Naissance le 22 février 2017 de la princesse Madeleine de Saxe-Cobourg Gotha, seconde fille et troisième enfant du prince héritier Hubertus de Saxe-Cobourg Gotha et de Kelly Rondestvedt. La princesse Madeleine a une sœur la princesse Katharina née en 2014 et un frère le prince Philipp né en 2015. (Merci à Corentine)
adriana
24 février 2017 @ 09:43
bienvenue à cette petite madelaine.
Pierre-Yves
24 février 2017 @ 10:18
Hubertus et Kelly se sont mariés en 2009. Ils ont donc mis quelque temps avant de trouver le mode d’emploi pour fabriquer leur descendance, mais à présent qu’ils l’ont, ils ne le lâchent plus.
Gibbs ?
24 février 2017 @ 16:23
Kelly est née le 10 janvier 1975.
Marc Le Regent
24 février 2017 @ 20:18
Oui ….ils ne le lachent plus…c’est aussi ce que je notais au rythme d’un par an…La vie est belle ! C’est sans doute la volonté Divine…..
Leonor
25 février 2017 @ 18:24
« La volonté divine » ….. Je pensais avoir du vocabulaire, mais vous me voyez confuse : j’ignorais qu’on appelait ça comme ça maintenant….. Va falloir réviser mes classiques .
Faisons-le en musique : https://www.youtube.com/watch?v=KbKvDkLlluo
Danielle
24 février 2017 @ 10:36
Bienvenue et longue vie à cette petite princesse Madeleine.
Augustine
24 février 2017 @ 11:08
trois enfants en trois ans, cela ne chaume pas dans cette famille
Goélette
24 février 2017 @ 11:14
Des « seconds couteaux » !
Dagobert 1er
24 février 2017 @ 13:58
et pourquoi donc?
Christian
24 février 2017 @ 14:50
Tiens-donc et pourquoi cela ?
Jean Pierre
24 février 2017 @ 15:35
Une famille qui fût plutot « nuit des longs couteaux ».
Christian
24 février 2017 @ 20:08
Ah oui, j’ai saisi l’idée.
En effet. La jeune génération est toutefois très différente. Andreas est plutôt agréable et Hubertus est un type très sympathique et simple.
Leonor
25 février 2017 @ 09:32
Peut-être, je n’ai pas étudié le cas.
Mais il est inique de faire ce que vous faites, Jean Pierre : faire porter ad vitam aeternam à la descendance le poids des fautes des pères.
L’énorme majorité des Allemands a travaillé le problème, creusé encore et encore, culpabilisé encore et encore, confessé encore et encore, et pris position. Fermement.
Tout un processus , qu’on appelle en Allemagne » Verarbeitung » , trad° approximative » travailler la question jusqu’au bout « .
Les Français n’ont pas fait , pour eux un millième de ce travail-là. Tous résistants, comme on sait …. Ben voyons.
Maintenant, il faut fiche la paix aux Allemands avec ça. Ils sont devenus le meilleur rempart des démocraties. Et si la France par malheur virait de bord aux prochaines élections , ils seraient les seuls en Europe. Qu’on cesse de leur taper dessus.
NB spécialement pour Ghislaine : je sais. Il y a eu des résistants. Quelques-uns. Mais proportionnellement si peu. Hommage à ces quelques-uns.
Leonor
25 février 2017 @ 09:34
Additif à mon post précédent :
j’aurais dû écrire » ils seraient la seule grande puissance en Europe à défendre les démocraties », et non » ils seraient les seuls ».
Anna Claudia
25 février 2017 @ 15:57
Bravo pour la mise au point Leonor. Elle est bien nécessaire.
J’ai une belle-fille allemande dont le grand-père était un opposant à Hitler, et il l’a payé cher.J’ai souvent pleurer cette jeune femme de ne pas être crue ; Pourtant Dachau a été une prison ouverte pour les allemands, bien avant le début de la seconde guerre mondiale. Quand au verarbeintung, il suffit de regarder les chaines de TV allemandes pour s’en convaincre. Pas une semaine, sans un sujet sur cette époque, sur une chaîne ou sur une autre.
