Le prince Nicolas de Roumanie a participé Château Pelisor à Sinaia à la cérémonie de remise des prix des lauréats du Concours national de « Carmen Sylva». Ce concours qui porte le nom d’artiste de la reine Elisabeth de Roumanie s’adresse à un public entre 7 et 29 ans, amateur de dessin, peinture, gravure et photographie.
Le concours, qui en est à sa troisième édition, continue la tradition de la promotion des jeunes talents, initié par la reine Elisabeth qui organisait des soirées musicales au château de Peles. (Copyright photos : site du prince Radu de Roumanie)
marielouise
15 juin 2014 @ 08:17
Voilà un prince bien charmant,un vrai,empathique et charismatique…..!
Quel beau sourire!
Qu’on le voie plus et que son oncle ,par alliance,se montre plus discret,ce serait un avantage pour la Roumanie!
Sil il est des princesses arrivistes comme certains aiment à le dire,Radu en est la forme masculine la plus détestable!
Anastasie
15 juin 2014 @ 08:25
Hier j’ai regardé « Ora Regului », émission sur la famille royale roumaine, qui passe tous les samedis sur TVRi (la TV roumaine internationale) qui a diffusé une interview en roumain du Prince Nicolas. D’après ce que j’ai pu juger, il commence à parler couramment cette langue.. avec encore des touches délicieuses d’accent anglais !
Il me semble être un jeune prince très sympathique.
Claude Patricia
15 juin 2014 @ 11:42
Ah, très bien, je l’encourage (oui, je sais qu’il y a peu de chance qu’il me lise, mais ce n’est pas grave).
Claude Patricia
15 juin 2014 @ 11:50
Il est pour moitié Orléans-Bragance, lui aussi? Je ne me trompe pas? Nous n’avons jamais vu de photos de mariage ni des princes enfants.
Claude Patricia
15 juin 2014 @ 11:52
Désolée, j’ai confondu avec les princes de Serbie (J’ai parfois du mal à essayer de regrouper tous les descendants Bragance).
En vous priant de m’excuser pour la méprise…
Pierre-Yves
15 juin 2014 @ 14:36
Mais il a du sang Bourbon Parme par sa grand-mère, ce qui, somme toute, est aussi honorable.
A part cela, il progresse, ce Nico …
Gérard
15 juin 2014 @ 20:10
Et bien sûr du sang Orléans par Marie princesse Valdemar de Danemark grand-mère de la reine.
Un prince charmant parlant effectivement avec un non moins charmant accent. Différent de son oncle dont l’énergie est cependant considérable et bénéfique.
Claude Patricia
16 juin 2014 @ 15:39
Bonjour à Pierre-Yves et Gérard, et à nouveau à tous les lecteurs du site.
Il est vrai que je n’ai pas encore parlé de ces cours-là, non plus pour savoir qui étaient leurs ancêtres mais je vais me rattraper!
Il va falloir que je vous écrive la très belle préface d’Arnaud Chaffanjon pour me faire pardonner tant d’ignorance…(non, là je plaisante un peu, tout de même).
Préface
A la fin du XIX siècle, régnait à Londres une reine qui s’appelait Victoria. Elle eut neuf enfants, une quantité impressionnante de petits-enfants, on la surnomma « la grand-mère de l’Europe » : par le jeu des alliances, tout ce qui régna en Europe descendit bientôt d’elle.
A la même époque, régnait au Danemark un roi qui s’appelait Christian IX. Il n’eut que six enfants mais plusieurs d’entre eux eurent l’idée originale d’épouser des enfants ou petits-enfants de la reine Victoria d’Angleterre, leur descendance se trouva confondue et on le surnomma « le grand-père de l’Europe ».
