets !
Et pourquoi ? je me le demande…problème d’ordinateur ???
Mary
16 octobre 2016 @ 17:57
Mon clavier me joue le même tour Pascal,mais qu’y faire ?
Corsica
16 octobre 2016 @ 23:35
Pascal, vous avez le même problème que moi : notre premier guillemet tourne ostensiblement le dos au second. Ce guillemet récalcitrant apparaît dès que j’écris avec mon IPad et je n’ai jamais pu le régler. Si certains internautes ont une solution, elle serait fort appréciée.
Esquiline
17 octobre 2016 @ 13:01
Moi je me sens tout à fait capable de rédiger ce genre de commentaire mal placé.
Ce qui ne sera pas le cas aujourd’hui car j’aime les reliques même si parfois leur vue me dégoûte un peu.
J’aime les reliques pour l’épopée de leur transfert, illustrée par des mosaïques ou des fresques admirables dans les riches villes en compétition pour s’approprier du saint le plus prestigieux.
J’aime les reliques pour les riches édifices que l’a construit pour les conserver, San Marco à Venise, San Nicola à Bari, il Santo à Padoue, le duomo d’Amalfi et des dizaines d’autres …
J’aime les reliques pour les fêtes organisées en leur honneur.
Au sud de l’Italie la fête du saint est un événement populaire que l’on prépare avec dévotion tout au long de l’année,
Au moment venu les villes ou villages sont décorés d’arcs lumineux un peu arabisants, la statue du saint qui ne contient hélas pas toujours une relique dans les petits villages les plus pauvres, sort de l’église exhibée par des porteurs qui souffrent sous le poids, c’est un honneur.
On parcourt les rues au son des des airs joyeux joués par la fanfare suivie des autorités religieuses et civiles, on s’extasie, on entre en transe, on lance des fleurs, on incline la statue devant la demeure du maffieux du coin, on l’a fait danser, les fameuses girate, on la porte sur la colline pour lui faire voir la mer quand c’est possible, puis on la ramène et la fête continue, bals, feux d’artifices, délicieux street food … à vivre absolument pour saisir l’âme d’un pays.
Pascal
18 octobre 2016 @ 11:29
Bravo !
Il semble qu’en Italie une festivité (voire même un cortège funéraire) sans fanfare ça ne se peut concevoir ?
Clémence
17 octobre 2016 @ 07:35
Je me demande s’il n’y a pas aussi une relique du bienheureux Charles à l’église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles. Quelqu’un peut-il confirmer (ou infirmer)? Merci.
Robespierre
17 octobre 2016 @ 08:38
La béatification du dernier empereur autrichien m’est restée en travers de la gorge. Il n’est pas plus saint qu’un autre père de famille de 9 enfants qui prie beaucoup. Cette manie de béatifier des têtes couronnées. Et la beatification ou la canonisation de l’inventeur de l’Opus Dei qui a été vite entérinée, sans les nécessaires contradictions.
Tant qu’à faire autant béatifier Louis XVI, c’était un homme pieux et il a plus souffert que Charles.
AnneLise
17 octobre 2016 @ 12:46
Louis XVI a plus souffert que Charles, je ne sais pas, bien qu’il ait eu une mort infamante contrairement à Charles qui « n’a connu que l’exil ». Charles a fait des efforts à partir de 1916 pour arrêter cette guerre horrible, malheureusement il avait face à lui un certain Clémenceau (à qui par ailleurs je reconnais d’incontestables qualités) anticlérical notoire et anti Habsbourg viscéral, qui n’a jamais voulu d’une paix séparée avec l’Autriche-Hongrie.
Je crois que la piété des deux hommes est incontestable, et pour finir je partage votre avis sur les béatifications émotionnelles auxquelles nous assistons depuis quelques décennies.
Cosmo
18 octobre 2016 @ 13:36
Annelise,
L’empereur Charles n’avait pas que Clemenceau contre lui. Il avait au sein de son cabinet et de son état-major des personnages qui ne lui ont pas facilité la tâche loin de là. Sans même parler de son allié allemand ! Les coups les plus bas sont venus de l’intérieur.
Dans cette affaire, le seul reproche que l’on puisse faire à l’empereur Charles, c’est de ne pas avoir assumé la responsabilité des tractations secrètes quand elles ont été révélées. Il eut peut-être alors sauvé son empire.
