Lord Linley, fils de la défunte princesse Margaret et de lord Snowdon, est un ébéniste de renom. Pour Pâques, il a créé ces oeufs en bois. (Merci à Bertrand Meyer)
Ma grand mère s’en servait pour repriser les chaussettes.Je ne pensais pas que Lord Linley en connaissait l’usage .Vous savez tous à présent que le dernier oeuf de Fabergé pour le tsar était en bois .Ouf la relève est assurée !
Vous m’ave enlevé les mots du clavier. J’ai vu des oeufs de bois ds mon enfance pour repriser les chaussettes. Les oeufs de bois precieux de Lord Linley ne pouvant avoir cet usage, car les gens qui peuvent se les offrir n’ont pas besoin de repriser leurs chaussettes, il s’agit d’un objet inutile et cher. Mais joli aussi.
Je les collectionne en pierres dures et interdit à mes petits fils de jouer à la pétanque avec mais je les aurais volontiers prêtés à ma grand mére,hélas…
J’ai toujours celui de ma Belle Mère de même que sa travailleuse à plusieurs compartiments qui se déplie (très utile pour ranger la mercerie, les fils, etc…
Ah, les travailleuses anciennes …. J’en ai une aussi, d’autant plus précieuse que faite par mon père.
Gardez précieusement la vôtre, Bianca. En plus d’être utile et pratique, ce genre d’objet a participé à tant d’heures de travail, de pensées intimes, d’amour pour les siens, qu’il porte un monde.
Ravauder, c’est un acte d’amour.
Moi aussi Bianca, j’adore ces anciennes « travailleuses », ma mère possède toujours la sienne, on en trouve encore d’occasion, elles sont extrêmement pratiques pour ranger tout son petit bazar de couture !
J’en possède une également: Il s’agit d’une travailleuse pour enfant que j’ai reçue à l’âge de huit ans.
L’émerveillement qui fut le mien en la recevant me submerge encore quant je la regarde et c’est l’un de mes objets les plus précieux.
Danielle
28 mars 2016 @
19:49
Baboula et Dame Tartine, eh oui, j’ai connu les œufs pour les reprises de chaussettes chez mes grands mères, merci de m’avoir rafraîchi la mémoire !
Bab oula et Dame tartine , j’ai tout de suite reconnu aussi les oeufs à repriser les chaussettes de ma gd-mère , mais nous ne sommes sans doute pas les seules.
lorsd Linley ne doit pas rouler sur l’or: Il fait feu de tout bois!
Les oeufs en bois de notre enfance ne servent plus à grand chose, de nos jours on jette nos chaussettes trouées et on achète une paire neuve. A la suite de cet article j’ai recherché en vain l’oeuf en bois de ma grand mère, je ne l’ai malheureusement pas retrouvé…
Je vais faire mon coming out :
Je reprise toujours les chaussettes. Avec mes oeufs en bois.
C’est surtout les collants de mes petites-filles que je répare : avec des fils à repriser de toutes les couleurs, je leur fais des reprises ou consolidations en forme de fleurs,
d’ étoiles, de coccinelles, de papillons.
Parait que ça fait un tabac dans la cour de maternelle ! Et moi, ça m’amuse.
Baya, vous me lancez trop de fleurs, mais merci. Je me trouve plus souvent pitoyable que formidable.
Vous savez, raccommoder, etc, avec et pour mes petites-filles, j’aime beaucoup ça.
Nous inventons comme ça plein de choses ensemble.
Et surtout, elles ont ainsi intégré qu’on peut souvent réparer les choses, au lieu de les jeter .
» Grand-Père répare avec de la colle, des clous , et un marteau.
» Grand-Mère répare avec du fil, une aiguille, et la machine à coudre. »
C’est ma façon à moi, entre autres, de leur inculquer des habitudes vraiment écologiques. Et qu’en plus, elles trouvent magiques quand on répare la jupe de Minnie, par exemple.
PS ceci dit j’adore les oeufs Fabergé…le muguet en perle et diamant, les roses, les petits portraits qui sortent de l’oeuf etc…il y en a tellement d’Alexandre III a Nicolas II qui en offrir a Maria et Alexandra..a chaque fois une merveille…
Oui c’est bien sûr le site de Régine. Difficile de mettre le lien de mon tel mais en tapant diadème bois sur G**gle vous trouver vite ! Joli travail de lord Linley.
