La reine Noor de Jordanie a pris la parole hier à l’Oxford University’s Middle East Centre et a rendu hommage à son époux le roi Hussein de Jordanie, décédé il y a 20 ans. La reine souligne dans son discours que toutes les personnes qui ont un jour rencontré le roi Hussein, ont gardé en mémoire son regard qui faisait que l’on se sentait « unique » au moment de converser avec le souverain. Un roi qui lorsqu’il vous revoyait des semaines voire des mois plus tard, se souvenait très bien de vous et ne manquait jamais de demander des nouvelles de la famille.
La reine a conclu en rappelant que son époux avait mis toute son énergie pour construire des ponts pour la paix et que le plus bel hommage à cet héritage moral est de poursuivre dans cette voix.
framboiz 07
8 février 2019 @ 11:10
Voie difficile !
Les veuves , qui sanctifient leur mari …Qui n’est qu’un homme, avec d pulsions humaines …
Quant à Elle , elle avait retrouvé Soros, Non ? Toujours seule ?
Jean Pierre
8 février 2019 @ 13:40
Vous confondez avec Carlos Slim non ?
COLETTE C.
8 février 2019 @ 11:26
A-t’elle refait sa vie ?
beji
8 février 2019 @ 13:28
Il ne le mérite pas puisque, paraît-il ,il voulait la remplacer par une autre s’il n’était pas mort.
Robespierre
9 février 2019 @ 11:55
Amie de Jordanie qui ne poste plus nous avait confirmé que le roi voulait divorcer, ayant trouvé une minette plus attirante. Seule la maladie l’a fait retourner chez sa femme qui peut maintenant jouer les veuves légitimes. Il y a des maladies terminales providentielles pour certaines femmes, regardez Jackie Onassis ex Kennedy. Qui préfèrent être veuves que femmes répudiées.
Le roi Hussein était un homme bien, un vrai gentleman, mais son nomadisme sentimental etait son talon d’Achille. Il n’avait qu’une épouse à la fois mais divorçait souvent. Un harem n’aurait pas été mieux parce que chaque mère de fils aurait intrigué, comme dans le sérail de la Sublime Porte pour mettre son rejeton sur le trône.
Les Ottomans réglaient la question avec l’assassinat pur et simple des frères et demi-frères du sultan. On les étranglait avec une fine laniere. C’était une pratique héritée des Byzantins. Hassan II avait un autre systeme : une seule épouse, et une cinquantaine de concubines qui n’avaient pas le droit de procréer et on s’arrangeait en conséquence. Jamais la moindre révolution de palais au Maroc, tout était bien clair quant à la succession. Mohamed VI en montant sur le trône ferma le harem de son père et renvoya les « pensionnaires ».
Je pense que le roi actuel avec une seule épouse et quatre enfants qu’il élève de son mieux a une vie plus simple.
Laurence
9 février 2019 @ 13:50
Un exercice obligé pour elle mais pas très spontané ni sincère. Elle est loin d’être une veuve éplorée, elle est au contraire la compagne de Carlos Slim, mexicain d’origine libanaise et une des premières fortunes mondiales. Un hommage à relativiser donc.
Robespierre
11 février 2019 @ 12:32
D’accord avec vous.