Jean Pierre
25 février 2017 @ 13:36
Gott verdami!
Voilà une belle leçon. C’était juste un bon mot.
Toutefois puisque vois evoquez un sujet qui je connais assez bien, je crois qu’il serait juste de noter que le Verarbeitung n’a pas concerné toute l’Allemagne, nI tous les allemands. En ex RDA, la gestion memorielle de la question du passé nazi fût completement differente: l’image de soi qui prevalait en ex RDA c’est celle d’un peuple victime. Dresde n’était pas Bonn.
D’autre part, le Verarbeitung fût l’affaire des fils et des filles de…..jamais de la génération concernée qui elle, est restée muette.
Enfin, vous évoquez la culpabilté collective. Il y a plus de 20 ans que les allemands n’en sont plus là et c’est un des effets de la reunification, on parole plutôt comme le président allemand Herzog l’avait souhaité de responsabilité collective.
Geht’s ?
Faudra que je vous invite pour qu’on parle de tout ça autour d’un Müller troken á Durbach ou Oberkirch. Ce matin le vignoble badois était très beau sous le soleil.
Leonor
25 février 2017 @ 19:24
Avec plaisir pour le Müller troken à Oberkirch. Mais pour l’instant, je suis en France profonde.
Et cessez de proférer de gros jurons, l’ami , ou je vous dis ça dans notre langue apparemment commune, ça sera bien plus parfumé, et on rigolera un bon coup.
Sur le fond :
1. Les » bons mots » en la matière, j’apprécie moyen-moyen, mais admettons.
2. Nous parlons là d’une chose qui échappe à l’énorme majorité des Français, sauf quelques rarissimes historiens qui ont bien voulu ouvrir leurs écoutilles. Les historiens britanniques et américains ont une tout autre approche, en tout cas non-intoxiquée par la bien-pensance française , et encore moins, évidemment, par la bien-pensance alsacienne; laquelle tente désespérément depuis 1918 de se montrer plus patriotico-française que les Français communément appelés par chez nous » Français de l’intérieur » , puisque de l’extérieur nous étions. – Je dis » nous »‘, car, si j’ai bien compris, vous êtes frontalier aussi : ?
3. La » Verarbeitung » :
– En RDA, la » Verarbeitung » ( digestion du passé, trad° approx.) ne pouvait être identique : ses habitants subissaient ce que le nazisme avait prétendu combattre, le communisme. Situation non commentée en France d’après guerre jusque dans les années … ’90, puisque l’intelligentsia était pour l’essentiel aux mains des marxistes, et en chantait les louanges.
– En effet, le sentiment commun était celui d’un peuple victime, et, que les Français l’admettent ou non, ç’a bel et bien été le cas. Dresde en est le symbole, mais » seulement » le symbole . Ce que les Allemands ont subi à la fin de la guerre est sans commune mesure avec ce que la France a vécu pendant l’occupation . Certes, cela n’enlève rien à leur responsabilité initiale, mais cela est.
Et cela a été d’autant plus lourd à » digérer » que, en raison de leur culpabilité même, ils ne pouvaient en parler , et personne ne les aurait plaints,, ce qui se comprend.
– La culpabilité des crimes de guerre,les faits de guerre, aucun soldat ne peut en parler, jamais. Nos soldats de la guerre d’Algérie ont-ils pu parler ? A personne, sauf entre eux, ou à de rarissimes oreilles . Mon fils, retour d’Afghanistan à plusieurs reprises, n’en parle pas. Bouche cousue. Ses collègues aussi. Mais, sur tel mot, tel nom de lieu, ils se regardent, et se comprennent. Et coupent court sèchement quand un » combattant de salon » leur sort des platitudes moralisatrices.
– Quant à être dépassée , oui et non.
+ Oui, car les quadra et trentenaires actuels sont les petits-enfants des soldats de la WW2.