Certains œufs à repriser de nos grands-mères sortaient également du lot.
En effet, à côté des œufs simples, il y avait des œufs en marqueterie ou en bois plus raffinés.
Oui, c’est l’art du tourneur.
Ce n’est pas exactement de la marqueterie.
Le tourneur prépare d’abord une sorte de parallélépipède de plusieurs bois différents collés ensemble.
Puis il monte ce volume sur son tour, et lui donne la forme d’un oeuf.
Tourner, drexeln en allemand. En anglais to turn, tout simplement. To turn wood, or something else.
Vous avez évidemment raison, Clémentine. Je me trouve en terre anglophone en ce moment, et mon orthographe allemande a fourché. C’est bien
» drechseln », et » drechsler ». Pour les non-germanophones, » chs », en allemand, se prononce comme le » x » en français.
Clémentine illustre bien ici comment les noms de famille sont souvent simplement issus de noms de métiers; puisque les » noms de famille » sont, à l’origine, des surnoms : Meunier, Boulanger, Charpentier, Parementier, Masson, pour les racines de langue française.
Aux nostalgiques des oeufs à repriser , je me suis rappelé soudainement de l’oeuf en bois chez feue une de mes grand-tantes pourtant ‘milliardaire’, je ne comprenais pas trop pourquoi elle s’obstinait à raccommoder ses bas au lieu d’acheter une nouvelle paire de collants!
C’est que le reprisage faisait partie de l’éducation de toute fille jadis, quelle que soit sa classe sociale.
J’ai comme ça ( chacun son grain) une collection de reprisages , sur toutes sortes de supports : draps, torchons, nappes simples ou précieuses, vêtements bien sûr, etc. Ce sont de petits chefs d’oeuvre d’une incroyable précision.
Cela me sert quand nous participons à une démonstration, ou reconstitution historique, pour illustrer pièces à l’appui comment, jadis, on ne jetait rien.
Il existe quelque chose en forme d’oeufs, et en bois, de beaucoup plus rare encore : les oeufs en bois à repriser les gants.
Ce sont bien sûr de petits oeufs, grands comme le bout des doigts, et qui se vendaient ou se faisaient jadis par groupes de cinq, évidemment, de tailles légèrement différentes.
C’est devenu très rare, et partant, cher quand on en trouve, en set complet, ou même en solitaires, chez un antiquaire ou brocanteur.
On ne reprisait , ou recousait les gants, qu’au fil de lin,passé à la cire d’abeille.
Superbe, merci Leonor, j’ignorais tout de l’existence de ces petit oeufs. Ma mère n’avait qu’une boule (qui doit bien avoir une centaine d’années) pour repriser les chaussettes mais je la garde précieusement et m’en sers comme déco.
Merci , Clementine 1 et Caroline. C’est que le textile et tout ce qui y touche – c’est vaste – est un de mes dadas, ainsi donc que la mercerie. On trouve des trésors sur les brocantes.
Et maintenant, les techniques de couture, tricot, crochet, etc, reviennent à la mode, après des décennies de désaffection et de ringardisation. Ce sont d’autres types de réalisation qui sont proposées maintenant dans les magazines, et c’est tant mieux. Ainsi, les techniques ancestrales ne se perdent pas, et cela permet aux jeunes femmes une activité créatrice facile.
Oui, c’est l’ouvrage de Thérèse de Dillmont . Une somme.
Edité à Mulhouse, en partenariat avec DMC. https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9r%C3%A8se_de_Dillmont.
On le trouve encore, assez facilement, chez les bouquinistes , ou bien sûr, sur le Net. J ‘ai la chance d’en avoir hérité un exemplaire.
Là je suis enchantée Leonor car j’ai vu ces boules de bois dans la boite à repriser d’une grande tante; elle venait de décéder et nous aidions (ma mère, deux cousines et moi) à emballer les choses car la maison allait être vendue et ma mère ne savait pas de quoi il s’agissait? J’étais agacée car j’étais certaine que l’objet avait une utilité… ses choses étaient tellement à l’ordre. Si j’avais su, j’aurais demandé à garder l’objet, qui a dû finir à la poubelle snif, snif. FdC
tant que le com est correct N&R ne refuse pas de vous éditer. Vous avez du faire une fausse manip (ou Régine a jeté par mégarde votre com à la poubelle … ça peut arriver aussi :))) )
Ca, ce n’est pas gentil du tout.
