Le prince Nikolaï de Danemark qui fêtera ses 20 ans fin août, reprend le chemin des cours. L’aîné des petits-enfants de la reine de Danemark, avait intégré une académie militaire à l’été 2018 pour y suivre une formation de deux années.
Quelques semaine splus tard, il annonçait sa décision de quitter l’académie qui n’était pas une voie pour lui. Le prince a continué ses contrats de mannequin (il a défilé pour Dior et Burberry), a fait de la publicité pour des locations de voiture avant e rejoindre un groupe immobilier.
Le prince a déposé son dossier en vue d’être admis à la Business school de Copenhague. (merci à Alberto)
Marnie
23 juillet 2019 @ 07:47
Ce jeune homme cherche sa voie, quoi de plus normal à son âge ?
Marguerite1
23 juillet 2019 @ 07:51
Sage décision qui sans doute va réjouir ses parents.
Robespierre
23 juillet 2019 @ 07:59
Tout ceci est très louable, encore faut-il sortir diplômé de cette école, et quand ce sera le cas, je dirai bravo !
Karabakh
23 juillet 2019 @ 12:58
De même. J’attends de voir le diplôme avant de me réjouir.
Robespierre
24 juillet 2019 @ 12:12
MDR ! je pense à Pierre Casiraghi que sa mère a emmené avec tambours et trompettes en 4 x 4 à la prestigieuse Bocconi de Milan. Le retour fut bcp plus discret, il n’y eut jamais de diplôme.
Baia
24 juillet 2019 @ 13:33
D’accord avec vous Robespierre et Karabakh.
Je deviens un peu comme St Thomas quand j’entends parler de diplôme pour ce jeune homme !
Pierre-Yves
24 juillet 2019 @ 14:29
Voilà qui est étrange ! je n’aurais pas pensé que nous avions quelque chose à attendre, et que le jeune prince avait le devoir de nous fournir.
C’eut peut-être été le cas si nous étions ses parents, mais ce n’est, que je sache, le cas d’aucun d’entre nous ici.
Karabakh
25 juillet 2019 @ 22:49
Rob, j’ai pensé aussi à Pierre Casiraghi. L’échec fut cuisant mais point de la faute du soleil monégasque.
Pierre-Yves, lorsque l’on communique sur nos moindres faits et gestes, , comme le fait ce prince au travers des communiqués de la cour danoise, l’on est conscient que ceux à qui l’on s’adresse attendent un minimum. Autrement dit, face à un jeune homme qui s’est quelque peu égaré dans un monde de paillettes (ce qui n’est pas forcément facile à regarder pour un Danois), puis gentiment planté dans sa formation militaire (ce qui n’est guère plus regardable pour le même Danois), le tout avec tambours et trompettes, il y a quand même des réserves normales et des attentes légitimes. Je ne suis pas Danois mais j’attends.
Anastasia A
23 juillet 2019 @ 08:23
Peut être plus intéressant que de faire le mannequin , en effet
Ellen Mary
23 juillet 2019 @ 08:26
J’ai lu sur un autre site que le prince Nikolaî avait postulé dans cette école qui accepte 240 candidats. Nul doute qu’il fera partie du lot des heureux admis…
Mayg
23 juillet 2019 @ 12:47
Être le petit fils d’une reine, ça aide…
Lou
23 juillet 2019 @ 08:35
C’est son choix et je lui souhaite de réussir.
Lorenz
23 juillet 2019 @ 08:48
Je trouve la com relative au prince Nikolai maladroite: pourquoi communiquer qu’il entrait à l’académie militaire avant de savoir si c’était sa voie? Pourquoi maintenant communiquer qu’il a déposé son dossier avant de savoir s’il a été admis?
Sarita
23 juillet 2019 @ 11:20
Parce que toutes ces informations se seraient de toute façon retrouvées dans la presse, je suppose
Gibbs 😉
24 juillet 2019 @ 08:07
Il est évident qu’il sera admis !
milou
23 juillet 2019 @ 08:55
J’avais cru lire qu’il s’inscrivait dans une université parisienne ?