Grand-père et grand-mère de l’Europe, ancêtres d’innombrables rois et reines sans avoir été mariés ensemble, voilà bien l’extravagant roman d’amour d’un couple idéal, qui aurait pu être mari et femme, mais dont le destin a été seulement, et exceptionnellement, celui d’être des géniteurs royaux…puisqu’ils ont en commun de nombreux descendants non moins royaux, régnants ou pas, de nos jours.
A la fin de la première moitié du XX ieme siècle, dans les années qui précédèrent la guerre de 1939-1945, les enfants ne regardaient pas la télévision, puisqu’elle n’existait pas encore. Il y avait peu de revues et de magazines dont les images auraient pu faire rêver ceux qui voulaient s’instruire ou voyager autour de leur chambre d’enfant. Une seule revue cependant parvenait jusque dans les lointaines campagnes pyrénéennes où s’écoulait mon enfance paisible : l’Illustration, à laquelle mon grand-père était abonné, à ma plus grande joie et pour la satisfaction de mon intellect déjà curieusement tourné vers la chose royale. Ma passion innée de l’histoire se poursuivait dans les rebondissements de l’actualité princière, dévoilée semaine après semaine dans les pages somptueuses et magiques de la belle revue au papier glacé, aux numéros spéciaux souvent hauts en couleur où mon imagination enfiévrée retrouvait la réalité quotidienne et fascinante de ces cours d’Europe qui avaient survécu au cataclysme politique consécutif à la Première Guerre mondiale.
Passionné par l’histoire dont je vivais ainsi l’actualité, je dévorais tous les livres de la bibliothèque de mon grand-père. Parallèlement, je suivais à la radio les grands évènements royaux qui réjouissaient ou affligeaient cette Europe couronnée dont la Grande-Bretagne restait le modèle du genre : la mort du roi Georges V l’avènement d’Edouard VIII et les préparatifs de son couronnement, interrompus par son abdication et son amour pour la belle Wallis Simpson, enfin remplacés à la même date par celui de Georges VI. Je suivais la croissance et les évolutions de la princesse Elisabeth et de la petite Margareth-Rose, dont on rapportait les bons mots d’enfant. Je m’attristai avec le peuple belge de la mort tragique du roi Albert, le Roi-Chevalier, qui, en 1914, avait rendu l’honneur à son pays; je pleurai à l’annonce de l’affreux accident qui coûta la vie à la reine Astrid laissant le jeune roi Léopold désemparé et trois orphelins figés dans la douleur. Un peu de fraîcheur nous venait du jeune royaume d’Albanie où le roi Zog Ier épousait la plus ravissante des comtesse hongroises, tandis que rien encore ne laissait prévoir la tragique échéance qui pesait sur ce pays.
Nous nous réjouissions avec les Pays-Bas qui fiançaient, puis mariaient leur princesse héritière Juliana avec un jeune prince Allemand, suivant en cela une tradition établie depuis deux générations. La naissance en 1938, de la princesse Béatrix venait mettre un comble à la joie du jeune ménage princier. Pour ne pas être en reste, le jeune couple d’Umberto d’Italie et de la princesse Marie-José de Belgique, donnait à l’Italie un prince héritier, prénommé Victor-Emmanuel et titré prince de Naples.
L’Europe attentive mais egoiste, suivait de loin les pérégrinations tragiques de l’impératrice Zita, qui veuve à trente ans de Charles Ier, promenait à travers l’Espagne, la France et la Belgique ses huit enfants, admirablement élevés au milieu des amertumes de l’exil, de la pauvreté et du malheur. Puis quelque jours après que les ondes eussent apporté à ma solitude pyrénéenne les échos enfiévrés de ces cours, ballotées entre l’allégresse et le désespoir, m’arrivaient de la rue Saint-Georges les images retransmises par l’Illustration. Je pouvais enfin mettre des visages sur les noms cent fois entendus et me replonger avec délices dans ces généalogies si solidement imbriquées les une aux autres et qui avaient enfin un visage humain.
