Nouvelle édition du livre « Le Guépard » avec une postface de Gioacchino Lanza Tomasi, prince de Lampedusa qui avec son épouse, avaient ouvert les portes de son palais sicilien à Noblesse et Royautés (cliquez ici pour revoir cet article). En voici le descriptif : Le Guépard est avant tout l’histoire d’un homme, Don Fabrizio, l’imposant prince de Salina aux yeux clairs et à la toison couleur de miel, qui trouve refuge dans son observatoire pour s’élever au-dessus des querelles et converser avec les étoiles.
Nous sommes en 1860, Garibaldi vient de débarquer à Palerme, le vent révolutionnaire du Risorgimento agite la Sicile. Don Fabrizio voit se défaire la rigueur de l’ordre ancien et assiste impassible à la ruine de sa classe. Lucide et désenchanté, il s’incline devant la force nouvelle qu’incarne son cher neveu, l’impétueux Tancredi, et c’est avec courtoisie, non sans humour, qu’il demande pour lui la main de la belle Angelica Sedàra, fille de don Calogero dont le grand-père ne savait ni lire ni écrire.
« Le guépard », Giuseppe Tomassi di Lampedusa, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, nouvelle édition et postface de Gioacchino Lanza Tomasi, Seuil, 2014, 396 p.
Pour un séjour sur les traces du « Guépard » au Palais Lanza Tomasi, 28 via Butera à Palerme, consultez le site suivant : http://www.butera28.it/
MILENA
26 mai 2014 @ 13:52
Ayant vu le film avec Burt Lancaster dans le rôle, je me mets à rêver que notre époque nous donne un acteur de cette trempe, de cette beauté et de ce charisme !!
Marquise
26 mai 2014 @ 20:31
Si je peux me permettre, Milena, le film de Visconti est éblouissant mais le livre est superbement écrit et mérite une lecture que vous ne regretterez pas!
Et, je suis bien d’accord avec vous, aucun acteur n’aurait pu incarner Don Fabrizio avec autant de classe et de talent que Burt Lancaster.
Bien à vous :-)
Gustave de Montréal
27 mai 2014 @ 16:11
Une grande composition de Lancaster, j’avoue. Hélas c’était l’époque des co-productions. Sauf pour l’anglais, ce n’est pas la voix de Lancaster que nous entendons en versions francaise ou italienne. Delon joue en français, mais doublé pour l’anglais et l’italien etc.. Mais c’est néanmoins bien réussi. Un film dont on ne se lasse jamais.
Caroline
26 mai 2014 @ 21:19
Milena,
Etant cinéphile,j’ai voulu écrire la meme chose que vous!Je n’ai pas oublié la beauté juvénile de Alain Delon et de Claudia Cardinale dans ce beau film romantique!
Claude Patricia
26 mai 2014 @ 16:31
Comme dirait Zeugma, il y avait « un beau couple » sur le « dancefloor »
Marie-Josépha
27 mai 2014 @ 10:38
Je l’avais étudié pour mon Bac :)