Merci beaucoup pour cette balade au dessus de départs du moyen Âge.
Certaines parties de Notre-Dame étaient donc peintes en rouge, faisant bien ressortir le relief des pierres.
Merci Guizmo pour cette video interessante.
J ai ete surprise de voir une fleche sur Notre Dame..je pensais qu elle avait ete rajoutee par Viollet Le Duc.
Les hirondelles passent tres vite sur le Louvre…
Non, la flèche d’Eugène Viollet-le-Duc n’est pas la première flèche de Notre-Dame.
Vers 1250, une flèche couronnait cette intersection entre la nef principale et le transept et s’appuyait sur les quatre solides piliers du transept. Il s’agissait d’un clocher qui a été orné de sept cloches au XVIIe siècle et qui, menaçant de s’effondrer, a été démonté entre 1786 et 1792.
Lorsque les grands travaux de restauration sont lancés, Viollet-le-Duc décide de construire une nouvelle flèche et non un clocher, reprend la forme qu’il avait conçue pour la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans en 1852 et confie à l’architecte Auguste Bellu et aux ateliers Monduit le soin d’élever cette pointe dressée vers le ciel et flanquée des statues en cuivre des douze apôtres et des quatre évangélistes dessinées par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume.
La flèche culminant à 96 mètres de haut est inaugurée en 1859. Pour protéger sa charpente de chêne, elle est recouverte de plomb. Sous les traits de saint Thomas, il faut savoir reconnaître le visage de Viollet-le-Duc lui-même, contemplant le sommet de son œuvre et le coq (contenant une parcelle de la Couronne d’épines, une relique de saint Denis et une relique de sainte Geneviève), qui y a été installé en 1935 et retrouvé il y a trois jours dans les décombres de l’incendie.
Que sera la reconstruction évoquée par Édouard Philippe lorsqu’il parle d’un concours d’architectes internationaux et d’« une nouvelle flèche adaptée aux techniques de notre époque » ? Une reconstruction fidèle comme ce que les Allemands de Dresde ont fait à la Frauenkirche ou ceux de Berlin avec leur château mais avec de nouveaux matériaux ? Ou bien une création du XXIe siècle qui ajouterait de la modernité à ce monument de différentes époques ? S’affrontent désormais les défenseurs d’une reconstruction à l’identique et les tenants d’une intervention contemporaine.
Il y avait bien dès le XIIIe siècle une flèche sur la croisée du transept de Notre-Dame de Paris, édifiée lors de la construction de la cathédrale.
Mais elle a été démontée au XVIIIe siècle. C’est que c’est fragile, ces petites choses …
Viollet-le-Duc en a remonté une .
Quelle merveille, merci Régine et Guizmo ; pensez à régler le paramètre vitesse si, comme moi, vous trouvez que ça va trop vite ; pas le temps de bien explorer
Cette vidéo est tellement impressionnante que je l’ ai vite envoyée à mes contacts via Whatsappe!
D’ autre part, j’ ai appris d’ après le livre ‘ Le parfum ‘ écrit par Patrick Süsskind que Paris était une ville insalubre et malodorante. Quel était le nombre d’ habitants à Paris à cette époque?
Merci à Guizmo !
Les historiens estiment entre 200 000 et 250 000 le nombre d’habitants de Paris à la fin du moyen-âge. C’était à l’époque la ville la plus peuplée d’Europe. En ce temps-là, la population était essentiellement rurale. Une ville de 5 000 habitants était considérée comme importante.
Etourdissant et Superbe, Un grand MERCI
oui les rues sont grises mais Notre Dame est peinte !
Les ponts contruits sont occupés par les maisons, mais il vaut mieux vivre de nos jours je pense qu’à cette époque, les plus forts survivaient que de nos jours nous pouvons faire tant de belles choses…et utiliser nos connaissances pour faire plaisir à ceux qui nous entourent, MERCI pour le survol de Paris
quelle est la musique utilisée ?
Merci, je viens de vivre dans un autre temps et autre monde, magnifique, la cité de Paris avait déjà fière allure, quel travail pour les créateurs de cette vidéo, merci de nous l’avoir fait découvrir.
C’est agréable pour une parisienne confinée de s’envoler ainsi.