L’Europe du nord, avec la descendance de Christian IX, qui avait occupé le trône de Hamlet à Copenhague pendant près d’un demi-siècle n’en été pas moins fascinante. La série des mariages entre les descendants de Victoria et ceux de Christian IX avait été ouverte en 1863. Cette année-là dans la chapelle Saint-Georges du château de Windsor, le fils aîné de la reine victoria, Albert épousait la princesse Alexandra de Danemark, fille aînée des filles du futur roi Christian IX, alors prince héritier de ce pays.
Trois années plus tard, la sœur de la princesse Alexandra, Dagmar, après avoir embrassé la religion orthodoxe, devint la grande-duchesse Maria-Fédéorovna de Russie en épousant le futur Tsar Alexandre III. Leur fils fut le malheureux empereur Nicolas II, dernier Tsar de Russie. En 1863, le second fils de Christian IX, le prince Guillaume, accepta le trône de Grèce et devint Georges Ier roi des Hellènes. Son fils aîné et héritier, lui succéda en 1906 sur le trône de Danemark sous le nom de Frédéric VIII. A cette époque, par une série de brillants mariages dynastiques, la couronne de Danemark s’apparenta aux maisons régnantes d’Europe les plus importantes. Le roi Frédéric VIII avait épousé la reine Louise de Suède, surnommée dans le cercle familial « le cygne ». C’était une femme d’une grande piété, d’une grande austérité que la société danoise, pourtant peu émancipée, choquait. C’est sous le règne de Frédéric VIII que la Norvège, ayant réussit à s’émanciper du joug de la Suède devint un royaume indépendant et choisit comme souverain le fils cadet de Frédéric VIII, le prince Charles de Danemark, qui prit le nom de Haakon VII.
Le cinquième enfant de Christian IX, la princesse Thyra, épousa le duc de Cumberland, Ernest-August et son sixième, le prince Valdemar ( Nous y voilà!!) épousa en 1889 la princesse Marie d’Orléans, arrière petite-fille de Louis-Philippe, roi des Français. Ces liens matrimoniaux conférèrent à la monarchie danoise une position de privilège dynastique absolu et la résidence d’été du roi, à Fredensborg « devint le centre de la vie de cour en Europe » pendant plusieurs années. L’on peut dire aussi que les réunions familiales estivales qui s’y déroulaient ou à Bernsdorf offraient à leurs illustres participants d’indispensables vacances de protocole. (comme nous l’avons évoqué)
Quand les évènements royaux venaient à manquer dans ces cours en raison de la prodigieuse longévité des monarques nordiques et de la diversité de leurs nombreux mariages morganatiques qui nous privaient de plus d’une fastueuses cérémonie, j’avais malgré tout la ressource de me reporter à la collection reliée par mon grand-père depuis le début de ce siècle et de revivre année après année tous les grands évènements qui entrecoupés de guerres et de révolutions, avaient jeté à bas la plupart des grands empires tels que la Russie, l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie, déstabilisant ainsi les monarchies balkaniques et quelques autres trône européens. Au milieu de ces secousses, se profilait l’élégante silhouette d’un souverain espagnol, détrôné et parisien, qui entre deux tragédies familiales réussissait malgré tout à marier infantes et infants avec ce qu’il restait de fastes pontificaux et royaux dans une Rome précipitée dans les délices délétères d’un fascisme frotté de grand monde.
