Une journée avec Beatrice Borromeo pour un voyage entre Milan et les Îles Borromées sur le Lac Majeur avec les nouvelles créations du joaillier Buccellati. Pour voir la vidéo, cliquez ici. (Merci à Aristocrate)
avec un tel modèle, difficile de louper une photo. Je suis assez dubitative sur le choix du noir et blanc qui à mon sens n’apporte pas grand-chose du point de vue marketing. J’aurais préféré voir en couleur la montre que la belle Beatrice porte sur l’une des photos car grande paresseuse selon l’intérêt qui m’agite, il est hors de question d’aller sur le site pour la voir de plus près 😒
La jeune femme est ravissante, les bijoux sont magnifiques, modernes, elle les porte allègrement, de manière sportive et décontractée, comme il se doit. Les bijoux se doivent d’être visibles, d’accrocher l’oeil pour être admirés. Jolie publicité.
Bien qu’étant hors sujet, je ne résiste pas au fait de faire allusion à la visite de Bonaparte aux îles Borromée, les 17 et 18 août 1797. Frédéric Masson commente ainsi un tableau de François Flameng « Isola Bella, An V » représentant Napoléon et Joséphine après le déjeuner servi sous les arbres de la terrasse du palais Borromée, avec leurs proches : « Là, au milieu des cyprès et des yeuses dont les sombres verdures s’égayent au rose des lauriers fleuris, sur une de ces terrasses que dominent les fantasques architectures et d’où la vue s’étend sur le lac transparent et bleu jusqu’aux montagnes neigeuses qui ferment l’horizon, en ce décor qui semble préparé pour les somptueuses amours d’un conquérant, Bonaparte s’arrête pour une journée de repos, de farniente et de musique. On vient de se lever de la table somptueusement servie sous les grands arbres. »
De la visite inattendue de Bonaparte avec une suite d’environ soixante personnes, il reste le compte-rendu savoureux de la correspondance entre l’intendant de l’île, l’administrateur de la famille, et le comte Gilbert V Borromée du 22 août 1797.
L’arrivée du général avait pris au dépourvu l’administrateur de la famille Borromée, « très agité de devoir d’un moment à l’autre faire préparer plusieurs lits et en particulier celui dans l’alcôve, où le sujet logea avec Madame son épouse, infiniment plus courtoise que lui (…) Nous pouvons remercier le Bon Dieu que leur visite ait été aussi brève, sinon cette maison serait devenue une vraie caserne». Le personnel de la maison était resté choqué du sans-gêne des invités. Tout le monde voulait être servi immédiatement.
Quelques années plus tard, devant la perspective d’une nouvelle visite de Joséphine, devenue Impératrice et Reine d’Italie, le comte Gilbert Borromée ne cachait pas son inquiétude à l’intendant de l’île dans un courrier daté du 11 mai 1805 : « La Famille impériale, à savoir l’Impératrice et l’Empereur sont persuadés que l’air de l’île soit humide et malsain. Si d’aventure ces souverains ou d’autres seigneurs de cette nation devaient venir, bien que fausse, cultivez cette opinion et laissez-les croire que l’air est insalubre. ». Mais les illustres visiteurs ne renoncèrent pas au voyage. L’Impératrice arriva sur l’île en juin 1805 [les Borromée firent préparer sept grandes tables pour un somptueux déjeuner] et, le 3 juillet 1806, aborda sur une embarcation magnifiquement décorée le fils de Joséphine, Eugène de Beauharnais, vice-roi d’Italie.
A la fois Intéressants et drôles ces témoignages.
Pauvres aristocrates obligés de recevoir « royalement » des parvenus sans éducation, ils le font encore aujourd’hui mais sous contrainte plus économique que politique, quoique parfois ça va de pair.
Beatrice est tres belle et distinguée avec cette pointe de raffinement que l’on trouve chez certaines grandes familles italiennes.
Buccellati a fait le bon choix.