Je ne sais pas si cela est conforme à cette époque, mais merci beaucoup Guizmo pour ces quelques minutes hors du temps.
Je suis … époustouflée ! Quelle merveille, les ponts couverts , les bateaux à voile , incroyable !
J’ aime le Paris hausmanien mais j’ adore aussi le moyen-âge .
MERCI MERCI GUIZMO et Régine . Un régal !
Cette reconstitution, réalisée en novembre 2018, constitue une représentation du Paris au début du XVème siècle, parmi beaucoup de représentations possibles. Hormis certains quartiers très riches en histoire (tels Notre-Dame et Les Halles), nous ne savons pas exactement à quoi ressemblait Paris vers 1450. On imagine beaucoup.
Ici, les bâtiments sont peu détaillés, et c’est un peu dommage car de nos jours, faute de coller à 100% à la réalité, c’est possible de reproduire fidèlement les architectures. Il existe des reconstitutions mieux travaillées.
En lisant les commentaires, j’avais un sentiment mitigé. Certes, c’est une version. Les premières secondes sont agréables, puis ça devient répétitif par la couleur, les habitats. Il y a quelques moments intéressants.
Je me retrouve davantage dans vos remarques, Karabakh.
Cette vidéo a un titre inapproprié, c’est une version de Paris au XVème siècle comme vous l’expliquez fort bien. Utiliser le terme de Moyen âge est trompeur. En théorie de 476 à 1492, le Moyen âge représente un millénaire. C’est trop imprécis. Quand on voit dans le film, rien que sur l’île de la Cité, Notre Dame et la Sainte Chapelle, on ne peut que se douter que les auteurs se sont situés vers la fin du Moyen âge. Je reste sur ma faim de ne pas savoir leurs sources pour établir cette représentation : imagination ou réel travail historique. L’historienne que je suis pencherait pour la première hypothèse !
Face à cette multiplication de vidéos reconstituants des périodes lointaines, des lieux, des monuments, je reste prudente. Personnellement, ça ne m’apporte rien à ma connaissance historique, je n’en ai pas besoin, je préfère d’autres sources. ça m’amuse tout au plus, avec beaucoup de recul. Je fais par contre une totale allergie au docu-fiction, une aberration. Je suis pour des documentaires de qualité ou pour de la fiction, pour laquelle je serai très tolérante. Quant aux documentaires, là aussi, il y a le pire et le meilleur. Beaucoup de gens ont vu ce que je considère comme les pires documentaires faits sur les grands évènements du XXème siècle. J’ai lu récemment avec bonheur, les mêmes réserves d’historiens, de vrais historiens (pas des historiens qui prétendent savoir et font des émissions). Ces historiens sérieux ont largement critiqué la pitoyable série Apocalypse, réalisée sans historiens, partisane, incomplète aux titres lamentables et minables et faux historiquement pour la plupart. Je fuis ça et le grand public applaudit !!!! Je n’ai pas besoin de voir les images en couleurs pour la première Guerre mondiale : c’est une vraie escroquerie historique. Mais ça plaît, ça distrait. J’en conclus, qu’on peut faire passer n’importe quoi, sans forcément respecter la réalité historique et sans avoir la moindre qualification !!! Il y a des personnes qui laissent passer cela mais pas d’autres choses plus futiles. Sans doute est-ce une question d’appréciation !
