A Tokyo, le prince héritier Naruhito, la princesse héritière Masako et la princesse Aiko du Japon ont visité une exposition consacrée à Botticelli. (Merci à Severina)
Cette exposition rappelle les 150 années des relations diplomatiques entre le Japon et l’Italie et il s’agit d’un evennement tout a fait exceptionnel car il y a des tableaux qui ont été envoyés des plus importants musées italiens: les Uffizi de Florence, le Poldi Pezzoli de Milan, et de Venise. Il y a aussi un tableau impossible a voir « La belle Simonetta », un portrait de Simonetta Vespucci, qui est propriété privée d’une societe de trading, la Marubeni Corporation, et des tableaux de Filippo et Filippino Lippi.
La princesse Masako semble beaucoup plus présente depuis quelques mois. J’espère que, comme sa belle mère en son temps, sa dépression sera suffisamment contrôlée afin de lui permettre de vivre la seconde moitié de sa vie d’une façon plus apaisée et sereine.
Oh oui, Corsica, il faut le lui souhaiter. Cette maladie l’a isolée pendant si longtemps ! Elle semble « renaître », depuis quelques temps et c’est un plaisir de la revoir.
C’est vrai que qu’ils ont l’air un peu « pantins mécaniques »… Mais pour ma part, je fais abstraction de ce détail quand je vois la Princesse Masako faire davantage d’apparitions et sorties publiques (encore parcimonieuses), preuve d’une amélioration lente mais sûre de sa santé psychique…
C’est un pays ou l’on est toujours dans la retenue, je sais par expérience si on offre un cadeau, les japonais n’ouvrent pas le présent devant la personne qui le remet.C’est dans leur culture, ils sont ainsi.
JAusten
15 mars 2016 @ 20:33
cette photo me fait penser à un jeu « cherchez l’anomalie ».
j21
15 mars 2016 @ 21:31
Très drôle la posture des 4 protagonistes sur la photo.
Baboula
16 mars 2016 @ 08:00
Comme quoi les mains croisées ,plus ou moins bas sur le ventre sont universelles.
En fait ça date du pithécanthropus erectus.
Dominique
15 mars 2016 @ 22:30
Sympathique famille !
Coriandre
15 mars 2016 @ 23:01
J’ai trouvé : c’est le « truc » vert au sol qui apporte un peu de gaité !
Caroline
16 mars 2016 @ 10:04
Coriandre, avec les ombres chinoises sur le fond bordeaux!
Nina Premiere
16 mars 2016 @ 07:55
S’il s’agit de l’exposition présentée au Palais du Luxembourg il y a quelques années, c’est une merveille.
Severina
16 mars 2016 @ 21:41
Cette exposition rappelle les 150 années des relations diplomatiques entre le Japon et l’Italie et il s’agit d’un evennement tout a fait exceptionnel car il y a des tableaux qui ont été envoyés des plus importants musées italiens: les Uffizi de Florence, le Poldi Pezzoli de Milan, et de Venise. Il y a aussi un tableau impossible a voir « La belle Simonetta », un portrait de Simonetta Vespucci, qui est propriété privée d’une societe de trading, la Marubeni Corporation, et des tableaux de Filippo et Filippino Lippi.
Corsica
16 mars 2016 @ 08:05
La princesse Masako semble beaucoup plus présente depuis quelques mois. J’espère que, comme sa belle mère en son temps, sa dépression sera suffisamment contrôlée afin de lui permettre de vivre la seconde moitié de sa vie d’une façon plus apaisée et sereine.
Mélusine
16 mars 2016 @ 21:08
Oh oui, Corsica, il faut le lui souhaiter. Cette maladie l’a isolée pendant si longtemps ! Elle semble « renaître », depuis quelques temps et c’est un plaisir de la revoir.
clement
16 mars 2016 @ 10:21
la petite Princesse porte de bien tristes couleurs pour son âge !
Ontheroadagain
16 mars 2016 @ 11:13
C’est vrai que qu’ils ont l’air un peu « pantins mécaniques »… Mais pour ma part, je fais abstraction de ce détail quand je vois la Princesse Masako faire davantage d’apparitions et sorties publiques (encore parcimonieuses), preuve d’une amélioration lente mais sûre de sa santé psychique…
Nicole C 34
16 mars 2016 @ 16:12
C’est un pays ou l’on est toujours dans la retenue, je sais par expérience si on offre un cadeau, les japonais n’ouvrent pas le présent devant la personne qui le remet.C’est dans leur culture, ils sont ainsi.
Francine du Canada
18 mars 2016 @ 05:04
En effet Nicole C 34; on accepte le présent et on se retire sans l’ouvrir. FdC