Ce sont en effet, leurs parents, les enfants de ces soldats, qui ont fait le boulot d’interroger la conscience individuelle, parentale, et collective. Ceux-là ont maintenant 80, 70, 60 ans. Mais cette introspection est longtemps restée sans mots, sans expression.
Car, comment dire » mon père était un salaud » ? Et comment dire en même temps » ma mère a été violée par un régiment soviétique qui lui a tout entier passé sur le corps ? »
NB : ma grand-tante était berlinoise, et a vécu – et survécu- à la prise de Berlin …
+ Non, car , donc, cela ne fait pas si longtemps que la parole sur cette recherche-introspection est sortie.
La Trümmerliteratur (*) a d’abord pleuré toutes les larmes de son corps.
Günther Grass a certes publié » Le Tambour » ( Die Blechtrommel) en 1961 , mais c’était encore acceptable, car cela disait l’indignation.
Mais il n’a publié » Le Crabe » ( Im Krebsgang)(**) qu’en 2002, et , même encore alors, cela a fait scandale. Pensez, oser décrire le sort de ces Allemands qui ont fui la Prusse orientale en bateau, et sont morts noyés, torpillés par un sous-marin soviétique : encore impensable, encore irrecevable, en 2002.
Il se trouve, anecdote personnelle, qu’il m’a été donné de recueillir le témoignage d’un homme, qui avait avec sa mère fui la Prusse sur un semblable bateau , à 5 ans, et se souvenait encore avec terreur de sa ville en flammes.
Geht’s so ? (***) Hopla ! Wenn drinke m’r dènne Schoppe ?
(*) Littéralement » la littérature des ruines », mouvement littéraire de l’immédiat après-guerre
(**) L’histoire du naufrage du Wilhelm Güstloff, ~10 000 victimes, la plus grande catastrophe maritime de tous les temps , cf. https://www.herodote.net/30_janvier_1945-evenement-19450130.php
(***) Trad° : Ca va comme ça ? Quand est-ce qu’on se boit ce pot ?
–
AnneLise
25 février 2017 @ 14:20
Chère Léonor, merci de m’avoir oubliée !
De vrais Résistants il y en eu je crois l’avoir déjà développé dans d’autres sujets.
Il faut éviter de trop généraliser, ce n’est pas parce qu’on n’a pas rapporté les actions de nos proches qu’ils n’ont pas existé.
Bon week end
Leonor
27 février 2017 @ 19:10
Bien sûr qu’il y en a eu, de vrais résistants, AnneLise, j’ai pris soin de le préciser.
Pour la France, le général De Gaulle les estimait à un maximum de 3%, à l’extrême fin de la guerre, selon ce que rapporte son fils , l’amiral Philippe De Gaulle.
A ceux-là, chapeau bas. Nul d’entre nous ne peut dire qu’il en aurait fait autant, ou ce qu’il aurait fait en ces temps-là .
Philippe
25 février 2017 @ 14:51
Oh, Leonor, non … épargnez-nous le couplet sur l’incapacité des français à regarder leur passé ! … Vous savez très bien que c’est faux.
On n’arrête pas, tant les historiens que les journalistes, et même les auteurs de fictions, de souligner les égarements de notre Histoire.
Collaboration, complicité de l’Etat français dans l’accomplissent du crime de la Shoah, épuration, colonisation, décolonisation, tout y passe en permanence, et en boucle !
Avec parfois même beaucoup d’exagération ! … comme l’ont montré encore récemment les propos malheureux d’un jeune candidat à la magistrature suprême …
Soit dit en passant, on ne parle jamais de ce dont on peut être fiers, par exemple du fait que les français comptent le plus grand nombre de Justes inscrits au mur de Yad Vashem.
Ras le bol donc avec la culpabilisation collective permanente. Sur ce point là au moins on est d’accord.
Vous avez parfaitement raison d’insister sur la qualité du travail de mémoire qu’ont accompli nos amis allemands, et je les crois aujourd’hui, comme vous, les meilleurs défenseurs de la liberté
et de l’honneur de l ‘Europe, mais quand on parle du chef d’une maison princière, vous admettrez que la perspective est forcément différente.