Elisa18
23 juillet 2019 @ 16:58
Sûrement pour créer un lien avec sa petite amie Benedikte qui étudie à la Sorbonne mais il semblerait qu il reste à Copenhague
Alinéas
23 juillet 2019 @ 09:57
Il faut lui souhaiter que cette fois-ci, ce sera la bonne !!!
Claudia
23 juillet 2019 @ 10:00
Ce jeune homme se cherche, semble t-il, comme beaucoup de jeunes. Espérons que dans cette école il va trouver sa voie.
Auberi
23 juillet 2019 @ 10:07
Magnifique prince ! Comme c’était prévu en 2018, après son expérience comme mannequin retour aux études !
https://www.parismatch.com/Royal-Blog/famille-royale-Danemark/Le-prince-Nikolai-de-Danemark-a-defile-a-Tokyo-pour-Dior-Homme-1592272
Gatienne
23 juillet 2019 @ 10:44
Visiblement, à 20 ans, ce jeune homme cherche encore sa voie : il aurait été dommage qu’il ne poursuive pas une formation plus intellectuelle que le mannequinat car une tête bien faite n’est rien si elle n’est pas bien pleine…
Il’a tâté de la formation militaire, probablement sous l’influence de papa (trop radical) , maintenant il s’essaie à l’économie, certainement conseillé par maman.
La Copenhagen Business School est première dans le top ten des meilleures formations en économie au monde, juste avant la Harvard Business School, ce qui donne une idée du niveau. Déposer un dossier c’est une première étape, être agréé en est une autre, mais c’est surtout s’y maintenir qui est le vrai challenge !
La suite au prochain épisode, donc…
Baboula
23 juillet 2019 @ 11:17
Je comprends mieux le commentaire de Lorenz . Il n’y a pas de concours pour entrer dans cette école,j’espère qu’il a un bon press-book.
Leonor
24 juillet 2019 @ 09:14
Il y a toujours un concours pour entrer dans une école de ce niveau, Baboula. Même si la chose ne dit pas son nom, et si elle n’a pas la forme du concours à la française, pour tout dire assez rare au monde – et pas plus intelligente pour autant.
Très habituellement, c’est
1° ) Dossier, le plus étoffé possible; faisant montre de compétences déjà importantes , et de préférence variées;
2°) Lettre de motivation
3°) Entretien avec jury.
L’entretien avec le jury n’est pas la moindre des épreuves. Un bon jury essaie à la fois de tester les capacités et les motivations du candidat, et de détecter ses failles. C’est bourré de chausse-trappes, à dessein.
De surcroît, les membres du jury ne sont pas toujours d’accord entre eux, soit à cause de rivalités, soir, et surtout, bien sûr, quand le candidat est » tangent ».
Et puis, et puis … bien sûr, il y a les appuis extérieurs et intérieurs du candidat, autrement dit les pressions sur le jury entier, ou sur tel de ses membres. Ou sur la direction, bien sûr.
Ce n’est pas la moindre des difficultés … pour les membres d’un jury.
Par contre, tout le monde dans l’école saura, ensuite, si un tel candidat » appuyé » est pris, comment et pourquoi il a été pris, et où était le piston. Tout le monde = tout le monde : élèves, corps enseignant, femmes de ménage, concierge, cuisiniers, etc. Téléphone arabe. Inévitable et certain. Bizutage et opprobre garantis pour l’impétrant. Sauf évidemment, s’il a réellement les qualités nécessaires à tout candidat reçu. Mais il aura à les prouver plutôt deux fois qu’une.
mariejeanne
24 juillet 2019 @ 11:22
« faisant montre de compétences déjà importantes et variées » euh…! à son âge, après le bac danois, un court séjour à l’armée et du mannequinat, je ne vois pas ce qu’il peut présenter d’autre !
C’est le jury qui déterminera s’il est apte ou pas ou…un éventuel piston !