Il n’y a pas que l’aristocratie représentée par les grandes familles italiennes…En maintes circonstances j’ai pu remarquer que dans la mienne l’élégance a toujours été représentée… Plus tard une Tante par alliance avait travaillé avec sa soeur jumelle chez un grand couturier…Elles étaient époustouflantes dans leurs propres créations…
Maintenant… Il me semble que ce n’est pas toujours le cas… Ce n’est plus une question de moyens financiers mais simplement de savoir choisir ses vêtements…
et d’avoir un bon maintien…
Personnellement… je sature de ces « mannequins « nés avec des cuillères en or dans la bouche et les carnets d’adresses volumineux de leurs familles.
Basta avec ces brosses à reluire et renvois d’ascenseur et vivement la diversite
Complètement d’accord avec vous ! Autrefois devenir mannequin c’était profiter d’un ascenseur social et de nombreuses jeunes filles (Eva Herzegova, Linda Evangelista, Adrana Karambeu et d’autres) qui venaient de milieux populaires (voire très populaires) sont devenu des stars grâce à leur travail dans le mannequinat ! Ces filles et ces garçons de la Jet Society ou de l’Aristocratie qui envahissent le métier grâce à leur entregent, ça m’énerve grave …
Si Béatrice n’avait pas l’élégance, le chic, la beauté, comme certaines propulsées mannequins alors qu’elles ne sont même pas jolies, je comprendrais mieux votre souhait.
C est assez drôle alors que cette femme journaliste fut un temps plutôt à gauche, féministe et qui gagne sa vie a faire le porte bijoux pour des grandes marques de luxe capitaliste !
Je suis assez d’accord avec le message de Elisab.
Mis à part la critique de ces jeunes femmes porte manteaux, il faut reconnaître que Béatrice Borroméo est divine et la plus jolie et classieuse de la nouvelle génération Grimaldi/Casiraghi/Ducruet/ Gottlieb
Elisab elle est belle, bien née, bien mariée. Et c est pour des entreprises italiennes de grande qualité. Alors pourquoi pas mannequin de luxe! Cela est mieux que certains qui ne font rien, ou vendent du lait ou des associations dont ils ponctionnent de l l’argent.
Alice
25 octobre 2021 @ 02:54
Très belles photos et cette jeune fenme a beaucoup de classe.
Bathilda
25 octobre 2021 @ 05:37
Bellissima
Dom
25 octobre 2021 @ 05:58
Elle est vraiment agréable. Belle ,classe ,cool .Quelle jolie femme.
miloumilou la vraie
25 octobre 2021 @ 06:06
Je ne suis pas fan de ces bijoux et des bijoux en particulier mais Beatrice est l’italienne élégante parfaite pour ce genre de promo!
Catherine
25 octobre 2021 @ 07:06
Les manchettes Buccellati ! J’adore 🥰
miloumilou la vraie
25 octobre 2021 @ 12:24
Oui c’est vrai Catherine… 😉
Cosmo
25 octobre 2021 @ 07:09
Belle campagne publicitaire. Très chic, comme le modèle.
Auberi
25 octobre 2021 @ 07:39
avec un tel modèle, difficile de louper une photo. Je suis assez dubitative sur le choix du noir et blanc qui à mon sens n’apporte pas grand-chose du point de vue marketing. J’aurais préféré voir en couleur la montre que la belle Beatrice porte sur l’une des photos car grande paresseuse selon l’intérêt qui m’agite, il est hors de question d’aller sur le site pour la voir de plus près 😒
Arielle
25 octobre 2021 @ 08:54
La jeune femme est ravissante, les bijoux sont magnifiques, modernes, elle les porte allègrement, de manière sportive et décontractée, comme il se doit. Les bijoux se doivent d’être visibles, d’accrocher l’oeil pour être admirés. Jolie publicité.
PATRICIA
25 octobre 2021 @ 09:44
La vie est douce…
Pastelin
25 octobre 2021 @ 09:51
L’incarnation de l’idée que je me fais de la dolce vita.
miloumilou la vraie
25 octobre 2021 @ 12:25
C’est très vrai et charmant Pastelin ce que vous écrivez…
Elodie
25 octobre 2021 @ 09:51
Jolies photos, il faut dire que Béatrice est ravissante!