Tant pis si c’est injuste pour ses descendants, mais il est difficile d’oublier les comportements personnels de tel ou tel, surtout quand il s’agit de gens que leur statut de privilégiés auraient pu, et dû, pousser à se montrer plus exemplaires …
Et c’est malheureusement le cas Saxe-Cobourg.
Charles-Edouard de Saxe-Cobourg-Gotha, l’arrière-grand-père d’Hubertus, qui pourtant était petit-fils de la reine Victoria, et né prince de Grande-Bretagne, était un nazi, et parmi les plus zélés … C’est un fait.
J’y pense moi-même à chaque fois qu’on parle de la branche ducale des Saxe-Cobourg. Ou même de la famille royale suédoise (Carl-Gustav est un petit-fils du même Charles-Edouard) …
Je vous accorde que le pauvre Hubertus n’y est absolument pour rien,
pas plus d’ailleurs que la princesse Victoria, mais il se trouve que lui porte le nom de sa Maison, qu’il est appelé à en perpétuer les titres.
et qu’il est difficile de glisser sous le tapis un passé familial pareil.
Au moins pendant encore quelques générations …
Bien à vous.
Rose
26 février 2017 @ 10:52
Bonjour,
Je suis d’accord avec l’intégralité de votre commentaire.
En suède, le passé du père de la reine Silvia a souvent fait l’objet de commentaires. En revanche, le passé nauséabond du père de la princesse Sybille (et le fait que la famille royale de Suède au moment du mariage avec le pince Gustave-Adolphe ait accepté les uniformes nazi) est souvent tu.
Le nouvelle génération de prince a l’air effectivement sympathique.
Belle journée
Leonor
27 février 2017 @ 19:06
Absolument impossible de partager votre avis, Philippe.
Libre à vous de garder vos oeillères.
Mais ces oeillères, par les temps qui courent, sont dangereuses.
Faute d’avoir regardé en face leurs « errements » passés, comme vous dites, les Français sont actuellement sujets à des tentations récurrentes. Redoutables tentations.
HRC
27 février 2017 @ 21:14
Je suis d’accord avec votre post, Philippe.
Ceci dit, si Leonor veut ne pas savoir ce qui a été enseigné, publié, filmé téléfilmé… sur la collaboration, c’est parce que la partie allemande de sa famille, veut l’ignorer. Parce que De Gaulle a voulu que nous ayons une zone d’occupation en Allemagne, ce qui est mal passé, et je pense aussi que c’est une grosse erreur de De Gaulle.
Elle pense aussi qu’en France on ignore les viols et autres exactions qu’ont vécues les civils allemands, peut être, là c’est en partie vrai, mais ce n’est pas le sujet de la collaboration. Si cette famille allemande de Léonor était originaire de Hambourg, elle parlerait des bombardements incendiaires sur celle ville.
Sur la culpabilité, elle n’est pas héréditaire, famille princière ou pas, ça reste un fondement du droit ou simplement de la morale.
Quand aux gens de l’ex-RDA, ils ont été élevés dans la certitude que la France était intégralement collaborationniste, et je l’ai entendu, plein d’autres aussi. Leonor se retrouve avec acharnement sur les mêmes bases, dommage.
Leonor
28 février 2017 @ 18:40
A HRC : je trouve toujours très marrant de voir quelqu’un affirmer savoir ce que je pense, moi. :-)
Mieux vaudrait en rie, si la question n’était pas aussi grave.
================================
Il est malheureusement clair et net, à vous lire, Philippe , HRC et Rose, que vous ne savez pas grand’chose sur l’Allemagne, et ne voulez rien savoir du comportement des Français pendant et après la guerre.
Dommage, en effet.
Philippe
28 février 2017 @ 19:16
Leonor, je n’ai pas parlé d’errements, mais d’égarements.
Si vous me citez, faites le vraiment.
Quant aux tentations actuelles dont vous parlez, je ne vois pas
en quoi elles feraient écho avec la période de la guerre, puisque j’imagine que c’est de cela que vous parlez.