Cordialement
Cosmo
AnneLise
18 octobre 2016 @ 22:22
C’est exact, Cosmo, mais il y avait aussi Clémenceau ! et franchement, il y a peu de temps que l’on en parle. Quant à son entourage, certes, il n’a pas du beaucoup l’aider, mais il est vrai aussi qu’il n’est pas arrivé au pouvoir au meilleur moment et que sa marge de manoeuvre devait être très, très étroite.
De là à le béatifier, il peut y avoir une « marge », bien que de culture catholique, je ne suis pas partisante des béatifications à tout va. Cela ne retire rien à la vie très chrétienne de Charles et de son épouse. Bon cela étant, c’est fait, donc il n’y a pas à revenir dessus.
Bernadette
17 octobre 2016 @ 13:31
La soeur đet Louis XVI madame Elisabeth à été béatifiée mais pas Louis en raison d’une fille illégitime mais il aurait mérité de l’être !
Robespierre
18 octobre 2016 @ 13:20
Louis XVI n’a pas eu de fille illégitime. C’est une légende qui a couru mais qui est fausse.
Cosmo
18 octobre 2016 @ 13:43
Madame Elisabeth béatifiée ? Vous devez faire erreur, Bernadette. Ses chances ne me semblent pas plus grandes que celles de son frère. Ses vertus ne sont pas en cause, la République, cependant, verrait d’un mauvais oeil qu’un des martyrs majeurs de la Révolution soit ainsi reconnu.
Bernadette
19 octobre 2016 @ 16:26
Vous avez raison Cosmo je le pensais car elle a vécu saintement et est morte martyre ! Mais elle n’est pas la seule dans ce cas et il y a beaucoup de saints non reconnus officiellement !
Cosmo
17 octobre 2016 @ 13:34
En ce qui concerne Louis XVI, vous parlez en connaissance de cause, Robespierre !
Robespierre
18 octobre 2016 @ 13:20
Bien sûr !
Gauthier
17 octobre 2016 @ 13:36
Il est curieux de constater que certains sont toujours intimement convaincus que l’Eglise courtise les puissants en priorité.
Quant à Josemaria Escriva, dont on se demande ce qu’il vient faire ici (une fine allusion aux liens entre les Habsbourg et l’Œuvre sans doute), j’aimerais connaître vos sources permettant de prétendre que son procès en canonisation ait été mené à la va-vite.
Pascal
17 octobre 2016 @ 16:47
Il est certain que le refus par Louis XVI d’avaliser la constitution civile du clergé a peut être fortement contribué à son assassinat.
En ce sens il est mort pour la Foi et mérite à tout le moins une béatification , sans parler de ses autres mérites.
Cela fut d’ailleurs implicite par la formule de l’Abbé Edgeworth .
Je pense qu’il ne faut pas voir la béatification comme une mise au dessus du commun des mortels mais plutôt comme la reconnaissance de vertus et l’encouragement à les imiter.
En ce sens la béatification de la famille impériale russe ou de la grande duchesse Elisabeth sont largement justifiées car elles ont , dans leur persécution et même avant , fait montre de vertus chrétiennes indéniables.
Vous aurez compris que je suis beaucoup plus réservé envers les membres du comité dit « de salut public » .
aubert
17 octobre 2016 @ 18:41
Pour une fois qu’est béatifié un homme marié, père de famille – qui a donc connu la chair – ne vous plaignez pas !
Francois
17 octobre 2016 @ 12:16
Les béatifications de personnes de familles princières ou royales
a toujours prêté à controverses
Telle celle de Saint Louis de Gonzague
Il y a bien sûr un acte politique derrière cela
Les bienheureux les Saints montrent aux hommes ordinaires
ce qui peut être considéré comme un chemin de vie exemplaire
Quand on est catholique
Maintenant combien d’hommes et de femmes sont des saints ??
D’où la fête de la Toussaint
Le drame de la fin des Habsbourg fut tel qu’une canonisation serait
une revanche éclatante bien évidemment
Jeanne d’Arc dont la canonisation fut éminemment politique
Ne fut sainte qu’ au XIXeme
L’avenir dure longtemps
Anne-Cécile
17 octobre 2016 @ 15:32
Robespierre, j’ai eu plusieurs fois l’occasion de citer ma parentèle hongroise et avait convenu avec Cosmo, que la noblesse hongroise et plus largement middleuropa n’avait rien appris.
Sur ce sujet, qui les concerne en premier lieu, les Autrichiens ne semblent pas émus particulièrement.