Je crois que les sciences, aux sens le plus élevé, celui des connaissances, sont propices pour les médias à ce genre d’aberration. Nous vivons un règne de la vulgarisation à tout prix ; or, s’il est naturellement essentiel, avec les technologies actuelles, que chacun puisse avoir accès aux savoirs les plus larges, ce n’est pas, comme vous le soulignez, au prix de tout et surtout de n’importe quoi. Lorsque je vois des documentaires sur le monde animal, ma partie, je suis effaré, outre les inepties biologiques entendues régulièrement (mais ça se corrige), des raccourcis pris dans les raisonnements et les conclusions ; je suis peut-être moins choqué par les bêtises des documentaires historiques grand public mais, aimant aussi l’histoire, je reconnais que je suis aussi régulièrement interpellé par certaines assertions. Néanmoins, j’estime que ce n’est pas encore cela le pire ; ce qui me fait très peur, c’est que cette vulgarisation outrancière atteint aussi l’enseignement avec des biais et des raccourcis à la limite de l’indécence envers les hommes qui ont été acteurs du fait relaté. Et le plus aberrant là-dedans, c’est que ce ne sont pas les faits les plus anciens qui sont les plus déformés ; récemment, j’ai eu à me positionner en faux sur des faits qui ont à peine plus d’un demi-siècle, et cela fait vraiment peur…
J’ai été sollicité pour plusieurs documentaires sur la vie animale mais j’ai refusé l’essentiel des propositions. J’ai conscience d’avoir déçu, jusque dans les rangs de mes pairs mais je ne me prête pas aux bouffonneries médiatiques. Dans ma dimension enseignante, j’ai toujours été rigoureux, méthodique et surtout, fidèle aux connaissances. Cela peut ressembler à une auto-congratulation, dans une moindre mesure à de la prétention, mais je ne peux concevoir d’être « à moitié » ou « à peu près » lorsque je partage la connaissance. Cela m’a coûté un poste (récent) mais sur le fond, je préfère que l’on me vire plutôt que devoir m’abaisser à faire de la daube (restons softs).
Pour en revenir à ce documentaire, il s’adresse au grand public, juste intéressé par savoir à quoi ressemblait Paris, quelque part dans l’Histoire, sans chercher à en savoir plus – parce que souvent, ce public ne veut pas en savoir plus. Alors oui, certains diront que les personnes vraiment intéressées iront plus loin, et ce n’est pas faux. Néanmoins, il faut donner cette envie d’aller plus loin et pour le coup, ce n’est pas gagné pour ce genre de documentaire qui, et le terme est approprié, ne fait que survoler la question. C’est sympathique mais c’est pauvre, car ça manque de détails et donc de cette substance qui donne envie d’aller plus loin. Et nous en revenons au problème de fond : la paupérisation des contenus savants. Toutes les émissions, tous les documentaires, toutes les reconstitutions… qui pullulent sur la toile mais aussi sur le terrain (car c’est à la mode de reconstituer des faits historiques) sont pauvres et l’accueil du public n’incite pas à ce que leurs auteurs les enrichissent.
La part d’idéalisation est grande mais oui, elle biaise la découverte et contribue beaucoup au caractère peu fouillé et niais des réalisations.
Catherine A
8 mai 2020 @ 07:01
Quel régal! , à voir et revoir , merci Guizmo et Régine.
Bambou
8 mai 2020 @ 07:04
Merci beaucoup pour cette balade au dessus de départs du moyen Âge.
Certaines parties de Notre-Dame étaient donc peintes en rouge, faisant bien ressortir le relief des pierres.
YVELISE
8 mai 2020 @ 07:50
SUPERBE!
Elsi
8 mai 2020 @ 07:52
Tout simplement fantastique…je vais voir toutes les videos au fur et a mesure…un tres tres grand merci.
Annmaule
8 mai 2020 @ 07:54
Merci Guizmo pour cette video interessante.
J ai ete surprise de voir une fleche sur Notre Dame..je pensais qu elle avait ete rajoutee par Viollet Le Duc.
Les hirondelles passent tres vite sur le Louvre…
LORDBHJ
8 mai 2020 @ 14:35
Il y eu deux flèches.
Non, la flèche d’Eugène Viollet-le-Duc n’est pas la première flèche de Notre-Dame.
Vers 1250, une flèche couronnait cette intersection entre la nef principale et le transept et s’appuyait sur les quatre solides piliers du transept. Il s’agissait d’un clocher qui a été orné de sept cloches au XVIIe siècle et qui, menaçant de s’effondrer, a été démonté entre 1786 et 1792.
Lorsque les grands travaux de restauration sont lancés, Viollet-le-Duc décide de construire une nouvelle flèche et non un clocher, reprend la forme qu’il avait conçue pour la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans en 1852 et confie à l’architecte Auguste Bellu et aux ateliers Monduit le soin d’élever cette pointe dressée vers le ciel et flanquée des statues en cuivre des douze apôtres et des quatre évangélistes dessinées par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume.
