C’est Martin-Guillaume Biennais, célèbre orfèvre, qui a exécuté ce nécessaire pour l’empereur Napoléon Ier. C’était le préféré de l’empereur. Il l’emporta avec lui lors des batailles d’Ulm, d’Austerlitz, d’Iéna, d’Eylau et de Friedland. Lorsque Napoléon part pour l’île d’Elbe en 1814, il le donne au général Bertrand.
Mais dans son testament, il désire qu’il revienne à son fils le roi de Rome. Le nécessaire est composé de 110 pièces comprenant des instruments de travail, un service de table et des objets de toilette. (Copyright photo : Musée Carnavalet)
Pauline de Roby
20 février 2019 @ 09:06
Des objets tous plus beaux les uns que les autres..
Muscate-Valeska de Lisabé
20 février 2019 @ 11:10
Forcément un souvenir « chargé ».
particule
20 février 2019 @ 11:20
Pour le bivouac rien de plus simple … les troupes de notre Empereur étaient , elles,soumises à un campement spartiate, impensable aujourd’hui pour la jeune génération qui n’apprend plus ou presque que des millions de leurs ascendants ont par le courage et le don de leur vie construit cette France glorieuse .
Qu’en est il aujourd’hui ? Comment bâtir un avenir si on méconnait le passé ?
Philibert
21 février 2019 @ 09:55
C’est pour cela que, de nos jours, une armée de conscription est devenue impensable en Occident et que tous les pays de l’Union européenne y ont renoncé.
Mais je crois qu’on s’éloigne du sujet…
COLETTE C.
20 février 2019 @ 11:25
Heureusement, il est dans un musée !
Superbe !
kalistéa
20 février 2019 @ 12:01
Napoléon et Joséphine étaient très genereux: Ils donnaient sans cesse ce qu’ils avaient sous la main …
Laurent
20 février 2019 @ 17:24
Facile de donner quand on possède des fonds illimités
Corsica
21 février 2019 @ 14:52
La reine Mary avait beau avoir des fonds illimités, elles prenaient. Au point que lors de ses déplacements, ses hôtes cachaient les objets susceptibles d’attiser sa convoitise car il aurait été difficile de ne pas la satisfaire.
Corsica
22 février 2019 @ 18:59
Pardon, il fallait lire elle prenAIT. Merci
Danielle
20 février 2019 @ 12:57
Quels beaux objets utilisés lors de ces campagnes !! heureusement qu’ils sont maintenant la propriété d’un musée.
kalistéa
21 février 2019 @ 19:56
En donnant sans cesse et en recommandant ils faisaient marcher le commerce de luxe .Un pays qui n’a pas de riches est un pays pauvre!