Parfois la France accueillait cet aimable Alphonse XIII ainsi que la courageuse reine Amélie de Portugal qui ne devait achever sa vie à Versailles qu’en 1951. Ce tour d’Europe que mon enfance avait pu faire en compagnie de l’Illustration s’acheva hélas en 1940, quand le fracas des armes précéda celui de la chute de quelques nouveaux trônes. Mais ces lectures avaient été très certainement à l’origine d’une vocation et il est bien évident que, si je suis reporter à Point de Vue-Image du Monde depuis vingt-six ans, c’est à la lecture de l’Illustration que je le dois. J’espère que la lecture de point de vue suscitera de telles vocations, je l’ignore encore. Ce dont je suis sûr, c’est que ce dossier que l’Illustration a l’heureuse idée de consacrer aujourd’hui aux familles royales européennes voit le jour à l’heure d’un tournant historique qui pourrait être celui de choix nouveaux. L’Histoire ne se répète jamais, a-t-on coutume de dire. Possible, mais peut-être l’Europe se tournera-t-elle à nouveau vers ces familles dont la vocation séculaire a été de guider et d’unir des peuples frères, en les réunissant, à l’image de ces maisons royales, si liées entre elles par le sang qu’elles ne forment aujourd’hui qu’une seule et grande famille, celle des rois d’Europe, dont six, dans la démocratie retrouvée, font déjà partie de la Communauté Européenne. Un espoir pour demain?
Voilà cette introduction , qui ouvre les chapitres de l’Histoire qu’il me plaît à mon tour de vous faire partager!! Je suis « tombée dans la marmite des royautés » dès la fin des années 70 et de mon voyage à Monaco, moi aussi me sentant très triste à l’annonce du décès de la Princesse Grace mais heureuse du mariage anglais et de l’intronisation de la reine Béatrix . Alors, je suis fidèle à cette revue et à celle de nos amis belges « royal et royal HS ». Le train de l’Histoire est en perpétuel mouvement!!
Bien à vous !!
Gérard
17 juin 2014 @ 12:32
Merci beaucoup et merci de nous rajeunir.
Danielle
15 juin 2014 @ 13:30
Que ce prince remplisse de plus en plus d’obligations dans son pays, pour le bonheur de ses compatriotes.
Julie R-W
15 juin 2014 @ 16:09
Je découvre – comme beaucoup – ce jeune prince, né en 1985 et qui semble bien sympathique… Que savons-nous de ses goûts, de ses activités, de ses engagements ou de son caractère ?
Gérard
15 juin 2014 @ 21:39
Le prince aime le sport, les voyages avec ses amis, le cinéma. Il pratique ou a pratiqué le hockey, le foot, le rugby. Il aime la conduite automobile, le nautisme, l’alpinisme. Il est très à l’aise avec les jeunes et après la fin de ses études universitaires à Londres il a travaillé dans une association pour la promotion du sport dans la jeunesse.
Julie R-W
16 juin 2014 @ 08:35
Un grand merci, cher Gérard, pour toutes ces précisions ! Très belle semaine à vous…
Gérard
16 juin 2014 @ 12:18
Il est l’aîné des deux enfants de la princesse Hélène de Roumanie, deuxième fille du roi Michel, et de son premier mari qui est décédé à 59 ans le professeur Robin Medforth-Mills (1942-2002), un Anglais, professeur de géographie à l’université de Durham, qui a été expert pour l’organisation des Nations unies et pour l’Unicef et a accompli beaucoup d’opérations humanitaires dans des pays en guerre mais aussi en Roumanie après la chute de Ceausescu en faveur des orphelins et des personnes nécessiteuses. Il a créé avec son épouse notamment le « North-East Relief Fund for Romania ». Il est mort à Genève.
La princesse a épousé en deuxièmes noces un autre Anglais, Alexander Philips Nixon McAteer.
La famille paternelle,les Mills, était une famille de fermiers méthodistes, la famille maternelle, les Medforth, était également une famille de fermiers.
Le mariage avec la princesse a été célébré à Lausanne selon les rites orthodoxes et les enfants élevés dans cette foi.
Gérard
16 juin 2014 @ 12:18
Merci Julie et bonne semaine.
Julie R-W
16 juin 2014 @ 16:54
Gérard, vous m’avez à nouveau gâtée ! Un grand merci pour tout !