La flèche culminant à 96 mètres de haut est inaugurée en 1859. Pour protéger sa charpente de chêne, elle est recouverte de plomb. Sous les traits de saint Thomas, il faut savoir reconnaître le visage de Viollet-le-Duc lui-même, contemplant le sommet de son œuvre et le coq (contenant une parcelle de la Couronne d’épines, une relique de saint Denis et une relique de sainte Geneviève), qui y a été installé en 1935 et retrouvé il y a trois jours dans les décombres de l’incendie.
Que sera la reconstruction évoquée par Édouard Philippe lorsqu’il parle d’un concours d’architectes internationaux et d’« une nouvelle flèche adaptée aux techniques de notre époque » ? Une reconstruction fidèle comme ce que les Allemands de Dresde ont fait à la Frauenkirche ou ceux de Berlin avec leur château mais avec de nouveaux matériaux ? Ou bien une création du XXIe siècle qui ajouterait de la modernité à ce monument de différentes époques ? S’affrontent désormais les défenseurs d’une reconstruction à l’identique et les tenants d’une intervention contemporaine.
Leonor
8 mai 2020 @ 18:02
Il y avait bien dès le XIIIe siècle une flèche sur la croisée du transept de Notre-Dame de Paris, édifiée lors de la construction de la cathédrale.
Mais elle a été démontée au XVIIIe siècle. C’est que c’est fragile, ces petites choses …
Viollet-le-Duc en a remonté une .
Karabakh
8 mai 2020 @ 21:39
Du 13ème au 18ème siècles, il y a eut une première flèche. Elle a été enlevée en raison de sa fragilité.
La flèche de Viollet-le-Duc avait été érigée en 1859.
Lorelei
8 mai 2020 @ 08:01
Extra! Merci.
Brigitte - Anne
8 mai 2020 @ 09:12
Merci beaucoup Guizmo ! Très bien fait , on s’y croirait .
aggie
8 mai 2020 @ 09:21
Quelle merveille, merci Régine et Guizmo ; pensez à régler le paramètre vitesse si, comme moi, vous trouvez que ça va trop vite ; pas le temps de bien explorer
Iris Iris
8 mai 2020 @ 09:31
Belle trouvaille ! Merci Guizmo.
Menthe
8 mai 2020 @ 09:51
Merci beaucoup Guizmo pour cette promenade aérienne si sciemment légendée.
Vous nous gâtez.
Valérie R.
8 mai 2020 @ 10:00
Merci pour cette magnifique vidéo !
Auberi
8 mai 2020 @ 10:36
Le Louvre est à peine survolé de sa berge, c’est pas mal, mais je reste sur ma faim. Évidement merci pour ce lien 😊
Teresa2424
8 mai 2020 @ 15:59
Hermoso !!!GRACIAS REGINE ,GUIZMO
Caroline
8 mai 2020 @ 10:49
Cette vidéo est tellement impressionnante que je l’ ai vite envoyée à mes contacts via Whatsappe!
D’ autre part, j’ ai appris d’ après le livre ‘ Le parfum ‘ écrit par Patrick Süsskind que Paris était une ville insalubre et malodorante. Quel était le nombre d’ habitants à Paris à cette époque?
Merci à Guizmo !
DEB
8 mai 2020 @ 12:33
Le moyen- âge s’étend sur plusieurs siècles.
Notre – Dame est construite donc je dirais environ 200.000 habitants.
C’est une supputation.
Résilience
8 mai 2020 @ 12:56
en 1328 Paris a 200 000 habitants
Antoine
8 mai 2020 @ 13:21
Les historiens estiment entre 200 000 et 250 000 le nombre d’habitants de Paris à la fin du moyen-âge. C’était à l’époque la ville la plus peuplée d’Europe. En ce temps-là, la population était essentiellement rurale. Une ville de 5 000 habitants était considérée comme importante.
ciboulette
8 mai 2020 @ 10:50
Magnifique , Guizmo ! Quelle reconstitution époustouflante ! Merci pour ce voyage dans le temps .
Pascal🍄
8 mai 2020 @ 10:57
Une reconstitution peut-être (?) un tantinet idéalisée mais c’est quand même le meilleur des nouvelles technologies.
