Le château de Chambord paré pour les fêtes de fin d’année. Cliquez ici pour prendre connaissance du programme de Noël 2018 à Chambord.
Le château de Chambord paré pour les fêtes de fin d’année. Cliquez ici pour prendre connaissance du programme de Noël 2018 à Chambord.
GUY
16 décembre 2018 @ 08:37
Ce doit être magnifique, nous avons besoin de voir ces images apaisantes et traditionnelles par rapport a l’actualité…
Danielle
16 décembre 2018 @ 10:52
Merci pour le lien, un beau décor pour fêter Noël et j’approuve le commentaire de 8 h 37 de Guy.
Baboula
16 décembre 2018 @ 11:17
Pas de doute ,quand c’est beau,c’est toujours beau 500 ans après .
Neoclassique
16 décembre 2018 @ 23:56
Rien d extraordinaire dans ce Noël à Chambord qui s avéré d une affligeante banalité
Il faut dire que le roi Jean d Haussonville est tombé de haut depuis qu il a été retoqué sur son projet dysneylandien qui aurait consisté à dorer les toits de Chambord, ce qu ils n ont jamais été. …
Mais la mégalomanie à Dieu merci ses limites
clement
17 décembre 2018 @ 12:11
J’y suis allée il y a deux ans , c’est magnifique !
Myriam Schopfer
17 décembre 2018 @ 13:12
Le plus beau château du monde.
Claudia
17 décembre 2018 @ 13:33
Quelle jolie photo de Noël
clement
17 décembre 2018 @ 13:35
Jean d’Haussonville ne cherche pas à faire de Chambord un nouveau Disney Land mais au contraire à mettre le domaine en valeur d’une manière historique vivante non de manière clownesque et éventuellement y construire un hôtel de charme .
Karabakh
19 décembre 2018 @ 02:01
Le projet de dorer les toits n’ayant pas de base historique (puisque ces toits n’ont jamais été dorés), il s’agit bien d’un délire de la part de Monsieur Jean d’Haussonville. Néoclassique est dans le vrai.
Gérard
26 décembre 2018 @ 18:12
Pour l’hôtel c’est déjà fait depuis très peu de temps et dans ce cadre classé on ne peut pas faire grand-chose de plus.
L’ancien relais de la poste devenu l’hôtel Saint-Michel en 1850 a pris du galon grâce à la concession faite par Jean d’Haussonville au nom de l’État en 2013 à Frédéric Jousset qui a entrepris avec l’aide de sa mère Marie-Laure, qui a longtemps œuvré au Centre Pompidou, la rénovation complète de cet hôtel dont les prix demeurent abordables malgré la qualité du site et de la table et malgré le prestige de Jean-Michel Willmotte auteur de la transformation avec l’architecte des bâtiments de France Martine Ramat.
Quant à réhabiliter des lanternons qui l’avaient déjà été à la demande de la duchesse de Berry alarmée par leur état, et à les dorer comme cela aurait été le cas pendant une partie du XVIe siècle, le projet a semble-t-il été rejeté par la Commission des monuments historiques mais il aurait l’aval de l’Élysée, à moins que celui-ci trouve qu’il y a déjà beaucoup de jaune un peu partout ces temps-ci.
Les lanternons auraient été dorés pour la visite de Charles Quint en 1539 selon des écrits de 1541 du secrétaire de l’ambassadeur de Portugal.
Ils le seraient restés jusque vers 1577.
Ce secrétaire de l’ambassadeur de Portugal était Francisco de Moraes Cabral né vers 1510 à Bragance et mort à Evora en 1572. Il écrivit à Paris en 1540 et 1546 à l’occasion de voyages un roman de chevalerie qui a eu un grand succès notamment en Angleterre, Palmerin d’Angleterre, inspiré par le célèbre Amadis de Gaule de Garci Rodríguez de Montalvo mort en 1508.
Moraes était secrétaire de Dom Francisco de Noronha, deuxième comte de Linhares, ambassadeur du roi Jean III de Portugal à la cour de François Ier.
Sa description de Chambord qu’il nomme Xambourch, semble dater du printemps 1541 et c’est la première description et la plus détaillée que nous ayons, on ne peut exclure qu’elle reflète aussi les goûts de l’auteur mais elle est assez exacte pour le grand escalier par exemple et d’autres merveilles du château. Elle est conservée à Londres à la British Library, dans une copie de la fin du XVIe siècle de l’historien portugais Fernão Duarte de Monterroso.
Moraes évoque les toits aux carreaux azurés et luisants et les plombs peints des coupoles de pierre de la lanterne du petit escalier et du lanternon final qui sont d’un bleu imitant l’ardoise et d’or avec des globes dorés appelés pommes et qui sont sans doute le support des drapeaux.
Voir Jean Guillaume et Rafael Moreira, La première description de Chambord, Revue de l’Art, volume 79 numéro 1, pages 83-85, 1988.
COLETTE C.
17 décembre 2018 @ 15:25
Magnifique photo, ça fait rêver !
A propos, verrons-nous des photos des jumeaux du couple ?
Karabakh
21 décembre 2018 @ 21:48
Oui. En alternance dans la crèche mais seulement à compter du 25 décembre.
Gérard
26 décembre 2018 @ 15:28
Pour l’hôtel c’est déjà fait depuis très peu de temps et dans ce cadre classé on ne peut pas faire grand-chose de plus. L’ancien relais de la poste devenu l’hôtel Saint-Michel en 1850 a pris du galon grâce à la concession faite par Jean d’Haussonville au nom de l’État en 2013 à Frédéric Jousset qui a entrepris avec l’aide de sa mère Marie-Laure, qui a longtemps œuvré au Centre Pompidou, la rénovation complète de cet hôtel dont les prix demeurent abordables malgré la qualité du site et de la table et malgré le prestige de Jean-Michel Willmotte auteur de la transformation avec l’architecte des bâtiments de France Martine Ramat.
Quant à réhabiliter des lanternons qui l’avaient été à la demande de la duchesse de Berry alarmée par leur état, et à les dorer comme cela aurait été le cas pendant une partie du XVIe siècle, le projet a semble-t-il été rejeté par la Commission des monuments historiques mais il aurait l’aval de l’Élysée, à moins que celui-ci trouve qu’il y a déjà beaucoup de jaune un peu partout ces temps-ci.
Les lanternons auraient été dorés pour la visite de Charles Quint en 1539 selon des écrits de 1541 du secrétaire de l’ambassadeur de Portugal.
Ils le seraient restés jusque vers 1577.