Baboula
24 juillet 2019 @ 11:40
Léonor,j’ai connu -par procuration – le concours des écoles de commerce ,leur écrit et leurs oraux et même si j’avais voulu , je n’aurais pas su où « appuyer » sur le jury . Et ce ne fut pas nécessaire. Gloire à la lauréate ! Et chez nous ,en France,le plus difficile est la prépa ,après ça roule tout seul.
Marnie
24 juillet 2019 @ 12:36
C’est bien pourquoi un bon vieux concours d’entrée, sur table, anonyme, est la meilleure des solutions (ou la moins pire) pour entrer dans un établissement sélectif. Et il est bien dommage que Sciences Po Paris ait décidé de la fin du concours d’entrée, c’est la porte ouverte à n’importe quoi.
Karabakh
25 juillet 2019 @ 23:09
Détrompez-vous. En France, les concours d’accès dans les écoles nationales agronomiques et vétérinaires (sans doute ceux que je connais le mieux) sont régulièrement taxés de partialité, certains candidats étant privilégiés sur d’autres ; ils ont tous réussi les écrits mais, une fois les listes principale et complémentaire publiées, il y a toujours une sélection propre à l’école et, pour ce concours, c’est ici qu’il y a des problèmes car certaines écoles n’hésitent pas à faire leur marché. En écoles vétérinaires, nous nous retrouvons souvent avec des candidat(e)s « enfants de » sortis des écrits sur liste comp., qui devraient donc se contenter de ce que leur rang de classement leur offre ou se réorienter mais qui, par une équation bizarre, sont tout de mêmes acceptés dans la première école de leurs choix d’inscription – sachant que l’on peut choisir plusieurs établissements par ordre de préférence au moment de l’inscription, qu’une fois les résultats tombés on reste libre de choisir lorsque l’on est reçu sur liste principale mais qu’en revanche, ce libre choix est impossible pour les reçus sur liste complémentaire. C’est moins visible en écoles d’agronomie car c’est une branche moins demandée mais cela existe aussi.
En comparaison, les écoles agronomiques privées sont moins taxées de « trucages » dans leurs procédures d’accès. Dans la même veine, les écoles et facultés agronomiques et vétérinaires des pays voisins sont aussi moins accusées de bidouilles dans leurs accès.
Il faut donc, de mon point-de-vue, bien relativiser les procédures d’accès par concours. C’est assurément plus compliqué de gruger dans la première phase de la procédure (un type nul à souhaits ne passera pas les écrits) mais c’est nettement plus simple non pas de tricher mais de s’arranger dans la seconde phase. La place n’est pas forcément prise à tort au vu des résultats mais cela reste inégalitaire au regard des logiques de concours, où les meilleurs doivent être les premiers.
Marnie
26 juillet 2019 @ 13:01
Karabakh, ce que vous dîtes appuie mon point de vue, c’est la phase « hors concours » qui prête à trucage, pas le concours lui-même. Je trouve que la suppression du concours par exemple à Sciences po ouvre la voie uniquement à un système truqué comme celui que vous décrivez pour la 2nde phase de choix. Je trouve que pour épurer tout ça il faudrait s’en tenir à des épreuves, écrites et/ou orales anonymes ou alors sur dossier anonyme. Les sélections sur entretien, en tenant compte de la personnalité (sans parler des possibles pistons) me paraissent tout autant sujets à caution, c’est la voie libre aux « grandes gueules » qui savent se vendre mais ne seront pas forcément meilleures que des candidats à la personnalité plus effacée.
Karabakh
27 juillet 2019 @ 13:05
Oui Marnie, en fait nous sommes d’accord. Je n’avais pas bien compris votre premier message. 😌
Esquiline
24 juillet 2019 @ 13:59
Mais de quel systèmes parlez-vous donc?