DEB
8 mai 2020 @ 11:04
La Seine y est si grise et les rues sont tristes.
Ceci dit, cette vidéo bien réalisée.
Jean Pierre
8 mai 2020 @ 11:25
C’est un nouveau “Assassin Screed” à Paris ?
Karabakh
8 mai 2020 @ 21:40
Je me suis dit la même chose. 😀
Saint Agnan
8 mai 2020 @ 11:27
Etourdissant et Superbe, Un grand MERCI
oui les rues sont grises mais Notre Dame est peinte !
Les ponts contruits sont occupés par les maisons, mais il vaut mieux vivre de nos jours je pense qu’à cette époque, les plus forts survivaient que de nos jours nous pouvons faire tant de belles choses…et utiliser nos connaissances pour faire plaisir à ceux qui nous entourent, MERCI pour le survol de Paris
quelle est la musique utilisée ?
berton
8 mai 2020 @ 11:33
Merci, c’est superbe et très instructif. Quelle évolution …
Anastasia A
9 mai 2020 @ 17:58
Très bien fait . Merci
Vieillelune
8 mai 2020 @ 11:44
Magnifique! Merci pour ce cadeau !
Lisa L.
8 mai 2020 @ 12:18
Merci Guizmo. Merci Régine pour tous vos efforts quotidiens pour nous.
Nuage Pâle
8 mai 2020 @ 12:19
Merci à vous Guizmo,qui recherchez de quoi nous distraire en nous cultivant ailleurs que sur Instagram.
Françoise2
8 mai 2020 @ 12:40
Merci, je viens de vivre dans un autre temps et autre monde, magnifique, la cité de Paris avait déjà fière allure, quel travail pour les créateurs de cette vidéo, merci de nous l’avoir fait découvrir.
M.deB.
8 mai 2020 @ 13:29
Merci, c’est magnifique ! Et la musique parfaitement en lien avec les images, superbe !
Quel beau cadeau pour le 53ème jour de confinement !
Danielle
8 mai 2020 @ 13:47
Une vidéo intéressante, merci Guizmo ; cela fait du bien de se replonger dans l’histoire.
Vitabel
8 mai 2020 @ 14:17
Génial ! Merci Guizmo
Maria Ferreira
8 mai 2020 @ 14:45
Merci, trés belle video!
Alinéas
8 mai 2020 @ 14:52
Grand merci Guizmo pour cette intéressante vidéo très bien réalisée ; quelle magnifique reconstitution.. On s’y croirait presque !
Carolus
8 mai 2020 @ 16:27
C’est agréable pour une parisienne confinée de s’envoler ainsi.
Je ne sais pas si cela est conforme à cette époque, mais merci beaucoup Guizmo pour ces quelques minutes hors du temps.
Cathy 👸
8 mai 2020 @ 16:33
Magnifique à voir et revoir
Ghislaine-Perry
8 mai 2020 @ 16:46
Impressionnant , je trouve jolies comme tout les maisons sur les ponts.
marianne
8 mai 2020 @ 18:42
Je suis … époustouflée ! Quelle merveille, les ponts couverts , les bateaux à voile , incroyable !
J’ aime le Paris hausmanien mais j’ adore aussi le moyen-âge .
MERCI MERCI GUIZMO et Régine . Un régal !
Muscate-Valeska de Lisabé
8 mai 2020 @ 19:11
Je vais l’ouvrir à tête reposée,ce soir dans mon dodo!!…j’adore l’idée !Merciiii Guizmo!!😘😘😘
marie cécile delwart
8 mai 2020 @ 19:50
Merci pour cette belle reconstitution. Moi qui suis justement en train de relire les Rois Maudits …
Juliette
8 mai 2020 @ 20:29
Excellent travail de reconstitution historique.
Il me rappelle un musée de Bologne permettant de découvrir la ville au Moyen Age grâce à des casques de réalité virtuelle. C’était absolument époustouflant.