Je vous rappelle quand même qu’au moment de la débâcle,
puis de l’armistice, puis de l’établissement de l’Etat français,
c’est la gauche qui quittait le pouvoir … et qu’aucun processus démocratique n’est venu légitimer aucun des deux derniers !
Qui vous dit donc que ce n’est pas vous qui avez des oeillères ?
J’ai remarqué que, comme beaucoup d’alsaciens, vous avez
souvent tendance à vous extraire de la communauté nationale,
et à aimer donner des leçons aux « français ».
C’est une attitude répandue dans votre région, par ailleurs
très belle, et peuplée d’habitants travailleurs, disciplinés et courtois (que j’ai été amené à fréquenter et apprécier sur
un plan professionnel), mais une attitude qui ne laisse de m’étonner …
Croyez bien pourtant que je partage souvent vos analyses,
et que j’apprécie même votre côté adjudant, qui m’amuse,
mais point trop n’en faut.
Par ailleurs, je vous rappelle que le débat de départ portait
sur l’attitude d’une famille princière allemande, et en aucun cas sur une éventuelle culpabilité collective perpétuelle de l’Allemagne, laquelle a autant souffert, sinon plus, que le reste de l’Europe.
Que vous le vouliez ou non, l’honneur de la famille Cobourg
a été entachée par son chef, qui n’avait pas l’excuse d’être un simple exécutant, et qui s’est vautré dans le nazisme avec délectation.
Honte à lui, donc, et nous avons le doit de le rappeler, encore
et encore, et même au risque de blesser ses successeurs.
Le successeur d’un titre doit tout assumer.
Bien à vous, chère Léonor.
Christian
25 février 2017 @ 15:29
Merci Leonor. ?
Leonor
28 février 2017 @ 18:42
C’est moi qui vous remercie, Christian. Car rares sont les Français à avoir les yeux ouverts sur le sujet.
Bernadette
24 février 2017 @ 11:35
Waouh ! Quelle santé pour la maman !
Imre d’Autriche, souvent critiqué, est battu !
teddy
24 février 2017 @ 19:21
j’ai vu sur le net une personne a fait 15 fausse couches et 9 grossesses
son mari devait beaucoup l’aimer et être beaucoup en demande physiquement et ont eu une vie épanouie ou un manque de respect
Antoine
27 février 2017 @ 10:47
Si vous faites de la généalogie, Teddy, vous vous apercevrez très vite que jusqu’à l’aube du XXème siècle les familles de dix enfants, dans tous les milieux, étaient très fréquentes. La moyenne était 7 ou 8. En-dessous, c’est qu’il y avait eu mort prématurée d’un ou des parents ou mariage tardif.
Guyard
24 février 2017 @ 11:52
Baptême de la sœur ainée :
http://geneanjou.blog.lemonde.fr/2014/09/24/bapteme-de-la-princesse-katharina-von-sachsen-coburg-und-gotha/
Lien avec la reine Victoria : http://geneanjou.blog.lemonde.fr/2015/07/15/un-heritier-en-second-pour-la-famille-de-saxe-cobourg-gotha/
JAusten
24 février 2017 @ 23:11
Kelly Rondestvedt est presque la sœur jumelle de Autumn Kelly :)
merci pour la photo du baptême, le prince Ernst August de Hanovre fait un peu Frankenstein dans ce costume et cette posture :)
Gibbs ?
24 février 2017 @ 12:25
Régine,
Comment faire le lien avec le roi des Belges, Léopold I ?
Merci
Jean Pierre
24 février 2017 @ 15:36
Ce sont des descendants d’Albert de SCG et de Victoria.
Gibbs ?
25 février 2017 @ 10:53
MERCI Jean Pierre et Christian.
Christian, svp, voulez-vous écrire « roi des Belges » car c’est l’appellation correcte ?
Léopold de SC, roi des Belges; à l’époque, comme pour Philippe actuellement, il n’y a pas de « premier » car il l’est.