Anastasia A
23 juillet 2019 @ 11:42
En même temps , quand on s’appelle NicolaÏ de Danemark , je pense que ça aide un peu … certaines portes s’ouvrent , comme par enchantement , plus facilement … maintenant il faut que cela lui plaise et là c’est une autre histoire. Le fait qu’il cherche sa voie à 20 ans n’est pas bizarre , il est loin d’être le seul dans ce cas là.
Auberi
23 juillet 2019 @ 12:32
Non, le prince avait déjà en 2018 dit qu’il quittait son école militaire mais reprendrait ses études après une année (sabbatique ?) de mannequinat. Il ne voulait pas faire carrière dans le milieu de la mode.
Comme le dit mon lien ci-dessus de l’article de Paris-Match qui date de décembre 2018 et le stipulait : reprise des études été 2019
Bambou
23 juillet 2019 @ 12:10
Évidemment que son dossier va être accepté dans cette école qu’il souhaite intégrer…!
Sûrement pas le cas de tous les autres candidats, même avec un meilleur dossier que le petit-fils de la reine….c’est couru d’avance …
Mayg
23 juillet 2019 @ 12:47
J’attends de voir…
Karabakh
23 juillet 2019 @ 13:05
Après le mannequinat, voici l’économie et le commerce. On reste quand même dans les paillettes, l’ultra monde, la superficialité.
J’attends le diplôme.
mariejeanne
24 juillet 2019 @ 11:23
L’économie et le commerce = paillettes ? et la superficialité, je comprends mal, que voulez vous dire ?
Baboula
24 juillet 2019 @ 11:45
Il y a des diplômés qui travaillent dans des ONG et dans des associations caritatives, même s’ils n’y font pas carrière.
Marnie
24 juillet 2019 @ 12:43
L’économie et le commerce = les paillettes, l’ultra monde, la superficialité ??? … vous avez une curieuse vision du monde…
Karabakh
25 juillet 2019 @ 23:25
Ne vous fâchez pas, Mesdames.
Les filières du commerce et de l’économie sont les plus choisies par les étudiants sortant des études secondaires. A tort ou à raison, cela fait rêver parce que cela dégage une image de métiers bien rémunérés. Parallèlement, une partie de ces écoles vendent ce rêve. Alors, j’ai conscience que ce n’est pas forcément le cas de toutes les écoles, donc de tous les cursus, mais il y a quand même une part importante de poudre aux yeux, quoi que l’on dise.
Ceux qui font carrière dans les ONG/associations caritatives ne gagnent pas nécessairement leurs vies et ne font donc qu’un temps dans ce milieu. J’en connais qui se sont engagés, se sont constitué des expériences solides (là-dessus c’est indéniable que c’est bon sur un CV) mais ont fini par en revenir, pour de nombreuses raisons. C’est valable dans tous les domaines de la connaissance.
Après, loin de moi l’idée de dire que ce ne sont pas des filières passionnantes. Je souligne juste qu’il y a beaucoup d’appelé, un bon nombre de déçus et peu d’élus dans tous les cas. Or, connaissant déjà un peu le « speed-CV » de Nikolaï de Danemark, je reste dubitatif sur un réel intérêt pour l’économie… et de fait sur l’avenir de ce jeune homme dans ce milieu, outre clinquant, assez spécial une fois qu’on est dedans.
Bref. De mon point-de-vue (qu’il est permis de ne pas partager), tout ceci n’est qu’un exemple supplémentaire de l’attrait de ce petit mec pour les choses qui brillent.
Menthe
26 juillet 2019 @ 15:10
Cher Karabakh, poudre aux yeux, là je comprend mieux !
Menthe
25 juillet 2019 @ 15:07
Paillettes ? Pas forcément ! Tout le monde n’a pas les dents longues ou n’est pas carriériste 😕
Muscate-Valeska de Lisabé
23 juillet 2019 @ 13:37
Regard magnifique d’une mère en admiration :
-« Qu’il est beau,mon Fils! »😃
Ouiiii Alex…il est superbement réussi,votre fils🤩🤗
COLETTE C.
23 juillet 2019 @ 15:45
Quelles études pour lui, dans quel domaine ?