La Macchina del Tempo (La machine à remonter le temps) Via Anteo Zamboni 7.
https://www.bing.com/videos/search?q=la+macchina+del+tempo+bologna&qpvt=la+macchina+del+tempo+bologna&view=detail&mid=3AD4AFCE997F12413B6B3AD4AFCE997F12413B6B&&FORM=VRDGAR&ru=%2Fvideos%2Fsearch%3Fq%3Dla%2Bmacchina%2Bdel%2Btempo%2Bbologna%26qpvt%3Dla%2Bmacchina%2Bdel%2Btempo%2Bbologna%26FORM%3DVDRE
https://www.bing.com/videos/search?q=la+macchina+del+tempo+bologna&qpvt=la+macchina+del+tempo+bologna&view=detail&mid=2CA5A2E02D4AD5ABE0F32CA5A2E02D4AD5ABE0F3&&FORM=VRDGAR&ru=%2Fvideos%2Fsearch%3Fq%3Dla%2Bmacchina%2Bdel%2Btempo%2Bbologna%26qpvt%3Dla%2Bmacchina%2Bdel%2Btempo%2Bbologna%26FORM%3DVDRE
Karabakh
8 mai 2020 @ 22:02
Cette reconstitution, réalisée en novembre 2018, constitue une représentation du Paris au début du XVème siècle, parmi beaucoup de représentations possibles. Hormis certains quartiers très riches en histoire (tels Notre-Dame et Les Halles), nous ne savons pas exactement à quoi ressemblait Paris vers 1450. On imagine beaucoup.
Ici, les bâtiments sont peu détaillés, et c’est un peu dommage car de nos jours, faute de coller à 100% à la réalité, c’est possible de reproduire fidèlement les architectures. Il existe des reconstitutions mieux travaillées.
Ça reste quand même sympathique.
En visite
9 mai 2020 @ 11:25
En lisant les commentaires, j’avais un sentiment mitigé. Certes, c’est une version. Les premières secondes sont agréables, puis ça devient répétitif par la couleur, les habitats. Il y a quelques moments intéressants.
Je me retrouve davantage dans vos remarques, Karabakh.
Cette vidéo a un titre inapproprié, c’est une version de Paris au XVème siècle comme vous l’expliquez fort bien. Utiliser le terme de Moyen âge est trompeur. En théorie de 476 à 1492, le Moyen âge représente un millénaire. C’est trop imprécis. Quand on voit dans le film, rien que sur l’île de la Cité, Notre Dame et la Sainte Chapelle, on ne peut que se douter que les auteurs se sont situés vers la fin du Moyen âge. Je reste sur ma faim de ne pas savoir leurs sources pour établir cette représentation : imagination ou réel travail historique. L’historienne que je suis pencherait pour la première hypothèse !
Face à cette multiplication de vidéos reconstituants des périodes lointaines, des lieux, des monuments, je reste prudente. Personnellement, ça ne m’apporte rien à ma connaissance historique, je n’en ai pas besoin, je préfère d’autres sources. ça m’amuse tout au plus, avec beaucoup de recul. Je fais par contre une totale allergie au docu-fiction, une aberration. Je suis pour des documentaires de qualité ou pour de la fiction, pour laquelle je serai très tolérante. Quant aux documentaires, là aussi, il y a le pire et le meilleur. Beaucoup de gens ont vu ce que je considère comme les pires documentaires faits sur les grands évènements du XXème siècle. J’ai lu récemment avec bonheur, les mêmes réserves d’historiens, de vrais historiens (pas des historiens qui prétendent savoir et font des émissions). Ces historiens sérieux ont largement critiqué la pitoyable série Apocalypse, réalisée sans historiens, partisane, incomplète aux titres lamentables et minables et faux historiquement pour la plupart. Je fuis ça et le grand public applaudit !!!! Je n’ai pas besoin de voir les images en couleurs pour la première Guerre mondiale : c’est une vraie escroquerie historique. Mais ça plaît, ça distrait. J’en conclus, qu’on peut faire passer n’importe quoi, sans forcément respecter la réalité historique et sans avoir la moindre qualification !!! Il y a des personnes qui laissent passer cela mais pas d’autres choses plus futiles. Sans doute est-ce une question d’appréciation !
Karabakh
10 mai 2020 @ 19:01
Nous sommes d’accord.
