Le théâtre de la Reine au château de Versailles a inauguré son nouveau rideau d’avant scène, l’ancien rideau, devenu trop fragile, est désormais soigneusement roulé et conservé dans les dessous du théâtre.
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Trachier
17 janvier 2021 @ 04:28
Il s’agit surtout d’avoir redonné à ce rideau sa véritable couleur d’origine qui est le bleu, en effet le Roi des Français Louis-Philippe I avait paré les tentures du théâtres de draperies rouges ; l’ont a donc retrouvé l’aspect du XVIII siècle grâce à cette restitution.
Bambou
17 janvier 2021 @ 07:07
Quel beau travail…! Il y a encore un grand savoir faire dans ce domaine, heureusement.
Celia72
17 janvier 2021 @ 08:16
Superbe. Quel beau travail de nos artisans d art.
Teresa2424
17 janvier 2021 @ 16:12
Hermoso gran trabajo artesanal
Phil de Sarthe
17 janvier 2021 @ 08:52
L’ancien datait il de l’époque de la Reine?
Superbe!
ciboulette
17 janvier 2021 @ 15:30
Très beau travail , dans le respect de l’authenticité .
Danielle
17 janvier 2021 @ 12:38
Ce rideau est beau et le travail du bas est très fin.
Quel plaisir de voir un spectacle dans ce lieu !
Cosmo
17 janvier 2021 @ 13:46
Il fallait vraiment avoir l’esprit courtisan pour assister à une représentation théâtrale assis sur un banc…et en plus ils se battaient pour jouir de cet inconfort.
Caroline
17 janvier 2021 @ 23:36
Ce nouveau rideau est- il une parfaite reproduction de l’ ancien ?
Si oui, bravo aux artisans tapissiers !
Gérard
18 janvier 2021 @ 22:43
Le rideau original était devenu en 1936 le rideau d’avant-scène. Après restauration il a été roulé et il est conservé dans la cuve à toiles dans les dessous du théâtre.
Ce rideau, du début du XIXe siècle, a été restauré par Antoine Fontaine.
C’était un rideau de manœuvre très abîmé et le parti a été de le copier à l’identique.
Un rideau de manœuvre permet de masquer les changements de décor comme on le faisait alors.
Il s’agit donc ici de peintures en trompe-l’œil sur une toile de lin et à la manière du grand Cicéri (Pierre-Luc-Charles Cicéri né en 1782, mort en 1868, décorateur en chef de l’opéra de Paris en 1810), sur un fond bleu cobalt.
Comme pour le premier rideau les lés sont assemblés à la main pour une bonne tenue par le tapissier Sébastien Ragueneau
et l’ensemble a 8 m de longueur sur 5,5 m de hauteur, le tout cousu point par point.
La bordure dorée est rehaussée
d’éclats de cuivre fixés à la cire chaude.