La princesse Margaret était ce qu’elle était et a en effet mené une vie de bâton de chaise.
Mais il faut lui laisser qu’elle a apparemment bien élevé ses enfants.
Aucun des deux ne se met en avant, ni ne prête le flanc aux tabloïds. Tous deux sont mariés depuis longtemps , et ce sont des mariages qui durent.
Ce n’est pas rien, dans leur monde et par les temps qui courent.
Laissons à la princesse Margaret ce qu’elle a réussi de bien dans sa vie.
ml
28 mars 2016 @ 08:01
Magnifique, je trouve!
J’ai passé, il y a quelques années, devant sa boutique à Londres…je ne sais si il l’a toujours?
ml
annie
28 mars 2016 @ 08:11
superbes ,
Baboula
28 mars 2016 @ 08:28
Ma grand mère s’en servait pour repriser les chaussettes.Je ne pensais pas que Lord Linley en connaissait l’usage .Vous savez tous à présent que le dernier oeuf de Fabergé pour le tsar était en bois .Ouf la relève est assurée !
Dame Tartine
28 mars 2016 @ 09:21
Vous m’ave enlevé les mots du clavier. J’ai vu des oeufs de bois ds mon enfance pour repriser les chaussettes. Les oeufs de bois precieux de Lord Linley ne pouvant avoir cet usage, car les gens qui peuvent se les offrir n’ont pas besoin de repriser leurs chaussettes, il s’agit d’un objet inutile et cher. Mais joli aussi.
Baboula
28 mars 2016 @ 10:20
Je les collectionne en pierres dures et interdit à mes petits fils de jouer à la pétanque avec mais je les aurais volontiers prêtés à ma grand mére,hélas…
Haut-Landaise
28 mars 2016 @ 10:04
En bois de bouleau ? pour repriser les chaussettes de l’archiduchesse.
Ceux de Lord Linley sont en bois de boulot et ils sont bien beaux. HL
annie
28 mars 2016 @ 11:09
cheza nous comme chez vous les oeufs en bois servaient pour le racommodage des chaussettes et c’était bien pratique
Bianca
28 mars 2016 @ 20:21
J’ai toujours celui de ma Belle Mère de même que sa travailleuse à plusieurs compartiments qui se déplie (très utile pour ranger la mercerie, les fils, etc…
Leonor
29 mars 2016 @ 14:31
Ah, les travailleuses anciennes …. J’en ai une aussi, d’autant plus précieuse que faite par mon père.
Gardez précieusement la vôtre, Bianca. En plus d’être utile et pratique, ce genre d’objet a participé à tant d’heures de travail, de pensées intimes, d’amour pour les siens, qu’il porte un monde.
Ravauder, c’est un acte d’amour.
emy
29 mars 2016 @ 16:33
Moi aussi Bianca, j’adore ces anciennes « travailleuses », ma mère possède toujours la sienne, on en trouve encore d’occasion, elles sont extrêmement pratiques pour ranger tout son petit bazar de couture !
Stella
29 mars 2016 @ 20:52
J’en possède une également: Il s’agit d’une travailleuse pour enfant que j’ai reçue à l’âge de huit ans.
L’émerveillement qui fut le mien en la recevant me submerge encore quant je la regarde et c’est l’un de mes objets les plus précieux.
Danielle
28 mars 2016 @ 19:49
Baboula et Dame Tartine, eh oui, j’ai connu les œufs pour les reprises de chaussettes chez mes grands mères, merci de m’avoir rafraîchi la mémoire !
kalistéa
28 mars 2016 @ 10:04
Bab oula et Dame tartine , j’ai tout de suite reconnu aussi les oeufs à repriser les chaussettes de ma gd-mère , mais nous ne sommes sans doute pas les seules.
lorsd Linley ne doit pas rouler sur l’or: Il fait feu de tout bois!
Berte
28 mars 2016 @ 10:14
Ces oeufs sont SU-PER-BES !