Gérard
16 juin 2014 @ 17:21
Vient de paraître en Roumanie, et en roumain bien entendu, aux éditions Curtea Veche Publishing « Drumul spre casa. Filip-Lucian Iorga, in dialog cu Principele Nicolae al Romaniei », c’est-à-dire en quelque sorte : La route pour la maison. Filip-Lucian Iorga dialogue avec le prince Nicolas de Roumanie, première biographie du jeune prince où l’on apprend aussi qu’il a donc vécu 25 ans au Royaume-Uni, qu’il est diplômé en management, qu’il a voyagé dans 41 pays et dans toutes les provinces de la Roumanie, qu’au cours de ses études il a également travaillé dans une ferme, dans un supermarché, qu’il a été poseur de moquette et qu’il a été bénévole auprès des enfants des rues. En dehors des sports que j’ai déjà cités il a pratiqué bien entendu le cricket, mais aussi des sports plus périlleux comme le saut, le parapente, le rafting et il a été blessé en plongée aux Maldives. Il est également pilote d’avion et passionné de voitures comme son grand-père, ils sont paraît-il incollables également sur les moteurs.
PalaceWatcher
15 juin 2014 @ 17:17
Très bien le prince Nicolas. Lui, avec la princesse Margareta et le prince Radu sont dévoués à leur pays et travaillent dans l’esprit du Roi Michel. Leurs efforts ont porté fruits: les Roumains les apprécient beaucoup. Un sondage récent indique que la Famille du Roi Michel est apprécié de près de 45% des Roumains, 4 pour cent de plus qu’en 2013. Même 30,2% des personnes interrogées se prononcent en faveur de la monarchie comme forme de gouvernement.En Juillet 2013, 27,2% ont dit qu’ils voteraient en faveur de la monarchie. Intéressant.
Caroline
15 juin 2014 @ 17:37
C’est un prince séduisant et bien charmant,marions-le à Alexandra de Luxembourg,la fille du Grand-Duc de Luxembourg faisant des études aux U.S.A.!
racyma
15 juin 2014 @ 21:02
que lui aussi n aille pas se galvauder dans un mariage ridicule
Dame Tartine
16 juin 2014 @ 09:54
c’est quoi un mariage ridicule ?
Livia
16 juin 2014 @ 18:08
@Racyma : mais vous pensez à qui ou à quoi ?
Pour moi seul l’amour compte mais bon…j’ai sans doute tort :-)
Milena K
15 juin 2014 @ 22:56
Hypothétique héritier d’un royaume fantome,je ne sais pas si la position du « prince » Nicolas est si enviable…malgré tout,il est toujours plus agréable à regarder que le « prince consort » et omniprésent Radu….
Jean-PierreLOMBARD
16 juin 2014 @ 10:43
Je sais: c’est la honte!
Je ne sais toujours pas qui il est par rapport à Margharita et par rapport à la succession au trône, qui sont ses parents?
Marie de Cessy
16 juin 2014 @ 14:59
Je crois que c’est le neveu de la princesse Margharita et de fait l’héritier du trône de Roumanie car la princesse Margharita et le prince Radu n’ont pas eu d’enfants ensemble.
Et il est célibataire le prince Nicolas ?? :)
Régine
16 juin 2014 @ 15:03
Le prince Nicolas est le fils de la princesse Elena, deuxième fille du roi Michel et soeur de la princesse Margareta. Le prince est actuellement célibataire
racyma
17 juin 2014 @ 06:38
ok pour l amour mais c est encore mieux quand il est donne a une personne de son rang .les filles du roi michel n ont pas fait de brillants mariages alors si ce jeune homme par son union pouvait redonner un peu de prestige a la monarchie roumaine elle aurait peu etre plus d aura
Livia
17 juin 2014 @ 20:43
@ racyma : ok pour l’amour vous me rassurez :-) je ne sais pas si à notre époque un mariage autre que celui là serait si populaire sauf peut être à cumuler amour et statut social et encore…
aubert
18 juin 2014 @ 11:47
..voila l’homme qui va régler les affaires roumaines et la question des roms au mieux de leurs intérêts.