Philippe descend bien, à la 5ème génération de Léopold-Saxe-Gobourg-Saafeld devenue SC et G devenu « de Belgique » après la guerre 1914-1918.
Petit apparté !
Il me semble que c’est vous qui avez écrit que si Albert II refuse le test ADN, il ne se passera… rien.
Le juge peut considérer ce refus comme un aveu avec les suites que vous imaginez.
Par ailleurs, tous documents : lettres, photos, commentaires de voisinage, peuvent permettre de prouver qu’à tout le moins il y a une présomption.
Wait and see.
Je vous souhaite, à tous deux, un excellent week-end.
Je vous remercie.
Gibbs ?
25 février 2017 @ 10:56
Saalfeld !!!
Sorry mais je suis définitivement brouillée avec l’allemand pourtant appris et le néerlandais non appris par choix !
Christian
26 février 2017 @ 11:30
« Saafeld rien ». ?
Christian
25 février 2017 @ 15:37
Premier roi de cette dynastie. À noter que leur titre est roi DES BELGES mais que leur nom de naissance est DE BELGIQUE.
Sur l’affaire, je pense qu’il ne se passera rien de sensationnel, et cela que le roi soit reconnu père de Delphine ou pas. Nous aurons simplement la preuve que tout ça est ridicule.
Mais je ne donne pas cher de la destinée de Delphine Boël dans ce pays. Quelle que soit l’issue, cette femme s’est compromise.
Christian
24 février 2017 @ 15:58
Hubertus est le fils d’Andreas, chef de la Maison de Saxe-Cobourg et Gotha, lui-même fils de Charles-Édouard (1884-1954), dernier duc de S.C. et G. Par cette filiation, Hubertus est l’arrière-arrière petits-fils de la reine Victoria du Royaume-Uni et du prince-consort Albert, par la « lignée d’Albany » ; plus avant, il descend d’Ernest Ier (1784-1844), duc de Saxe-Cobourg-Saalfeld (1806-1826) puis Duc de Saxe-Cobourg et Gotha (1826-1844), père du prince Albert.
Comme vous le savez, l’actuel roi des Belges descend à la cinquième génération de Léopold de Saxe-Cobourg-Saalfeld, puis Saxe-Cobourg et Gotha, devenu Léopold Ier « des Belges ». Ce dernier est le fils de François de Saxe-Cobourg-Saalfeld (1750-1806), qui est le père d’Ernest Ier de S.C. et G., ci-dessus. De ce fait, c’est aussi l’oncle du prince-consort Albert.
Philippe »des Belges » est donc un petit-cousin à la sixième génération d’Hubertus de S.C. et G.
Berthold
24 février 2017 @ 19:25
Mais c’est pas le dernier ?!
J.B.
Gibbs ?
25 février 2017 @ 10:58
Philippe de Belgique ou Philippe, roi des Belges. ?
Gibbs ?
25 février 2017 @ 16:26
Christian,
J’ai oublié l’hélicoptère qui déposait le prince Albert chez Sybille de Sélys-Longchamps.
Cela fait beaucoup de bruit, ne passe pas inaperçu et brasse beaucoup d’air.
Christian
26 février 2017 @ 11:34
Oui, par contre, chaque chose devant rester à sa juste place, nous n’en parlerons pas ici. Ce n’est pas le sujet. ?
Christian
24 février 2017 @ 16:00
Et donc, Léopold Ier est un lointain grand-oncle d’Hubertus. ?
Ellen
24 février 2017 @ 17:27
alors : le roi Léopold des belges était l’oncle du mari de la reine Victoria Albert. Le couple Albert-Victoria a eu un enfant prénommé Léopold justement, dont descend le prince Hubertus
Lili.M
25 février 2017 @ 06:57
Le roi Leopold était également l’oncle de la reine, frère de sa mère. Le prince Albert et la reine Victoria étaient cousins germains.
Le roi Leopold aurait dû être prince consort mais son épouse la princesse Charlotte héritière est décédée avant son accession au trône. Mais il a eu sa nièce Victoria comme reine et son neveu prince consort et ensuite le royaume de Belgique en « compensation »!