Baya
28 mars 2016 @ 11:27
Les oeufs en bois de notre enfance ne servent plus à grand chose, de nos jours on jette nos chaussettes trouées et on achète une paire neuve. A la suite de cet article j’ai recherché en vain l’oeuf en bois de ma grand mère, je ne l’ai malheureusement pas retrouvé…
Leonor
28 mars 2016 @ 21:20
Dommage….
Ca commence à valoir cher dans les brocantes !
Leonor
28 mars 2016 @ 11:49
Je vais faire mon coming out :
Je reprise toujours les chaussettes. Avec mes oeufs en bois.
C’est surtout les collants de mes petites-filles que je répare : avec des fils à repriser de toutes les couleurs, je leur fais des reprises ou consolidations en forme de fleurs,
d’ étoiles, de coccinelles, de papillons.
Parait que ça fait un tabac dans la cour de maternelle ! Et moi, ça m’amuse.
Bianca
28 mars 2016 @ 20:17
Quelle bonne idée, dommage…je n’ai que des garçons !!!
LAUS'ANNE
28 mars 2016 @ 21:10
En voilà une excellente idée !
Pafoume
29 mars 2016 @ 06:52
Quel talent !
Leonor
29 mars 2016 @ 14:32
Euh… je ne sais pas. Ce n’est pas difficile.
Baya
29 mars 2016 @ 10:53
Leonor, je n’en attendais pas moins de vous, vous êtes formidable
Leonor
29 mars 2016 @ 14:37
Baya, vous me lancez trop de fleurs, mais merci. Je me trouve plus souvent pitoyable que formidable.
Vous savez, raccommoder, etc, avec et pour mes petites-filles, j’aime beaucoup ça.
Nous inventons comme ça plein de choses ensemble.
Et surtout, elles ont ainsi intégré qu’on peut souvent réparer les choses, au lieu de les jeter .
» Grand-Père répare avec de la colle, des clous , et un marteau.
» Grand-Mère répare avec du fil, une aiguille, et la machine à coudre. »
C’est ma façon à moi, entre autres, de leur inculquer des habitudes vraiment écologiques. Et qu’en plus, elles trouvent magiques quand on répare la jupe de Minnie, par exemple.
Marie1
29 mars 2016 @ 15:01
Très belle idée, bravo à vous, vos petites-filles doivent être fières et heureuses.
emy
29 mars 2016 @ 16:35
Merci pour cet éclat de rire ! Voilà un coming out d’importance :o)))
jo de st vic
28 mars 2016 @ 11:54
objet inutile et cher….comme les Fabergé alors ?
francesca
28 mars 2016 @ 12:27
Bonne Pasquetta à vous tous.
Roselila
28 mars 2016 @ 12:56
Oui, parfait pour repriser des chaussettes des nobles ou royaux?
Mon œuf à repriser très ressemblant vient immédiatement de prendre de la valeur ?
Ilona
28 mars 2016 @ 13:07
oui enfin ….il n’a rien inventé !!!! Ma grand mère en possède une collection en différentes essences de bois !!
*Gustave de Montréal
28 mars 2016 @ 13:08
Rares les boules à repriser. De nos jours on jette les vieilles chaussettes trouées à la poubelle et on achète des paquets de neuves. Moins compliqué.
Leonor
29 mars 2016 @ 14:39
C’est vrai, c’est vrai. Tout à fait normal actuellement.
Mais quand ce sont des chaussettes en laine d’alpaga, on peut se poser la question…. ;-)
Merlines
28 mars 2016 @ 15:38
ils sont magnifiques!!!!
jo de st vic
28 mars 2016 @ 16:34
PS ceci dit j’adore les oeufs Fabergé…le muguet en perle et diamant, les roses, les petits portraits qui sortent de l’oeuf etc…il y en a tellement d’Alexandre III a Nicolas II qui en offrir a Maria et Alexandra..a chaque fois une merveille…
Numérobis.
28 mars 2016 @ 18:33
Splendides! c’est bien lui qui a créé un diadème très original en bois?
Nathetvoila
29 mars 2016 @ 06:12
Il me semble effectivement l’avoir vu quelque part . Sans doute ici ? Je vais chercher…
Nathetvoila
29 mars 2016 @ 06:16
Oui c’est bien sûr le site de Régine. Difficile de mettre le lien de mon tel mais en tapant diadème bois sur G**gle vous trouver vite ! Joli travail de lord Linley.