Mimi avec Majuscule
25 octobre 2021 @ 10:09
Jolis bijoux, bien portés, et bien mis en valeur. Beatrice Casiraghi a gardé une ligne magnifique malgré ses deux maternités.
Beque
25 octobre 2021 @ 10:21
Bien qu’étant hors sujet, je ne résiste pas au fait de faire allusion à la visite de Bonaparte aux îles Borromée, les 17 et 18 août 1797. Frédéric Masson commente ainsi un tableau de François Flameng « Isola Bella, An V » représentant Napoléon et Joséphine après le déjeuner servi sous les arbres de la terrasse du palais Borromée, avec leurs proches : « Là, au milieu des cyprès et des yeuses dont les sombres verdures s’égayent au rose des lauriers fleuris, sur une de ces terrasses que dominent les fantasques architectures et d’où la vue s’étend sur le lac transparent et bleu jusqu’aux montagnes neigeuses qui ferment l’horizon, en ce décor qui semble préparé pour les somptueuses amours d’un conquérant, Bonaparte s’arrête pour une journée de repos, de farniente et de musique. On vient de se lever de la table somptueusement servie sous les grands arbres. »
De la visite inattendue de Bonaparte avec une suite d’environ soixante personnes, il reste le compte-rendu savoureux de la correspondance entre l’intendant de l’île, l’administrateur de la famille, et le comte Gilbert V Borromée du 22 août 1797.
L’arrivée du général avait pris au dépourvu l’administrateur de la famille Borromée, « très agité de devoir d’un moment à l’autre faire préparer plusieurs lits et en particulier celui dans l’alcôve, où le sujet logea avec Madame son épouse, infiniment plus courtoise que lui (…) Nous pouvons remercier le Bon Dieu que leur visite ait été aussi brève, sinon cette maison serait devenue une vraie caserne». Le personnel de la maison était resté choqué du sans-gêne des invités. Tout le monde voulait être servi immédiatement.
Quelques années plus tard, devant la perspective d’une nouvelle visite de Joséphine, devenue Impératrice et Reine d’Italie, le comte Gilbert Borromée ne cachait pas son inquiétude à l’intendant de l’île dans un courrier daté du 11 mai 1805 : « La Famille impériale, à savoir l’Impératrice et l’Empereur sont persuadés que l’air de l’île soit humide et malsain. Si d’aventure ces souverains ou d’autres seigneurs de cette nation devaient venir, bien que fausse, cultivez cette opinion et laissez-les croire que l’air est insalubre. ». Mais les illustres visiteurs ne renoncèrent pas au voyage. L’Impératrice arriva sur l’île en juin 1805 [les Borromée firent préparer sept grandes tables pour un somptueux déjeuner] et, le 3 juillet 1806, aborda sur une embarcation magnifiquement décorée le fils de Joséphine, Eugène de Beauharnais, vice-roi d’Italie.
Pastelin
25 octobre 2021 @ 12:37
Ah merci Beque, très plaisantes anecdotes !
Esquiline
25 octobre 2021 @ 16:07
A la fois Intéressants et drôles ces témoignages.
Pauvres aristocrates obligés de recevoir « royalement » des parvenus sans éducation, ils le font encore aujourd’hui mais sous contrainte plus économique que politique, quoique parfois ça va de pair.
Caroline
25 octobre 2021 @ 10:27
Est- ce pour cette raison qu’ on n’ ait pas vu Béatrice et Pierre Casiraghi au mariage grec ?
miloumilou la vraie
25 octobre 2021 @ 12:30
Ils étaient au mariage d’Autriche et ce sont Tatiana et Andrea qui représentaient Monaco au mariage grec!
Agnese
25 octobre 2021 @ 10:57
Beatrice est tres belle et distinguée avec cette pointe de raffinement que l’on trouve chez certaines grandes familles italiennes.
