La monographie la plus exhaustive à ce jour sur l’un des plus grands artistes et sculpteurs français contemporains. Jean-Michel Othoniel crée des sculptures qui explorent les thèmes de la fragilité, de la transformation et de l’éphémère. En utilisant la répétition d’éléments modulaires tels que les briques ou les perles, il déploie, dans ses créations, différentes stratégies laissant entrevoir un sentiment de perte ou de désespoir – les fissures sous la surface parfaite de ses objets, ses espaces négatifs et, au début de sa carrière, des matériaux fugaces comme le soufre.
Cet ouvrage présente des créations intimes exposées en galerie, ainsi que des commandes publiques monumentales à travers le monde. L’artiste a notamment exposé au château de Versailles, au Palais royal ou en Principauté de Monaco.
Zulma
16 décembre 2019 @ 10:00
Certes. Je reste persuadée que c’était une erreur que de lui offrir la « réinvention » du bosquet du théâtre d’eau à Versailles. Cette prétendue danse est complètement anachronique. Anachronisme qui rend la promenade entre les différents bosquets disharmonieuse.
Pierre-Yves
16 décembre 2019 @ 12:42
Mon impression est le contraire de la vôtre. J’ai découvert lors d’une visite hivernale la danse d’Othoniel sur le bosquet du Théatre d’eau, et j’ai trouvé cela splendide. Je n’y ai pas aucun anachronisme. A moins de considérer par principe qu’une sculpture du XXIème siècle n’a rien à faire dans un décor de la fin du XVIIème, ce qui n’est pas mon opinion, au contraire, je pense que les époques sont faites pour dialoguer.
Zulma
17 décembre 2019 @ 18:43
Comme quoi tous les goûts sont dans la nature.
Baboula
16 décembre 2019 @ 15:52
La première fois on trouve cela intéressant puis répétitif et enfin lassant .
Muscate-Valeska de Lisabé
16 décembre 2019 @ 16:40
Je ne goûte quasiment rien de ce qui est contemporain.
nck
16 décembre 2019 @ 17:37
Quelles arnaques ces « artistes » contemporains, toujours la même chose, un machin destructuré et un discours pseudo-philosophique à la Pangloss pour se donner une contenance alors que ça ne sert que de placement pour les ultra-riches de la planète.
Vasco2
17 décembre 2019 @ 09:56
Moche et sans grand intérêt artistique.
el malik
17 décembre 2019 @ 11:21
et oui l’art est fait aussi pour nous bousculer
Anacronist
17 décembre 2019 @ 13:02
Des jolies boules de caca, avec la débile excuse d’être faites en verre de Murano et à Murano. Creuses et transparentes dans l insignifiance de leur vide. Plus que de la sculpture il s’agit là de bijouterie nauséabonde. Déplorable l’édition Phaidon qui s’enlise dans le goût fade et nauséabond des nouveaux parvenus qui n’ont jamais eu aucun fondement, ni aucune culture pour savoir piger le sens de l’art, et avoir du goût justement !