Danielle
23 juillet 2019 @ 17:01
Bonne chance à Nikolaï pour ce nouveau cursus.
Opaline
23 juillet 2019 @ 17:59
Ou de bons pistons….😏
Charlotte
23 juillet 2019 @ 19:13
Il ne me semble pas anormal qu’un jeune homme ou une jeune femme cherche sa voie à cet âge.
Bien évidemment dans le cas présent, nous en sommes informés.
Il est passé par la case « mannequinat », bon ! apparemment ce ne fut qu’une parenthèse, une sorte d’année sabbatique. Il a eu la chance de pouvoir se l’offrir, ce n’est pas donné à tous. Il a également la chance semble-t-il de pouvoir intégrer une école sans concours, et peut-être là encore sa naissance favorisera t elle son admission !
L’académie militaire était certainement comme l’a souligné Gatienne le choix de papa, mais ce jeune homme en a décidé autrement, lui a pu le faire tant mieux pour lui.
La suite, ma foi, nous verrons bien.
Rue de la paix
23 juillet 2019 @ 20:40
Il sera admis sans difficulté, ne pas nous prendre pour un poulet de 6 semaines
Caroline
23 juillet 2019 @ 23:18
Nicolas avait-il compris la superficialité du mannequinat pour décider de faire des études intéressantes ? Tant mieux pour lui et ses parents !
ABER
24 juillet 2019 @ 06:28
Quand je lis que cette école accepte 240 élèves chaque année et est dans le top 10 des formations économiques au monde, je doute qu’il soit accepté…ou alors sur quelle base? Quand on voit la difficulté pour rentrer à HEC ou l’ESSEC par exemple…. Nikolai n’a rien fait d’exceptionnel au niveau scolaire jusque là.
Hadrien-Marie
24 juillet 2019 @ 14:27
Sans être devin, sur la base de son hérédité…
Christine
24 juillet 2019 @ 07:21
Oh ce regard plein de fierté de sa maman ! Tout l’amour d’une mère !
milou
24 juillet 2019 @ 07:35
Le regard de sa mère…merveilleux!
framboiz 07
24 juillet 2019 @ 12:35
Oui, Milou , mais il a tout pris à sa mère, son frère étant un Viking !
Marnie
24 juillet 2019 @ 13:16
La plupart des commentaires illustrent pleinement la difficulté d’être « fils ou petit-fils » de…ça paraît être un atout de prime abord, mais c’est quand même parfois lourd à porter… quoi que vous fassiez vous êtes jugé à l’aune de qui vous êtes et non de ce que vous faîtes. Si ce jeune homme est admis dans cette école, on ne saura jamais si c’est grâce à ses aptitudes ou à son nom en effet… mais vous l’avez déjà jugé : c’est par son nom, par piston qu’il y entrera, vous ne lui donnez même pas le bénéfice du doute, vous êtes tous catégoriques et affirmatifs. C’est votre état d’esprit qui m’attriste… et rien que pour ça j’aimerais que Nikolaï réussisse brillamment ses études, pour vous clouer le bec ! mais moi, contrairement à vous, je ne peux m’avancer quant à ses capacités, je n’ai jamais vu son dossier scolaire contrairement à certains ici apparemment. Je lui souhaite juste le meilleur, si c’est son nom qui le fait entrer dans cette école, et bien qu’il en soit digne et qu’il porte haut les couleurs de sa famille.
Karabakh
25 juillet 2019 @ 23:30
Dans la mesure où il a bouclé de justesse ses études secondaires (lire des articles ici et ailleurs), loupé un cursus militaire, pris une année de glande… je ne vois pas sur quelles aptitudes il serait accepté dans cette école. A la limite, s’il avait fait, comme c’est l’usage dans les pays du Nord, une césure avec acquisition d’une première expérience dans le commerce, l’économie, la finance (pour ce qui correspond à son choix d’orientation), je comprendrais mais même pas… Alors à part son ascendance, je ne vois vraiment pas ce qui peut l’aider à entrer dans une telle école, parmi les 10 meilleures mondiales.