Buccellati a fait le bon choix.
bianca
26 octobre 2021 @ 09:07
Il n’y a pas que l’aristocratie représentée par les grandes familles italiennes…En maintes circonstances j’ai pu remarquer que dans la mienne l’élégance a toujours été représentée… Plus tard une Tante par alliance avait travaillé avec sa soeur jumelle chez un grand couturier…Elles étaient époustouflantes dans leurs propres créations…
Maintenant… Il me semble que ce n’est pas toujours le cas… Ce n’est plus une question de moyens financiers mais simplement de savoir choisir ses vêtements…
et d’avoir un bon maintien…
miloumilou la vraie
28 octobre 2021 @ 06:09
La dernière phrase de votre commentaire est très exact, Bianca…très!
Elisab
25 octobre 2021 @ 11:24
Personnellement… je sature de ces « mannequins « nés avec des cuillères en or dans la bouche et les carnets d’adresses volumineux de leurs familles.
Basta avec ces brosses à reluire et renvois d’ascenseur et vivement la diversite
PRINCE DE LU
25 octobre 2021 @ 16:23
Complètement d’accord avec vous ! Autrefois devenir mannequin c’était profiter d’un ascenseur social et de nombreuses jeunes filles (Eva Herzegova, Linda Evangelista, Adrana Karambeu et d’autres) qui venaient de milieux populaires (voire très populaires) sont devenu des stars grâce à leur travail dans le mannequinat ! Ces filles et ces garçons de la Jet Society ou de l’Aristocratie qui envahissent le métier grâce à leur entregent, ça m’énerve grave …
😷 MIKA 🏵️🍀
26 octobre 2021 @ 06:34
Si Béatrice n’avait pas l’élégance, le chic, la beauté, comme certaines propulsées mannequins alors qu’elles ne sont même pas jolies, je comprendrais mieux votre souhait.
Aldona
25 octobre 2021 @ 12:57
C’est une belle jeune femme avec une élégance innée
JAY
25 octobre 2021 @ 13:47
C est assez drôle alors que cette femme journaliste fut un temps plutôt à gauche, féministe et qui gagne sa vie a faire le porte bijoux pour des grandes marques de luxe capitaliste !
TianaR
25 octobre 2021 @ 15:49
Béatrice est jolie mais quel ennui cela dit. Elle est égérie comme 90% des demi-princesses. Dommage une telle paresse intellectuelle de nos jours.
Marie DM
25 octobre 2021 @ 16:41
Elle incarne la beauté et la classe. Pour moi, elle est plus belle que belle
luna
25 octobre 2021 @ 19:26
Je suis assez d’accord avec le message de Elisab.
Mis à part la critique de ces jeunes femmes porte manteaux, il faut reconnaître que Béatrice Borroméo est divine et la plus jolie et classieuse de la nouvelle génération Grimaldi/Casiraghi/Ducruet/ Gottlieb
Teresa2424
26 octobre 2021 @ 05:42
Elegante, distinguida,fotogénica y Bonita:muy bien elegido por Buccellati
Zulma
26 octobre 2021 @ 07:57
Belle, gracieuse, une classe folle. Très gâtée par la vie. Tant mieux pour elle.
Rue de la paix
26 octobre 2021 @ 09:23
Oh que je plussoie votre commentaire Elisab à mille pour cent
Silvia 2
26 octobre 2021 @ 12:02
Elisab elle est belle, bien née, bien mariée. Et c est pour des entreprises italiennes de grande qualité. Alors pourquoi pas mannequin de luxe! Cela est mieux que certains qui ne font rien, ou vendent du lait ou des associations dont ils ponctionnent de l l’argent.
Carole 007 - Carolus
27 octobre 2021 @ 17:08
https://www.buccellati.com/fr
Cadeau 🎁 😉
Laurence
28 octobre 2021 @ 16:18
C’est très vulgaire d’être femme sandwich ainsi et ça dénote une image peu valorisante de soi-même pour se contenter de montrer ce que d’autre font.