Je crois que les sciences, aux sens le plus élevé, celui des connaissances, sont propices pour les médias à ce genre d’aberration. Nous vivons un règne de la vulgarisation à tout prix ; or, s’il est naturellement essentiel, avec les technologies actuelles, que chacun puisse avoir accès aux savoirs les plus larges, ce n’est pas, comme vous le soulignez, au prix de tout et surtout de n’importe quoi. Lorsque je vois des documentaires sur le monde animal, ma partie, je suis effaré, outre les inepties biologiques entendues régulièrement (mais ça se corrige), des raccourcis pris dans les raisonnements et les conclusions ; je suis peut-être moins choqué par les bêtises des documentaires historiques grand public mais, aimant aussi l’histoire, je reconnais que je suis aussi régulièrement interpellé par certaines assertions. Néanmoins, j’estime que ce n’est pas encore cela le pire ; ce qui me fait très peur, c’est que cette vulgarisation outrancière atteint aussi l’enseignement avec des biais et des raccourcis à la limite de l’indécence envers les hommes qui ont été acteurs du fait relaté. Et le plus aberrant là-dedans, c’est que ce ne sont pas les faits les plus anciens qui sont les plus déformés ; récemment, j’ai eu à me positionner en faux sur des faits qui ont à peine plus d’un demi-siècle, et cela fait vraiment peur…
J’ai été sollicité pour plusieurs documentaires sur la vie animale mais j’ai refusé l’essentiel des propositions. J’ai conscience d’avoir déçu, jusque dans les rangs de mes pairs mais je ne me prête pas aux bouffonneries médiatiques. Dans ma dimension enseignante, j’ai toujours été rigoureux, méthodique et surtout, fidèle aux connaissances. Cela peut ressembler à une auto-congratulation, dans une moindre mesure à de la prétention, mais je ne peux concevoir d’être « à moitié » ou « à peu près » lorsque je partage la connaissance. Cela m’a coûté un poste (récent) mais sur le fond, je préfère que l’on me vire plutôt que devoir m’abaisser à faire de la daube (restons softs).
Pour en revenir à ce documentaire, il s’adresse au grand public, juste intéressé par savoir à quoi ressemblait Paris, quelque part dans l’Histoire, sans chercher à en savoir plus – parce que souvent, ce public ne veut pas en savoir plus. Alors oui, certains diront que les personnes vraiment intéressées iront plus loin, et ce n’est pas faux. Néanmoins, il faut donner cette envie d’aller plus loin et pour le coup, ce n’est pas gagné pour ce genre de documentaire qui, et le terme est approprié, ne fait que survoler la question. C’est sympathique mais c’est pauvre, car ça manque de détails et donc de cette substance qui donne envie d’aller plus loin. Et nous en revenons au problème de fond : la paupérisation des contenus savants. Toutes les émissions, tous les documentaires, toutes les reconstitutions… qui pullulent sur la toile mais aussi sur le terrain (car c’est à la mode de reconstituer des faits historiques) sont pauvres et l’accueil du public n’incite pas à ce que leurs auteurs les enrichissent.
La part d’idéalisation est grande mais oui, elle biaise la découverte et contribue beaucoup au caractère peu fouillé et niais des réalisations.
de Montlaville
8 mai 2020 @ 23:08
Magnifique !
ambre
9 mai 2020 @ 09:01
Super ! Merci Guizmo.
Marie de Bourgogne
9 mai 2020 @ 09:33
Merci beaucoup Guizmo 😘
Numérobis.
9 mai 2020 @ 12:26
Superbe ! Merci Guizmo et Régine !
LEMPEREUR
9 mai 2020 @ 13:32
Superbe ! Merci
Saint Agnan
9 mai 2020 @ 14:24
Merci beaucoup Juliette pour « la machine à remonter le temps »
et encore Merci à Guizmo pour le voyage dans le passé de notre capitale…
Cyril
9 mai 2020 @ 16:52
Merci pour cette vidéo originale et dépaysante. Joli retour dans le passé.
Anastasia A
9 mai 2020 @ 17:58
Tres bien fait . Merci
Anna H
9 mai 2020 @ 19:49
Magnifique et intéressant
luigi
13 mai 2020 @ 18:56
Grand merci Guizmo, c’est superbe !