Marnie
26 juillet 2019 @ 13:15
Juste un détail : louper un cursus (militaire en l’occurrence) auquel on ne s’est pas inscrit par choix n’est pas pour moi signe d’échec ou de déficience. Si on m’avait inscrit en droit alors que j’étais passionnée d’histoire de l’art, j’aurais sûrement renoncé au bout d’un semestre, alors que je suis allée jusqu’au doctorat en histoire de l’art. Quant à l’année de glande… aujourd’hui on dirait que de nombreux jeunes font ça en appelant ça année de césure… que certains couvrent d’oripeaux humanitaires sous prétexte de voyages lointains… et il n’a pas glandé apparemment il avait annoncé vouloir se consacrer au mannequinat, ce qu’il a fait, il avait envie d’une expérience, toute expérience est bonne à prendre…
Après, je vous rejoins, en effet, si son cursus scolaire est médiocre et que, de toute évidence, il n’a pas effectué d’années préparatoires, je ne vois pas comment il pourrait être intégrer cette école sur ses seules capacités si elle si sélective que ça… désolée je ne connaissais pas la « Business school of Copenhagen » ça ne fait pas très prestigieux, des « Business school » il y en a partout…
Si elle est si sélective que ça, vous ne croyez pas que ça se verrait et que ça ferait scandale au Danemark s’il était accepté ?
Karabakh
27 juillet 2019 @ 13:18
Vous êtes le second docteur en histoire de l’art que je croise ici. Rassurez-moi, vous ne vous intéressez pas aux arts culinaires ? Parce que la boucle serait bien bouclée là. 😄😉
Pour en revenir à Nikolaï, même en enlevant le cursus militaire, qui fut imposé, nous sommes quand même face à un jeune peu brillant. D’où mes doutes, que nous semblons partager. Et pour répondre à votre question, je pense que ça fera jaser s’il est pris ; après, je ne crois pas que sa grand-mère soit à cela près.
En même temps, j’ai aussi beaucoup de réserves sur la petite copine, qui étudie à La Sorbonne. Une sorte de loup blanc… Bref. Une bidouille de plus à la cour de Danemark, ça ne me surprendrait pas plus que ça. Alors, je pense ça n’inquièterait pas non plus les Danois. 😉
Anastasia A
26 juillet 2019 @ 09:10
Lourd à porter , vous voulez faire pleurer dans les chaumières ?
Habiter dans une HLM , avoir pour parents des cas sociaux … effectivement c’est le genre de départ dans la vie qui doit être réellement lourd à porter … non ?
Marnie
26 juillet 2019 @ 12:54
Franchement Anastasia, un peu de mesure… quand je dis « lourd à porter », je ne pleure pas sur le sort de ce jeune homme, je souligne que, de son point de vue, ce ne doit pas forcément être facile d’être « petit-fils de ». Je me mets juste un peu à sa place, pas facile, quand vous êtes jeune et ne savez pas trop où aller dans la vie, de savoir qu’il y a des gens qui, quoi que vous fassiez, la preuve ici même, seront toujours persuadés que vous le devrez à vos parents, grands-parents, votre nom…
Esquiline
24 juillet 2019 @ 14:19
Que d’acharnement contre ce prince de la part de certains!
Il quitte l’armée on le critique, il devient mannequin on le descend, il s’inscrit dans une Haute Ecole, on insinue d’être recommandé et on attend patiemment l’échec, à moins qu’il ne décroche un diplôme, grâce à papa bien sûr!
Sans aucun doute ces intervenants ont eu une vie linéaire tout en réussite et n’ont pu engendrer que des génies auxquels ils ont dispensé une éducation irréprochable.
caroline-mathilda
25 juillet 2019 @ 11:45
MARNIE ET ESQUILINE
je vous remercie pour ces commentaires de bon sens .