Nathetvoila
29 mars 2016 @ 06:17
Trouverez
Leonor
29 mars 2016 @ 14:16
Mais voilà, voilà , et c’est sur N&R :
http://www.noblesseetroyautes.com/?p=30265
Numérobis.
29 mars 2016 @ 19:10
merci Nathetvoila !
l'Alsacienne
28 mars 2016 @ 18:46
Certains œufs à repriser de nos grands-mères sortaient également du lot.
En effet, à côté des œufs simples, il y avait des œufs en marqueterie ou en bois plus raffinés.
Leonor
28 mars 2016 @ 21:23
Oui, c’est l’art du tourneur.
Ce n’est pas exactement de la marqueterie.
Le tourneur prépare d’abord une sorte de parallélépipède de plusieurs bois différents collés ensemble.
Puis il monte ce volume sur son tour, et lui donne la forme d’un oeuf.
Tourner, drexeln en allemand. En anglais to turn, tout simplement. To turn wood, or something else.
clementine1
29 mars 2016 @ 10:23
Leonor : plutôt « drechseln » en allemand?, non ? Il y a beaucoup DRECHSLER dans ma généa, en tant que nom de famille mais aussi comme métier.
Leonor
29 mars 2016 @ 14:21
Vous avez évidemment raison, Clémentine. Je me trouve en terre anglophone en ce moment, et mon orthographe allemande a fourché. C’est bien
» drechseln », et » drechsler ». Pour les non-germanophones, » chs », en allemand, se prononce comme le » x » en français.
Clémentine illustre bien ici comment les noms de famille sont souvent simplement issus de noms de métiers; puisque les » noms de famille » sont, à l’origine, des surnoms : Meunier, Boulanger, Charpentier, Parementier, Masson, pour les racines de langue française.
Merci pour la rectification, Clémentine 1
Anastasia A
28 mars 2016 @ 18:52
c’est original
framboiz07
28 mars 2016 @ 20:00
Très beau ! Que fait sa sœur ?
emy
29 mars 2016 @ 16:36
Elle pond.
Ok, je sors :)
framboiz07
29 mars 2016 @ 22:12
Des œuvres d’art , car elle était artiste ou les couve ? J’ai bien ri ! Merci , Emy !
Merlines
31 mars 2016 @ 15:34
LOL!!!!!!
Anna1
28 mars 2016 @ 22:37
Dommage de lire cet article si tard. Cet après-midi j’ai regardé un documentaire Fabergé le joaillier des tsars (Arte) SUPERBE !
Caroline
28 mars 2016 @ 22:56
Aux nostalgiques des oeufs à repriser , je me suis rappelé soudainement de l’oeuf en bois chez feue une de mes grand-tantes pourtant ‘milliardaire’, je ne comprenais pas trop pourquoi elle s’obstinait à raccommoder ses bas au lieu d’acheter une nouvelle paire de collants!
Leonor
29 mars 2016 @ 14:26
C’est que le reprisage faisait partie de l’éducation de toute fille jadis, quelle que soit sa classe sociale.
J’ai comme ça ( chacun son grain) une collection de reprisages , sur toutes sortes de supports : draps, torchons, nappes simples ou précieuses, vêtements bien sûr, etc. Ce sont de petits chefs d’oeuvre d’une incroyable précision.
Cela me sert quand nous participons à une démonstration, ou reconstitution historique, pour illustrer pièces à l’appui comment, jadis, on ne jetait rien.
Leonor
28 mars 2016 @ 23:20
Il existe quelque chose en forme d’oeufs, et en bois, de beaucoup plus rare encore : les oeufs en bois à repriser les gants.
Ce sont bien sûr de petits oeufs, grands comme le bout des doigts, et qui se vendaient ou se faisaient jadis par groupes de cinq, évidemment, de tailles légèrement différentes.
C’est devenu très rare, et partant, cher quand on en trouve, en set complet, ou même en solitaires, chez un antiquaire ou brocanteur.
On ne reprisait , ou recousait les gants, qu’au fil de lin,passé à la cire d’abeille.