Gibbs ?
25 février 2017 @ 11:01
Merci Lili.M.
Sur ce point, je connais les faits. ?
Gibbs ?
25 février 2017 @ 16:31
Lili M,
La seconde épouse de Léopold I était Louise d’Orléans.
La première épouse décédée en couches était la princesse de Galle, Charlotte.
Gibbs ?
25 février 2017 @ 16:33
GalleS !
Lili.M
27 février 2017 @ 18:09
Moi aussi je connais un petit peu quelques détails de la vie du roi Leopold. Évidemment il fallait comprendre prince consort de Grande Bretagne si sa première épouse Charlotte avait accédé au trône. Mais comme nous sommes sur ce site je n’ai pas approndi pour ne pas trop la ramener !!
Gibbs ?
25 février 2017 @ 11:04
OK Ellen !
Léopold, roi des Belges. ?
JAY
24 février 2017 @ 12:41
Il ne reste plus qu’a avoir une 2eme fils !
teddy
24 février 2017 @ 19:23
les princes de walburg zeil ont eu six filles pas de fils
le frère du prince franz de bavière l’a eu que des filles aussi
Mayg
24 février 2017 @ 13:01
Félicitations au couple pour la naissance de cette petite princesse.
COLETTE C.
24 février 2017 @ 14:31
Bienvenue à Madeleine.
J’aime voir la princesse Kelly et sa parure en turquoises.
teddy
24 février 2017 @ 19:24
il y a aussi la paire de boucle d’oreilles en diamants et turquoises
Lars de Winter
24 février 2017 @ 15:08
Parure magnifique!
jo de st vic
24 février 2017 @ 19:18
Le prince Andreas est le cousin germain du roi de Suede, son pére etait le frére de la princesse Sybille ..Hubertus est le cousin issu de germain de Victoria, Madeleine et Carl Philippe
Juliette
24 février 2017 @ 19:49
Un site intéressant qui permet de voir les connections entre les différentes branches Saxe-Cobourg-Gotha d’Allemagne, d’Angleterre, de Bulgarie et de Belgique, avec des arbres généalogiques:
http://prinzandreas.com/
Juliette
24 février 2017 @ 19:55
Une très bonne nouvelle.
Les 2 aînés du couple ont des parrains et marraines très prestigieux (le roi Philippe, le prince héritier de Hanovre, la princesse héritière de Suède…). Gageons qu’il en sera de même pour la petite princesse Madeleine, avec peut-être la princesse Madeleine de Suède parmi les futurs parrains et marraines.
2 des 3 enfants de ce couple ont quasiment le même prénom que 2 des 3 enfants du roi et de la reine de Suède (les princes Carl-Philip et Madeleine).
Par ailleurs, j’aime également beaucoup la parure de turquoises héritée de la famille. Elle s’harmonise très bien avec le bleu Klein de la tenue.
Tonton Soupic
25 février 2017 @ 16:47
J’ai tous les diskq de la soeur de Kelly Rondestvedt. Mon préféré, c’est cilui où Linda est en patin à roulettes.
jo de st vic
26 février 2017 @ 09:49
Pensons aussi aux jeunes de « la rose blanche », des allemands opposés au nazisme (que personne n’a soutenu), aux princes de Baviére etc…Andreas et Hubertus ne sont pas responsables de leurs ainés, pas plus chez nous en France les descendants de miliciens et collabos….Respect aux veritables resistants…pas a ceux de la derniére heure tellement nombreux(comme celui qui reçu la francisque, puis invita a sa table un ancien collabo)
Trianon
27 février 2017 @ 00:15
Exact, Sophie Scholl dut, entre autres, une héroïne hors norme, et puis on peut aussi parler de l’opération Walkyrie qui malheureusement n’aboutit pas..
HRC
27 février 2017 @ 21:21
Il ne l’a pas seulement invité à sa table : il l’a beaucoup et longtemps fréquenté, dès que l’ancien préfet de police a été recasé dans la presse.