Sur le plan religieux, les béatifications et sanctifications , par centaines chaque année, n’offre que des modèles que les croyants sont libres de prier ou pas.
Il est admis que les Saints etc… Inconnus sont légions que ceux qui viennent à la reconnaissance de l’Eglise ne sont que ceux pour qui les proches ont sollicité la proclamation de leur sainteté.
Sur le plan personnel, Charles est désormais un sujet dépassionné, dont le souvenir est limbé de l’absolution de l’Histoire, jeune empereur inexpérimenté en pleine guerre mondiale, mort tôt, père d’une grande fratrie tôt orpheline etc… Etc…rangé tranquillement sur l’étagère qui lui revient, peu de polémiques autour de lui dans le public.
Sa personnalité calme, et le profil maîtrisé de son fils ont permis cette postérité normalisée.
Aussi le sujet de la béatification de Chatles est assez rapidement passé dans l’opinion d’Europe centrale, malgré quelques polémiques, bien peu de fidèles se passionnant pour cela. Le sentiment général : pourquoi pas? Qu’il le soit ou pas cela ne change guère.
Il est plutôt admis de débattre sur le côté politique de cette affaire qui n’aurait dû être que religieuse. L’activisme des descendants du Bienhereux a créé un consensus parmi les différentes opinions d’Europe centrale: une affaire qui doit servir leurs intérêts.
Cosmo
18 octobre 2016 @ 13:30
Anne-Cécile,
Vous résumez parfaitement la situation.
Amicalement
Cosmo
beji
17 octobre 2016 @ 17:18
Robespierre,combien de têtes couronnées canonisées?Faites-vous partie de la congrégation pour la cause des saints pour affirmer que »l’inventeur »(je reprends le terme
que vous employez) de l’Opus Dei n’a pas été canonisé selon les règles du droit canon?
Gérard
17 octobre 2016 @ 20:03
Où avez-vous vu que les contradictions nécessaires n’avaient pas été apportées dans ces deux cas ?
Robespierre
18 octobre 2016 @ 13:18
J’ai lu un ouvrage de deux journalistes sur l’Opus Dei, mais je ne me rappelle plus leurs noms. Ils disaient que la canonisation de Balaguer avait été expédiée sans assez de vérifications. Et que le monsieur n’avait pas une vie vouée à l’humilité et à la pauvreté, comme par exemple François d’Assise mais aimait le luxe. Mais vous qui êtes un chercheur Gérard, et quelqu’un dont je respecte l’intégrité, vous pourrez peut-être vérifier et me dire si j’ai tort. Il est vrai que je suis biaisé, je n’aime pas l’Opus Dei et j’aime Louis XVI. Quant à Charles d’Autriche, je trouve qu’il aurait dû prier un peu plus et faire un peu moins d’enfants, car sa femme s’est débattue dans pas mal de difficultés pécuniaires. Un de mes prof de fac qui avait connu la famille disait que Zita à Louvain recevait des subsides de riches monarchistes autrichiens pour survivre.
Maintenant, il est certain que je vais me faire étriper par tous les admirateurs d’ Opus Dei, mais je n’en ai cure.
Robespierre
18 octobre 2016 @ 13:21
Je confonds peut etre Balaguer et Escriva.
Robespierre
18 octobre 2016 @ 17:01
Puisque c’est Escriva de Balaguer
Gauthier
19 octobre 2016 @ 13:41
Vos sources sont faibles, Robespierre. Il est facile de clouer au pilori quelqu’un sur base de vagues rumeurs, qui finissent invariablement en procès d’intention.
Je salue votre honnêteté lorsque vous reconnaissez ne pas aimer l’Œuvre, et encore moins son Fondateur, mais cela ne peut servir de preuve à vos allégations.
Je précise juste que je ne suis pas un « admirateur » de l’Opus Dei, pour vous éviter de faire fausse route à mon égard.
Robespierre
20 octobre 2016 @ 08:14
Le livre que j’ai lu était écrit par deux journalistes qui s’étonnaient du manque de vérifications de preuves de sainteté. Mais si vous voulez prier Saint Escriva de Balaguer, ne vous gênez pas et quand vous aurez une maladie guérie grâce à son intervention faites-le moi savoir et je croirai. En attendant je suis comme saint Thomas.
Robespierre
20 octobre 2016 @ 08:15
Et je suis catholique.