Parfois, ils sont également montés sur tige :
http://www.aiguilles-magiques.com/?OEuf-a-repriser-les-gants
clementine1
29 mars 2016 @ 10:34
Superbe, merci Leonor, j’ignorais tout de l’existence de ces petit oeufs. Ma mère n’avait qu’une boule (qui doit bien avoir une centaine d’années) pour repriser les chaussettes mais je la garde précieusement et m’en sers comme déco.
Caroline
29 mars 2016 @ 11:11
Leonor, j’ai adoré lire votre lien plein d’ explications étonnantes avec des photos!
Leonor
29 mars 2016 @ 14:44
Merci , Clementine 1 et Caroline. C’est que le textile et tout ce qui y touche – c’est vaste – est un de mes dadas, ainsi donc que la mercerie. On trouve des trésors sur les brocantes.
Et maintenant, les techniques de couture, tricot, crochet, etc, reviennent à la mode, après des décennies de désaffection et de ringardisation. Ce sont d’autres types de réalisation qui sont proposées maintenant dans les magazines, et c’est tant mieux. Ainsi, les techniques ancestrales ne se perdent pas, et cela permet aux jeunes femmes une activité créatrice facile.
clementine1
30 mars 2016 @ 08:29
cela me rappelle que ma mère possédait un lvre « Ouvrages de dames » très complet et instructif.
. Leonor
30 mars 2016 @ 22:12
Oui, c’est l’ouvrage de Thérèse de Dillmont . Une somme.
Edité à Mulhouse, en partenariat avec DMC.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9r%C3%A8se_de_Dillmont.
On le trouve encore, assez facilement, chez les bouquinistes , ou bien sûr, sur le Net. J ‘ai la chance d’en avoir hérité un exemplaire.
emy
29 mars 2016 @ 16:38
On se cultive, ici, j’ignorais totalement l’existence de ces petits oeufs !
Francine du Canada
30 mars 2016 @ 10:54
Là je suis enchantée Leonor car j’ai vu ces boules de bois dans la boite à repriser d’une grande tante; elle venait de décéder et nous aidions (ma mère, deux cousines et moi) à emballer les choses car la maison allait être vendue et ma mère ne savait pas de quoi il s’agissait? J’étais agacée car j’étais certaine que l’objet avait une utilité… ses choses étaient tellement à l’ordre. Si j’avais su, j’aurais demandé à garder l’objet, qui a dû finir à la poubelle snif, snif. FdC
. Leonor
30 mars 2016 @ 22:14
C’est dommage, Francine, mais il en va ainsi de tant de choses . C’est la vie. Souriez :-)
agnes
29 mars 2016 @ 06:53
Ils sont pas mal mais je préfère les oeufs peints que j’achète à Izmaelovo à des mamies russes aux doigts de fée.
Leonor
29 mars 2016 @ 14:44
Ca doit être très beau. En auriez-vous une photo ? Si vous savez l’insérer …?
francoiseA
29 mars 2016 @ 16:50
Moi aussi je garde précieusement celui en bois de ma maman pour repriser je m en suis servi à une époque. ..
Anna1
29 mars 2016 @ 17:14
J’ai ajouté un commentaire sur la joliesse des oeufs et apparemment refuse ! PQ ? Il n’y avait rien de méchant
JAusten
30 mars 2016 @ 17:56
tant que le com est correct N&R ne refuse pas de vous éditer. Vous avez du faire une fausse manip (ou Régine a jeté par mégarde votre com à la poubelle … ça peut arriver aussi :))) )
Carole
30 mars 2016 @ 15:23
fils d’une « poule », il crée des oeufs !
. Leonor
31 mars 2016 @ 23:36
Ca, ce n’est pas gentil du tout.
La princesse Margaret était ce qu’elle était et a en effet mené une vie de bâton de chaise.
Mais il faut lui laisser qu’elle a apparemment bien élevé ses enfants.
Aucun des deux ne se met en avant, ni ne prête le flanc aux tabloïds. Tous deux sont mariés depuis longtemps , et ce sont des mariages qui durent.
Ce n’est pas rien, dans leur monde et par les temps qui courent.
Laissons à la princesse Margaret ce qu’elle a réussi de bien dans sa vie.