Quoiqu’il fasse Nikolaï fait partie ,sur ce site ,des personnes qui n’en feront jamais assez.
A vous deux vous avez tout résumé .
Karabakh
26 juillet 2019 @ 00:01
Personnellement, aucun membre de ma famille proche n’étant vétérinaire, l’ensemble n’étant pas non plus très favorable à cette orientation (pour diverses raisons), il a fallu que je me débrouille seul et que je prouve mes capacités. Sans vantardise, j’ai fais un carton plein, en dépassant largement la barre que je m’étais initialement fixée.
Après cela, j’ai suivi un cursus complémentaire en agronomie. Cette fois, je pouvais être largement aidé ; j’ai quand même continué à jouer la carte de mes aptitudes et cela a de nouveau payé.
Aujourd’hui, je fais autorité dans plusieurs domaines des sciences vétérinaires et agronomiques, j’ai du réseau et, corrélativement, de l’influence. Pourtant, j’exclue totalement de pistonner qui que ce soit, venant à ma suite dans l’un ou l’autre, ou même ces deux domaines, tout comme dans n’importe quel domaine où j’aurais un copain ou assimilé. Apporter son aide, son soutien, son expertise c’est une chose et, comme nous sommes tous passés par ces chemins, c’est normal. Mais lorsque l’on est pas fait pour un métier, on s’en choisi un autre. C’est tout.
Au-delà, mon parcours de formation, comme ma vie en général, n’ont rien de linéaire. Et, si je crois sincèrement que ma fille n’est pas la moitié d’une imbécile, je garde en tête qu’elle fera ce qu’elle veut mais surtout ce qu’elle peut. C’est froid mais c’est ma ligne depuis le départ.
Pour en revenir à ce jeune homme, c’est une feuille blanche et, comme souligné plus haut, ce ne sont certainement ni ses résultats durant ses études secondaires (nous en avons assez parlé pour que ce soit connu), ni son année dans le mannequinat qui lui ouvriront les portes d’une école parmi les dix meilleures mondiales. Alors forcément, s’il est admis, c’est qu’il y a autre chose. Il faut être réaliste. Simplement réaliste.
Jakob van Rijsel
24 juillet 2019 @ 21:12
Cette photoe me semble cruelle autant pour le fils que pour les parents. Visages marqués et durs…
Leonor
26 juillet 2019 @ 23:02
Je suis Karabakh intégralement.
Il parle d’expérience. Moi aussi.
J’ai passé des concours , et j’en ai fait passer.
Plus tard, dans le monde professionnel , j’ai aussi recruté , soit seule soit en participant en place souvent décisionnaire à des jurys de recrutement.
Il est d’une évidence totale qu’un ‘ p’tit gars comme ça qui débarque la bouche en coeur en prétendant entrer dans un établissement de haut niveau, alors qu’il n’a au compteur qu’un équivalent Bac ric-rac, qu’il a calé devant les efforts pour une formation militaire, puis que, pour passer le temps, il a tortillé du bassin sur un cat-walk, ça fait un candidat dont tout jury normal ne pourra que se demander ce qu’il fiche là.
Sauf bien entendu si le président de jury a d’entrée fait savoir à mots choisis que la Direction lui a chaudement voire fermement recommandé le candidat, en raison des pressions exercées sur la Direction même.
Auquel cas, le jury n’a guère le choix, sauf suicide collectif.
Mais, bonnes âmes, rassurez-vous : un tel candidat reçu d’office , d’habitude, ne fait pas long feu ensuite.
Tout simplement parce que, s’il n’est pas au niveau requis , il ne pourra tout simplement pas suivre, ne fera illusion que très peu de temps, et encore, et décrochera très vite de lui-même. Papa-Maman ou pas.
Baboula
27 juillet 2019 @ 09:36
Alors vivent les formations professionnelles et les métiers manuels ,pas de triche,pas de frime ,de l’apprentissage et rien d’autre .
Karabakh
29 juillet 2019 @ 16:36
C’est très vrai.